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    La Malédiction : l'origine
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    elriad
    elriad

    441 abonnés 1 872 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 juin 2024
    S'attaquer à la saga culte des "Damien" par le prisme du préquel était un risque, relevé parfaitement grâce à un scénario bien écrit, cohérent, sans surenchère de jumpscares faciles ou d'effets spéciaux vus et revus. La tension est palpable de bout en bout, l'explication solide et délivrée par petites touches pour se révéler à la fin jusqu' à faire intervenir grâce à une photo des futurs parent adoptifs de Damien la liaison parfaite avec la saga. Une réussite.
    DamienReloaded
    DamienReloaded

    30 abonnés 65 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 juin 2024
    Retour inattendu pour La Malédiction, presque 20 ans après un remake dispensable et plusieurs suites (et une série) discutables, la saga semble courir éternellement vers l'oeuvre originale de Donner et quoi de mieux qu'un préquel pour raccrocher directement à ce film culte.
    Arkasha Stevenson fait preuve d'audace avec de vraies idées de mise en scène et des fulgurances horrifiques mais englué dans un rythme pantouflard et peu aidé par une photographie post-Netflix, le film ne parvient guère à convaincre totalement. On sent que l'écriture est quelque peu poussive, en témoigne une durée abusive (2h) et des situations déjà vu dans la franchise. Malgré tout, une bonne surprise.
    Dx M.
    Dx M.

    69 abonnés 804 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 mai 2024
    Bonne surprise malgré la lecture de certaines critiques et aussi quelques longueurs... Ambiance pesante des années 70... Mise en scène sobre et classique sans superflu... Une horreur malaisante plus psychologique qu autre chose... Film qui prend son temps... Donne clairement envi de voir le film original de Richard Donner... Les 20 dernières minutes dont vraiment bien niveau intensité et climax... Bref j'ai bien apprécié le film malgré quelques longueurs...
    Raph
    Raph

    3 abonnés 151 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 mai 2024
    “La matrice du Mal”

    Etant un fan de la première heure du triptyque démonique “The Omen”, mais surtout de l’oeuvre matricielle de Richard Donner, la sortie de “The First Omen” , “La Malédiction : Les Origines” chez nous, dans un paysage cinématographique où la “Cancel Culture” est devenue la norme - voire les derniers “Hellraiser” et “Candyman” - ne pouvait que me faire appréhender le visionnage. L’Antéchrist wokiste ayant déjà infecté la plupart des suites, des préquelles, des séquelles, des remakes et autres sagas, je n'étais sûr de rien et à cet instant précis, je n’en attendais pas grand chose. Le fait de passer un moment agréable devant un film pas trop moisi, allait déjà au-delà de mes espérances les plus folles. Après le logo de la Fox (comme à la belle époque) - une vue en contre-plongée du haut d’un échafaudage sur lequel s’affairent des ouvriers - un homme d’église apparaît à l’approche d’un édifice religieux. Cette silhouette toute de noir vêtue n’est autre que celle du Père Brennan (Ralph Ineson “The Witch”), Patrick Troughton dans “The Omen” de 1976. D'emblée, devant la caméra d'Akasha Stevenson (dont c’est ici le premier long-métrage), il souffle sur les premières images, comme un vent de déjà-vu dans le bon sens du terme, de quoi rassurer le quinqua que je suis. Pour l’heure, le récit nous plonge à Rome, en 1971 en pleine révolte populaire. Ce changement de paradigme sociétal post mai 68, annonciateur des Brigades Rouges, aura toute son importance dans la suite des événements. Ainsi, une ambivalence flagrante touche la capitale italienne. D’un côté le profane (la jeunesse qui manifeste dans les rues) s’entrechoque avec le sacré (les monuments de la ville éternelle dédiés au catholicisme). L’ensemble se voit magnifié par la sublime reconstitution de l’époque. C’est dans ce contexte explosif que nous est présentée la novice Margaret (Nell Tiger Free), une orpheline américaine qui a grandi dans l’institut du Cardinal Lawrence (Bill Nighy). Celui-ci s’est mué en figure paternelle pour la jeune fille depuis sa plus tendre enfance, ce qui conforte encore plus le malaise ambiant qui s’installe. Margaret fraîchement débarquée à Rome est reçue par Lawrence en personne. Avant que ses vœux ne soient ordonnés, Margaret rejoint un orphelinat de filles dirigé par sœur Silvia (Sonia Braga). Sur place, la novice fait la connaissance de la jeune Carlita Scianna (Nicole Sorace), une étrange pensionnaire à l’écart du groupe. La réalisatrice accompagnée de ses scénaristes (Tim Smith et Keith Thomas), d’après une histoire de Ben Jacoby, mettent en image des lieux, des événements et des personnages dont on avait imaginé l’existence lors des épisodes précédents, permettant de rentrer de plain pied - par le prisme de la genèse - dans l’univers créé par David Seltzer il y a de cela cinquante ans. Au même titre que les opus de Richard Donner, Don Taylor et Graham Baker qui avaient su instaurer en leur temps, une atmosphère délétère allant crescendo lors de scènes de morts brutales, “The First Omen” (sans prendre en compte le téléfilm de 1991, le pilote d’une série avortée de 1995, le remake de 2006, et la série TV de 2016), n’est pas en reste, loin s’en faut. Des images chocs viendront imprimer nos rétines pour un bon bout de temps, lorsque les adeptes de la bête se sentiront menacés. Avec “Ave Satani”, l’extrait emblématique de la B.O au millésime demi-centenaire, du grand Jerry Goldsmith, nos oreilles seront elles aussi flattées. Deux heures durant, Akasha Stevenson qui s’était fait la main sur des séries telles que “Channel Zéro” et “Légion”, réussit l’exploit de nous faire ressentir des émotions de cinéphiles que l’on pensait enfouies depuis longtemps. La jeune réalisatrice américaine ravive même notre mémoire lors d’un instant suspendu dans le temps faisant le lien avec le long-métrage de 1976. Si j’avais l’esprit chagrin, je serais déçu par la fin ouverte qui laisse la place - et je ne l’espère pas - à l’avènement - non pas de l’Antéchrist - mais d’une nouvelle saga !
    Cinévore24
    Cinévore24

    349 abonnés 718 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 mai 2024
    Le préquel assez convenu et opportuniste d'un grand classique du genre horrifique.
    L'interprétation de Nell Tiger Free (Servant) et une mise en scène étonnament inventive et soignée (d'autant plus pour un premier film), nous offrant quelques scènes fantasmagoriques bien senties, l'élèvent tout de même un peu au-dessus du lot de la plupart des productions récentes du même genre. 5,5/10.
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    327 abonnés 3 013 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 mai 2024
    L'Italie a souvent été un terreau fertile pour baser les intrigues de malédiction ou de possession au sein de l'église, dans le genre horrifique. Ce prequel du classique de 1976, dont le lien est bien amené, bénéficie d'une ambiance et d'une mise en scène travaillées. Le scénario reste tout de même alambiqué, ne provoquant pas vraiment l'effroi.
    I. GIZ
    I. GIZ

    28 abonnés 109 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 novembre 2024
    J'y suis allé a reculons car faire le prequel d'un film culte des années 70 est périlleux vu le nombre de prequel ,remake ou suite catastrophique qu'on voit ses dernières années. Et bien finalement c'est réussi, un thriller horrifique efficace, l'ambiance des années 70 est bien reproduit, la photographie est impeccable et il existe une ambiance tendu et malsaine tout le long du film. Bon pour ceux qui connaissent le film de richard donner de 1976 , on pourra constater quelques incohérences car c'est la mère de l'antéchrist qui est un chacal et non le père. Mais bon le lien avec le film de 1976 s'articule bien. L'atmosphère du film est angoissante, quelques scènes qui hérissent le poil. L'exercice était difficile, tant les nonnes peuvent devenir ridicule dans ce type de film.
    Le moment de la naissance de Damien l'antéchrist ou la célèbre musique de Jerry Goldsmith du film de 1976 surgit est intense et on commence sérieusement a flipper.
    Ce film laisse présager une suite qui du coup sera le remake du film de 1976. ( On n'oubliera le mauvais remake de 2006 des studios Disney).
    On repartira avec une nouvelle saga avec une nouvelle surprise ....( Damien a une sœur jumelle !)
    Un petit clin d'oeil a Grégory peck car c'est bien lui qu'on voit en photo a la fin du film.
    Bon film.
    James Ford
    James Ford

    213 abonnés 194 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 mai 2024
    The First Omen m'a dérangé d'une belle façon. Une façon que je n'aurais pas cru ressentir (depuis vraiment longtemps). Pourtant a la vue d'une "énième" préquelle. Le film m'avait fait souffler. Puis le Trailer avait mine de rien su attirer mon attention ...

    Mais je n'étais pas préparé pour ce long métrage. Dès les 10 premières minutes j'ai senti un gros potentiel. Rien que la réalisation (avec plein d'effet de style très 70's, oui). Ou l'ambiance très creepy qui monte crescendo. À partir de là pour moi, le reste était une évidence.

    Ce film ne joue pas dans la même cour que les derniers films de la franchise "The Omen". Il va rendre justice au 1er film de R. Donner (oublier le 4éme ou 5éme film qui est un remake ...). Seul le 1er est une œuvre marquante (le 3éme ... J'ai de l'affection, pour Sam Neill).

    Contre toute attende, cette préquelle réussit la ou les derniers ont échoués. Offrir une belle vision d'horreur, qui inquiète, dérange, fascine. Avec un soin apporté au visuel ou à l'ambiance sonore (et à l'imagerie qui rajoute une couche assez perturbante). Une vraie surprise.

    Et le casting ... Excellent, surtout Nell Tiger Free.
    Je sais que cette année, on parlait aussi beaucoup d'Immaculate avec Sydney Sweeney. Mais je ne l'ai pas encore vu. En tout cas, Arkasha Stevenson m'a mis une belle fessée là où je n'attendais vraiment plus rien. Merci.
    Julie Graci
    Julie Graci

    1 abonné 21 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 mai 2024
    C'est toujours pareil ... Quand on parle horreur on pense a du gore du sang etc... Mais l'horreur peut être dans l'ambiance la musique une ombre etc .. l'horreur peut venir du fait de savoir que ce genre de chose peut exister ... Le satanisme .... J'ai trouvé le film pas mal ... Je pensais mettre un série b et bien pas du tout .. bonne intrigue bonne ambiance bien malfaisante parfois les acteurs jouent super bien ... Je ne suis pas fan du genre mais du fait qu'il y ait l'intrigue j'ai bien aimé . Pour un film qui dure 2h on ne s ennuie pas du tout . Y a pas un moment où c'est long . Ceux qui ont été déçus sont ceux qui voulaient du trash certainement !
    Andya K
    Andya K

    1 abonné 36 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 mai 2024
    Après avoir survécu à la première heure, à la musique religieuse et l' histoire est devenu un plus intéressante. Les "accident" sont assez spectaculaire comme tjs. Un sixième film sur l'antéchrist que je recommande!
    Shawn777
    Shawn777

    604 abonnés 3 499 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 mai 2024
    J'avoue que je suis un eu déçu face à ce sixième épisode de la saga "La Malédiction", réalisé par Arkasha Stevenson, qui un préquel prenant donc place avant les évènements du premier film de 1976. En 1971, une jeune femme est envoyée dans un convent à Rome mais elle va vite se rendre compte que quelque-chose ne tourne pas rond. Eh oui, des sœurs jouent avec la nature pour y engendrer l’antéchrist. L'histoire rappelle donc un film d'horreur emblématique des années 60, "Rosemary's Baby" mais peine malheureusement à captiver son spectateur. Notamment à cause d'un film encore trop codifié. Pourtant, j'avais espoir que cet opus apporte à la fois un nouveau souffle à la saga, un peu oubliée du grand public d'ailleurs, mais également au film d'horreur populaire au sens large. Et si le film tente effectivement quelques petites choses par-ci, par-là, c'est surtout au niveau de l'image et de la mise en scène. Nous avons en effet de nombreuses images chocs, qui ne sont pas juste là pour simplement alimenter le côté gore du film, mais qui ont un réel intérêt dans l'intrigue. Et je pense notamment à la scène de l'accouchement ou du suicide qui sont particulièrement prenantes ! De même, la mise en scène est réellement très belle, nous avons de nombreux plans magnifiques qui rappellent le cinéma d'horreur des années 70 et le film prend son temps, en évitant l’écueil des trente-dix jump-scares à la minute. Seulement, c'est ici l'histoire qui pêche. On est en effet devant l'énième blockbuster de Nunsploitation sans grand intérêt et surtout très prévisible. L'enquête ne décolle jamais, on passe une bonne heure à accompagner le personnage principal dans le découverte de cet orphelinat bien étrange mais, en tant que spectateur habitué à ce type de production, on sait très bien ce qui se cache derrière. Et lorsque l'enquête décolle, on tombe dans le vulgaire film d'horreur qui ennuie pas mal. Alors certes, ça rempli son cahier des charges mais pour un film venant de la saga "La Malédiction", on était en droit d'attendre quelque-chose d'un peu plus qualitatif. "La Malédiction : L'Origine" est donc le film de couvent lambda qui fait en plus doublon avec "Immaculée", tous deux sortis à la même période.
    Clint B
    Clint B

    54 abonnés 283 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 mai 2024
    Quelques longueurs, mais plutôt pas mal du tout dans l'ensemble. Je partais avec un à priori plutôt négatif avant le visionnage, à me dire (l'habitude malheureusement) encore un remake, un prequel, une suite bidon, sans intérêt, d'un chef d'œuvre du cinéma de genres (ici le ptit bijou de 76 de Richard Donner). Et bien non au final, plutôt une bonne surprise. Alors oui selon moi il y a quelques longueurs et la BO plutôt bonne, est parfois excessive en terme de volume. Mais premièrement le castong est bon, ensuite la photo et la lumière sont réellement bien faites et offrent un réel "cachet" au film tout en donnant un grain très fantastique des 70's au film, période à laquelle il se déroule par ailleurs. Le scénario n'est pas incroyable, mais il a le mérite de faire son taff, à savoir nous apprendre l'origine de Damien et du père Brennan que l'on retrouve dans The Omen de Donner. Bref, un prequel bien réalisé, qui ne saccage pas le matériel original, et qui d'ailleurs m'a fait regarder dans la foulée le film de Donner avec le génial Gregory Peck pour rester dans le mood antéchrist de ma soirée :-).
    Bichel Le Reuftax
    Bichel Le Reuftax

    6 abonnés 212 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 mai 2024
    C'est un film d'horreur d'ambiance qui met mal à l'aise. Le son et la musique rendent le tout bien glaçant. La fin est exceptionnelle. Les clins d'œil au film original aussi. J'ai passé un très bon moment.
    Vlad
    Vlad

    2 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 mai 2024
    Peu importe l'histoire du cinéma d'horreur et de ces films, il faut le dire franchement ce film est une horreur, car il est horriblement nul. Il coche toutes les cases de la nullité : prévisible, zéro originalité (la seule chose qui fait peur sont des scam), thèmes abordés (église, église, diable et église).
    Bref, si vous voulez une horreur de nullité c'est top, sinon c'est du mauvais cinéma tout craché
    Clément R
    Clément R

    3 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 mai 2024
    Grosse perte de temps avec ce film. Aucune scène d'horreur a proprement parler. On s'ennuie du début à la fin
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