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    La Sapienza
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    Jmartine
    Jmartine

    169 abonnés 677 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 mars 2015
    La sapience, c’est le savoir qui conduit à la sagesse, la Sapienza c’est un film magnifique de Eugène Green, à la beauté limpide, que ce soit dans les décors, la photographie de Raphaël O’Byrne, les paysages du lac Majeur et de Stresa, et bien entendu la Rome Baroque de Borromini et du Bernin, sans oublier la lumineuse beauté de Aliénor (Christelle Prot Landman, une découverte pour moi) et la musique de Monteverdi. Alexandre est un architecte confirmé qui vient de recevoir la reconnaissance de ses pairs mais est un peu désabusé, sa femme Aliénor, psychosociologue doute aussi de son travail. Le couple est usé…Alexandre décide de partir en Italie sur les traces de Borromini, son inspiration, auquel il veut consacrer un ouvrage…Aliénor l’accompagne. A Stresa, sur les bords du lac, ils croisent un jeune couple, dont la jeune femme fait un malaise…c’est le frère et la sœur. Le frère Goffredo qui vient d’avoir son bac projette des études d’architecture à Venise. Sa sœur Lavinia souffre de langueur (madame Bovary est d’ailleurs son livre de chevet). A partir de cette rencontre bien improbable, les couples se recomposent. Aliénor veut rester auprès de Laviana (qui a pourtant une mère), Alexandre non sans réticence accepte sous la pression de Aliénor de prendre Goffredo avec lui…une partie du film suit l’architecte confirmé et le postulant sur les traces de Borromini, promenade envoûtante et d’apprentissage mutuel dans la Rome Baroque, l’autre la « guérison » de Laviana au contact d’une Aliénor bienveillante, sur les rives du lac. Tous ont des fêlures anciennes qui ressortent et se guérissent au contact de l’autre…le couple usé puisant la renaissance de sa passion de la pureté et les idées simples de la jeunesse. Au début il n’est pas facile d’entrer dans le film, diction emphatique à l’ancienne, plans statiques, hiératisme des postures…images grises d’un Paris dévoré par le béton et l’automobile…pour mieux apporter le contraste de la lumière du lac Majeur ou de la Rome baroque… à partir de là, on se laisse porter par la beauté et la lumière … et Monteverdi…Si, comme moi, vous aimez Rome, allez le voir !!!
    lancelo25
    lancelo25

    34 abonnés 78 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 avril 2015
    Je pensais qu’on était en période de crise que l’on ne pouvait évidemment pas prêter un centime à un « réalisateur » pour un film :
    -Aux dialogues risibles et grotesques à l’insu des « acteurs »
    -Aux acteurs qui n’en sont pas, dont chaque parole sonne faux (l’actrice française est particulièrement gratinée)
    -Au scénario plus que léger et aux rapports humains aseptisés
    Mais si !! Cela peut donc laisser de l’espoir à plein de gens…
    L’intérêt du film se résume en un soupçon d’histoire sur deux architectes de la Renaissance italienne et les images de leurs créations qui nous gardent les yeux ouverts.
    Dans la petite salle où j’étais 6 à 8 personnes sont parties durant la 1ère demi-heure, un de mes voisins ronflait et je me suis moi-même laissé aller à dormir devant cette bouse soporifique.
    mem94mem
    mem94mem

    119 abonnés 577 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 mars 2015
    Le film apparaît moitié comme une fiction, moitié comme un documentaire sur l'architecture italienne. C'est magnifiquement filmé. Le scénario est réduit à des personnages qui se cherchent, errent. Le verbe est beau, la diction théatrale et souvent les acteurs regardent la caméra (je déteste cela). J'ai eu du mal à rentrer dans le film, mais j'ai trouvé les personnages sympathiques et attachants. Surtout, plus le film avançait et plus il me plaisait, dans une lente séduction. Je découvre le cinéma d'Eugène Green, magnifique, rare et élitiste.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 12 novembre 2016
    Art et essai, comme on dit. Je ne devais pas avoir tellement envie de me casser la tête quand je l'ai vu car le propos du film en lui-même a provoqué pas mal d'indifférence de ma part. D'ailleurs d'une manière générale, les discours paraboliques et métaphores appuyées...bof. En revanche, la beauté et le bon goût s'effaçant tous les jours un peu plus dans notre monde moche et vain et ultrarapide, j'ai gouté comme un nectar le rythme mais surtout les images de ce film, dont le réalisateur possède un sens esthétique incontestable. Certes, l'architecture de la Renaissance italienne est belle, encore faut-il savoir le montrer. Les acteurs qui récitent leur texte ? Un faux problème dans ce genre de film.
    César D.
    César D.

    37 abonnés 616 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 mars 2015
    ce film ressemble plus à un cours sur l'architecture italienne (enfin, surtout d'un architecte, mais ça me barbait, alors je ne me souviens même pas de son nom), qu'à une fiction. l'histoire n'a que peut d'intérêt et est de toute façon bien mince (d'où, peut-être cette avalanche de faits architecturaux pour combler le vide?) et ne parlons même pas de l'interprétation! c'est si figé et théâtral que ça en renforce encore plus l'artificialité de l'ensemble. à moins d'aimer vous ennuyer, je vous conseille de voir autre chose.
    Agnes N.
    Agnes N.

    4 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 mars 2015
    Plus qu'un film, parce que ce qu'on y apprend nous accompagnera toujours et fait entrer un peu de clarté dans ce que l'on pressent du monde dans lequel on vit. Et si la lenteur permettait une vraie présence, la diction si particulière finissait par épanouir véritablement nos oreilles lesquelles reçoivent enfin un texte des dialogues qu'elles veulent à tout prix retenir. Et si l'on avait oublié comment voire ces belles choses qui jalonnent notre vieille Europe, ces pièces d'architecture qui ne nous parlent plus, Ce film nous redonne des yeux soudain animés parce qu'ils saisissent et transportés, réchauffés par cette belle lumière. Et si ce film nous rappelait le sens pour lequel nous nous sommes toujours battu et nous rappelant que nous avons tous la dimension en nous qui nous permet de comprendre et d'agir en ce monde.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 27 mars 2015
    Ce film plaira aux snobs, qui pourront discuter à loisir de la qualité de la photo, du parallèle entre l,architecture et l'histoire, entre la symétrie des prises de vue et celle des récits.. En fait, pour le spectateur de base ce film est plutôt rasoir. La finalité du film, c'est une morale à deux balles, la réconciliation avec soi et avec les autres passe par l'amour et la lumière,qui permettent de se libérer des fantômes du passé. .. .. Ouahh trop fort ! Super original en plus. ..
    Dans les années 70 80, ce type de traitement des personnages était nouveau mais là, c'est du déjà vu depuis longtemps. ..et la vague n'est plus nouvelle. ..
    Le vrai problème est problème la forme ne sert pas le fond, au contraire. .. Le film est glacial, il n'y a aucune émotion, même l'émotion esthétique est stérilisée par ce traitement , malgré des magnifiques vues d'Italie ' malgré la sublime bande son .
    Alors raconter comment ces personnages réussissent à se libérer et entrer dans l'amour et la lumière sans qu'ils ne semblent ressentir quoi que ce soit , et sans que le spectateur ne soit pris dans l'histoire, ce n'est pas convainquant. ..
    Mais 1 étoile quand même pour la visite guidée de l'Italie si bien filmée ...
    poet75
    poet75

    276 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 mars 2015
    Quelques plans d'architecture baroque italienne accompagnés du "Magnificat" de Monteverdi et nous voilà d'ores et déjà invités, dès l'ouverture de ce film, à nous mettre en quête de beauté et de lumière. Le temps, cependant, de faire un crochet par la France et d'y découvrir un architecte prénommé Alexandre à qui on fait les honneurs d'un prix. "On m'a demandé, à plusieurs reprises, de construire des églises, explique-t-il dans son discours de remerciement, mais je m'y suis toujours refusé! Car je suis matérialiste et je préfère construire des usines, qui sont les cathédrales d'aujourd'hui!" Déçu, peu de temps après, parce qu'un de ses projets est remis en cause, il décide de partir en Italie, sur les traces de Borromini, un architecte du XVIIe siècle, rival du Bernin, et concepteur de nombreuses églises!
    Accompagné de sa femme Aliénor, une psychanalyste, ils ne tardent pas à faire la rencontre, sur la rive du lac Majeur, de deux jeunes gens: Lavinia, une jeune fille maladive, et son frère Goffredo, lui-même passionné d'architecture. Le couple s'attache aussitôt à ces jeunes gens. spoiler: Goffredo montre à Aliénor un de ses projets: contrairement à Alexandre qui n'a jamais conçu les plans d'une église, le jeune homme a imaginé une cité rayonnant autour d'un temple. "Mais de quelle religion sera ce temple?", demande Aliénor. "De toutes!, répond Goffredo. Toutes les religions s'y retrouveront pour prier ensemble!" Belle utopie de la jeunesse!

    Précisément, la suite du film se métamorphose subtilement en voyage initiatique ou, plus exactement, en deux voyages initiatiques qui se rejoignent. Alexandre emmène Goffredo à la découverte des trésors architecturaux de Rome, ceux de Borromini, concepteur d'un "baroque mystique", et ceux du Bernin, concepteur d'un "baroque rationnel", tandis qu'Aliénor reste, sur les rives du lac Majeur, aux côtés de la délicate et maladive Lavinia. Mais, pour l'un comme pour l'autre, il s'agit bien de voyager, de se mettre en mouvement. Car l'un comme l'autre, au contact des deux jeunes gens, sont, petit à petit, changés intérieurement. Ils vont vers la "sapience", accueillant l'un et l'autre, l'amour et la lumière: Alexandre en faisant découvrir à Goffredo les sublimes églises conçues par Borromini, un architecte qui voulait que la lumière se diffuse du sommet jusque dans tout l'édifice; Aliénor en se mettant à l'écoute et au service de Lavinia, une jeune fille qui, quoique souffrante, rayonne de lumière et de beauté. Car l'une des grandes originalités de ce film, c'est que ce ne sont pas les personnes d'âge mûr qui initient les jeunes, mais plutôt le contraire! Ce sont les plus âgés qui, au contact des plus jeunes, retrouvent le trésor perdu de la "sapience".
    Eugène Green, qui nous a déjà donné de nombreux films et dont on reconnaît tout de suite le style, très particulier, inimitable (et qui, peut-être, malheureusement, ennuiera certains spectateurs), signe là, probablement son meilleur film à ce jour. Un film sublime, confondant d'intelligence et de beauté, et qu'il me tarde déjà de revoir! 9/10
    Charles R
    Charles R

    52 abonnés 424 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 avril 2015
    Il est des films qui ont la grâce et l'intelligence qui forcent l'admiration dès les premières images. C'est exactement le cas de "La Sapienza", l'une de ces œuvres atypiques comme pouvaient l'être celles d'Eric Rohmer et de Manoel de Oliveira. Atypique, le film l'est d'abord par la théâtralisation permanente exigée des acteurs : un minimalisme dans la gestuelle, des voix le plus souvent neutres, attachées à exprimer le suc des mots en forçant sur l'artifice - toutes les syllabes parfaitement prononcées, avec une insistance sur les liaisons, oui, un théâtre des corps et des voix, le tout éclairé par une lumière artistiquement maîtrisée. Bref, un régal que de voir se dérouler devant nous ce voyage initiatique qui, à partir de Stresa en Italie du Nord (ah! les lumières du lac et des montagnes et celles des pierres qui contrastent tant avec les images du début - des vues d'une architecture contemporaine sans âme et sans lumière), va conduire un architecte à remettre en question ses certitudes en accompagnant à Rome un jeune homme, lui-même se destinant à des études d'architecture, qui va l'aider à voir d'un œil nouveau l’œuvre de Borromini sur laquelle il a entrepris d'écrire un livre. Pour cela, il aura abandonné le temps du voyage sa femme pour laquelle il n'éprouve qu'un amour attiédi, de même que le jeune homme aura laissé à Stresa sa sœur avec laquelle il vit une relation intense. Et plus vives aussi seront les retrouvailles au sortir de cette initiation tant intellectuelle que sentimentale. Un "voyage sentimental", c'est un peu cela que nous donne à voir Eugène Green, ce passionné de théâtre baroque, tout à la joie de célébrer l'Italie dans ce qu'elle comporte de plus admirable : l'architecture de Guarini à Turin, celle de Borromini à Rome confrontée à l’œuvre du Bernin, sans oublier la musique de Monteverdi qui dès le début vous donne des frissons de bonheur. Et quel plaisir que de voir et d'entendre des acteurs et des actrices au jeu admirable ! Citons en particulier Fabrizio Rongione, révélé par les frères Dardenne, qui joue à la perfection le rôle de l'architecte, et Arianna Nastro (découverte dans "La solitude des nombres premiers") qui vit pleinement son personnage de jeune fille frêle et atteinte de cette langueur qui a eu les faveurs tant de l'ère baroque que de l'époque romantique. Du plaisir, rien que du plaisir et quelque chose de rare au cinéma : la contemplation.
    grey_egg
    grey_egg

    18 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 avril 2015
    Pitoyable, se veut esthétisant, ne raconte rien, dialogues interminables, acteurs figés comme des potiches...
    Yves G.
    Yves G.

    1 498 abonnés 3 516 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 juin 2020
    Il y a deux façons de considérer "La Sapienza" d'Eugène Green.

    L'une est de détester un film totalement artificiel où les personnages, leur diction emprunté, leur raideur ampoulé, leurs états d'âme embourgeoisés feraient passer Rivette ou Rohmer pour de vulgaires boulevardiers.

    L'autre est au contraire d'applaudir un chef d'oeuvre de sensibilité, un merveilleux voyage dans l'Italie de la Renaissance, des bords du Lac Majeur aux terrasses de la Villa Médicis, au son de la musique subliment (forcément sublime) de Monteverdi.
    Fabien D
    Fabien D

    183 abonnés 1 140 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 mai 2015
    Avec La Sapienza, Eugène Green continue sa quête d'un cinéma d'un autre temps, post nouvelle vague ou la symbolique prime sur le scénario et ou les personnages parlent comme des automates pour sortir des questionnements métaphysiques souvent abscons quand ils ne sont pas simplement banals. Tout ça pourrait se laisser regarder si Green n'avait pas décidé de faire un film parlé les 3/4 en italien et sans sous-titres. On s'y perd et l'ennui prend rapidement le pas sur le reste. De plus, le parcours initiatique des personnages a quelque chose de déjà vu tout comme les symboles de la lumière et des ténèbres. C'est un peu surligné, assez prétentieux et plutôt vain et pourtant, par intermittences, le film fascine notamment lorsqu'il explore l'architecture des cathédrales italiennes. La beauté des plans, la sensibilité qui transparaît derrière le découpage confèrent une certaine expressivité au film. Étrange sentiment que d'avoir à faire à une œuvre à la fois détestable dans ses partis pris nombrilistes et hypnotiques quand elle quitte ses personnages pour se confronter au domaine de l'architecture. On préfèrera l'humour et le décalage du Monde vivant que cette sapienza pour le moins obscure...
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 388 abonnés 4 208 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 janvier 2016
    La Sapienza est une œuvre architecturale. Tout rappelle son thème, les métiers des personnages, les églises et décors superbement mis en abymes et les dialogues sous formes de discours. Jamais le théâtral, le récité, le stoïque n’a été aussi séduisant. Les films italiens sont reconnaissables par leurs mises en scènes, leur jeu et leur humour souvent hautain. Mais cette fois-ci cette prise de hauteur est sublime. Les personnages parlent entre eux mais en s’adressant toujours au spectateur par le biais de regards caméras. Ce curieux mélange de spontanéité et de réflexion légère nous accoste sans relâche et on a presque envie de répondre aux questions qui se posent devant nous. La Sapienza est structuré avec finesse et si le film pourrait en lasser quelques uns au bout d’une heure, il n’en reste pas moins un long-métrage original et remarquable.
    D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 mars 2015
    Voici le grand retour d'Eugène Green, enfin ! Et il est en pleine forme. Loin du cinéma réaliste et convenue, qu'il est agréable de ce laisser aller dans sa proposition de cinéma riche, poétique, radicale, généreuse, imprévisible et drôle. C'est beau et cette beauté est trop rare pour la bouder, ça fait tellement du bien par les temps qui courrent.
    Bulles de Culture
    Bulles de Culture

    139 abonnés 634 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 avril 2015
    Le film est marqué par sa singularité et son originalité. Des cadrages figés, des gros plans sur les visages des personnages ou des objets, tels que des chaussures, rythment ce long-métrage. La froideur des personnages dès le début du film peut laisser perplexe. Le ton des voix est monotone, les visages inexpressifs, les dialogues très prononcés, presque théâtraux.

    Ce choix de l’auteur est en accord avec l’histoire des personnages. Ces derniers sont perdus, pleins de doutes et en manque d’amour. Au fur et à mesure, cette froide mise en scène s’atténue et le spectateur voit apparaître des expressions plus marquées, des sourires sur les visages.

    En effet, les protagonistes retrouvent peu à peu le sens de leur vie. Et ceci notamment grâce à l’aide d’un jeune adolescent très intelligent et plein d’espoir. Alors qu’on pourrait penser que les adultes sont des guides pour la jeunesse, ce film nous montre l’inverse.

    Ce film, au bord de la philosophie, s’adresse directement au spectateur, les personnages semblent vous regarder et vous parler. Il vous amène à vous poser également des questions.

    Finalement, si le sens de l’histoire n’est pas forcément explicite au premier abord, Eugène Green vous montre que même si vous vous perdez sur les chemins de la vie, quelqu’un peut devenir votre source de lumière et vous ramener à l’essentiel.
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