Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Femme Actuelle
par Isabelle Giordano
Mehdi Charef s'est inspiré d'un monde carcéral qu'il connaît bien pour avoir animé durant un an des ateliers d'éciture dans une prison du Val d'Oise. Il a l'art de mêler fiction et faits réels, de concevoir des seconds rôles attachants, et nous donne en prime le plaisir de découvrir de grands acteurs dans des rôles inattendus.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Le film nous parait inégal, marginal, mais fort de son actrice principale et de son charme décalé. Ses dialogues tricotent une curieuse combinaison de poésie et de drame, ses situations entremêlent un côté glauque et l'éclat.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
On oscille ici entre croyance dans le récit et désuétude de la facture.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Pierre Murat
Un rien trop appuyé pour emporter l'adhésion, ce n'est pas le meilleur film de Mehdi Charef, lui qui évitait jusqu'ici toute lourdeur. Mais le cinéaste a gardé le don de s'intéresser à des solitaires, de les célébrer, de les confronter à l'angoisse et au désespoir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un film sombre, sur deux existences cabossées, qui n’évite pas toujours le pathos et le cliché.
Positif
par Vincent Thabourey
L'image de l'escapade de ces gueules cassées peine à devenir poétique. L'effort est manifeste, le résultat est désarmant de naïveté.
Première
par Bernard Achour
Mehdi Charef orchestre un ballet parfois prenant entre trois anciens prisonniers en quête de réhabilitation. Mais les artifices de la mise en scène et la gouaille appuyée des dialogues suscitent trop souvent l’embarras.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Laura Tuillier
Le réalisateur se contente de filmer cette histoire d’amour avec une lassitude qui se retrouve sur les « gueules » fatiguées des acteurs. Reste la douceur de voix et de regard de Denis Lavant, qui parvient à sauver certains plans.
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Hélas, l'écriture à la serpe et la mise en scène trop engoncée plombent le récit.
Femme Actuelle
Mehdi Charef s'est inspiré d'un monde carcéral qu'il connaît bien pour avoir animé durant un an des ateliers d'éciture dans une prison du Val d'Oise. Il a l'art de mêler fiction et faits réels, de concevoir des seconds rôles attachants, et nous donne en prime le plaisir de découvrir de grands acteurs dans des rôles inattendus.
Le Journal du Dimanche
Le film nous parait inégal, marginal, mais fort de son actrice principale et de son charme décalé. Ses dialogues tricotent une curieuse combinaison de poésie et de drame, ses situations entremêlent un côté glauque et l'éclat.
Le Monde
On oscille ici entre croyance dans le récit et désuétude de la facture.
Télérama
Un rien trop appuyé pour emporter l'adhésion, ce n'est pas le meilleur film de Mehdi Charef, lui qui évitait jusqu'ici toute lourdeur. Mais le cinéaste a gardé le don de s'intéresser à des solitaires, de les célébrer, de les confronter à l'angoisse et au désespoir.
Le Dauphiné Libéré
Un film sombre, sur deux existences cabossées, qui n’évite pas toujours le pathos et le cliché.
Positif
L'image de l'escapade de ces gueules cassées peine à devenir poétique. L'effort est manifeste, le résultat est désarmant de naïveté.
Première
Mehdi Charef orchestre un ballet parfois prenant entre trois anciens prisonniers en quête de réhabilitation. Mais les artifices de la mise en scène et la gouaille appuyée des dialogues suscitent trop souvent l’embarras.
Cahiers du Cinéma
Le réalisateur se contente de filmer cette histoire d’amour avec une lassitude qui se retrouve sur les « gueules » fatiguées des acteurs. Reste la douceur de voix et de regard de Denis Lavant, qui parvient à sauver certains plans.
Studio Ciné Live
Hélas, l'écriture à la serpe et la mise en scène trop engoncée plombent le récit.