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"Vendeur" nous immerge dans un milieu rude et sans pitié où seule la commande finale compte. Gilbert Melki est saisissant dans un rôle de champion de la vente en fin de carrière.
Sylvain Desclous, grâce, en partie, à son acteur principal, l’attachant Gilbert Melki, a retrouvé le secret d’un cinéma humain et familier dont Claude Sautet était le virtuose.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Sylvain Desclous est à son affaire. (...) Il livre ici un film dans lequel la psychologie des protagonistes est aussi importante que ce qui leur arrive. Sa réalisation est fluide, rythmée par les pérégrinations de Serge.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
En dépit de quelques scènes répétitives, Sylvain Desclous rend cinématographique un décor fait de zones commerciales, de parkings et de routes. Il apporte aussi une émotion et une identité propres à ce premier film réussi.
Sylvain Desclous filme avec une sensibilité âpre et un grand sens du cadre ce paysage où des hommes au bout du rouleau font semblant d’être heureux. S’ajoute un sujet fort : une filiation qui ne va pas de soi, où l’amour s’exprime en mettant l’autre à l’écart.
Pudique et efficace, servi par un duo (et même un trio car l’intervention de Sara Giraudeau, si courte soit-elle, est à ne pas négliger) d’acteurs talentueux et un scénario ambitieux, cette première œuvre prouve que le cinéma français n’a pas fini de nous surprendre et de nous séduire.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Sans prétendre rendre compte d’une profession, Sylvain Desclous dresse deux beaux portraits de vendeurs aptes à déployer leurs talents de comédiens pour ensorceler leurs clients.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Avec ses ellipses étranges, ses personnages qui disparaissent, ses infos manquantes, "Vendeur" paraît un peu rafistolé mais ose le pari de fabriquer autour de cette vie de commercial franchement déprimante un improbable climat de jet-set quasi prolétaire (…), livrant un constat social et humain d’une grande amertume.
Si "Vendeur" est accrocheur, c'est surtout grâce à un pro : Gilbert Melki, trop peu vu ces derniers temps, qui donne à son personnage un blues, presque un mystère, plus sexy que pathétique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Avec le personnage de Serge (...) Gilbert Melki réussit une création spectaculaire et émouvante. Peut-être ébloui par cette créature, le réalisateur a pensé qu’un monde ordinaire, fait de ficelles mélodramatiques et de plans larges sur des paysages postindustriels, lui suffirait.
Franceinfo Culture
"Vendeur" nous immerge dans un milieu rude et sans pitié où seule la commande finale compte. Gilbert Melki est saisissant dans un rôle de champion de la vente en fin de carrière.
L'Humanité
Sylvain Desclous, grâce, en partie, à son acteur principal, l’attachant Gilbert Melki, a retrouvé le secret d’un cinéma humain et familier dont Claude Sautet était le virtuose.
L'Obs
Gilbert Melki est éblouissant. On se demande pourquoi le cinéma français ne fait pas plus souvent appel à lui.
Le Dauphiné Libéré
Un sujet social intéressant, que Sylvain Desclous traite de façon froide à travers les relations conflictuelles entre un père et un fils.
Le Figaroscope
Sylvain Desclous est à son affaire. (...) Il livre ici un film dans lequel la psychologie des protagonistes est aussi importante que ce qui leur arrive. Sa réalisation est fluide, rythmée par les pérégrinations de Serge.
Le Journal du Dimanche
En dépit de quelques scènes répétitives, Sylvain Desclous rend cinématographique un décor fait de zones commerciales, de parkings et de routes. Il apporte aussi une émotion et une identité propres à ce premier film réussi.
Studio Ciné Live
La talent de Desclous tient ici dans sa capacité à raconter un milieu de l'intérieur.
Sud Ouest
Sylvain Desclous filme avec une sensibilité âpre et un grand sens du cadre ce paysage où des hommes au bout du rouleau font semblant d’être heureux. S’ajoute un sujet fort : une filiation qui ne va pas de soi, où l’amour s’exprime en mettant l’autre à l’écart.
Télé 7 Jours
En état de grâce, le comédien habite ce premier film brillant d'un cinéaste à suivre.
aVoir-aLire.com
Pudique et efficace, servi par un duo (et même un trio car l’intervention de Sara Giraudeau, si courte soit-elle, est à ne pas négliger) d’acteurs talentueux et un scénario ambitieux, cette première œuvre prouve que le cinéma français n’a pas fini de nous surprendre et de nous séduire.
La Croix
Sans prétendre rendre compte d’une profession, Sylvain Desclous dresse deux beaux portraits de vendeurs aptes à déployer leurs talents de comédiens pour ensorceler leurs clients.
La Voix du Nord
Gilbert Melki s’investit sans compter dans ce téléfilm sans surprise.
Les Inrockuptibles
Avec ses ellipses étranges, ses personnages qui disparaissent, ses infos manquantes, "Vendeur" paraît un peu rafistolé mais ose le pari de fabriquer autour de cette vie de commercial franchement déprimante un improbable climat de jet-set quasi prolétaire (…), livrant un constat social et humain d’une grande amertume.
Positif
Avec son humour noir et son atmosphère indécise, un film qui, dans ses meilleurs moments, témoigne d'une certaine singularité.
Télérama
Si "Vendeur" est accrocheur, c'est surtout grâce à un pro : Gilbert Melki, trop peu vu ces derniers temps, qui donne à son personnage un blues, presque un mystère, plus sexy que pathétique.
L'Express
Ce "Vendeur" manque trop souvent de cinéma, pêche par un scénario trop droit... mais il ya Gilbert.
Le Monde
Avec le personnage de Serge (...) Gilbert Melki réussit une création spectaculaire et émouvante. Peut-être ébloui par cette créature, le réalisateur a pensé qu’un monde ordinaire, fait de ficelles mélodramatiques et de plans larges sur des paysages postindustriels, lui suffirait.
Le Parisien
Une intrigue bradée.