Mon compte
    Marche à l'ombre
    Note moyenne
    3,3
    2501 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Marche à l'ombre ?

    133 critiques spectateurs

    5
    16 critiques
    4
    49 critiques
    3
    46 critiques
    2
    19 critiques
    1
    3 critiques
    0
    0 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 973 abonnés 12 478 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 mai 2016
    Premier long-mètrage et première rèussite en tant que metteur en scène pour l'acteur Michel Blanc! Tournè dans l'esprit du cafè-thèâtre, ce gros succès populaire de l'annèe 84 est devenu depuis sa sortie une comèdie incontournable du cinèma français, aux rèpliques cultes (« J'ai du mal à parler parce que j'ai les dents qui poussent ») et aux personnages attachants! Gèrard Lanvin et Michel Blanc nous amusent dans leurs petites galères et forment ici un tandem solidaire et inoubliable! Qui se laisse prendre au jeu de François, le ratè romantique, et de Denis, l'hypocondriaque, est largement rècompensè par la succession de gags dont certains sont hilarants comme la manche dans le mètro parisien ou les effets secondaires d’un joint! Les seconds rôles sont globalement bons et on peut regretter qu'une actrice comme Sophie Duez (avec des yeux verts à se pâmer) n'ait pas plus percè dans le cinèma! A noter la formidable chanson "New-York avec toi" du groupe Tèlèphone, incitant le spectateur à fredonner avec Jean-Louis Aubert...
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 443 abonnés 4 467 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 décembre 2016
    Une petite comédie sociale, très années 80 que Marche à l’ombre, film qui rappelle qu’à cette époque on s’intéressait beaucoup plus aux marginaux, aux gens de la rue, et qui sans atteindre le niveau d’Une époque formidable, est un film porté par le dynamisme de ses comédiens, et quelques moments de réalisme lucide sous l’humour.
    Le casting est attrayant. Le duo Lanvin-Blanc fonctionne bien, les deux interprètes s’avérant complices. Ok, ils ne trouvent pas des rôles spécialement originaux, Blanc jouant le petit râleur et un peu boulet et Lanvin le camarade débrouillard, séducteur et bagarreur, mais ce sont des rôles qu’ils prennent avec application, et ils parviennent à maintenir l’intérêt, entourer de seconds rôles parfois caricaturaux, mais assez représentatif en fait de la « faune » urbaine du temps ! Très belle Sophie Duez, et quelques guest de prestige, à l’instar de Patrick Bruel. Marche à l’ombre dispose de bons interprètes.
    Visuellement on évolue sur une comédie un peu grise, à l’ambiance urbaine froide et plutôt angoissante, ce qui rappelle aussi qu’on n’est pas uniquement dans une comédie mais aussi sur un film qui montre les ghettos, les hôtels miteux, et le quotidien quasi-clochard des héros (sans sombrer dans le misérabilisme pur et dur). La bande son, colorée nerveuse, mais sur laquelle on retrouve bien sûr le tube de Renaud apporte de la vigueur, tout en renforçant le propos du métrage. Blanc derrière la caméra signe aussi une mise en scène alerte et plaisant.
    Le scénario cherche donc à nous faire partager les mésaventures de deux comparses musiciens débarquant en ville. Entre tripot minable et ghettos noirs, jusque dans les couloirs du métro, le film se veut une aventure urbaine et une sorte d’ode à la débrouillardise. Parfois un peu vain et pas toujours aussi subtil qu’on aurait pu l’attendre, il n’en reste pas moins que Marche à l’ombre est un film vigoureux, qui va vite, très vite, et parvient à offrir des moments drôles et des moments plus graves avec une réelle efficacité. Ça manque un peu de volume en quelque sorte, mais ça a la fraicheur d’un premier film, et on sent que Blanc voulait dire quelque chose.
    En somme, je donnerai 3.5 à ce métrage, qui pour ma part a des mérites certains. Un de ces bons moments du cinéma français des années 80, et le genre de métrage qui manque aujourd’hui trop souvent, au profit de films sociaux-documentaires, pour ne pas dire docu-fiction, au propos souvent bourratif et d’un didactisme affligeant.
    Chris46
    Chris46

    517 abonnés 978 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 juillet 2014
    Marche a l'ombre sympathique comédie de michel blanc . C'est l'histoire de François ( gerard lanvin ) un musicien hors pair qui débarque dans le port de Marseille . il est bien décider a exploiter son talent et être repérer par les studios parisien . Il est accompagner par Denis ( michel blanc ) un ami qui est un hypocondriaque et un angoisser qui n'arrête pas de se plaindre . Tous les deux se rendent a Paris sans le sous et c'est pour eux le début des galères ...
    Michel blanc pour sa première réalisation signe une comédie très sympathique . Gerard lanvin est très bon dans le rôle de François ce routard qui aimerait percer dans la musique . Il forme un duo désopilant avec michel blanc excellent et hilarant dans le rôle de denis son pote qui est un véritable boulet car tout le temps angoisser et hypocondriaque qui se plaint sans arrêt . Leur duo fait des étincelles pour notre plus grand plaisir en nous offrant des dialogues savoureux hilarants et des moments cocasse . Tous les deux vont décider de monter a Paris pour que François puisse percer dans la musique mais sans un sous en poche sa va être le début des galères ou ils vont être embarquer dans une série de mésaventures hilarantes . Une comédie sympa avec son lot de scènes cocasse ( michel blanc qui fume un joint avec les effets secondaire qui vont avec ) et de répliques hilarante ( y'a ton copain qui dit qu'il est plus étanche ) . Une comédie qui remporta un très gros succès en 1984 avec plus de 6 millions d'entrées . La musique est cool et colle bien a l'ambiance du film . Même si ce film n'ai pas la comédie du siècle sa reste un bon divertissement ou l'on passe un bon moment .
    Stephenballade
    Stephenballade

    402 abonnés 1 239 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 janvier 2019
    "Marche à l’ombre" est le premier film de Michel Blanc en tant que réalisateur, accueilli par un peu plus de 6 millions de spectateurs. Quel succès ! Et pourtant… qui aurait cru retrouver ce comédien à la baguette, et en même temps le personnage le plus looser du cinéma français devenu l'étiquette de Michel Blanc ? Je vais peut-être vous l’apprendre, mais souvenez-vous : celui-ci avait marqué certains désaccords avec le reste de la troupe du Splendid à la veille de "Les bronzés font du ski". Ça remonte donc à la fin des années 70. Si je me fie aux dires d’un reportage récent sur la troupe, au départ il ne voulait pas apparaître dans le film. Pourquoi ? D’abord parce qu’il ne voyait pas l’utilité de tourner une suite à "Les bronzés", et ensuite parce qu’il ne la voyait pas aussi bonne. De plus, jouer l’éternel looser le fatiguait, d’autant qu’il vivait mal de se voir interpellé sans arrêt dans la rue en se faisant appeler Jean-Claude. Et donc contre toute attente, voilà "Marche à l’ombre". Sans aucun autre de ses compères du Splendid. Etonnant quand les premières répliques hument à plein nez le « made in Splendid ». Ah bah oui, vous apprendrez qu’une entorse peut s’infecter ou… gonfler à l’intérieur et non à l’extérieur. Admettons-le, il n’y a que Michel Blanc pour tenir de tels propos. Bingo ! C’est bien lui, de retour dans la peau du looser qui l’a rendu célèbre. A la différence près qu’il ne s’appelle plus Jean-Claude mais Denis… et qu’il n’est plus si looser que ça parce que contrairement à Jean-Claude, Denis parvient à conclure ! Ce qui ne change pas, c’est qu’il faut quand même se le farcir, et pour cela il fallait un bon ami. Un ami de bonne composition, parce qu’il faut se le fader à ce boulet et ce n'est rien de le dire. L’ami en question est incarné par un Gérard Lanvin volontaire, avec un côté un peu sans gêne pour échapper aux perpétuelles jérémiades de Denis. Le fait est que les deux acteurs forment un très bon duo en campant deux personnages unis dans la même galère malgré leurs différences. Bien entendu, je ne parle pas des différences physiques hein. Là-dessus il n’y a aucune comparaison possible, c’est le moins qu’on puisse dire. Mais disons que l’un pense davantage à lui qu’à son pote tandis que c’est l’inverse pour l’autre : il pense plus à son copain et à leur avenir. La preuve, c’est toujours le même qui se coltine les tâches les plus ingrates (aller voir Monsieur Christian, les montres…), toujours le même qui laisse la place quand son acolyte n’est pas seul, toujours le même qui se montre toujours prêt à écouter son compagnon de route, et j’en oublie sûrement. Bien qu’unis, ils forment un contraste (et qui semble confirmer que les opposés s’attirent) car l’autre tape bien l’incruste quand il ne peut pas passer la nuit au chaud et dans le plus grand des conforts, y compris dans les moments les plus embarrassants. Pauvre Michel Blanc… quand il parvient à conclure, il ne peut pas être tranquille ! Et quand il arrive à l’être, c’est pour calculer des conneries et se faire attaquer par des renards, épisode que lui-même a un peu de mal à raconter parce que… parce que… ben je ne dirai rien parce que c’est une réplique culte. Des répliques cultes, il y en a quelques-unes, effectivement. Et pour tous ceux qui connaissent ce film depuis sa sortie en 1984, c’est un amusement de s’en souvenir et de les placer en même temps que les personnages. Un peu comme pour les films de la troupe du Splendid, me direz-vous. Au-delà de ça, c’est un vrai plaisir de redécouvrir ce film, d’autant que vous pouvez toujours vous adonner à quelques petits défis supplémentaires tels que reconnaître Sophie Duez (ce n’est pas très difficile, elle n’a guère changé depuis ce qui est en fait son tout premier rôle) ou d’autres petits rôles comme Jean-François Derec et même encore d’autres qui font une apparition au prix d’un caméo : Patrick Bruel (facile aussi), Bernard Farcy (toujours la même coupe qu’on lui connait dans la saga "Taxi") et enfin François Berléand (là, ça va être plus dur). "Marche à l’ombre" se démarque aussi par sa musique, pour le moins très éclectique. Tout y passe, sauf peut-être l’opéra et la musique classique. Ainsi vous aurez droit au rock (par le groupe Téléphone), à la musique de cabaret en passant par les musiques africaines (avec en prime un super solo au saxo !) et irlandaises sans oublier, bien entendu, le titre de Renaud qui a d’abord servi à nommer l’album dont il a été extrait. Et avec ses titres, vous voyagerez de Marseille aux Etats-Unis, avec une grosse pause à Paris, tout ça sans ennui parce que tout est imprimé sur un bon rythme. Seule ombre véritable au tableau : comment arrivent-ils à changer d’horizon alors qu’ils n’ont pas le sou pour se payer l’hôtel ?
    bsalvert
    bsalvert

    418 abonnés 3 596 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 juin 2011
    La paire Lanvin/Blanc a bien marché pendant des années, ce film vous le prouve.
    Starwealther
    Starwealther

    78 abonnés 1 231 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 novembre 2012
    Un bon film de Michel Blanc où deux squatteurs survivent et galèrent mais qu'est ce que c'est drôle! Michel Blanc dans son rôle d'hypocondriaque est parfait. Comme dans les bronzés, il n'arrive jamais à conclure!!!!!
    bibialien
    bibialien

    38 abonnés 794 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 juillet 2014
    Grand classique des années 80, je l’ai re-revu hier et toujours aussi efficace
    Les répliques sont drôles et l’histoire touchante et gentillette
    A voir au moins une fois
    Sacha P
    Sacha P

    2 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 mars 2021
    Vu à 15 ans au ciné, rien que pour la musique du générique d'ouverture : le mythique "New York avec toi" de Téléphone. J'avais beaucoup aimé à cette époque et j'étais pas le seul, ce fut un triomphe. Aujourd'hui, il reste assez drôle mais pas tant que ça, les situations étant parfois assez dures et l'humour insufflé dans les dialogues pas toujours efficaces (malgré 2 ou 3 répliques qui tuent comme "j'ai les dents qui poussent" ou "t'as fermé la porte ? Parce que j'ai été attaqué par des renards"). Mais on sourit plus qu'on ne rit et au final, outre l'ode à l'amitié et à l'amour passion, on retient la dure réalité de ceux qui veulent devenir artistes en sacrifiant tout pour ça et se retrouvent, pour la plupart, crève la faim et gros galériens. Un constat bien triste au final. Film bien plus sombre qu'il n'y paraît donc. Sinon, amusant de voir des acteurs alors inconnus devenus célèbres aujourd'hui : Patrick Bruel, Bernard Farcy et François Berléand. Je terminerai en revenant sur le chanson de Téléphone, on croirait la chanson écrite pour le film, ou le scénario travaillé pour coller avec les paroles. Je serais curieux de savoir si c'est Aubert qui a écrit pour Blanc, ou Blanc qui s'est inspiré de sa chanson... Celle-ci et le film étant sortis à peu près en même temps.
    Michael78420
    Michael78420

    46 abonnés 1 463 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 juin 2024
    Entendre dans les premières minutes New York Avec Toi de Téléphone, et attendre patiemment que les héros rejoignent la grosse pomme. Dans l'intervalle on a le droit à une visite des endroits les plus sordides du Paris de 1984. Quarante ans plus tard, on espère que ces squats et hôtels miteux n'existent plus. Le duo Gérard Lanvin-Michel Blanc fonctionne à merveille. On suit ces deux loosers avec tendresse. Mention spéciale aussi pour Sophie Duez qui crève l'écran. A-t-elle dansé toute la chorégraphie que son personnage interprète ? Impossible de savoir ! À noter aussi une apparition furtive de Patrick Bruel, dont elle était danseuse sur un de ses titres. Le monde est petit ! À revoir avec plaisir.
    Chevtchenko2
    Chevtchenko2

    43 abonnés 1 227 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 octobre 2024
    Une comédie qui n’a pas si mal vieilli et qui peut facilement être transposable à notre époque. Le tandem Blanc-Lanvin fonctionne bien même si ce sont les répliques du premier qui font rire. Dommage que le scénario soit si mince mais fort heureusement le film ne s’étire pas inutilement en longueur. A voir bien évidemment même s’il ne fait pas hurler de rire.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    202 abonnés 2 521 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 décembre 2024
    Marche à l'ombre est une comédie très plaisante, porté par un duo Michel Blanc – Gérard Lanvin très convaincant.
    Pour le coup, le pitch tient sur un post-it : on suit un duo de potes dans la galère (pour se loger, se nourrir) à Paris.
    Le regretté Michel Blanc est impeccable et Gérard Lanvin est lui aussi très bien. L'amitié entre les deux personnages est touchante.
    L'humour marche très bien, notamment grâce aux punchlines de Michel Blanc, particulièrement mémorables.
    C'est plutôt réussi.
    gregbox51
    gregbox51

    40 abonnés 1 035 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 novembre 2019
    On prend vraiment plaisir à suivre les tribulations de ces 2 toccards admirablement bien interprétés et 30 minutes de plus auraient été bienvenues pour clore décemment cette aventure..
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    705 abonnés 3 066 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 janvier 2024
    Marche à l’ombre prolonge l’itinérance de Viens chez moi, j’habite chez une copine (Patrice Leconte, 1981) en l’ancrant davantage dans un discours social : les lieux traversés dessinent une cartographie de la marginalité, depuis les ports où débarquer jusqu’aux squats, quais de métro et parkings souterrains, en passant par les hôtels miteux et la rue. Pour autant, nos deux bourlingueurs affrontent la misère sans se plaindre ni se décourager, et le film mute en éloge de la persévérance. Michel Blanc utilise la danse et la musique, notamment le jazz, comme une métaphore de cette reconquête du corps sur un espace de prime abord hostile ; nul hasard si les salles de Broadway apparaissent en clausule, terre promise aux artistes en exil. L’intelligence du propos bénéficie de la photographie magnifique d’Eduardo Serra, fidèle de Patrice Leconte et de Claude Chabrol. La mise en scène demeure néanmoins plus illustrative que significative, peinant à rythmer un récit assez redondant sans que ce piétinement ne participe d’un portrait de groupe – à la différence de Viens chez moi, j’habite chez une copine, qui disposait d’une belle complicité entre ses personnages.
    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    215 abonnés 2 868 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 novembre 2019
    Un film social et un buddy réussit. Sans une ride, le duo est toujours aussi percutant et tendre. A voir et à revoir.
    Akamaru
    Akamaru

    3 135 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 décembre 2010
    Une sympathique comédie française des années 80,qui allie tendresse désarmante et humour décapant,selon les vertus d'un Michel Blanc acteur et réalisateur,tout juste échappé des délires collégiaux du Splendid."Marche à l'ombre",exempt de toute scène superflue,conte les déambulations de 2 marginaux à travers Paris.Obligés de faire la manche dans le métro,de voler au supermarché et de squatter dans des hôtels miteux et menaçants,les 2 compères vivent de débrouilles et de l'indéfectible espoir d'une vie meilleure.C'est ainsi que Blanc évite le scabreux,pour préférer un hymne à l'amitié et à la solidarité.Il joue lui-même le défaitiste angoissé,rôle qu'il a maintes fois eu,mais qui trouve ici tout son sens.Gérard Lanvin,lui,est un musicien un peu fleur-bleue,indécrottable optimiste qui porte à bout de bras son ami hypocondriaque.Le duo se complète parfaitement.On sent l'alchimie et le respect entre ces 2 acteurs.Rythmé par le musique de Téléphone et de Renaud,le film balançe ses répliques cinglantes et ses situations hilarantes sans temps mort,faisant sourire malgré la gravité du sujet.Un divertissement qui ne vieillit pas.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top