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    La Fidélité
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    No Quarter
    No Quarter

    6 abonnés 439 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 septembre 2024
    Un film plus complexe qu'il n'y paraît au premier abord. Deux sujets avancent en parallèle. Celui du parcours professionnel du personnage féminin principal. Et celui de sa vie amoureuse. Au milieu de tout ça, des doutes et des excès. Et un peu de folie. Sophie Marceau s'en sort honorablement compte-tenu de la difficulté des scènes imposées par Zulawski, amoureux de son interprète, marié avec elle. La logorrhée verbale de Pascal Greggory est asses insupportable et retire de la crédibilité au coup de foudre pour lui de l'héroïne principale.
    Jazoon
    Jazoon

    13 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 février 2024
    Je m'attendais à une adaptation moyenne de la princesse de Cleves d'1h45 et bim ça a été une adaptation désagréable de 2h30. J'ai lutté pour rester jusqu'à la fin et je n'en ai tiré aucun plaisir.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 693 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 octobre 2020
    Toute l'histoire est constamment bombardée de sous-intrigues, d'intrigues de personnages et d'informations sans signification qui ne vont nulle part. Il y a une intrigue sous-jacente où un garçon rencontre une fille. Elle a des doutes mais se marie quand même puis ses doutes refont surface et elle va voir s'ils sont réels. Ils s'avèrent ne pas l'être mais son mari ne croira pas qu'elle n'a pas été infidèle et son presque petit ami ne la veut pas car elle n'a pas été infidèle à son mari. Cela dit il n'y a pas moins de 1000 sous-intrigues et introductions de personnages qui rendent ce film incompréhensible. Dans les 15 premières minutes vous êtes inondé de tant de choses et de situations que vous arrêtez de vous en soucier. Vous ne vous souciez pas de l'un des acteurs confus qui dérive dans et hors de l'histoire. Chacun entre et détourne un peu d'intérêt du spectateur. Au bout d'une demi-heure complètement désintéressé je restai et regardai les deux heures et demie restantes par pure curiosité morbide. Comme tous les films de Andrzej Zulawsk, La Fidélité est un véritable supplice...
    Alain D.
    Alain D.

    600 abonnés 3 294 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 juillet 2020
    Difficile d'adhérer pleinement au scénario du réalisateur Polonais qui déborde d'incohérences avec ses personnages fantasques à souhait. Dommage car Andrzej Zulawski nous offre une photographie grandiose et un très bon casting avec pour les rôles principaux, un excellent Pascal Greggory et une sublime Sophie Marceau, belle et très impliquée dans un rôle délicat.
    barbarafels
    barbarafels

    13 abonnés 110 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 mai 2019
    Celui-ci n'échappe pas à la règle : les "films" de Zulawsky sont un incroyable fourre-tout, un pot-pourri indécent de la noirceur et de la souffrance d'une vie humaine ! Il utilise le prétexte d'un thème (ici la difficulté de rester fidèle semble-t-il.....?) qui apparaît juste en filigrane pour nous servir des scénettes qui ne sont rien d'autres qu'un répertoire : A comme "alcoolisme", B "brutalité", C "cupidité", D "drogue", E "exhibitionnisme", F "fusillade", G "grossièreté, .... Il arrive ainsi à nous fourguer une scène de mort avec souffrance, une de suicide, des sports bien virils, un travesti,.... à évoquer ci et là la religion, le trafic d'organes humains, la mafia,... entre sexe et violence. Que tout cela manque de lien et de cohérence ! La nudité n'a plus rien de gracieux, elle est voyeurisme, et tout cela va en empirant, et on hésite entre la nausée et le ridicule, et les larmes de Sophie Marceau pourtant très bonne actrice, il faut bien le reconnaître, finissent par nous agacer. Le film a zéro message, c'est lamentable.
    Eric C.
    Eric C.

    246 abonnés 2 273 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 avril 2018
    Vaguement inspiré de la princesse de Cleves, ce long film de 2h40 est avant tout un film d'auteur c'est à dire un film où on reconnaît avant tout le style, ou les délires, d'un cinéaste et là d'un cinéaste atypique avec des scénarios souvent décousus, qui partent dans tous les sens, avec des longueurs incroyables et des scènes inutiles et ennuyeuses. Une volonté en plus de dénoncer un certain nombre de choses mais hélas pas de façon subtile, plutôt la version ridicule et sur joué. Bref un film de Zulawski, avec de plus en rôle principale sa muse et femme de l'époque, Sophie Marceau qui telle une marionnette se fond totalement dans les délires et intentions du maître. On a au final un film long, ennuyeux, au casting inapproprié, Pascal Greggory n'est pas du tout crédible en charmeur de 35 ans, avec des acteurs qui sur jouent tous ou sont même mauvais, difficile à dire, Guillaume Canet en tête. Reste Sophie Marceau, que Zulawski ne ménage pas en femme libérée, sensuelle mais aussi torturée, avec de nombreuses scènes deshabillées presque gratuites, mais qui réussit à réaliser une grande performance dans un film ennuyeux, prétentieux, pénible même. Elle est de plus sublimement belle, en total lâcher prise, décontraction même, comme si elle s,'amusait simplement, sans forcer , dans ce delirium très long. A voir pour Sophie Marceau pour ceux qui ont le courage de tenir jusqu'au bout ou pour ceux qui par caractère ou prétention trouvent à ce film d'auteur de la haute qualité, sans doute accessible à une minorité, du moins le pensent ils.
    Jonathan M
    Jonathan M

    135 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 janvier 2017
    Dans un milieu bourgeois jusqu'à l'extrême, on vacille entre faux semblants et faux espoir. L'espoir de trouver une quelconque cohérence théorique au récit. C'est autant ambitieux qu'hautain, le monde où le "A" se prononce "ÂH", dans un milieu tellement en dehors de notre quotidien. Malgré tout surnage dans tout ça, une idée de la fidélité très particulière. Le film est souvent au bord de l'érotisme sans jamais y sombrer. C'est même assez excitant par moment. Sophie Marceau souhaite un amour sans fracas, mais cause malgré tout le chaos. La bande son encre d'une empreinte indélébile le récit au début des années 2000.
    Matthias T.
    Matthias T.

    46 abonnés 612 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 décembre 2016
    Il faut savoir que, dans sa jeunesse, Andrzej Zulawski a étudié la philosophie à l'Université de Varsovie; il s'est aussi affirmé comme un grand adepte de littérature, adaptant à l'occasion de ses films des livres de Christopher Frank, Dostoiëvsi ou encore Raphaëlle Billetdoux - et a lui-même écrit plusieurs romans, à côté de son travail de cinéaste (relevons La Chose de la Chair en 1981, La Forêt Forteresse en 1991, Comme un rien en 2004).

    Ces deux caractéristiques (intérêt pour la philosophie, veine littéraire) se retrouvent à l'aune de La Fidélité; son dernier film à ce jour, et le quatrième qu'il a fait avec Sophie Marceau, son ancienne épouse (après L'amour braque; Mes nuits sont plus belles que vos jours et La Note bleue). On retrouve en effet dans La Fidélité plusieurs réminiscences de La Princesse de Clèves de Mme Lafayette; à travers le personnage d'une jeune femme (ici Clélia, photographe) épousant un mari de quinze ans son aîné (ici Clèves un éditeur de trente-cinq ans - "Je sais aimer les livres à défaut de les écrire"), et soumise à la tentation d'un amant (ici en la personne de Nemo, un photographe de reportages chocs, et amateur de sensations extrêmes - par exemple à travers des courses de moto dangereuses). Cet argument permet au cinéaste polonais d'affirmer une nouvelle fois son intérêt pour "les choses de la chair": naissance du désir, érotisme à fleur de peau, atteinte du septième ciel... Par ailleurs, l'évocation du milieu de la presse (avec un journal à gros titre canadien, "La Vérité") permet une interrogation sur le rapport à l'information, la société de l'image, le voyeurisme (d'où ici le motif récurrent du miroir au sein du film). Et il faut bien dire, au vu du film, que Zulawski devait avoir du fil à retordre avec ce milieu de la presse, tant l'image qui est en peinte ici est dépréciative: tout le monde y couche avec tout le monde; il n'y a aucune éthique ni morale dans le "travail" de ces journalistes mi-paparazzis mi-pornographes; ils n'ont aucun sens de l'honneur...

    Ce qui frappe aussi à la vue de La Fidélité, c'est la multiplicité des tons, des styles. Entre une évocation de la presse à scandale, une reprise contemporaine de l'argument principal de La Princesse de Clèves, une exploration des mystères de la chair, une étude de société et une réflexion sur le métier de photographe, c'est la moindre des choses de dire que Zulawski fait ici le grand écart. Le film lorgne tantôt vers la comédie décalée par le biais de l'interprétation de Pascal Greggory en amoureux comiquement maladroit et bégayant à souhait (la scène où il aborde Clélia - "Je veux un tas d'enfants..." ainsi que celle où il lui fait une déclaration en pleine réception sont tout simplement hilarantes), tantôt vers le pur action movie (voir la scène de la mort de Mac Roi qui se prend une épée dans l'oeil; ou celle où Nemo tue tout le monde avec une arme à feu) ou encore la chronique familiale (relevons les émouvantes scènes dans lesquelles la mère de Clélia, jadis une grande vedette du music-hall, chuchote laborieusement des morceaux de paroles des Feuilles Mortes, du Temps des Cerises ou encore de Malbrough s'en va-t-en guerre)...

    Il est indéniable que La Fidélité est un peu (trop) long (2h39), qu'il manque d'unité et se révèle trop hétérogène et peut-être trop ambitieux par un excès d'enjeux (peindre le milieu de la presse à scandale; raconter une nouvelle version de La Princesse de Clèves aujourd'hui; réunir cinéphiles exigeants par une veine délibérément expérimentale et grand public par des scènes d'action facilement insérées dans la dernière demi-heure du film) et une multiplicité assommante de styles (chronique familiale; érotique; expérimental; comédie décalée)...
    Néanmoins ce manque d'unité n'enlève rien à l'intérêt qu'on peut légitimement porter à ce film. Son grand nombre d'ambitions, de styles et de registres différents fait aussi sa richesse. Tout en demeurant réticent à l'égard de l'ensemble du film; on peut être admiratif envers plusieurs scènes: celles où Clèves séduit Clélia puis lui fait sa déclaration d'amour en public; celles où la mère de Clélia se rappelle des chansons qu'elle chantait autrefois; la scène dans laquelle Clélia fait un reportage en photos d'un match de hockey sur glace...
    En tout cas, même s'il n'éveille pas totalement mon enthousiasme, La Fidélité m'encourage fortement à découvrir d'autres films de cet artiste polonais: notamment L'Important c'est d'aimer avec Romy Schneider, ou encore Possession avec Isabelle Adjani.
    Ricco92
    Ricco92

    230 abonnés 2 156 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 août 2016
    Un film prétentieux, auteurisant et ridicule. Les situations et l’interprétation ne sont jamais crédibles (Pascal Greggory est particulièrement grotesque dans les premières séquences). La première scène d’amour, tournée au ralenti, est peut-être même une des scènes de sexe les plus grotesques de l’histoire du cinéma (après une scène de séduction plus que sommaire). La manière jamais crédible dont Zulawski raconte son histoire (inspirée par La Princesse de Clèves de Madame de La Fayette) fait que le spectateur s’ennuie et se désintéresse extrêmement rapidement de la destinée de ses personnages. La Fidélité est une gigantesque caricature du film d’auteur à la française.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 1 mai 2016
    Ce film est sans intérêt, ennuyeux, Sophie Marceau est parfois transparente, parfois en surjeux. Ce n'est pas nul, juste très mauvais. Rien d'autre à ajouter ! J'ai perdu mon temps, tant pis.
    Passez votre chemin, y a rien à voir !
    Denis L.
    Denis L.

    1 abonné 34 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 juillet 2015
    Surprenant mais malheureusement dans le mauvais sens. Prétentieux, peut-être, maladroit, au point de souvent côtoyer le ridicule dans certaines scènes trop nombreuses. Les acteurs jouent faux, c'est très long et en fin de compte sans intérêt. Certains moments suscitent le (fou)-rire tellement ils sont catastrophiques.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 30 mars 2014
    Je n'ai vu que 20mn de film mais ça m'a suffit pour me rendre compte que ça ne valait pas la peine de perdre plus de temps... une histoire bizarre, des situations encore plus bizarre.. pas envie d'en voir plus.
    caro18
    caro18

    178 abonnés 2 213 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 27 janvier 2014
    Même avec Sophie Marceau et Guillaume Canet, ce film est une grande déception.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 2 novembre 2013
    Navet Absolu.
    Ce film est une calamité. Je ne comprends pas comment G Cannet et S Marceau ont pu se compromettre à ce niveau. Le scénario est vide, mes acteurs sur-jouent, S Marceau n'est pas crédible en photographe, les dialogue sont grossiers, creux, l'image est d'une laideur insoutenable, la violence gratuite et inutile, tout est noir, les clichés sont présent à chaque scène, la relation mère-fille et père-fils n'est pas crédible..
    Qui plus est le film est d'une longueur infinie. Alors surtout si vous vous ennuyez dans les premières 15 minutes, n'allez pas au delà, c'est de pire en pire et vous allez perdre deux heures et demi de votre vie qui méritent bien mieux..
    A bon entendeur...
    Angela Ki La
    Angela Ki La

    59 abonnés 586 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 juin 2013
    J’ai l’impression qu’il fait tout le temps le même film. On va me dire que ça s’appelle avoir du style, certes. Mais une fois qu’on le connaît le style, on est en droit de demander un peu plus, et là il rame un peu. Pas qu’il n’y ait pas de contenu, mais il jette tout ça à la face comme quelqu’un qui a du métier et qui s’en contente. C’est volontairement surchargé, donc inégal, comme d’hab, c’est littéraire dans le style cinéma d’auteur (comme d’hab), mais c’est bien filmé ; les acteurs sont à la fête, et on les invite à surjouer (comme d’hab) . Histoire complexe et sans issue, (comme d’habitude, dirait Claude François).
    A un moment ça frise le grotesque ou le ridicule, (comme d’hab), et c’est très long, (comme d’h…). Donc cela fait trop de comme d’hab pour moi. Après, les fans de Sophie Marceau vont pouvoir la voir jouer et exprimer des choses comme rarement ailleurs, et c’est vrai que Zulawski a du talent pour ça, montrer le côté « obscur » de ses acteurs, et leur faire faire et dire des choses que l’on imagine difficilement à leur portée, aussi vrai pour Gregory et Canet, pour un casting très BCBG, très lisse. Je ne suis même plus surpris, je sais que derrière la classe de sa mise ne scène il va encore en faire des kilos-tonnes. Cette richesse, à l’arrivée ça reste formel et rien d’autre. Comme d’hab…
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