Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
CNews
par Louis Verdoux
Novice au long-métrage, Arkasha Stevenson tire le meilleur de ce simple postulat pour livrer une œuvre troublante, aux scènes chocs.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Le récit des origines de Damien et du complot visant à concevoir l'Antéchrist n'est pas un recyclage, mais un film de genre soigné.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Arkasha Stevenson explore l'horreur corporelle, les transformations et les mutations, comme dans les créations monstrueuses du cinéma de la métamorphose de David Cronenberg.
Le Journal du Dimanche
par S.B.
La scénariste et réalisatrice s’aventure en territoire inexploré avec ce préquel qui forge sa propre identité, sans oublier de rendre hommage à la mythologie en recréant des séquences iconiques. On est bluffé par son cadre extrêmement précis, composant des plans aussi beaux que dérangeants pour fausser notre perception avec de vraies visions de cauchemar inspirées de célèbres peintures.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par J.-F. R.
La Malédiction. L’origine subvertit les règles et l’idéologie d’un cinéma d’horreur souvent engourdi par sa vision conformiste de la société et par ses mécanismes trop éprouvés.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Michel Valentin
Comme souvent de nos jours, cette nouvelle déclinaison ne se réfère qu’à l’opus originel, dont elle raconte tout ce qui se passe juste avant, même si elle peut être vue de manière indépendante. (...) Le scénario, au départ très prévisible, finit donc sur une conclusion inattendue (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Moins violent qu’Immaculée, qui repose sur les mêmes ressorts, cette préquelle de La Malédiction, qui nous entraîne dans l’Italie des années 1970, se révèle néanmoins très divertissante, et parvient à surprendre.
Cahiers du Cinéma
par Jean Marie-Samocki
La Malédiction : L’Origine se détache de l’horreur contemporaine en refusant les distensions sadiques propres au torture porn, les jumpscares progressifs façon Jason Blum, les minauderies autoréférentielles de l’elevated horror et même cette extase de la défiguration qui a nourri tant de films gore.
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
La deuxième partie d'un diptyque involontaire fascinant, très imparfaite, mais parsemée de fulgurances inattendues pour une production du type.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Ecran Fantastique
par Maryine Sandra
La photo est absolument splendide, avec des choix esthétiques raffinés. Autre point positif : un rythme, qui ne faiblit presque jamais, ponctué d’effets-choc efficaces, ménageant des hommages à l’horreur classique et au giallo.
Première
par Sylvestre Picard
C’est parfois très efficace mais souvent prévisible, sans exploiter les moments les plus troubles que capte la réalisatrice Arkasha Stevenson (par exemple l’attirance soudaine de l’héroïne pour sa coloc’) dont c’est le premier film.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Inrockuptibles
par Léo Moser
Un film d’horreur convenu mais qui a le mérite d’aborder l’avortement.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Yohan Haddad
Il y a un peu de Dario Argento et beaucoup de Rosemary’s Baby dans ce premier long métrage qui peine à développer sa propre sensibilité. La réalisatrice tente, en vain, de glisser un embryon d’idée au sein d’un film lourd, inutilement violent, qui peine à réanimer la saga.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CNews
Novice au long-métrage, Arkasha Stevenson tire le meilleur de ce simple postulat pour livrer une œuvre troublante, aux scènes chocs.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le récit des origines de Damien et du complot visant à concevoir l'Antéchrist n'est pas un recyclage, mais un film de genre soigné.
Le Dauphiné Libéré
Arkasha Stevenson explore l'horreur corporelle, les transformations et les mutations, comme dans les créations monstrueuses du cinéma de la métamorphose de David Cronenberg.
Le Journal du Dimanche
La scénariste et réalisatrice s’aventure en territoire inexploré avec ce préquel qui forge sa propre identité, sans oublier de rendre hommage à la mythologie en recréant des séquences iconiques. On est bluffé par son cadre extrêmement précis, composant des plans aussi beaux que dérangeants pour fausser notre perception avec de vraies visions de cauchemar inspirées de célèbres peintures.
Le Monde
La Malédiction. L’origine subvertit les règles et l’idéologie d’un cinéma d’horreur souvent engourdi par sa vision conformiste de la société et par ses mécanismes trop éprouvés.
Le Parisien
Comme souvent de nos jours, cette nouvelle déclinaison ne se réfère qu’à l’opus originel, dont elle raconte tout ce qui se passe juste avant, même si elle peut être vue de manière indépendante. (...) Le scénario, au départ très prévisible, finit donc sur une conclusion inattendue (...).
Les Fiches du Cinéma
Moins violent qu’Immaculée, qui repose sur les mêmes ressorts, cette préquelle de La Malédiction, qui nous entraîne dans l’Italie des années 1970, se révèle néanmoins très divertissante, et parvient à surprendre.
Cahiers du Cinéma
La Malédiction : L’Origine se détache de l’horreur contemporaine en refusant les distensions sadiques propres au torture porn, les jumpscares progressifs façon Jason Blum, les minauderies autoréférentielles de l’elevated horror et même cette extase de la défiguration qui a nourri tant de films gore.
Ecran Large
La deuxième partie d'un diptyque involontaire fascinant, très imparfaite, mais parsemée de fulgurances inattendues pour une production du type.
L'Ecran Fantastique
La photo est absolument splendide, avec des choix esthétiques raffinés. Autre point positif : un rythme, qui ne faiblit presque jamais, ponctué d’effets-choc efficaces, ménageant des hommages à l’horreur classique et au giallo.
Première
C’est parfois très efficace mais souvent prévisible, sans exploiter les moments les plus troubles que capte la réalisatrice Arkasha Stevenson (par exemple l’attirance soudaine de l’héroïne pour sa coloc’) dont c’est le premier film.
Les Inrockuptibles
Un film d’horreur convenu mais qui a le mérite d’aborder l’avortement.
Télérama
Il y a un peu de Dario Argento et beaucoup de Rosemary’s Baby dans ce premier long métrage qui peine à développer sa propre sensibilité. La réalisatrice tente, en vain, de glisser un embryon d’idée au sein d’un film lourd, inutilement violent, qui peine à réanimer la saga.