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    Un Sac De Billes
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    benoitG80
    benoitG80

    3 429 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 janvier 2017
    "Un Sac de Billes" tiré et adapté du best seller de Joseph Joffo paru en 1973, lui-même témoignage de son histoire vraie, démarre d'abord comme une très belle carte postale...
    Un peu surpris par l'aspect léger et un peu mélo de cette toile de fond, presque en décalage avec le climat anxiogène de cette époque plus que troublée, le film prend enfin et petit à petit de la densité par les événements historiques qui poussent cette famille juive à se séparer pour espérer mieux se retrouver ensuite...
    On quitte alors cette bienveillance feutrée, pour entrer dans le drame de l'éclatement familial avec tout ce qu'il comporte comme décisions, nouvelles règles ou habitudes et bien sûr comme dangers à venir...
    La caméra se focalise alors sur les deux plus petits de cette fratrie de quatre garçons, afin de suivre leur voyage jusqu'à la zone libre.
    Le plus jeune des deux, Joseph après un début qui faisait craindre le pire, finit par prendre une certaine épaisseur qui fait que l'on s'attache à cet enfant de mieux en mieux interprété par Dorian Le Clech, alors que son frère plus âgé (Batyste Fleurial) lui apporte toute sa protection et son amour, tout ceci malgré une diction légèrement avalée et un peu rapide quand même...
    À ce sujet, il est d'ailleurs dommage que le réalisateur n'ait pas pris soin de mieux soigner les dialogues en évitant des expressions qui n'avaient pas lieu à l'époque comme "lâche-moi !" pour n'en citer qu'une seule parmi tant d'autres.
    De même que l'exode vers le sud, manque de crédibilité et de vérité, rien que par ces chemises toujours d'un blanc immaculé du début à la fin !
    Des détails certes mais qui gênent par leur manque de réalisme évident.
    Maintenant, il est toujours délicat de descendre radicalement un travail de mémoire tel que cette histoire de la famille Joffo plongée dans les stigmates de la guerre, juste victime de cette horrible étoile jaune qui l'a marquera au fer rouge comme des millions d'autres !
    Certains moments sont même d'une extrême gravité et le basculement dans le néant face à la barbarie ambiante, n'est jamais loin pour ces enfants, au point de nous faire frémir d'une minute à l'autre...
    L'émotion est alors au cœur des faits montrés à l'écran, pour mieux nous rappeler l'horreur vécue à travers cette guerre sans nom.
    Les acteurs sont tous à la hauteur, de Patrick Bruel très touchant et juste au plus petit et héros de l'histoire qui ne cesse de grandir, de mûrir et de se responsabiliser !
    Alors un film utile sans aucun doute, dont la reconstitution de ces années 40-45 est par ailleurs fidèle et superbement filmée, presque trop !
    Et donc un détour qui ne sera par contre pas de trop afin d'être confronté à ce qu'ont vécu des êtres devenus indésirables, coupables et responsables de leur religion, de leurs différences...
    Cette deuxième adaptation, cette fois par Christian Duguay est donc malgré son aspect un peu trop beau et léché dans sa forme, à découvrir pour le fond historique tout simplement essentiel !
    Stephenballade
    Stephenballade

    402 abonnés 1 239 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 janvier 2017
    Quand le cinéma français tente avec sobriété de sortir de l’immense champ de ruines dans lequel il s’est perdu depuis trop longtemps, cela donne des longs métrages mémorables tels que "Les choristes", ou dans un tout autre registre "Intouchables" pour ne citer qu’eux. Certes ces deux films sont fondamentalement différents, mais ils ont bien plus de choses en commun qu’il n’y parait : la sobriété et la justesse du propos. C’est justement ce qui caractérise "Un sac de billes", une sorte de road movie porté par la touchante innocence puérile de Batyste Fleurial dans la peau de Maurice, et surtout de Dorian Le Clech dans le rôle du petit Joseph fermement attaché à sa bille fétiche en terre. Ce qui est remarquable, c’est d’avoir su ne pas forcer quoi que ce soit, comme s’ils vivaient leur propre histoire. Leur naturel et la caméra de Christian Duguay nous font vivre leur épopée à hauteur d’enfant, sur une partition encore une fois superbe de mélancolie d’Armand Amar. Si la prestation des deux jeunes acteurs est irréprochable, on la doit sans doute à la direction artistique des acteurs, mais aussi à leur complicité bien visible à l’écran, et à la présence de cadres tels que Patrick Bruel, Elsa Zylberstein et compagnie. Dorian Le Clech donne même parfaitement la réplique aux adultes avec un aplomb incroyable (scène du marché et de ses petits trafics) ! Mais avant de parler des cadres, la réalisation de Christian Duguay marque par sa virtuosité à rendre important chaque plan pris. Un exemple ? Eh bien la séquence rapide (très rapide, même… mais juste ce qu’il faut) où on voit le rasoir coupe-chou s’immobiliser pour rester en suspens, comme si le monde s’était soudainement arrêté de tourner à la simple prononciation (mais ô combien pesante) du mot "juif". Tout cela pour dire qu’aucun plan n’est superflu et que la précision des cadrages amène une photographie intéressante, somme toute inégale, oscillant entre la joliesse des prises de vue et le quelconque. Et puis il y a ce fragile équilibre permanent entre la dramaturgie et la légèreté. Avec un sujet pareil, il était pourtant facile de basculer vers l’une ou l’autre de ces approches, surtout quand il est empli de tendresse. Fort heureusement ce n’est pas le cas, et c’est tant mieux, car c’est ainsi que le spectateur ressent les peurs et les espoirs de ces enfants que nous verrons mûrir au gré de leur périple. En gardant le cap de cette manière, le réalisateur est parvenu à instaurer une sorte de tension tout au long de son film, grâce aussi au concours des acteurs visiblement très concernés, et à la musique qui accompagne merveilleusement bien chaque moment du film, laquelle sait même se taire pour des scènes bien spécifiques. Impalpable, cette tension est omniprésente et trouve son point d’orgue lors de la scène de la gifle. Bien que présentée dans la bande annonce, elle restera comme étant la scène culte car elle constitue le moment le plus fort émotionnellement parlant, simplement parce qu’elle est le théâtre d’un acte d’amour dans un contexte d’horreur et de brutalité apportée par des allemands et leurs comportements dont on comprend pourquoi on les traitait de "sales boches", et par la milice française depuis sans cesse montrée du doigt avec comme héritage l'appellation peu enviée de "collabos". Un acte d’amour à l’encontre de la ligne de conduite du père fier et droit magnifiquement porté par un Patrick Bruel heureux d'être fier et droit, mais un acte d’amour qui est aussi une leçon de survie donnée par un père toujours interprété par un Patrick Bruel alors en état de grâce. Une leçon qui sera la ligne de conduite tenue tout au long du film. Même s’il ne sait pas pleurer quand cela est nécessaire, Patrick Bruel étonne le public de son implication totale, de cette force des sentiments que vit son personnage. A ses côtés, la discrète Elsa Zylberstein complète avec conviction le tableau idyllique de famille unie. Seulement Bruel ne sera pas le seul à vous étonner : Kev Adams et Christian Clavier sont venus ici changer radicalement de registre à notre plus grande surprise. Le premier montre un réel potentiel en art dramatique, jusqu’aux larmes qui perlent. Le second montre une force teintée à la fois de conviction et de persuasion dans son regard, comme si l’acteur croyait lui-même fermement en la teneur des conseils avisés donnés par son personnage. Si l’immersion dans cette aventure est rendue possible, on le doit aussi à la qualité de la reconstitution : le salon de coiffure, les autos, le train avec sa machine à vapeur, les costumes, et toute une pléiade d’objets vintages contribuent à nous replonger sans difficulté dans la France occupée de 1944. Seulement il manque juste un petit supplément d’âme, ce petit quelque chose d’indéfinissable supplémentaire pour nous porter au firmament des émotions fortes tout au long de cette belle histoire, ce qui nous fait presque regretter de vivre le moment le plus intense si tôt dans le film. Quoiqu’il en soit, "Un sac de billes" est un bien joli film qui se ponctue sur une note de pudeur lors de la révélation finale, confirmant ainsi qu’il n’est pas toujours nécessaire de mettre des mots pour dire les choses, ne serait-ce que par respect et recueillement. Et puis ce film n’est pas exempt d’erreurs, comme lors de la partie de belote quand on voit Roman (Patrick Bruel) annoncer "belote, rebelote et dix de der" alors que sur le plan précédent, il avait en main trois cartes... de couleurs différentes (oups! la boulette...). Mais cela reste très anecdotique et s’oublie rapidement pour suivre avec le plus grand intérêt et sans aucun ennui les 110 minutes de ce film. Gageons que "Un sac de billes" fasse une belle carrière, bien qu’à mon avis, il ne rencontrera pas tout à fait le même succès que les deux films susmentionnés. Ainsi donc, tel est l’avis de quelqu’un qui n’a pas lu le roman éponyme de Joseph Joffo sur lequel s’appuie la réalisation de Christian Duguay, et qui n’a pas vu (non plus) la première adaptation cinématographique.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 952 abonnés 12 478 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 février 2017
    Adaptation estimable et grand public du « Sac de billes » de Joseph Joffo qui raconte, comme dans l'intimiste film de Jacques Doillon (touchè par la grâce de l'inoubliable Richard Constantini), le pèriple de deux gamins juifs qui essayent de fuir et de survivre dans une France occupèe, passant de l'enfance à l'âge adulte en se heurtant à la violence du monde! Joseph et Maurice sont sèparès de leurs parents mais sont dans l'espoir de les retrouver! Tout ce qui leur arrive est èpouvantable mais en même temps il y a un instinct de survie, de la luminositè et du sourire! Un sujet actuel qui parlera à beaucoup de gens avec le problème èmigrant et le problème du racisme dans lequel "Un sac de billes" ramène ses odeurs là mais du point de vue de l'innocence des enfants! L'intèrêt de ce remake tient essentiellement à son jeune interprète, à sa formidable reconstitution et à quelques jolies scènes de grande tendresse entre Patrick Bruel et l'attachant Dorian Le Clech! Mais qui vaut cependant d'être vu pour se souvenir du livre très èmouvant de Joffo! Comment une famille pleine d'amour va exploser en vol devant le drame! Une ode au père qui devient une sorte de guide spirituel malgrè le fait qu'il devienne absent! Une quête identitaire de facture classique certes, mais fait avec sincèritè et talent! Un beau film communicateur où l'on voit parfaitement la tristesse et la peur dans le regard des parents et des enfants! Quant aux sentiments, ils s'expriment sans retenue, accentuant le côtè amour paternel! Seul reproche à faire ? Les jeux de Kev Adams, Christian Clavier ou Bernard Campan - dans des accès de sèrieux ou de sacrifice - paraissent voulus, fabriquès! Dommage de ne pas avoir choisi des comèdiens moins bankables tels que Etienne Chicot ou Emile Berling [...] 44 ans après sa publication, le livre autobiographique de Joffo est encore ètudiè dans toutes les ècoles du monde! Derrière la camèra, Christian Duguay, cinèaste canadien assez inègal! Rèalisateur de "Scanners II & III", "Screamers", "The Art of War", "Jappeloup" ou encore de plusieurs èpisodes de la sèrie tèlèvisèe des 80's, "Guillaume Tell". Souhaitons à Duguay de continuer de film en film à nous intèresser sur son cas et à son style si èclectique...
    jeff21
    jeff21

    67 abonnés 296 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 janvier 2017
    Beaucoup de tendresse et de fraicheur dans ce film qui relate assez bien une époque noire de notre histoire. Un casting parfait pour l histoire des frères Joffo et une excellente adaptation du livre éponyme. A voir bien sûr.
    LeMagduCiné
    LeMagduCiné

    67 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 janvier 2017
    Il semblait inconcevable de passer après Jacques Doillon et son adaptation en 1975, mais la version 2017 de Un Sac de Billes profite d’une étonnante fraîcheur qui en fait un divertissement globalement réussi malgré certaines maladresses résultant d’un manque d’audace du réalisateur et ses producteurs. Entre l’allégresse communicative des enfants et les bonnes valeurs familiales que véhicule son scénario, il est difficile de ne pas tomber sous le charme candide d’Un Sac de Billes, et pourtant cette histoire de
    perte d’innocence ne parvient pas à toujours sauver son message optimiste d’un bon-sentimentalisme doucereux.
    mat niro
    mat niro

    360 abonnés 1 840 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 janvier 2017
    Voilà une adaptation du roman éponyme de Joseph Joffo assez réussie. Les deux frères de 10 et 12 ans , fuyant l'invasion nazie pour quitter leur quartier parisien et commencer un périple jusqu'à Nice, sont très attachants. Le cinéaste, Christian Duguay, a voulu signer un film abordable pour le plus grand nombre et et aussi drainer un large public pour une piqûre de rappel de cette triste période de l'histoire de notre pays. L'ensemble est tout de même assez naïf et le sujet récurrent dans le cinéma contemporain (La rafle, le pianiste, la vie est belle ou Monsieur Batignole). Cette oeuvre restitue néanmoins très bien le livre avec une pointe de légèreté.
    SebLefr3nch
    SebLefr3nch

    191 abonnés 687 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 janvier 2017
    Histoire vraie d'enfants pendant la guerre -> best seller -> film. Ce schéma qu'on retrouve de plus en plus est une recette presque garantie pour attirer du monde dans les salles. "Un sac de billes" est un très belle histoire de deux frères de religion juive qui ont dû se cacher et traverser le pays pour éviter la folie nazie. L'histoire est belle, pleine d'espoir et très émouvante. Le livre doit vraiment être très palpitant. Le film, par contre, l'est moins. Même si la réalisation est majoritairement réussie, on pardonnera les quelques effets d'ellipses assez mauvais, tout est fait pour nous tirer les larmes. Du coup tout devient très, voire trop, larmoyant ce qui est agaçant à la longue. C'est bien joué. Les deux jeunes acteurs sont très convaincants. Même Kev Adams est surprenant. On regrette que les deux jeunes acteurs ne vieillissent pas physiquement durant le film alors qu'ils sont à des âges où ils changent le plus. Le film n'en reste pas moins un film plutôt réussi et qui aurait mérité de moins tirer sur toutes les ficelles pour le rendre moins larmoyant.
    rogerwaters
    rogerwaters

    146 abonnés 1 089 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 janvier 2017
    Trop de mélodrame tue le mélodrame. On pourrait résumer ce Sac de billes par cette phrase qui définit les principaux défauts de cette nouvelle version. Cela commence très bien et se maintient à un bon niveau durant une heure et demie, mais malheureusement, le cinéaste a cru bon d’ajouter une histoire d’amour nunuche et peu crédible en toute fin. Cette dernière ruine les efforts entrepris jusqu’alors et cela ne s’arrange pas lors des dernières minutes qui usent et abusent d’une musique tire-larme proprement dégoulinante. C’est vraiment dommage car la réalisation classique tient la route, et surtout les acteurs sont excellents. Souvent, le trop est l’ennemi du bien.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 5 février 2017
    Un très beau film, très émouvant. Difficile de retenir ses larmes. C'est rare de trouver un film français digne de ce nom. Patrick Bruel, Christian Clavier jouent vraiment très bien. J'en suis encore tout ému et ca fait une heure que je suis sorti de la salle.
    GyzmoCA
    GyzmoCA

    181 abonnés 1 752 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 juillet 2022
    J'avais lu 'un sac de billes' quand j'étais adolescent sur l'histoire vraie de deux jeunes juifs essayant d'échapper des griffes des nazis pendant la seconde guerre mondiale. Mettre des images dessus rendent encore plus cruel cette époque et la nature humaine.
    Le film est superbement réalisé, interprété remarquablement par deux jeunes acteurs. Les décors, notamment Niçois, sont reconstitués de fort belle manière, on se croirait dans les années 40. La scène de la gifle à la Kommandatur de Nice est glaçante. L'atmosphère malsaine est bien reconstituée.
    Ce genre de film sert à ne pas oublier ces moments d'histoire, permet de lutter pour ne pas que ça se reproduise.
    Il est à montrer aux nouvelles générations.
    A noter l'interprétation de Patrick Bruel et Elsa Zylberstein tout en subtilité.
    Matt
    Matt

    18 abonnés 110 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 janvier 2024
    Un petit bijou... c'est émouvant, beau, triste, et tellement bien joué... Bruel est très efficace ici, les deux jeunes garçon qui portent le film sont brillant.
    Jérémy J
    Jérémy J

    30 abonnés 653 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 janvier 2017
    Un film plutôt classique en soit. Une histoire touchante. Bruel n'est pas dans son meilleur jour. Les deux jeunes sont eux plutôt convainquant. Le scénario manque toutefois de profondeur. Et certaines scènes sont vraiment de trop.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 388 abonnés 4 208 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 juillet 2017
    Un sac de billes nous fait largement penser au Voyage de Fanny sortie l’an passé où une petite fille prenait la tête d’un groupe d’enfant pour traverser la France occupée. Ici, ce sont deux frères juifs qui doivent faire le chemin et faire preuve de courage et d’idées ingénieuses pour ne pas se faire prendre par les allemands. Après le second volet de Belle et Sébastien, Christian Duguay continue son rythme de manipulation avec des moments larmoyants et des minaudes superflues. Bien à l’aise dans le genre, Patrick Bruel et Elsa Zylberstein jouent les parents aimants mais ne servent finalement qu’à redresser les noms sur l’affiche. Jacques Doillon avait déjà réalisé Un sac de billes en 1975. Cette nouvelle version est donc prévisible et absolument pas moderne.
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    Cinemadourg
    Cinemadourg

    780 abonnés 1 531 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 décembre 2021
    Tirée du roman éponyme de Joseph Joffo (le plus jeune frère, héros de l'histoire) sorti en 1973, cette nouvelle adaptation cinématographique (après celle de 1975) vaut le détour.
    Voir ces 2 gamins juifs livrés à eux-mêmes dans la France occupée des années 1942-1944 est véritablement prenant et émouvant par séquences !
    Les deux enfants sont très bons, les seconds rôles également (Bruel, Zylberstein, Clavier, Campan...)
    De jolis décors, de beaux paysages, une reconstitution historique minutieuse, une musique qui soutient le tout de façon intelligente, cette aventure dans une époque terrible est globalement réussie.
    Pas mal, à découvrir.
    ICHBIAHR
    ICHBIAHR

    11 abonnés 51 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 janvier 2017
    Déjà vu disent certains, cela n'empêche grand et beau film.
    Les enfants dont le petit, futurs grands acteurs, et à leur place sans jamais en faire trop comme le senario pourrait le laisser faire.
    Les adultes parfait surtout Bruel avec peu de dialogues mais des regards qui en disent tellement long.
    y a t'il un César du meilleur regard il est pour lui dans ce film.
    Il écrase les autres qui sont bons mais c'est un acteur, un vrai.
    On connait l'histoire, les Joffos, mais ce film raconte aussi une autre histoire à ne pas oublier , la notre et celles de tous ces gens simples qui ont su prendre partis, dont deux ecclésiastiques merveilleux dans leur rôle.
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