Amours, larcins et autres complications : Critique presse
Amours, larcins et autres complications
Note moyenne
3,1
7 titres de presse
L'Obs
Les Fiches du Cinéma
Le Monde
Les Inrockuptibles
Première
Télérama
Studio Ciné Live
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
L'Obs
par La Rédaction
Ce premier film de Muayad Alayan, petite pépite d’humour noir, c’est Kafka à Gaza. Gai, triste et réussi.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Alexis Dutrieux
Un film à la fois intense et amusant, servi par un acteur impeccable et un scénario rocambolesque.
Le Monde
par Thomas Sotinel
On a déjà vu un quidam coincé entre OLP et services israéliens ; plus souvent encore un amant sauter du lit d'une femme à l'arrivée de l'époux. La combinaison de ces deux triangles permet à Muayad Alayan de traiter le sort de son pays sur un mode absurde et mélancolique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Cette fable métaphorise joyeusement la situation des Palestiniens enfermés, qui tournent en rond dans ce pays comme dans une cage et tentent de préserver à tout prix leur intégrité.
Première
par Damien Leblanc
Si l'humour peine à faire mouche et que la narration éclatée retombe difficilement sur ses pieds, la voix de ce jeune cinéaste séduit par sa vitalité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Guillemette Odicino
Des maladresses dans ce petit film palestinien autoproduit, mais aussi un beau noir et blanc et des airs de tragi-comédie à l'italienne.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Cette comédie noire autour d'un vol de voiture qui bascule en kidnapping d'un soldat israélien ne trouve jamais son ton. Et ne génère guère plus de rires que d'émotions.
L'Obs
Ce premier film de Muayad Alayan, petite pépite d’humour noir, c’est Kafka à Gaza. Gai, triste et réussi.
Les Fiches du Cinéma
Un film à la fois intense et amusant, servi par un acteur impeccable et un scénario rocambolesque.
Le Monde
On a déjà vu un quidam coincé entre OLP et services israéliens ; plus souvent encore un amant sauter du lit d'une femme à l'arrivée de l'époux. La combinaison de ces deux triangles permet à Muayad Alayan de traiter le sort de son pays sur un mode absurde et mélancolique.
Les Inrockuptibles
Cette fable métaphorise joyeusement la situation des Palestiniens enfermés, qui tournent en rond dans ce pays comme dans une cage et tentent de préserver à tout prix leur intégrité.
Première
Si l'humour peine à faire mouche et que la narration éclatée retombe difficilement sur ses pieds, la voix de ce jeune cinéaste séduit par sa vitalité.
Télérama
Des maladresses dans ce petit film palestinien autoproduit, mais aussi un beau noir et blanc et des airs de tragi-comédie à l'italienne.
Studio Ciné Live
Cette comédie noire autour d'un vol de voiture qui bascule en kidnapping d'un soldat israélien ne trouve jamais son ton. Et ne génère guère plus de rires que d'émotions.