Bientôt les jours heureux (I tempi felici verranno presto) : Critique presse
Bientôt les jours heureux (I tempi felici verranno presto)
Note moyenne
3,0
11 titres de presse
Libération
Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
Critikat.com
L'Obs
La Septième Obsession
Le Monde
Télérama
Cahiers du Cinéma
Positif
Première
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Libération
par Jérémy Piette
Coupé en deux, le second film d’Alessandro Comodin est un superbe conte morcelé où traqueurs et traqués se mêlent dans une sensualité moite.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Un cauchemar discontinu, où les amateurs de films de scénario trouveront qu’il ne se passe rien, mais où, sur le plan des sensations, il se passe à l’évidence quelque chose.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
L’art bifide de Comodin est finalement assez limpide : le fantastique réside dans les ellipses et agencements de la dramaturgie alors que la mise en scène, le traitement de l’image, demeurent de facture quasi documentaire.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Critikat.com
par Nicola Brarda
Les jours heureux correspondent peut-être (un mystère plane sur le titre) à ces instants passés hors du monde : mais si la forêt apparaît comme un refuge, elle engloutit également les imprudents qui s'y aventurent.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Le cinéma d’Alessandro Comodin est encore trop théorique, mais il exhale de troublants mystères et stimule l’imaginaire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Morgan Pokée
L’aventure mystérieuse de tous ces personnages, dont le découpage poétique renvoie aussi bien à Bresson qu’à Weerasethakul, sera empreinté d’une belle audace poétique.
Le Monde
par Isabelle Regnier
Présenté en 2016 à la Semaine de la critique à Cannes, Bientôt les jours heureux se déroule là où les contes trouvent leur origine, là où se croisent les histoires d’enfants perdus, de princesses endormies, de beaux chevaliers et de grands méchants loups.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Jacques Morice
Jalonné de métaphores (sur le désir, la peur ou l'attrait de l'inconnu), le film est un étrange jeu de piste, entre réalité et conte, documentaire et ballet. Avec le minimum, en peu de mots, le cinéaste fait entrevoir et palpiter, à travers le destin de gens ordinaires, des personnages de légende.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Cette composition a priori ouverte au jeu de l’interprétation et à la sensualité de ses fragments (…) présume quelque peu de ses pouvoirs d’évocation et ne laisse au fond pas grande impression.
Positif
par Bernard Génin
Impossible de résumer ce nouveau film, qui débute avec deux détenus fuyant la nuit dans les bois. Tout ce qui était solaire autrefois est passé au noir de charbon, scénario inclus.
Première
par Christophe Narbonne
Passé la première partie, intrigante, on s’ennuie ensuite ferme tant la multiplication des formes de récit (fiction naturaliste, documentaire, concept art) finit par nous faire lâcher prise.
Libération
Coupé en deux, le second film d’Alessandro Comodin est un superbe conte morcelé où traqueurs et traqués se mêlent dans une sensualité moite.
Les Fiches du Cinéma
Un cauchemar discontinu, où les amateurs de films de scénario trouveront qu’il ne se passe rien, mais où, sur le plan des sensations, il se passe à l’évidence quelque chose.
Les Inrockuptibles
L’art bifide de Comodin est finalement assez limpide : le fantastique réside dans les ellipses et agencements de la dramaturgie alors que la mise en scène, le traitement de l’image, demeurent de facture quasi documentaire.
Critikat.com
Les jours heureux correspondent peut-être (un mystère plane sur le titre) à ces instants passés hors du monde : mais si la forêt apparaît comme un refuge, elle engloutit également les imprudents qui s'y aventurent.
L'Obs
Le cinéma d’Alessandro Comodin est encore trop théorique, mais il exhale de troublants mystères et stimule l’imaginaire.
La Septième Obsession
L’aventure mystérieuse de tous ces personnages, dont le découpage poétique renvoie aussi bien à Bresson qu’à Weerasethakul, sera empreinté d’une belle audace poétique.
Le Monde
Présenté en 2016 à la Semaine de la critique à Cannes, Bientôt les jours heureux se déroule là où les contes trouvent leur origine, là où se croisent les histoires d’enfants perdus, de princesses endormies, de beaux chevaliers et de grands méchants loups.
Télérama
Jalonné de métaphores (sur le désir, la peur ou l'attrait de l'inconnu), le film est un étrange jeu de piste, entre réalité et conte, documentaire et ballet. Avec le minimum, en peu de mots, le cinéaste fait entrevoir et palpiter, à travers le destin de gens ordinaires, des personnages de légende.
Cahiers du Cinéma
Cette composition a priori ouverte au jeu de l’interprétation et à la sensualité de ses fragments (…) présume quelque peu de ses pouvoirs d’évocation et ne laisse au fond pas grande impression.
Positif
Impossible de résumer ce nouveau film, qui débute avec deux détenus fuyant la nuit dans les bois. Tout ce qui était solaire autrefois est passé au noir de charbon, scénario inclus.
Première
Passé la première partie, intrigante, on s’ennuie ensuite ferme tant la multiplication des formes de récit (fiction naturaliste, documentaire, concept art) finit par nous faire lâcher prise.