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Votre avis sur Lake Bodom ?
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Il y a de bonnes choses dans ce film, notamment la musique et les quelques twists, mais il y a aussi et surtout de mauvaises choses, tant au niveau scénario (incohérences trop nombreuses) qu'au niveau interprétation. La toute fin est par contre bien choisie car elle laisse sur des interrogations et des suppositions, tout comme l'histoire vraie de ce massacre finlandais en 1960.
FaRem
Deux ans après le found footage hongrois, c'est au tour des Finlandais d'utiliser le drame survenu au lac Bodom et ainsi faire perdurer la légende de cette mystérieuse affaire. On suit quatre lycéens qui décident d'aller au lac pour le week-end, mais pas tous pour les mêmes raisons... Le film se situe entre le slasher et le survival avant de prendre une tournure différente lorsque les raisons de la venue sont dévoilées lors d'un twist étonnant. Le film s'éloigne alors du concept d'origine, mais sans jamais le renier au contraire puisque d'autres rebondissements qui vont dans ce sens viennent s'ajouter à une intrigue qui est finalement pleine de surprises et bien ficelée. L'histoire est malgré tout un peu superficielle et poussive vers la fin la faute à un manque d'intensité dans des scènes qui sont rapidement expédiées, mais malgré ça, c'est un bon petit film même si le final m'a laissé sur ma faim. Pour le coup, un film plus long ne m'aurait pas dérangé, car il y a de bonnes choses.
Je n'ai rien compris à ce film o-O
spoiler: Une histoire de meurtre non résolue dans une histoire de meurtre et de vengeance dans une histoire de meurtre gratuit .... Qui de l'oeuf ou la poule quoi ? Qui est cette première victime en maillot de bain ? Qui est ce tuer final ? Pkoi laisse t-il une survivante
spoiler: Une histoire de meurtre non résolue dans une histoire de meurtre et de vengeance dans une histoire de meurtre gratuit .... Qui de l'oeuf ou la poule quoi ? Qui est cette première victime en maillot de bain ? Qui est ce tuer final ? Pkoi laisse t-il une survivante
RedArrow
Juin 1960, en Finlande, quatre adolescents partent camper au lac Bodom. Le lendemain, trois d'entre eux sont retrouvés sauvagement assassinés et le quatrième est grièvement blessé. Suspecté lors de la réouverture de l'affaire en 2005, ce dernier évoquera la présence d'un ou plusieurs mystérieux inconnus comme responsables de la tuerie. Le cas demeure officiellement non résolu.
Faits divers mystérieux qui a traumatisé tout un pays, le fantasme entourant les assassinats du lac Bodom ne pouvait qu'alimenter à un moment ou à un autre le cinéma de genre. Après un found-footage hongrois ("Bodom"), c'est au tour d'un finlandais lui-même, Taneli Mustoten, plus connu pour ses comédies, de coécrire et de réaliser un long-métrage autour du sujet.
De nos jours, quatre adolescents retournent camper près du fameux lac pour tenter de reconstituer les évènements de 1960 et étudier la possibilité d'une nouvelle piste. Bien entendu, dans le genre "pas la plus brillante des idées à avoir", leur démarche se place en tête de liste au vu des événements tragiques qui vont suivre...
Plutôt malin dans sa construction scénaristique en trois temps, "Lake Bodom" va néanmoins souvent se prendre les pieds dans le tapis de la crédibilité des motivations de ses personnages pour convaincre.
En effet, tout le récit est ici basé sur une question de faux-semblants qui rattrapent à un moment ou à un autre chacun des protagonistes de manière bien sûr violente. Si, dans le contexte archétypal de slasher forestier de la première partie, l'écriture typique du cinéma nordique et les interprètes apportent un gage de réalisme bienvenu en jouant avec les codes bien connus de ce type de film, celui-ci perd de sa superbe lorsque le twist de mi-parcours (pourtant bien vu) nous est révélé. Dès que les personnages concernés commencent ensuite à s'étendre en explications, la notion de crédibilité quitte peu à peu "Lake Bodom" et ses acteurs au vu du décalage entre les causes futiles et la gravité de la situation ainsi engendrée (l'héroïne semble d'ailleurs se poser les bonnes questions plus que tardivement). Repartant sur la piste d'un survival basique, le troisième acte, lui, ne pourra compter que sur l'aura de mystère entourant le passif du lac Bodom pour tenter de transcender la teneur des évènements dévoilés en guise de conclusion.
Visuellement léché et astucieux dans son schéma narratif, "Lake Bodom" se perd hélas en cours en route sur la gestion de ses twists vis-à-vis de ses personnages en ne parvenant plus à nous faire croire en eux à force d'explications hasardeuses. Au final, on a le sentiment d'un film qui s'est vu trop vite comme très malin alors que les piliers sur lesquels il reposait son ambition n'étaient pas consolidés.
Faits divers mystérieux qui a traumatisé tout un pays, le fantasme entourant les assassinats du lac Bodom ne pouvait qu'alimenter à un moment ou à un autre le cinéma de genre. Après un found-footage hongrois ("Bodom"), c'est au tour d'un finlandais lui-même, Taneli Mustoten, plus connu pour ses comédies, de coécrire et de réaliser un long-métrage autour du sujet.
De nos jours, quatre adolescents retournent camper près du fameux lac pour tenter de reconstituer les évènements de 1960 et étudier la possibilité d'une nouvelle piste. Bien entendu, dans le genre "pas la plus brillante des idées à avoir", leur démarche se place en tête de liste au vu des événements tragiques qui vont suivre...
Plutôt malin dans sa construction scénaristique en trois temps, "Lake Bodom" va néanmoins souvent se prendre les pieds dans le tapis de la crédibilité des motivations de ses personnages pour convaincre.
En effet, tout le récit est ici basé sur une question de faux-semblants qui rattrapent à un moment ou à un autre chacun des protagonistes de manière bien sûr violente. Si, dans le contexte archétypal de slasher forestier de la première partie, l'écriture typique du cinéma nordique et les interprètes apportent un gage de réalisme bienvenu en jouant avec les codes bien connus de ce type de film, celui-ci perd de sa superbe lorsque le twist de mi-parcours (pourtant bien vu) nous est révélé. Dès que les personnages concernés commencent ensuite à s'étendre en explications, la notion de crédibilité quitte peu à peu "Lake Bodom" et ses acteurs au vu du décalage entre les causes futiles et la gravité de la situation ainsi engendrée (l'héroïne semble d'ailleurs se poser les bonnes questions plus que tardivement). Repartant sur la piste d'un survival basique, le troisième acte, lui, ne pourra compter que sur l'aura de mystère entourant le passif du lac Bodom pour tenter de transcender la teneur des évènements dévoilés en guise de conclusion.
Visuellement léché et astucieux dans son schéma narratif, "Lake Bodom" se perd hélas en cours en route sur la gestion de ses twists vis-à-vis de ses personnages en ne parvenant plus à nous faire croire en eux à force d'explications hasardeuses. Au final, on a le sentiment d'un film qui s'est vu trop vite comme très malin alors que les piliers sur lesquels il reposait son ambition n'étaient pas consolidés.
Parti d'un fait divers sanglant et non résolu, ce film exploite tous les ressorts du film d'horreur mêlé de thriller sans réussir à convaincre tant l'histoire est tirée par les cheveux et les "rebondissements" prévisibles... J'ai cependant bien aimé les jeunes acteurs même si ils sont stéréotypés, et les dernières minutes, simples et efficaces...
Nicothrash
Si la première partie est monstrueusement classique et peu palpitante, la seconde prend tout le monde à revers et relance considérablement l'intérêt. Les twists sont assez inattendus donc et la réalisation n'est vraiment pas vilaine, à l'instar des comédiens d'ailleurs. Et puis il y a deux ou trois scènes marquantes tant au niveau de l'image que de la bande son, si seulement tout le métrage était à ce niveau, Lake Bodom eut été excellent. Mais il faudra se contenter de cette série B inégalé mais plutôt réussie dans l'ensemble. À noter que le rapport au véritable massacre de Bodom n'est qu'un prétexte.
Cinéphiles 44
Les meurtres du lac Bodom sont une affaire criminelle du 5 juin 1960, au cours de laquelle trois adolescents qui campaient ont été tués et un quatrième sévèrement blessé. Taneli Mustonen s’est emparé de cette histoire pour ce film d’horreur. Hélas, si la première partie de la réalisation finlandaise tient la route, le revirement de situation est tout à fait ridicule. Quoique jamais effrayant, le début installait au moins une atmosphère évidente pour le genre. Mais la suite part trop loin et change complètement le fait divers initial. La mise en scène quant à elle, laisse à désirer. Les effets de styles employés par les techniciens ne correspondent jamais aux conditions dans lesquels devraient être les personnages.
D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
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Le début est pas trop mal, puis c'est le drame. D'un coup, ça devient pas du tout crédible et plus les minutes avancés plus la crédibilité n'est plus au rendez-vous.
Un film qui m'a quelque peu rappelé The Town That Dreaded Sundown, reconstruisant un "fait réel" où un tueur sévit sans mobile apparent, sauf que là il s'agit bien d'une interprétation, le réalisateur reprend la toile de fond pour mettre en avant ses personnages, s'intéresser à leur histoire, leur intimité, et à ce niveau là j'ai trouvé la première demi-heure vraiment pas mal, les dialogues sont plutôt simples en apparence mais ont le mérite d'avoir un minimum de crédibilité. Seulement lorsque le film bascule dans le thriller machiavélique je me suis retrouvé un peu hagard, de passer d'une certaine sobriété à un déploiement de codes de cinéma archi revus, ça traine et le suspense ne se renouvelle que trop tardivement, pour en plus déboucher sur un final manquant de radicalité, le genre de truc qui aurait pu sauver les meubles, à la place on reste passif, comme devant n'importe quelle série B lambda.
Petite curiosité finlandaise qui malgré tout échoue à partager ce fait divers, continuant apparemment d'interroger et de fasciner la population locale près de 50 ans après, sa spécificité méritait sans doute de rester dans un flou absolu, simplement des personnages qui se livrent au milieu d'un cadre brumeux, faire de l'horreur un vide soudain.
Petite curiosité finlandaise qui malgré tout échoue à partager ce fait divers, continuant apparemment d'interroger et de fasciner la population locale près de 50 ans après, sa spécificité méritait sans doute de rester dans un flou absolu, simplement des personnages qui se livrent au milieu d'un cadre brumeux, faire de l'horreur un vide soudain.
Un scénario qui aurait pu apporter quelque chose de nouveau, mais qui ne fait que recycler des idées maintes fois éventées... Dommage...
La première moitié du film finlandais enchaîne les clichés des productions horrifiques de camping jusqu’au revirement de scénario, pourtant bienvenue pour son vent de fraîcheur, mais qui propose un enchaînement d’événements peu crédibles. Le problème réside principalement au niveau des motivations de nos personnages, carrément insensées.
"Lake Bodom" prend un fait divers sordide pour planter son décor, très joli d'ailleurs. On s'attend donc à un simple slasher, jusqu'à ce qu'un revirement de situation inattendu vienne tout bousculer ! Malgré un scénario bien mené de bout en bout, j'ai cependant été déçu par la réalisation que j'ai trouvé trop plate, surtout pendant les 20 premières minutes. Hormis cela, il s'agit là d'un très bon film.
Il serait dommage de ne pas visionner ce Lake Bodom.
Dans le genre Slasher , le film s'en sort plus qu’honnêtement contrairement a de nombreuses autres production dans le genre moins généreuse et inintéressante . Dans une première partie construite autour de faits réels on apprécie la performance des jeunes acteurs moins stéréotypé que d'accoutumer En revanche la ou le film s'enlise quelques peu c'est lors de la révélation du twist final mi-film et dont les motivations sont quelques peu poussives. Les flashbacks par ailleurs ne permettent pas de clarifier une situation déjà bien avancée et même les personnages finissent par se poser des questions un peu tardivement...Même s'il ne manque pas d'originalité Lake bodom aurait méritait 20 minutes supplémentaires permettant de mieux ficeler les tenant et aboutissants et permettant une meilleur immersion du spectateur notamment lors de la dernière partie, repartant dans le slasher brutal et sans concession.
Dans le genre Slasher , le film s'en sort plus qu’honnêtement contrairement a de nombreuses autres production dans le genre moins généreuse et inintéressante . Dans une première partie construite autour de faits réels on apprécie la performance des jeunes acteurs moins stéréotypé que d'accoutumer En revanche la ou le film s'enlise quelques peu c'est lors de la révélation du twist final mi-film et dont les motivations sont quelques peu poussives. Les flashbacks par ailleurs ne permettent pas de clarifier une situation déjà bien avancée et même les personnages finissent par se poser des questions un peu tardivement...Même s'il ne manque pas d'originalité Lake bodom aurait méritait 20 minutes supplémentaires permettant de mieux ficeler les tenant et aboutissants et permettant une meilleur immersion du spectateur notamment lors de la dernière partie, repartant dans le slasher brutal et sans concession.
Bof bof ! clichés, improbabilités et situations attendues ponctuent ce film. Aucune inventivité et plus proche d'un drame qu'un thriller. 1.5/5 !!!
Le genre de film qui se vend essentiellement par son "tiré d'histoire vraie" et nous avons pour le coup, l'exemple parfait de la belle et grosse arnaque. Un film ennuyant qui évidemment ne fait que supposer un cas réel du point de vue du réalisateur. C'est un parfait somnifère.
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