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Plus un reboot qu'un nouveau chapitre à part entière, cet épisode rejoue les séquences les plus marquantes de la saga avec brio, sans toutefois trouver de tonalité distinctive.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
C’est avec un plaisir intense que l’on retrouve Matt Damon à l’affiche d’un nouvel épisode de la saga Jason Bourne. Malgré quelques faiblesses scénaristiques, ce 4e opus remplit aisément sa tâche et offre un thriller moderne et percutant.
La critique complète est disponible sur le site Gala
C'est du cinoche d'espionnage solide, avec un Matt Damon de plus en plus "ramboïsé", un Tommy Lee Jones tout en duplicité suave et paternalisme rugueux, et une intrigue post-Snowden qui débute en pleine manif dans les rues d'Athènes et se termine lors d'une ahurissante séquence de destruction massive en Hummer dans le temple du capitalisme, Las Vegas.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
L’agent amnésique n’a rien perdu de son instinct de survie. Ce qui donne un film solidement efficace, à l’image d’un Matt Damon un peu épaissi, mais qui mène sa quête identitaire avec le talent explosif qui fait les bons films d’action.
L'intrigue est volontairement simple mais efficace au maximum et elle est le prétexte à un thriller haletant qui mélange d'incroyables scènes d'action aux quatre coins de la planète et s'achève à Las Vegas, dans une remarquable course-poursuite façon « Bullitt », à la puissance mille.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
La franchise “Bourne” renaît, reconfigurée en pur film d'action. Ce qu'elle perd en intérêt narratif, elle le gagne en pure efficacité. Un divertissement basique mais de grande classe.
Après avoir cédé la place à Jeremy Renner le temps d'un film, Matt Damon rendosse le costume de l'assassin amnésique formaté par la CIA pour un volet plus haletant et prenant encore que ses prédécesseurs. Le meilleur film de la saga, dirigé une nouvelle fois par Paul Greengrass.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Scènes de combats à mains nues spectaculaires, courses poursuite endiablées et de fait, beaucoup de tôle froissée, ponctuent ce film sombre au rythme effréné.
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
Blockbuster au ton fougueux et aux formes rugueuses, et donc atypique dans le monde délavé d’Hollywood, le reboot de Jason Bourne est un thriller d’espionnage high-tech, sans le modernisme clinquant du tout-venant actuel, intrinsèquement surexcité et farouche, aux séquences d’action particulièrement intenses (...).
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Paul Greengrass et Matt Damon en font trop sur le terrain de l’action mais compensent avec un propos souvent passionnant sur l’héroïsme et le patriotisme.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Paul Greengrass est le maître de la situation, aux commandes d’une caméra nerveuse, et d’un montage au cutter, qui dynamitent les scènes d’action, au service d’un thriller bluffant.
Une cinquième énigme pour relancer l’intérêt, la quête d’identité et de vérité de Jason Bourne, qui va croiser le chemin du redoutable Vincent Cassel. Efficace.
L'intrigue tente de confronter le héros aux désordres contemporains. En vain. C'est dans le registre de l'action pure que Paul Greengrass et Matt Damon démontrent l'infaillibilité du super-agent.
Les deux cents, trois cents, cinq cents voitures qui explosent à Las Vegas, lors de l'ultime poursuite, finissent, en revanche, par lasser. On préfère suivre, au calme, l'ascension, au sein de la CIA, d'une Eve à la Mankiewicz (Alicia Vikander), dont Jason Bourne, pas dupe, se méfie déjà..
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La sempiternelle traque de Jason Bourne par un grand patron de la CIA (Tommy Lee Jones, qu’on a connu plus inspiré) secondé de la très ambitieuse responsable de la cybersécurité (formidable Alicia Vikander, ambiguë à souhait) finit par être quelque peu lassante. Les scénaristes auraient-ils aussi besoin de congés ?
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Alicia Vikander sort du lot et transfuse un peu de salutaire ambiguïté à ce blockbuster bourrin filmé de très près et de fébrile manière par un réalisateur pas gêné de dispenser son implacable savoir-faire au service de la plus inepte des vacuités.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Centre névralgique de l’action dans les épisodes précédents, Bourne se retrouve à courir mollement un lièvre dans un film qui en court non moins mollement un autre. Si leur point de jonction occasionne des scènes d’action en revanche toujours aussi bien charpentées, le résultat global n’en semble pas moins tiré par les cheveux et la franchise notablement banalisée.
Jamais le passé n’a paru si douloureux, si lourd. Et il pèse de tout son poids sur cette prolongation fatiguée de la série qui, à trop peu se soucier d’incarner ses enjeux comme contaminés par la virtualisation des échanges, nous abandonne à notre nostalgie des temps innocents de l’amnésie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
La débauche de ferraille façon destruction porn du finale à Las Vegas, pas plus que le maquillage vaguement politique (le début à Athènes) ne cachent la réalité de cette compile en quête de sang neuf : Matt Damon empâté, Paul Greengrass dépassé, Jason Bourne enterré.
Ecran Large
Plus un reboot qu'un nouveau chapitre à part entière, cet épisode rejoue les séquences les plus marquantes de la saga avec brio, sans toutefois trouver de tonalité distinctive.
Elle
Matt Damon ne se ménage pas. Les courses-poursuites, même pas peur !
GQ
Ce nouveau Jason Bourne s’avère un des films d’action les plus efficaces, et surtout les plus intelligents de ces dernières années.
Gala
C’est avec un plaisir intense que l’on retrouve Matt Damon à l’affiche d’un nouvel épisode de la saga Jason Bourne. Malgré quelques faiblesses scénaristiques, ce 4e opus remplit aisément sa tâche et offre un thriller moderne et percutant.
L'Obs
C'est du cinoche d'espionnage solide, avec un Matt Damon de plus en plus "ramboïsé", un Tommy Lee Jones tout en duplicité suave et paternalisme rugueux, et une intrigue post-Snowden qui débute en pleine manif dans les rues d'Athènes et se termine lors d'une ahurissante séquence de destruction massive en Hummer dans le temple du capitalisme, Las Vegas.
Le Dauphiné Libéré
L’agent amnésique n’a rien perdu de son instinct de survie. Ce qui donne un film solidement efficace, à l’image d’un Matt Damon un peu épaissi, mais qui mène sa quête identitaire avec le talent explosif qui fait les bons films d’action.
Le Figaro
Un épisode vigoureux, énergique, dans lequel Greengrass montre le plaisir du gamin qui adore casser des jouets.
Le Parisien
L'intrigue est volontairement simple mais efficace au maximum et elle est le prétexte à un thriller haletant qui mélange d'incroyables scènes d'action aux quatre coins de la planète et s'achève à Las Vegas, dans une remarquable course-poursuite façon « Bullitt », à la puissance mille.
Les Fiches du Cinéma
La franchise “Bourne” renaît, reconfigurée en pur film d'action. Ce qu'elle perd en intérêt narratif, elle le gagne en pure efficacité. Un divertissement basique mais de grande classe.
Metro
Pas une seconde de répit pour le spectateur qui, grâce à Jason Bourne, se prend un quatrième uppercut.
Studio Ciné Live
(...) Matt Damon, toujours impéprial. Après "Jason Bourne : l'héritage" vite oublié, voilà la sage remise dans le sens de la marche.
TF1 News
Après avoir cédé la place à Jeremy Renner le temps d'un film, Matt Damon rendosse le costume de l'assassin amnésique formaté par la CIA pour un volet plus haletant et prenant encore que ses prédécesseurs. Le meilleur film de la saga, dirigé une nouvelle fois par Paul Greengrass.
Télé 2 semaines
Scènes de combats à mains nues spectaculaires, courses poursuite endiablées et de fait, beaucoup de tôle froissée, ponctuent ce film sombre au rythme effréné.
aVoir-aLire.com
Blockbuster au ton fougueux et aux formes rugueuses, et donc atypique dans le monde délavé d’Hollywood, le reboot de Jason Bourne est un thriller d’espionnage high-tech, sans le modernisme clinquant du tout-venant actuel, intrinsèquement surexcité et farouche, aux séquences d’action particulièrement intenses (...).
CinemaTeaser
Paul Greengrass et Matt Damon en font trop sur le terrain de l’action mais compensent avec un propos souvent passionnant sur l’héroïsme et le patriotisme.
Franceinfo Culture
Paul Greengrass est le maître de la situation, aux commandes d’une caméra nerveuse, et d’un montage au cutter, qui dynamitent les scènes d’action, au service d’un thriller bluffant.
L'Express
C'est fatigant, mais il y a du boulot. Le film se regarde sans déplaisir, mais ne met pas la barre aussi haut que "La Mort dans la peau".
Le Journal du Dimanche
Une cinquième énigme pour relancer l’intérêt, la quête d’identité et de vérité de Jason Bourne, qui va croiser le chemin du redoutable Vincent Cassel. Efficace.
Les Inrockuptibles
Le quatrième épisode de la saga d'espionnage opère un retour aux origines du héros. Avec une fascinante capacité à intégrer notre monde virtuel.
Ouest France
L'intrigue tente de confronter le héros aux désordres contemporains. En vain. C'est dans le registre de l'action pure que Paul Greengrass et Matt Damon démontrent l'infaillibilité du super-agent.
Paris Match
Speedé, sans temps mort, ce divertissement à la réalisation efficace, mais sans âme, se laisse voir. Puis oublier...
Positif
Nous admirons toujours Paul Greengrass et Matt Damon, mais on sait qu'ils ont mieux à faire que ce blockbuster irréprochable et creux.
Première
Le résultat est un peu étrange : toujours aussi efficace et percutant, le film ressemble à un spectre revenant hanter une autre époque.
Télé 7 Jours
Côté scénario, on a connu plus sophistiqué. Reste une course-poursuite très haut de gamme avec Vincent Cassel dans la peau d'un méchant XXL.
Télérama
Les deux cents, trois cents, cinq cents voitures qui explosent à Las Vegas, lors de l'ultime poursuite, finissent, en revanche, par lasser. On préfère suivre, au calme, l'ascension, au sein de la CIA, d'une Eve à la Mankiewicz (Alicia Vikander), dont Jason Bourne, pas dupe, se méfie déjà..
Voici
Efficace, mais sans plus.
Critikat.com
Un comeback qui confond scénario avec cahier des charges, écriture avec resucée d’une formule obsolète.
L'Humanité
C’est toujours haletant, mais la mécanique tourne à vide.
La Croix
La sempiternelle traque de Jason Bourne par un grand patron de la CIA (Tommy Lee Jones, qu’on a connu plus inspiré) secondé de la très ambitieuse responsable de la cybersécurité (formidable Alicia Vikander, ambiguë à souhait) finit par être quelque peu lassante. Les scénaristes auraient-ils aussi besoin de congés ?
La Voix du Nord
Alicia Vikander sort du lot et transfuse un peu de salutaire ambiguïté à ce blockbuster bourrin filmé de très près et de fébrile manière par un réalisateur pas gêné de dispenser son implacable savoir-faire au service de la plus inepte des vacuités.
Le Monde
Centre névralgique de l’action dans les épisodes précédents, Bourne se retrouve à courir mollement un lièvre dans un film qui en court non moins mollement un autre. Si leur point de jonction occasionne des scènes d’action en revanche toujours aussi bien charpentées, le résultat global n’en semble pas moins tiré par les cheveux et la franchise notablement banalisée.
Libération
Jamais le passé n’a paru si douloureux, si lourd. Et il pèse de tout son poids sur cette prolongation fatiguée de la série qui, à trop peu se soucier d’incarner ses enjeux comme contaminés par la virtualisation des échanges, nous abandonne à notre nostalgie des temps innocents de l’amnésie.
Cahiers du Cinéma
La débauche de ferraille façon destruction porn du finale à Las Vegas, pas plus que le maquillage vaguement politique (le début à Athènes) ne cachent la réalité de cette compile en quête de sang neuf : Matt Damon empâté, Paul Greengrass dépassé, Jason Bourne enterré.