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    The Disappearance Of Eleanor Rigby: Them
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    14 critiques spectateurs

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    7eme critique
    7eme critique

    471 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 février 2015
    Pour juger l’œuvre, et surtout l'excellent concept (sur le papier en tout cas...pour le moment), il faudra se pencher sur ces trois visions différentes qui s'articulent autour d'une même relation, à savoir la leur (Them) qui synthèse les deux visions du couple, celle de la femme (Her), et celle de l'homme (Him). "The disappearance of Eleanor Rigby" dispose donc d'un concept novateur et particulièrement stimulant. Inutile de vous dire qu'en regardant une seule phase de ce nouveau genre, soit un tiers du film, l'effet ne sera donc pas au rendez-vous. On assiste à une histoire d'amour, très crédible et un peu plus profonde que les multiples niaiserie habituelles, mais on attendra de voir chacune des visions qui composent cette histoire pour avoir toutes les clés en main, et espérer voir la magie du concept opérer.
    kingbee49
    kingbee49

    30 abonnés 589 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 février 2016
    Je me suis contenté de « them » et je pense que ça suffit bien pour ce genre de concept, sinon, ça devient très vite du rabâchage… Le film ne brille pas par sa mise en scène mais sait ménager quelques jolies séquences pleines d’émotion spoiler: notamment vers la fin avec les retrouvailles du couple dans la pénombre
    . Globalement, si Ned Benson a su éviter le piège du pathos pour se concentrer sur la solitude des personnages et leur manière de vivre le deuil, il semble abuser d’une forme de retenue là ou il aurait parfois fallu quelque chose de plus fort, de plus explicite. Sans compter quelques clichés et des choses bien approximatives comme
    le rôle de la prof, tenue par Viola Davis, et surtout le couple des parents d’Eleonor, avec un William Hurt en vieil ours psychologue nostalgique de Paris et Isabelle Huppert, qui ne semble être là que pour justifié la qualité « France », un verre de vin à la main. Cela donne un étrange sentiment de fabriqué. Reste que les deux acteurs principaux sont formidables. James Mc Avoy à cette nonchalance tragique et Jessica Chastain est d’une justesse bouleversante… Rien que pour eux ("them", donc), on pardonnera les bémols cités précédemment et on aimera les suivre jusqu’au bout, jusqu’à cette balade nocturne, nonchalante et intense, comme la vie.
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    38 abonnés 1 093 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 août 2016
    Un film long (3 parties : elle, lui et eux) et confus : on découvre péniblement qu’un couple vient d’éclater spoiler: suite à la mort de leur enfant en bas âge
    , la mère Eleanor (dont les parents étaient fans des Beatles !) s’étant jetée d’un pont de New York. Elle reprend des études, sans conviction [son professeur, interprété par Viola Davis (qui jouait aussi dans « La couleur des sentiments »), est excellent avec son regard désabusé sur la famille] avant de repartir à Paris terminer sa thèse d’anthropologie. Le sujet (douloureux) avait déjà été mieux traité dans le film, « Love and other impossible pursuits » (2010) de Don ROOS avec Natalie Portman.
    FaRem
    FaRem

    7 522 abonnés 8 881 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 5 février 2015
    Je n'ai vu ni "Him" ni "Her" donc je ne sais pas si ça a pu avoir une incidence sur mon jugement, mais je n'ai pas du tout accroché à ce film qui est gâché par une certaine nonchalance dans le rythme et le traitement avec un construction style puzzle qui n'aide pas à moins que ça soit l'histoire qui n'est pas assez forte, je ne sais pas en tout cas quand ça ne veut ça ne veut pas malgré une grande Jessica Chastain.
    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    226 abonnés 2 883 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 juillet 2019
    Pfff la barbe ! Et une barbe de 3h10 en plus ! Ce n'est pas de veine ! La première partie est franchement loin d'être palpitante tant il ne se passe rien et tant les personnages sont antipathiques et j'attendais avec impatience la secondes partie en me disant qu'on allait gagner en profondeur et qu'on allait enfin avoir des confidences sur le drame qu'a vécu le couple mais pensez-vous ? C'est encore pire, c'est encore plus froid et la présence d'Isabelle Huppert m'a horripilé ! Bref un film insipide et bobo sans aucun intérêt !!
    ffred
    ffred

    1 516 abonnés 3 972 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 avril 2015
    La même histoire vue sous l'angle de plusieurs personnages n'est pas un procédé nouveau. Cela peut donner des choses intéressantes (cf. Simon Werner a disparu). Mais la même histoire vue par les deux protagonistes principaux sur trois films est, sauf erreur de ma part, un projet inédit. Il y a Her, le point de vue féminin, Him, le point de vue masculin et Them (pas prévu au départ), une synthèse des deux. Ce dernier, vu seul, fait un peu figure de super bande-annonce pour les deux autres. Mais on reste sur notre faim. L'envie est donc forte de voir les deux autres films et de découvrir en détail l’histoire de chacun après l'évènement tragique et la rupture. On entre alors avec un certain bonheur dans leurs intimités respectives. Les personnages sont, du coup, parfaitement développés. Les seconds rôles de Them aussi (surtout les parents). Le casting est de choix. Jessica Chastain est comme toujours parfaite. James McAvoy est vraiment très convaincant (un des ses meilleurs rôles avec Ordure !). Ciaran Hands, William Hurt et Isabelle Huppert (qui a un verre de vin à la main dans toutes ses scènes sans exception, bonjour les clichés sur les français !) incarnent les parents. Avec aussi Viola Davis en prof de fac. Les deux volets sont assez différents. Eleanor veut aller de l'avant et changer de vie. Connor veut retrouver sa vie d'avant. Au final, on passe un très bon moment devant chacun des trois films. C'est émouvant sans être pathos, chacun des deux membres du couple est touchant et attachant à sa manière. The disappearance of Eleanor Rigby n'est sans doute pas un chef d'oeuvre mais voilà un concept qui sort de l'ordinaire surtout pour un premier long métrage (Ned Benson est réalisateur, scénariste et producteur). Un très beau film sur le deuil, l'amour, le couple. Tout s'emboite parfaitement dans une ambiance particulière. Mon conseil est donc de voir Them, puis Her et Him, ou l'inverse, pour avoir bien tout en mémoire. Pas de sortie en salles dans de nombreux pays, seul Them est sorti aux USA. En France, les trois versions sont disponibles sur Netflix seulement. Dommage, il va donc être peu vu...
    Alasky
    Alasky

    293 abonnés 3 089 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 novembre 2017
    La deuxième partie du film s'essouffle beaucoup à mon goût, c'est pourquoi je mets une note basse, dommage car le début m'avait bien emballée. Le casting est brillant avec notamment Jessica Chastain, James McAvoy et Isabelle Huppert pour ne citer qu'eux. Beaucoup trop de longueurs malgré une trame sensible.
    Hastur64
    Hastur64

    197 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 novembre 2016
    Sur une même histoire Ned Benson a réalisé trois longs-métrages, selon qu’on se place du côté du personnage masculin, du personnage féminin ou de l’alternance des deux. Pour être honnête, j’ai eu la flemme de me fader la même histoire surtout que l’ensemble fait au final pas loin de 5 heures ; je me suis donc contenté de la version alternant les points de vue des deux personnages (“The disappearance of Eleanor Rigby : Them”). Et très franchement, je ne regrette pas mon choix tant le film s'est avéré, quoique sympathique, pas franchement enthousiasmant. On est sur les thématiques de multiples fois abordées du deuil, du couple, de l’amour, de qui on est, d’est-ce qu’on change et est-ce du fait de l’âge ou des tragédies de la vie… et caetera. Sur deux heures tout cela, sans être ennuyeux, peine à créer un intérêt extraordinaire. Le casting est bon, sans contestation, mais même ces excellents acteurs peinent à donner aux péripéties dramatiques de ce couple récemment séparé une valeur extraordinaire. On se dit finalement que le seul réel intérêt que ce long-métrage a, c’est en comparaison avec les deux autres longs-métrages qui forment ce triptyque, pour peu évidemment qu’on est envie de passer cinq heures en compagnies des mêmes personnages à répéter trois fois les mêmes événements ! Un film pas indigent donc, mais dont la valeur se trouve plutôt dans l’ambition formelle que dans l’histoire et les thèmes que le réalisateur et scénariste a voulu exprimer. Pas inintéressant, mais pas vraiment indispensable sauf si vous êtes un passionné de cinéma ou un étudiant en cinéma (il n’est d’ailleurs sorti que dans une dizaine de pays).
    John Henry
    John Henry

    99 abonnés 705 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 janvier 2015
    Je n'ai pas vu : them mais him & her. Sauf que, après les avoir vus tous les deux au cinéma, l'un à la suite de l'autre, je ne peux pas émettre d'avis tranché sur chacun des films. Le film c'est avant tout deux visions de deux événements. La perte d'un bébé puis la rupture. Il y a beaucoup d'intelligence, énormément de finesse et de passages marquants dans ces deux films qui traitent chacun d'un sujet particulier. La rupture et son flot d'incompréhension pour lui. La perte d'un bébé et son lot de comportements qui en découlent pour elles. Elle ne rompt jamais avec lui. Elle veut se retrouver, vivre son deuil seul. Ce que lui ne comprend pas. Parce qu'il ne vit pas les événements de la même manière.

    J'ai adoré l'intelligence des personnages, leurs émotions. Les relations incroyables qu'entretiennent chacun des personnages avec leur famille, il y a quelque chose de pathologique chez chacun d'eux et pourtant c'est quelque chose d'incroyablement universel.

    Le film est un condensé de nos vies, uniques, universelles, semblables, si différentes. La disparition d'Eleanor Rigby est en tout cas un film atypique, dans son traitement et dans sa narration. Une vraie réussite.
    tristan stelitano
    tristan stelitano

    49 abonnés 1 126 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 décembre 2018
    James McAvoy et Jessica Chastain forme tout deux, un couple brisé par la séparation et le deuil de la perte de leur enfant. Un drame romantique réussit et touchant qui possède dans l'ensemble une grande force lyrique, le fond mélodramatique prenant n'est pas exempt des habituels défauts du cinéma indépendant américain. Au-de-là de ces défauts, le film est une surprise.
    BeatJunky
    BeatJunky

    126 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 novembre 2015
    Je savais bien que j'aurais dû le regarder avant ce film! Chastain et MacAvoy à l'affiche d'un drame de Ned Benson m'attirait depuis longtemps et c'était justifié parce que le film est vraiment bon! Pas la peine d' épiloguer sur l'interprétation qui est évidemment extra : de Chastain à MacAvoy en passant par les seconds rôles comme I.Huppert ou Viola Davis, tous sont excellents et tiennent un rôle intéressant dans un scénario non moins excellent et surtout très touchant. La mise en scène est en plus impeccable, juste comme il faut pour plonger le spectateur dans cet après-drame dont on ne saura finalement que peu de choses. Bizarrement, le mystère autour de cette disparition importe peu, elle ne perturbe pas outre mesure puisque l'objectif ici était d'observer ses conséquences sur le couple. Et c'est justement grâce à l'interprétation de Chastain (probablement l'une des meilleures dans le genre!) et de MacAvoy (qui confirme tout son potentiel dramatique après de bonnes perf dans "ordure" .... Sait faire autre chose que le X-man!) avec leur regard (encore plus que leurs paroles!) que le film sonne si sincère et si émouvant. 2h00 à regarder ce couple essayer de se relever, de se comprendre, d'accepter la réaction de l'autre face à la perte d'un enfant... Un sacré défi que le metteur en scène aura relevé haut la main sans jamais tomber dans l'émotion facile. Toujours juste, le film ne pourra que vous toucher! Bizarrement passé inaperçu chez nous, ne le loupez pas si vous en avez l'occasion!
    Oriwa
    Oriwa

    54 abonnés 898 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 février 2015
    Je n'ai pas encore vu Her et Him (et je n'attends que ça !) donc impossible de parler de la qualité du concept pour le moment, mais ce Them est déjà magnifique, mystérieux et bouleversant... L'histoire reste banale mais la mise en scène, les répliques, les couleurs, les acteurs, la musique, apportent une touche à la fois fraîche et lourde de tristesse, de mélancolie, de non-dits... C'est beau.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 2 décembre 2014
    Pour la petite histoire, l’actrice et le réalisateur, Ned Benson, se sont rencontrés lors d’un festival en… 2003. Et cette rencontre fut l’élément déclencheur de la construction de ces films. Dix ans et deux nominations aux Oscars plus tard, The Disappearance of Eleanor Rigby est diffusé au Festival de Toronto. Le public et la presse découvraient alors ce jeune couple New-Yorkais, en proie à de vifs doutes suite à un événement tragique survenu dans leur vie. En somme, nous avons là le résumé d’une petite rom-com que nous assène chaque année le Cinéma. Après tout, si la boîte de chocolat et les mouchoirs existent, c’est bien parce qu’ils doivent être utilisés pour ce genre de film. Mais voilà, Benson a pris un autre chemin et a décidé de ne pas faire un film mais deux, tout en reprenant la trame de base pour chacun. Ce procédé permet alors d’explorer deux points de vue distincts.

    D’abord, il y a celui de Connor (James McAvoy) avec Him, racontant comment il supporte l’absence de sa femme. Puis, il y a Her, relatant alors le quotidien de Eleanor (Jessica Chastain), après avoir décidé de s’éloigner de cette vie qui commençait à la consumer. Ce découpage assez singulier permet d’approfondir très judicieusement la psychologie des deux protagonistes. Malgré leurs différences, le travail de Benson permet un apport de complémentarité pour chacune des deux parties. Le destin des personnages se dénoue, et s’entremêle au fur et à mesure que nous avançons dans les deux films. Nous les observons, et le regard du spectateur remarquera une différence de ton entre ces derniers. Alors que Him semble plus morose, Her paraît plus affriolant, ensoleillé, comme si le fait d’avoir quitté son mari était salvateur. La photographie accompagne cette douce mélancolie avec finesse, et définit l’état d’esprit de Connor et Eleanor. De plus, les personnalités sont retranscrites sous des angles différents. L’écriture n’en est que plus réaliste, puisque chaque individu fait son deuil de manière distincte. L’œuvre n’étant pas exempte de défauts, on regrettera cette prise de position dans Him, qui fait penser à l’homme qu’une femme est sans nul doute l’élément perturbateur de cette relation houleuse. A partir de là, un déséquilibre entre les deux se ressent, puisque aucun jugement ne ressort du point de vue féminin. Finalement, Ned B. rend son ensemble bancal, malgré la volonté de ne jamais tomber dans les a priori agrémentant la majorité des drames romantiques.

    Voir la critique entière sur le blog.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 18 février 2015
    Un film globalement bon mais qui a pas mal de défaut sur le plan de la realisation. En effet, l'utilisation massive du flou d'arrière-plan devient agacant au bout d'un moment, on à l'impression que le réalisateur vient juste de découvrir un nouvel effet sur sa caméra et s'empresse de l'utiliser à toutes les sauces. En terme de photographie, pas de plan époustouflant d'esthétisme et on a trop l'impression d'être sur une suite de scènes plus qu'un puzzle qui s'emboite parfaitement. A cela s'ajoute le fait que c'est un film lent ce qui n'est pas péjoratif en soi sauf que là ça manque franchement de rythme (on passera sous silence les clichés sur les français, buveurs de vin à longueur de journée et fumeurs sur le même rythme).
    Sinon l'histoire est vraiment bien faite, toute en suggestions, il s'en dégage une douce mélancolie. Le film est clairement sauvés par des acteurs principaux très justes et dans un jeu naturel. La BO quant à elle fait clairement partie des points forts du film
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