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    Voyage à travers le cinéma français
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    riverainpsy
    riverainpsy

    33 abonnés 416 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 septembre 2021
    Bien sûr , au départ et à première vue , on ne boude pas son plaisir de revoir tout ces extraits d'excellents films ( encore que la Nouvelle Vague, mais bon, tous les goûts...) ; et puis le temps passe ; et on réfléchit . A quoi nous mène cet exercice autocentré sur Tavernier ? Le spécialiste du cinéma qu'il est ne s'engage jamais vraiment au delà d'une admiration béate ; à peine un coup de griffe à Renoir . Le bon réalisateur qu'il est aussi indiscutablement ( mais inégal) n'a pas non plus la stature d'un très grand du cinéma ( il profite surtout d'être bon à une époque où le cinéma français n'a jamais été aussi inexcusablement mauvais au regard de ces moyens) . Donc à quoi sert un spécialiste qui ne livre pas d'anecdotes et de réflexions nouvelles ? Quant à la filmographie française idéale de Tavernier, structurée en une spirale subjective et intime ; au fond pourquoi aura-t-elle plus de valeur que celle du quidam ? Un "Blow -Up" sur Arte fait pareil , souvent mieux, et de façon condensée . Un peu comme Maupassant par rapport à Balzac .
    Stéphane R
    Stéphane R

    24 abonnés 357 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 août 2021
    Toujours agréable de suivre le parcours de ce merveilleux cinéphile qu'était Bertrand Tavernier. Voyage éminemment subjectif et assumé comme tel, mais émerveillé et plutôt bienveillant (sans tomber dans l'écueil de la mini série qui a suivi et qui enchaînait les superlatifs jusqu'à épuisement). Beau parcours. Merci.
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    90 abonnés 1 751 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 octobre 2018
    Documentaire fleuve sur le cinéma français. Le véritable intérêt de ce film tient dans sa volonté de nous faire découvrir et de parler de films considérés comme mineurs mais que Tavernier affectionne tout particulièrement. Mais sa qualité fait aussi son défaut : par passion pour ces films, Tavernier utilise un montage pas très inspiré (Metteur en scène par metteur en scène) et les commentaires analytiques manquent de pertinences.
    Matthias T.
    Matthias T.

    46 abonnés 612 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 mars 2018
    Un film instructif et très érudit dans lequel Tavernier fait montre de toute sa finesse d'analyse. Ca manque cela dit un peu de cinéma - de silences, de montage et de variations...
    Caine78
    Caine78

    6 798 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 octobre 2017
    Après plusieurs livres écrits sur le cinéma américain, Bertrand Tavernier s'attaque à celui hexagonal via un documentaire de plus de trois heures, où la passion du bonhomme est manifestement intacte. Des années 30 à 70, l'auteur de « L.627 » traverse les époques avec un plaisir souvent communicatif, son immense culture faisant la part belle à la technique comme aux émotions, le choix des films et des images prêtant rarement à discussion jusqu'aux 50's, d'autant que ses arguments et sa manière de décrire chacun d'entre eux forcent le respect et l'intérêt de quiconque s'intéressant un minimum au sujet. Évidemment, 180 minutes c'est très peu pour parler d'une période aussi longue dans un pays aussi riche en œuvres majeures, et certains cinéastes (notamment Julien Duvivier) passent un peu à la trappe. De plus, on peut être parfois dubitatif quant aux éloges que Tavernier émet sur certains noms (notamment dans les années 60), d'autant que celui-ci semble « privilégier » les réalisateurs qu'il a directement fréquentés, ce qui n'empêche pas l'analyse et la clarté. L'homme n'est pas forcément « sympathique », ce qui n'empêche nullement l'immersion et le plaisir de se plonger dans ces différents titres, d'autant que son regard reste constamment accessible, ludique. Bref, si on est (logiquement) plus convaincu par certains choix que d'autres, la subjectivité ayant inévitablement un rôle très important, difficile de résister à autant d'intelligence et de savoir, au moins lorsqu'on est cinéphile. Un voyage à ne pas manquer.
    jean-paul K.
    jean-paul K.

    13 abonnés 323 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 octobre 2017
    Une première partie tout à fait passionnante sur les films des années 30 où Tavernier nous fait partager son amour pour certains réalisateurs et acteurs, nous fait découvrir les ficelles et le métier, l'art de filmer pour faire ressortir toute l'émotion d'une scène par exemple. Mais la deuxième partie est assez confuse avec des retours en arrière, un meli-melo d'acteurs ou de cinéastes, nous faisant perdre le fil de l'histoire sans aller au bout des choses, comme dans la première partie. Enfin on a l'impression que Tavernier a surtout aimé le cinéma d'une époque, en occultant une grande partie du reste. Pas un mot sur les débuts du cinéma, comme le grand Méliès, une part très restreinte sur la période 1946-1959, peu de commentaires sur la nouvelle vague (cinéma qui a permis de relancer et faire connaître le cinéma français à l'étranger) et quasiment rien de 1965 à nos jours. Je sais qu'il fallait faire un choix, mais on sort du film avec un arrière-goût d'inachevé et de regrets après un début aussi passionnant.
    brunocinoche
    brunocinoche

    96 abonnés 1 107 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 mai 2017
    Evocation non exhaustive du cinéma français pendant 3 heures qu'on ne voit pas passer tant les archives sont riches et les commentaires passionnants. Car, Tavernier, cinéphile depuis son plus jeune age nous donne son point de vue sur le cinéma français des années 40 (son enfance) aux années 70 (ses premiers longs métrages). Volontairement focalisé sur certains cinéastes, acteurs et même musiciens, Tavernier préfère prendre le temps d'évoquer en profondeur certaines personnalités qui l'ont marqué plutôt que de nous faire subir un défilé complet mais superficiel de tous les protagonistes essentiels de ces 4 décennies du cinéma français. On peut donc être surpris de voir Eddie Constantine cotoyer Jean Gabin ou Sacha cotoyer Renoir, mais c'est tout le charme de cet hommage qui ne nous impose les sempiternels icones du cinéma français. Un pur joyau pour les cinéphiles
    Christoblog
    Christoblog

    835 abonnés 1 684 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 mai 2017
    Difficile, lorsqu'on aime le cinéma, de ne pas être passionné (et ému) lorsque la voix gourmande de Bertrand Tavernier s'élève pour célébrer le septième art.

    Loin d'être une oeuvre à caractère encyclopédique, Voyage à travers le cinéma français est surtout une oeuvre autobiographique. Bertrand Tavernier s'y raconte, et y raconte l'histoire d'une cinéphilie, la sienne.

    On pourra certes glaner dans le film toute une série d'éléments factuels absolument passionnants (le portrait de Gabin est fascinant), mais la subjectivité extrême des choix réalisés révèle plus la personnalité de l'auteur qu'elle n'établit une hiérarchie des connaissances.

    Les monstres sacrés sont parfois sévèrement critiqués pour leur conduite en dehors du cinéma (Renoir n'est pas ménagé par exemple), alors que des quasi inconnus (Jean Sacha ?) apparaissent soudainement dans la lumière. Le film est donc délicieusement discrétionnaire.

    Le principal atout de Voyage se situe probablement dans cette vérité : Tavernier raconte sa cinéphilie, et ce faisant, il réveille en chacun de ses spectateurs cinéphiles la flamme qui nous porte inlassablement à nous asseoir dans les salles obscures. C'est à la fois beau, émouvant et instructif.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 096 abonnés 3 969 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 avril 2017
    Si j'étais déçu de n'avoir pas pu voir ce documentaire à sa sortie, je suis aussi un peu déçu par le film en lui-même. Je suis déçu car je trouve ça finalement peu cinématographique, je ne dis pas que ce n'est pas bien, mais ça reste une série d'extraits que commente Tavernier en retraçant sur parcours de cinéphile. Ces extraits sont accompagnés de tout un tas d'anecdotes, d'explications où l'on voit Tavernier (ou plutôt où l'on l'imagine) passer d'un cinéma à l'autre, d'un metteur en scène à l'autre et se faire finalement son petit nid dans le milieu.

    Sauf que 3h15 c'est long pour ça, c'est exactement ce que j'aurais pu imaginer comme format de série pour Arte, un truc qui passe tous les soirs après le journal et avant le film et qui se suit... Et l'autre bémol serait que je trouve les extraits plus intéressants que ce qu'il raconte dessus. Donc là il m'a donné envie de voir plein de films que je connaissais de nom, notamment certains Becker, Melville, Sautet, des films qui m'étaient inconnus comme ceux avec Eddie Constantine ou encore de revoir des films que j'ai déjà vu, notamment La grande illusion.

    Évidemment le film fourmille de petites anecdotes sympathiques, mais la sauce ne prend pas tout à fait, parce que oui, j'aime apprendre des choses sur le comportement d'untel ou d'untel, de savoir que Prévert est allé cherché Kosma pour mettre en musique une chanson qu'il a écrite pour un film de Renoir, mais finalement ça ne dépasse jamais vraiment la petite anecdote sympa... et 3h15 avec juste ça, encore une fois je trouve ça long.

    Alors oui, heureusement on a Tavernier qui explique ce qu'il aime chez tel ou tel réalisateur, il donne envie de voir plus de films de Becker, même si je ne suis pas tout à fait d'accord avec ce qu'il raconte sur l'intrigue d'Antoine et Antoinette qui pour moi plombe un peu le film, il a l’œil pour sortir ce qu'il faut retenir d'une séquence, d'une façon de mettre en scène... Et forcément ça marche mieux lorsqu'on a la scène devant soit pendant qu'il l'explique, on s'épargne pas mal de descriptions, ce qui permet au film d'être assez dynamique.

    Mais ce qui me pose finalement le plus problème, c'est que le film s'ouvre sur une citation de Godard, allant donc plus chercher la filiation avec Histoire(s) du cinéma qu'avec Scorsese qui si je ne m'abuse a aussi fait un film où il explore le cinéma de son pays. Sauf que Godard faisait quelque chose de ses extraits qui est déjà un peu plus innovant sur la forme et moins classique, mais qui était peut-être moins centré autour de lui, de sa vie, mais plus sur ses réflexions. Paradoxalement le film de Godard était divisé en plein de parties toutes autour d'un thème et pouvait donc être vu en plusieurs fois, mais était plus cinématographique, moins planplan en somme, que le film de Tavernier qui est à bouffer d'un coup (bon il annonce à la fin un second volet, on a évité le film de 6h).

    J'en attendais donc plus de la part de Tavernier, qui livre un film personnel, loin d'être mauvais, qui donne envie de voir des films où l'on apprend quelques petites choses, mais qui malheureusement manque un peu de substance, je reste sur ma faim, ça me semble léger et il faut bien le dire, un peu lisse.

    Reste que pendant le film j'étais entrain de me dire "ah il faut que je voie ça... et ça... et ça... ah et ça aussi", donc c'est déjà ça de pris.
    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    600 abonnés 2 530 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 mars 2017
    Comment mettre moins de 4 étoiles à de tels extraits ? Et comment ne pas remercier Bertrand Tavernier pour son travail ? Cela étant dit, les critiques étant permises, il est évident que le montage choisit ne peut pas plaire parfaitement à tout le monde… Ne parlons pas du choix qui appartient à Tavernier mais de la façon de les présenter. Pour ma part,'' j’eusse'' préféré retrouver les metteurs en scènes élus par l’intermédiaire des acteurs choisis. Une suite des femmes sans retour arrière, c’est à dire sans les revoir suivi de même par les hommes…Tous nos grands acteurs (trices) ayant tourné avec nos grands réalisateurs. Mais, tel que le film est monté j’attends déjà la suite avec gourmandise
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 5 août 2017
    Tatave est au soir de sa vie et il fait le bilan. spoiler: Le bilan de ce qu'il a aimé au cinéma quand il était adolescent, et en voyant tous les films de ces grands maitres il s'est dit "et si j'essayais, moi aussi, de devenir cinéaste." Il l'a fait avec les résultats qu'on connait, mais ce n'est pas le sujet ici. On sait que Tatave aime raconter, expliquer, répéter, dire et redire en usant de phrases, de para et de périphrases pour que rien ne nous échappe. Tatave, s'il n'avait pas fait de cinéma, aurait été maître de conférence, professeur de collège ou conteur au coin du feu, avec l'effet radical d'envoyer tout le monde au plumard en moins de cinq minutes. Dans ce film qui dure quand-même trois plombes, Tatave passe en revue tout un tas de films selon une sélection conforme à ce que devront présenter les archives comme "ce qu'il faut savoir du cinéma français par Bertrand Tavernier." Il a voulu faire une somme, Tatave, de ce qu'il est important de savoir. On l'imagine durant des heures à trier, classer, sélectionner, tout ce qu'il a archivé pendant ses années passées à regarder des films, afin de nous le ressortir sans rien oublier. On peut louer la mémoire exceptionnelle de Tatave entretenue à voir et revoir les films des autres, tout en essayant de faire aussi bien sans jamais y parvenir. Et Tatave raconte, raconte, raconte ... c'est fou ce qu'il aime raconter Tatave. Mais ... encore une fois, Tatave, je te le dis, je te le redis et ne suis pas le seul à te le dire : Tu nous ennuis. Tu nous ennuis parce que pour toi tout est merveilleux, tout est magnifique, tout est sublime, tout est grandiose, alors qu'on aurait aimé entendre ta hargne, ta mauvaise humeur, on aurait aimé que tu saupoudres ton exposé d'anecdotes vachardes, d'histoires singulières, de moqueries aussi, quitte à être de mauvaise foi. Ca aurait personnalisé ton film, ça lui aurait donné du caractère, mais de caractère tu n'as point Tatave. Tu es un universitaire, tu es un enseignant qui n'a pas compris que les meilleures leçons viennent de professeurs hauts en couleur. Toi, tu es en noir et blanc.
    Yves G.
    Yves G.

    1 498 abonnés 3 516 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 décembre 2016
    Bertrand Tavernier nous fait voyager à travers le cinéma français des années 30 à 70 : ses réalisateurs (Becker, Renoir, Carné, Melville, Sautet), ses acteurs (Gabin) mais aussi ses compositeurs (Jaubert, Kosma).

    Il y a deux manières d’accueillir ce documentaire fleuve de plus de trois heures – qui devrait trouver son prolongement dans une série télévisée de neuf heures.

    La première est l’admiration et l’enthousiasme. Ce sont les sentiments qui m’ont dominé pendant la projection. Admiration devant la cinéphilie encyclopédique de ce monstre sacré du cinéma français et enthousiasme devant la jubilation avec laquelle il nous fait partager sa passion, toujours bienveillante. On sort de ce voyage groggy par tant d’érudition, frustré de n’avoir pas noté chaque référence et impatient d’aller voir ou revoir tel ou tel film mentionné.

    La seconde, moins enthousiaste, vient plus tard, à la réflexion. Face à un documentaire qui hésite, sans jamais prendre son parti, entre le récit autobiographique et l’encyclopédie raisonnée. Face à un voyage qui laisse dans l’ombre quelques uns des plus grands réalisateurs de cette époque (pas un mot sur Clouzot, Bresson, Ophuls, Tati) et ne dit pas un mot des actrices. Face surtout à une approche très hexagonale du cinéma qui ne définit pas un seul instant en quoi ce cinéma là se distinguait de ceux des autres pays d’Europe et d’outre-Atlantique.
    Cine vu
    Cine vu

    145 abonnés 580 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 décembre 2016
    L’appétit et la gourmandise

    Dans l’assiette des curiosités, Tavernier a souvent pêché par gourmandise tant on sait sa cinéphilie.
    Le cinéaste a laissé une empreinte dans le cinéma français avec des films comme « Le juge et l’assassin », « Coup de torchon », « Un dimanche à la campagne » « Capitaine Conan », « La vie et rien d’autre » ou encore « L’appât » et « L627 » pour ne citer que mes préférés.

    Bertrand Tavernier, grand cinéaste est un grand cinéphile; on se fait le goût à la curiosité. Il avait déjà piqué la mienne il y a quelques années en me faisant découvrir Jean Devaivre et « La Dame d’onze heures ».

    Ici encore, il est passeur, simple, ordinaire, sans aucune grandiloquence ou analyse tarabiscotée -même en évoquant Godard.
    Il nous parle parfois de cinéastes méconnus, ou bien rend un touchant hommage à la musique de films à travers Maurice Jaubert.

    Car le cinéma c’est bien des aspects sous un film. Il évoque bien sûr aussi les scénaristes; Bost, Aurenche, Spaak ou l’inégalable Prévert.
    Il parle de Carné sous un angle intéressant. Revient sur une dithyrambe concernant Melville, puis ses fâcheries avec Belmondo et Ventura sur 2 de ses films majeurs: « Le Doulos » et « l’Armée des ombres ».

    Il y a surtout un vibrant hommage à Gabin, il nous rappelle ô combien l’immense comédien il fût, louant la subtilité et la densité de ses interprétations, même s’il y eut l’avant et l’après guerre.
    Il y a plein de choses dans ce film, les 3h10′ passent toutes seules, et il y aura un second opus; chouette !
    janus72
    janus72

    48 abonnés 270 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 août 2017
    Tout est dit dans le titre de ce superbe documentaire ciselé par un expert - amoureux du CINÉMA.
    Le film est un régal plein de charme mais aussi de petites histoires qui font que l'on ne voit jamais le temps passer avec ce long moment de plaisir.
    A quand la Suite Mr tavernier ?
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 24 novembre 2016
    Plus de trois heures qui passent à toute vitesse. Des années 1930 aux années 1960, Tavernier nous fait découvrir, par la magie des petits extraits mis bout à bout, tout le génie des grands réalisateurs français. Il nous accompagne avec une grande pédagogie et, surtout, nous donne envie d'en voir plus. La fin du documentaire annonce une seconde partie. On s'y précipitera !
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