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Cette façon subtile de brosser un portrait de la société, sans bons ni méchants, attise la curiosité des occidentaux depuis "Une séparation". "Taxi Téhéran", Ours d’or comme le film d'Asghar Farhadi, procède de la même volonté de refléter l'Iran dans sa finesse et sa complexité.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Grâce à une forme limpide, ce sont surtout le brio et une certaine joie de filmer retrouvés par Panahi qui permettent au film de livrer toute la sève de son dispositif.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
"Taxi Téhéran" est l'oeuvre d'un d’immense maestro en pleine possession de ses moyens, envers et contre tout. C'est un film généreux, débordant d’une joie sincère de faire du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
En Iran, aujourd'hui, même les génériques sont interdits. Peu importe, on sait le nom de celui à qui l'on doit "Taxi Téhéran", ce moment de vaillante résistance et d'indéfectible confiance dans le pouvoir du cinéma, Jafar Panahi.
"Taxi Téhéran" est non seulement le portrait d'une société drôlement émancipée, brave et moderne malgré le joug islamique, mais aussi la définition même du septième art : saisir le réel dans ce qu'il a de plus vrai, de plus sensible, quel que soit le prix ou l'illusion.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Avec rien, Jafar Panahi raconte tout : l'état actuel de la société iranienne, sa condition de cinéaste maudit. Plus que jamais, son cinéma est libre, politique, humaniste. Ours d'or au dernier Festival de Berlin.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Son humanité profonde, souvent ludique, parfois tragique, combinée à un sens de l'humour habile et touchant, confère à Taxi Téhéran une tonalité véritablement singulière, qui suffit à faire de lui une réussite.
La critique complète est disponible sur le site Time Out Paris
"Taxi Téhéran" est un peu plus qu’un film réflexif. Vif, délié, narquois juste ce qu’il faut dans l’exhibition d’une clandestinité opérant en plein jour et ouverte à tous les vents, il est avant tout un film dégainé comme un réflexe.
Si le dispositif de "Taxi Téhéran" évoque "Ten", le film du mentor Abbas Kiarostami, il en constitue aussi l’antithèse, voire l’antidote. Ou plutôt la version drolatique et énergique.
Cet humour mordant constitue le meilleur des "véhicules" pour les messages que le cinéaste délivre, dénonçant avec malice les hypocrisies et contradictions de l'Iran d'aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Bien sûr, "Taxi Téhéran" (...) est très exactement le contraire d'un acte de reddition. C'est une bordée de quolibets à l'endroit des censeurs, mais aussi un film d'une habileté cinématographique et d'une acuité politique hors du commun.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Car avec ce mariage réussi entre fiction et documentaire, il s’inscrit pleinement dans ce qui fait le sel néoréaliste de son œuvre depuis « Le ballon d’or » . Un geste fort (…) qui dit que rien ne le fera dévier de ses ambitions artistiques formelles et scénaristiques, quelles que soient les contraintes (...).
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Cette situation, avec laquelle Panahi joue dans "Taxi Téhéran", fait souffler sur l'écran un vent chaud et froid dont on ne sait s'il vient naturellement du ciel ou s'il est commandé par une machinerie diabolique. Mais c'est excitant.
"Taxi Téhéran" ne souffre certes pas de la comparaison avec certaines œuvres passées comme "Le Cercle" et "Sang et or", il n’en constitue pas moins un pas de plus dans la construction d’un œuvre dont le temps soulignera ou non l’importance.
Cette tension entre fiction et réalité contribue à l’aspect vivant du film, à son suspense latent et permanent : on est embedded dans un tournage à risques.
On comprend pourquoi le jury de la Berlinale lui a remis son Ours d’or, la figure du dissident suffisant à en faire une prise de position politique. Mais ce n’est certainement pas pour le geste artistique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rien de nouveau dans ce dispositif fictionnel aux confins du documentaire que Kiarostamni inaugura avec "Ten". Mais à la gêne qu'un cinéaste connu se déguise en humble pour narguer la censure succède une admiration pour l'exercice de jeu et d'écriture.
20 Minutes
Cette façon subtile de brosser un portrait de la société, sans bons ni méchants, attise la curiosité des occidentaux depuis "Une séparation". "Taxi Téhéran", Ours d’or comme le film d'Asghar Farhadi, procède de la même volonté de refléter l'Iran dans sa finesse et sa complexité.
Critikat.com
Grâce à une forme limpide, ce sont surtout le brio et une certaine joie de filmer retrouvés par Panahi qui permettent au film de livrer toute la sève de son dispositif.
Culturopoing.com
"Taxi Téhéran" est l'oeuvre d'un d’immense maestro en pleine possession de ses moyens, envers et contre tout. C'est un film généreux, débordant d’une joie sincère de faire du cinéma.
Elle
Un film réquisitoire d’un courage inouï contre la dictature et en faveur de la liberté d’expression. Un Ours d’or à Berlin plus que mérité.
Le Dauphiné Libéré
Et c’est toute la société iranienne qui défile devant sa caméra cachée, dans un film qui est un superbe hymne au cinéma et à la liberté.
Les Fiches du Cinéma
Une ode à la liberté et un chant d'amour au cinéma.
Marianne
En Iran, aujourd'hui, même les génériques sont interdits. Peu importe, on sait le nom de celui à qui l'on doit "Taxi Téhéran", ce moment de vaillante résistance et d'indéfectible confiance dans le pouvoir du cinéma, Jafar Panahi.
Metro
Un véritable tour de force.
Ouest France
Le résultat est souvent drôle, parfois tragique, toujours malin (...).
Paris Match
Tout ceci est du cinéma, du grand, du beau, du fort.
Positif
Quel film fascinant ! Drôle, indispensable, diaboliquement intelligent.
Sud Ouest
"Taxi Téhéran" est non seulement le portrait d'une société drôlement émancipée, brave et moderne malgré le joug islamique, mais aussi la définition même du septième art : saisir le réel dans ce qu'il a de plus vrai, de plus sensible, quel que soit le prix ou l'illusion.
TF1 News
Avec rien, Jafar Panahi raconte tout : l'état actuel de la société iranienne, sa condition de cinéaste maudit. Plus que jamais, son cinéma est libre, politique, humaniste. Ours d'or au dernier Festival de Berlin.
Time Out Paris
Son humanité profonde, souvent ludique, parfois tragique, combinée à un sens de l'humour habile et touchant, confère à Taxi Téhéran une tonalité véritablement singulière, qui suffit à faire de lui une réussite.
Télérama
Il est peut-être le pire taxi de Téhéran, mais le prix de la course est inestimable.
aVoir-aLire.com
Passager de sa propre aventure dans "Taxi Téhéran", Jafar Panahi nous délivre ici un manifeste aussi politique que cinématographique.
Cahiers du Cinéma
"Taxi Téhéran" est un peu plus qu’un film réflexif. Vif, délié, narquois juste ce qu’il faut dans l’exhibition d’une clandestinité opérant en plein jour et ouverte à tous les vents, il est avant tout un film dégainé comme un réflexe.
Charlie Hebdo
Si le dispositif de "Taxi Téhéran" évoque "Ten", le film du mentor Abbas Kiarostami, il en constitue aussi l’antithèse, voire l’antidote. Ou plutôt la version drolatique et énergique.
Franceinfo Culture
Panahi, résistant, fait avancer la société iranienne : il faut rouler dans son "Taxi Téhéran".
L'Humanité
Une balade amusée, vivante et provocatrice où l’on constate à quel point l’Iran reste un pays de cinéma.
L'Obs
Réalisation singulière à la dimension de film unique.
La Croix
Cet humour mordant constitue le meilleur des "véhicules" pour les messages que le cinéaste délivre, dénonçant avec malice les hypocrisies et contradictions de l'Iran d'aujourd'hui.
Le Journal du Dimanche
Une ode magnifique à la liberté, forte de son rythme nerveux et de ses références aux films précédents de Panahi (...).
Le Monde
Bien sûr, "Taxi Téhéran" (...) est très exactement le contraire d'un acte de reddition. C'est une bordée de quolibets à l'endroit des censeurs, mais aussi un film d'une habileté cinématographique et d'une acuité politique hors du commun.
Libération
La richesse des discours générés laisse penser qu’en réalité le film glane dans cet inépuisable réservoir à fiction une trame très écrite.
Studio Ciné Live
Car avec ce mariage réussi entre fiction et documentaire, il s’inscrit pleinement dans ce qui fait le sel néoréaliste de son œuvre depuis « Le ballon d’or » . Un geste fort (…) qui dit que rien ne le fera dévier de ses ambitions artistiques formelles et scénaristiques, quelles que soient les contraintes (...).
L'Express
Cette situation, avec laquelle Panahi joue dans "Taxi Téhéran", fait souffler sur l'écran un vent chaud et froid dont on ne sait s'il vient naturellement du ciel ou s'il est commandé par une machinerie diabolique. Mais c'est excitant.
La Voix du Nord
"Taxi Téhéran" ne souffre certes pas de la comparaison avec certaines œuvres passées comme "Le Cercle" et "Sang et or", il n’en constitue pas moins un pas de plus dans la construction d’un œuvre dont le temps soulignera ou non l’importance.
Le Parisien
Tous risquent gros et aucun générique n'accompagne cette œuvre hors du commun.
Les Inrockuptibles
Cette tension entre fiction et réalité contribue à l’aspect vivant du film, à son suspense latent et permanent : on est embedded dans un tournage à risques.
Première
On comprend pourquoi le jury de la Berlinale lui a remis son Ours d’or, la figure du dissident suffisant à en faire une prise de position politique. Mais ce n’est certainement pas pour le geste artistique.
Transfuge
Rien de nouveau dans ce dispositif fictionnel aux confins du documentaire que Kiarostamni inaugura avec "Ten". Mais à la gêne qu'un cinéaste connu se déguise en humble pour narguer la censure succède une admiration pour l'exercice de jeu et d'écriture.