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    Le Dernier duel
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    Christoblog
    Christoblog

    825 abonnés 1 672 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 novembre 2021
    Beaucoup de choses ne m'ont pas convaincu dans Le dernier duel.

    L'utilisation de l'effet Rashomon par exemple me semble plus handicapant que séduisant. Les trois versions se complètent, se répètent, présentent quelques subtiles variations, mais ne se contredisent pas vraiment. On ne voit donc pas trop l'intérêt d'étirer le film de cette façon.

    J'ai également été un peu sonné par cette photographie sans cesse bleutée et comme sous-exposée, et parfois déstabilisé par la façon un peu vulgaire dont le film se veut résolument "post Metoo" (exemple : the truth qui reste incrusté à l'écran à l'introduction du troisième chapitre), d'autant plus que le personnage de Marguerite est finalement le moins développé des trois.

    Bref, beaucoup de réserves, et pourtant une impression persistante d'un beau morceau de cinéma. L'aspect appliqué et immersif du film doit y être pour quelque chose. Les interprètes sont tous et toutes très bons, et la mise en scène souveraine. Quant au combat final, il est beaucoup plus impressionnant que n'importe quelle scène du dernier Bond (et là au moins, les gens saignent quand ils sont blessés).

    A voir si vous n'êtes pas rebuté par sa durée : 2h33.
    Isabelledeprevost
    Isabelledeprevost

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 novembre 2021
    J'ajoute que j'étais gênée pour Matt Damon et Adam Driver que j'aime beaucoup; on ne ressent rien dans ce film, on s'ennuie mortellement
    Claude WOLFS
    Claude WOLFS

    45 abonnés 122 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 octobre 2021
    Très intéressant ce que nous propose Ridley Scott Un dernier duel très réussi et palpitant. Une superbe reconstitution de la France du 14 Em siècle tant sur le plan esthétique que sur la complexité des personnages et de l'intrigue. L'exploration des différentes versions de ce Viol, le final ou en s'en lavant les mains on s'en remet a la grâce de Dieu tout cela est parfait .Les acteurs sont a l'image de ce film : Excellent (Même Matt Damon est largement au dessus de sa prestation de Stillwater) Bref un cinéma efficace, simple propre et net . A Recommander
    Phil Spring
    Phil Spring

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 31 octobre 2021
    D'un ennuie vertigineux
    Nous avons affaire à un #metoo façon moyenâgeuse dénonçant le viol de la belle Marguerite par Jacques. Le film sert son lot de décapitation et de trucidation sur-vendue.
    Vous verrez alors 3 fois la même histoire sur des angles de prises de vues différentes mais qui apporte très peu de subtilité.
    Bref passer votre chemin.
    Lucas S
    Lucas S

    1 abonné 17 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 novembre 2021
    Ultras violent et redondant pour rien l’histoire se répète avec différents points de vue sans rien apporter à l’intrigue. Des scènes de viole et de violences sans aucun intérêt réel. Surtout qu’on revoit la même plusieurs fois.. poubelle
    Clara Nord
    Clara Nord

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 31 octobre 2021
    Film très long du fait des 3 points de vue différents pour une même histoire. Ces différences de point de vue n'apportent pas d'intérêt à l'histoire. Il y a certaines scènes que l'on n'a pas envie de revoir trois fois, notamment celle du viol. On ne s'attache pas aux personnages qui sont tous affreux. Beaucoup de scènes de violence gratuite selon moi, notamment à la fin. Bref, je regrette d'avoir perdu 2h30 de mon temps et de mon argent pour voir des images désagréables dans une histoire sans réel intérêt.
    Carole Frare
    Carole Frare

    2 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 novembre 2021
    Très bon films avec de très grands acteurs. J’ai adoré même si j’aurais aimé peut être un retournement de situation en accord avec ce qui avait été dit plus tôt.
    Fab69006
    Fab69006

    16 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 novembre 2021
    Très bon film... de la subtilité dans le récit, des décors et scènes à couper le souffle , le tout portés par d'excellents acteurs... avec un thème d'une actualité étonnante... à voir absolument
    AHEPBURN
    AHEPBURN

    101 abonnés 513 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 octobre 2021
    Un bon film sur la barbarie de l'époque. Une réalisation et interprétation de haut vol. Un film à voir sur grand écran. Attention scène de viol et pas mal de sang.
    Frédéric T
    Frédéric T

    27 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 novembre 2021
    Belle réalisation dans la lignée de "kingdom of heaven". Reconstitution saisissante du monde mediéval (quel combat final !). Acteurs excellents : Matt Damon et Ben Affleck bien sûr mais aussi Jodie Comer !
    Une réserve concernant le scénario avec ces trois versions trop similaires pour éviter une impression de redite. Malgré tout c'est un très bon film.
    AZZZO
    AZZZO

    301 abonnés 808 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 novembre 2021
    Grâce au procédé du récit en miroir, Ridley Scott nous présente une seule et même histoire vue au travers des yeux de chacun de ses trois protagonistes. Nous découvrons ainsi que chaque récit est subjectif. Cette lapalissade s'adapte en premier lieu à Ridley Scott. Son Moyen-Age n'est pas LE Moyen-Age. C'est SA vision du Moyen-Age. Un Moyen-Age en carton-pâte. Car une fois de plus - comme il est d'usage dans chacun de ses films pseudo-historiques - le passé n'est qu'une transposition du présent. Pour ce film, le brave Ridley repousse magistralement les frontières connues de l'anachronisme : dialogues, coupes de cheveux, jeu des acteurs, c'est un régal. Big up pour deux scènes : celle où Marguerite se confie sur son plaisir conjugal avec son médecin (les sexologues médiévaux étaient réputés, il faut dire) et celle dans l'échoppe du couturier de Paris où un troubadour joue du flutiau, sans doute pour remplacer la musique d'ambiance qui fait défaut, le Spotify du XIVe siècle.
    Mais tout cela est anecdotique et prête seulement à sourire. Ce qui est vraiment reprochable à notre historien débutant, c'est d'avoir transposé les rapports hommes-femmes actuels à une époque où ils n'ont absolument rien à voir. Dénoncer le machisme, le patriarcat et le viol sont des combats indispensables mais qui n'ont pas d'équivalent au bas Moyen-Age. La femme ne se comprend que sous l'angle religieux : elle est la femme pécheresse, l'incarnation diabolique du vice. Cette culpabilité que lui fait porter une religion alors omniprésente réduit de facto son rôle social. Le récit contemporain de la maltraitance des femmes est donc totalement inepte. Par ce duel, Jean de Carrouges n'a pas du tout défendu l'honneur d'une femme violée mais celui d'une famille qui était déjà en litige (connu) avec son adversaire. Les actes et sentiments attribués à Jodie Comer sont ceux d'une femme moderne. Le wokisme médiéval n'existe pas. Que le film se déroule au bas Moyen-Age est inepte mais surtout regrettable car, une fois de plus, la question du viol s'en trouve fictionnalisée, narrée dans une histoire lointaine, hors de notre réalité. Si Ridley Scott veut vraiment traiter le sujet du viol, qu'il pose sa caméra sur l'épaule, qu'il quitte les studios hollywoodiens, oublie les effets spéciaux, et qu'il fasse un film sur notre monde, dur, social, réel, car le viol n'est pas une fantaisie romanesque, une histoire qu'on raconte pour se divertir, mais malheureusement un triste sujet d'actualité.
    On m'objectera que c'est un moyen de sensibiliser le plus grand nombre. Mais le viol de Marguerite (pourtant montré deux fois) horrifie-t-il les spectateurs autant que celui filmé à dessein par Gaspard Noé dans "Irréversible" ? Les viols et les meurtres sur grand écran sont tellement fictionnels et aseptisés qu'ils ne participent nullement à faire baisser le crime. Surtout avec des réalisateurs qui passent leur temps à esthétiser la violence masculine dans de longues scènes de combats filmées au ralenti, avec musique et hectolitres de sang. Suivez mon regard...
    Pour achever avec des fleurs l'enterrement du pauvre Ridley, revenons à la forme. Le procédé du récit en miroir n'apporte rien. Juste le sentiment pénible de devoir se farcir deux voire trois fois la plupart des scènes. A qui apprécie cette technique de narration, je recommanderai l'excellent "Mademoiselle" de Chan Woo Park qui prouve qu'il est possible de raconter trois fois la même histoire sans jamais se répéter... à condition, bien-sûr, d'avoir un peu de talent.
    Dam Birt
    Dam Birt

    3 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 novembre 2021
    Bouleversant, oppressant et indispensable...
    Une film à voir absolument !!!
    Matt Demon est méconnaissable dans son personnage et réalise une performance qui éclipse totalement celles des autres rôles pourtant à la hauteur eux aussi...
    La dernière scène vous prend viscéralement aux tripes.
    J'ai rarement ressenti ce genre d'émotions au cinéma...
    Pour moi c'est du 4.2 largement mérité...
    RealPrime
    RealPrime

    81 abonnés 1 740 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 octobre 2021
    Après "1492 Christophe Colomb", "Gliadiator", "Kingdom of Heaven", "Robin des bois" et "Exodus", le britannique star Ridley Scott nous plonge à nouveau dans un récit historique, épic et visuellement hors du commun, dans la France du 14ème siècle ou Paris, la grande cité des amours n'était alors qu'une "petite" cité et ou les ouvriers et autres maîtres d'œuvres réalisaient l'édifice aujourd'hui empotée d'un toit et d'une flèche, Notre-Dame. Le récit, tourné et monté tel un roman avec 3 grands chapitres, nous plonge dans 3 versions égales mais dont les évènements diverges et selon le vécu et la vérité propre du trio vedette. Matt Damon en chevalier et maître d'une demeure fantastique, combattant et conquérant le cœur d'une belle, joue parfaitement son rôle et livre une très bonne prestation tant dans les instants banales que tendus. Adam Driver à qui l'on ne pourra pas facilement enlever l'étiquette de Kylo Ren livre une toute autre prestation, noble, fière de lui obséder par la même femme se livre à un duel avec Damon ou rivalité de conquête et de notoriété sont reines, bien que Damon en soit le premier intéresser. Ben Affleck, bourgeois, richissime, maître de château, meneur de fête et de réunion joue le "roi" classique qui se force presque aux tâches peut passionnantes et ne prêtant que peut d'attention aux gens de la cours inférieure. Jodie Corner, jeune femme forcée à l'époux non désirer (malheureusement coutume des siècles passés) et futur victime de l'inceste, joue la parfaite femme sage, gentil et attentionnée et prêtant mainte fois les gestes à son époux ne désirant qu'une chose, UN héritier. Le script lui est tous simplement parfait, des expressions ou simples mots d'époque désignant les banales situations d'aujourd'hui, mais un script parfaitement compréhensible pour chacun, contrairement à nombres d'œuvres d'époque dont seul les vrais initiés pouvaient en saisir le sens. Le mot le plus "choquant", "percutant" fut sans conteste celui de la meilleure amie de notre héroïne lorsqu'elle annonce avoir coucher avec son mari, un mot limite boucher et impossible à retenir tant il n'est plus de notre temps. Sur le visuel, inutile de nier, le film est une totale réussite, les décors, costumes, coiffures et maquillages sont dignes d'un film de cette âge mais avec Scott aux manettes, difficile d'être déçu, également avec un tel casting. spoiler: Puis la scène du viol, 2 fois filmer pour 2 versions bien différentes ou Adam jouera dans les 2 cas un prédateur, un fauve lâché contre une proie sans défense. Pour Jodie, si la première version est évidement "gentil" et sans violence, la seconde est naturellement plus tendue, virulente et percutante, une scène qui à dû être complexe à tournée.
    Un film montrant aussi la manière dont la justice faisait son œuvre, aucune femme dans les juges ou dans les jurés, une reconstitution qui fait forcément réfléchir sur les conditions d'époque et qui montre comment les victimes de viol n'était clairement pas mise dans les meilleurs postures pour être défendues. Le roi, très jeune avec sa belle sont le parfait portrait de ces dirigeant sans expérience ni notoriété exerçant le pouvoir suprême tel un jeu de cours d'école, un comportement et un parler enfantin parfois stupide faisant la honte pour ce pouvoir. La grande séquence du fameux duel offre un spectacle tout en démesure, virulence et violence (tout comme les scènes de batailles) pour un moment épique et au visuel décapant et un son parfait. Une longue épopée chevaleresque, Ridley Scott régale à sa manière mais offre aussi pas mal de longueurs, racontant tout de même avec minutie, un récit tirer d'un fait réel pour une cause encore et toujours d'actu. Un ultime duel pour la vérité et la justice.
    SAINT CLAR
    SAINT CLAR

    11 abonnés 58 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 octobre 2021
    Le dernier duel.
    D'après l'ouvrage ‘’Le Dernier Duel : Paris, 29 décembre 1386’’ d'Eric Jager. Basé sur des événements réels, le film développe d'anciennes hypothèses sur le dernier duel judiciaire connu en France - également nommé « Jugement de Dieu ».
    Ridley Scott
    2h03
    Damon, Affleck et Driver pour les mecs, des vrais, des durs.
    Jodie Comer et Harriet Walter pour les dames. La propriété des mecs, les vrais, les durs.
    ---
    La vie en ce 14ème siècle est parfaitement rendue. La brutalité des combats est rendue de manière intense et effroyable comme elle devait l’être à ce moment-là : hommes, chevaux. Pas de mise en pli parfaite, ni de costume sortant du pressing. La boue, la crasse, le sang coagulé couvrent les guerriers, crottent les vêtements et embourbent les routes.
    Ridley Scott restitue dans son film toute la brutalité de cette société coupée en 3 (ceux qui combattent : la Noblesse, ceux qui prient : le Clergé et ceux qui travaillent). Société coupée en 3 mais qui ligote toute une partie de sa population. Quels droits pour les femmes ? Dans la noblesse, elles ne sont rien d’autre qu’une source de profit (la dot) et un utérus (production d’un fils de préférence). A partir de là, qu’advient-il à une noble lorsqu’elle a été violée dans cette époque du moyen-âge ?
    Question qui n’est pas sans interroger notre époque moderne sur des faits similaires.
    C’est tout le sujet du film magistralement construit en 3 chapitres : le point de vue du mari, du violeur, de l’épouse violée. Une femme qui refuse de se taire et prend des risques très au-delà de ce qu’elle pouvait imaginer et qui font froid dans le dos.
    Donc, 3 points de vue filmés à plusieurs caméras avec des petites différences sans redondances. Petites différences, discordances, divergences qui, loin d’être anodines, épaississent les personnages et pointent le fonctionnement d’une société au pouvoir détenu par des hommes œuvrant pour la plupart pour eux ou pour la religion ou les deux en mêmes temps.
    Le film est brutal, les personnages et les règles tacites de cette société (encore valables aujourd’hui) répugnants. Ridley Scott décortique l’hubris des hommes : ce comportement orgueilleux qui trouve son terreau dans la démesure et la convoitise sans limite … hier et aujourd’hui toujours.
    ---
    Damon, Affleck comme on ne les a jamais vus, Driver et les seconds rôles : tous sont excellents
    Jodie Comer un nom et un visage à retenir : tout en justesse de jeu. Une jeune actrice promise à un très bel avenir. Harriet Walter à qui l’on a proposé le rôle de la belle-mère relève le gant sans faillir.

    2h03 qui passent en un claquement de fouet d’un fait divers à un constat social juste glaçant. Avec un final terrifiant. Car c’est bien une claque magistrale que l’on se prend avec ce film.

    Avec Le dernier duel, Ridley Scott à 83 ans ne donne pas un coup d’épée dans l’eau, loin de là. Il tranche dans le vif et signe avec ce film d’époque une œuvre exceptionnelle par sa cinématographie et par son intelligence à questionner hier et aujourd’hui. On espère revoir tout son talent dans un prochain film. Révérence à toute l’équipe et le travail accompli au sens propre et au sens figuré.
    Le film prend tellement aux tripes et au mental que je ne peux même pas évoquer la bande musicale.
    Le dernier duel est une expérience cinématographique à voir et partager. Un film brillant !
    Rémy
    Rémy

    5 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 janvier 2022
    Durant la première partie, on s’ennuierait presque. Puis la perspective change et la même histoire, parfois les mêmes scènes, sont racontées d’un point de vue différent. Au total, la vérité est montrée du point de vue de chacun des trois personnages principaux : deux amis qui s’opposent pour la faveur de leur suzerain et l’épouse de l’un que l’autre violente.
    Une réflexion sur le relativisme de la vérité à une époque, le Moyen-Âge, où le dire d’un noble peut difficilement être mis en doute car il engage son honneur, sa réputation et, in fine, sa vie.
    L’un de deux protagonistes propose de trancher, parce qu’il se méfie de la vérité féodale incarnée par le jugement du suzerain direct et du roi en tant que suzerain ultime, au moyen d’une ordalie prenant la forme d’un duel. On peut douter qu’une telle forme de justice ait eu encore cours à l’époque de Charles VI. Mais l’exception est justifiée dans le film par l’accord des deux protagonistes, du roi, de sa cour et de son parlement (unanimité qui semble aussi problématique que l’exception est anachronique). Autre anachronisme semble-t-il : la cathédrale Notre-dame est montrée inachevée alors qu’elle était terminée depuis une quarantaine d’année au temps où se déroule l’action du film.
    Le point de vue du troisième personnage principal, celui de la femme, est intéressant car il montre bien que le dire d’une femme ne valait pas grand chose à l’époque, fût-elle noble. Il met également en lumière l’universalité du machisme des hommes car l’habile et le violent séducteur n’agit pas différemment envers les femmes que le grossier mari trompé.
    La synthèse finale, la vérité du jugement de Dieu, donne à Ridley Scott l’occasion d’un magnifique morceau de bravoure avec la scène toute hivernale d’un duel à mort entre les deux chevaliers ; scène peut-être encore plus intense que celle qui avait couronné la fin du film « Gladiator ».
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