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albancinedvd63
18 abonnés
382 critiques
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3,0
Publiée le 29 octobre 2024
Le film boucle la boucle de Damien. il y a tous les bons ingrédients du film démoniaque, l’Italie, des prêtres, des nonnes, couvent, églises, le bien, le mal… le seul petit problème c’est qu’on a l’impression de revoir le film d’horreur Immaculée sortie quelques temps auparavant. Sachant qu’Immaculée est un très bon film, celui-ci passe après et devient un peu moins bon du coup. Le point fort c’est bien la fin du film qui fait une très bonne liaison avec le premier The Omen.
Pour les fans du genre, c'est une bonne introduction à l'arrivée maléfique maintenant qu'on sait du petit Damien. Les circonstances de sa naissance (la sixième heure du sixième jour du sixième mois) font référence au nombre 666. Il est dit et plusieurs fois mentionné dans tous les films que son père était Satan et sa mère un chacal … Et ben vous verrez ce n'est pas tout à fait vrai. Nous découvrons avec Margaret Daino comment la vie d'une jeune nonne va s 'assombrir face à un triste et horrible destin. L'église voyant son nombre de fidèles diminuer veut créer un antéchrist. La libération des mœurs, la liberté sexuelle, le progrès, la jeunesse des années 70 foutent une bonne claque à cette très vieille dame qu'est la religion chrétienne. La sombre descente vers les ténèbres aux portes de l'enfer va pouvoir commencer. Ce côté secret, mystérieux, fermé, a toujours entaché la bonne foi de ces croyants qui ne jurent que par Dieu. Par quelles abominations, depuis l'aube des temps, ils sont prêts à n'importe quelle infâme action pour justifier de leur démence et leur désir de voir les braves gens se soumettre à la fanatique certitude de leur foi. La suite seront les aventures de Monsieur et Madame Thorn dans ce très bon film de Richard Donner. Ma note est de 2,78 sur 5. Comme au bon vieux temps où le cinéma arrivait à vous hérisser les poils.
Comment Damien est-il arrivé au monde ? Voici ce que va raconter cette origin story de 2024 . Le film est inégal , un peu bancal . Traversé de visions ou plans mémorables spoiler: ( le début avec Charles Dance , l'accouchement à la 40eme minute du film , le plan sur les bougies à 1h03 , le coît "infernal" à 1h30 ) et bien réalisé , le film promettait mieux . Car d'autres scènes moins réussies ou inutiles plombent l'ensemble . Et que dire de la révélation qu'on a vu venir depuis le début . Il y a aussi une incohérence que j'ai relevé spoiler: ( lorsque Margaret est sur la table d'accouchement , elle est attachée : comment s'est-elle détachée ? ) . Le film est donc décevant au final puisqu'il n'apporte pas grand-chose à l'histoire de Damien , si ce n'est une fin ouverte dont on ne sait pas trop quoi penser spoiler: ( y'aura-t-il une suite ? ) .
Curieux, voilà l'état d'esprit que j'avais en débutant ce film, ayant revu l'original, il n'y a pas si longtemps, je me suis voyons l'angle qui nous ai proposé, et, le plus simple est de revenir à la base, au préquel de l'histoire de Damien. Je sors de ce visionnage déçu, rien n'a pu retenir mon attention, une histoire assez lente à se mettre en place, une actrice qui porte le film sur ses épaules bien frêles, certaines scènes étant même embarrassantes, c'est presque même pire que l'exorciste dévotion, c'est pour dire. En même temps, comment cela aurait pu en être autrement, difficile de faire du neuf avec du vieux, l'ambiance est plus choquante que malsaine, avec quelques scènes bien crues, mais pour le reste, on s'ennuie fermement.
Préquel au film "The Omen" (la malédiction) de Richard Donner avec Gregory Peck, datant de 1976. L'original surpasse ce film qui dure trop longtemps et qui n'est pas fameux dans la première partie. Après il y a bien un peu plus de bonne volonté, mais la barre était trop haute pour pouvoir concurrencer la référence de 1976. D'autres "Omen" s'y sont cassés les dents. A voir par curiosité, c'est passable, mais trop long.
Le film est vraiment incroyable, mais malheuresment le côté wokiste me fait lui mettre la note 3,5/5. La représentation du diable est, je trouve, inédit. La scène du début l'est tout autant et je pense que le film aurait pu être raccourci mais sinon dans l'ensemble c'est un très bon film d'horreur.
Un petit peu long sur les bords, 30 minutes de moins n’aurais pas été de refus. Cela dit ça n’est pas un mauvais film en soit, mais rien d’innovant à ce que l’on a pu voir dans les autres films du même genre. Une malédiction à base d’antechrist et un enfant avec le 666, bon, cela n’a rien de nouveau. Le film est correct dans son ensemble.
Pari gagné pour cette préquelle de l'illustre La Malédiction de feu Richard Donner. Cette descente aux enfers d'une nonne au coeur d'un complot satanique est un très bel hommage techniquement superbe, et très élégant dans le fond comme dans la forme. Une vrai et belle surprise, se terminant au moment exact où Grégory Peck tient Damien dans ses bras, portée par la sublime Nell Tiger Free en personnage principal, et cette valeur sûre qu'est Ralph Ineson.
Qu en dire ? Pas grand chose sur la mise en place du contexte long et inutile, ni sur la suite en rien original et sans aucun sens … donc rien de nouveau dans le genre, évidemment sans talent en plus pour cet opus
"La Malédiction : L'Origine", film américano-italien horrifique réalisé par Arkasha Stevenson, sorti en 2024. Préquelle de la série de films " La Malédiction ", sorti à partir de 1976, dont le premier (The Omen) a été réalisé par Richard Donner. Si cette mode de faire des préquelles de reboot de suites pour essorer jusqu'à l'os les bonnes vieilles recettes est contestable, ce film à le mérite d'être bien réalisé. La réalisation est soignée, la lumière et la photo sont belles, c'est propre et soigné ce qui est déjà pas mal. Le genre n'est pas ma tasse de thé, je ne comprends rien à ces histoires d'antéchrist et de bonnes sœurs et n'en voit pas l'intérêt. La ville de Rome sert de bel écrin à ce film, la reconstitution des années 70 est réussie, les actrices sont belles. Le film n'est pas laid, même si le côté "horrifique" n'y apporte rien de fabuleux.
Eh bien : c'est une bonne surprise. La Malédiction : L'Origine ne fait pas partie des suites commerciales qui déboulent longtemps après pour flanquer en l'air une saga d'épouvante culte, ne voyant que le profit financier qu'il peut se faire, et enchaînant les appels du coude nostalgiques pour spectateurs arnaqués. Pour une fois... On prend une chaise, pour s'asseoir (l'émotion, et le manque d'habitude après les récentes sagas massacrées). La Malédiction : L'Origine sait déjà qu'il ne peut pas tout miser sur sa notoriété auprès du public (il est plutôt clairvoyant : il fascine davantage un public de niche, qu'un large public de la popculture biberonné aux images de Scream, L'Exorciste, Halloween, Chucky, etc... Pour ne citer que les plus récents désastres), alors il soulève les manches de sa soutane, pour se mettre au travail, et proposer d'emblée un savant mélange de l'esthétique de l'ancien film (les chants grégoriens en BO, le filtre gris terne, les araignées, toute cette référence continue à son environnement italien), d'un "accident" en ouverture qui reprend un de ceux du premier film (et ça sera le seul, un peu comme pour nous dire "Tu penses qu'on va tout copier ? Eh bien non !"), et une énorme louche de modernité, à savoir de l'horreur graphique un peu plus énervée (moins dans la suggestion). On pense notamment à la scène spoiler: d'accouchement où l'on voit lentement sortir une vilaine main, à la place du bébé... Ça nous est resté. De même que, si le film ne révolutionne pas son monde, il fait l'effort d'offrir une fin solide (avec une spoiler: césarienne improvisée qui fait serrer les dents), et qui raccroche parfaitement les wagons pour arriver au début du film d'origine. Il fait bien son travail, en expliquant d'où vient Damian, sans plomber son récit par trop de références, et n'oublie pas d'être sympathique par quelques choix de casting (mais que fiche Bill Nighy dans ce film ? On le voit s'amuser, et on sait qu'il est finalement bien à sa place), son actrice principale Nell Tiger Free très à l'aise (on suit l'enquête au rythme de son personnage attachant) et quelques scènes qui dépoussièrent bien l'ancien film (l'accouchement...). Un prequel étonnamment honnête.
Très bonne surprise. Je m'attendais à un énième film d'horreur sur le thème du satanisme et pourtant La Malédiction , l'origine sort des sentiers battus.
Même si le film est assez prévisible , l'ambiance est très réussie , le jeu d'acteur est vraiment impeccable et la Bo a réussie à me donner des frissons.
Pour les amateurs de screamers et d'effets spéciaux vous risquez d'être déçus. Le film joue bien plus sur l'histoire (de l'origine de Damien) que sur la peur.
Débutant par une accumulation de clichés lassants la narration s’améliore grâce à la maîtrise visuelle des illusions cauchemardesques, à l’ambiance malsaine instillée ainsi qu’à l’exploitation de l’imaginaire satanique. Cependant le scénario manque de cohérence et de crédibilité quoi que son point d’ancrage fort polémique ose une intéressante réflexion. Enfin, malgré des personnages peu définis louons la prestation habitée de Nell Tiger Free. Inabouti.