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Un biopic affreusement trop long (2h39 !), d’autant que l’on se retrouve vite sous l’avalanche kaléidoscopique des images et même de la musique, que cela en devient vite usant. On peut saluer les prestations d’Austin Butler (Elvis) et de Tom Hanks (le colonel Parker). Par contre, autant le colonel prend de l’âge dans son apparence physique, autant l’Elvis garde pratiquement tout au long du film son apparence de jeune de 18 ans. À peine quelques gros plans d’un visage bouffi apparaissent-ils en un éclair à la toute fin. Un navet qui n’est pas à la hauteur de la vedette dont il a voulu parler.
Pour ma part je préfère le film de 2005 "Elvis : une étoile est née" avec Jonathan Rhys-Meyers, qui est vraiment meilleurs en Elvis.
C'est une biographie d'Elvis Presley, un chanteur mythique mais méconnu en fait, et ce film nous en apprend beaucoup sur lui, sa vie, et son manager, le Colonel Parker. Dans ce sens, ce film est à voir et les performances du jeune Austin Butler et du senior Tom Hanks sont plutôt bluffantes. Ce n'est pas pour moi un grand film mais il y a beaucoup de rythme, et d'action et c'est donc un bon divertissement.
Quand on est fan de rock'n'roll et encore davantage quand on l'est d'Elvis Presley, on demeure évidemment curieux de ce biopic sur cette icône de la musique. On commence même à le regarder avec le frein à main, sans doute par anticipation d'être déçu. Et bien, on en est ravi de ce film signé Baz Luhrmann ! Bien sûr, au début le montage vous fait mal à la tête à force de faire sauter les images et on craint que le film soit comme ça tout du long. Mais après quelques minutes, le tempo trouve son rythme. On connaissait évidemment les grandes lignes de la vie de la star américaine qu'était Elvis, mais on en apprend également quelques peu sur son manager le Colonel Parker et les relations familiales que le chanteur pouvait avoir. Le casting est très convaincant, mentions spéciales à Austin Butler et Tom Hanks. On sort de ce film plus que satisfait. Une réussite ! Rock'n'roll !
Fans de biopics réussis, c'est ici ! L'acteur principal est excellent et j'ai adoré la voix narrateur du producteur ! Cela permet de s'intéresser à cet artiste et son histoire assez méconnue de nos jours ! L'invention du marketing, les trahisons et petits secrets, la famille. Le film traite d'un bon ensemble d'éléments. Avec forcément quelques extraits musicaux mais sans en abuser !
Les maquillages sont bluffants !
3,8/5
Les maquillages sont bluffants !
3,8/5
déçue de cette réalisation certes électrisante mais dont le rythme et les choix esthétiques ne m'ont pas du tout convaincue. j'avais adoré moulin rouge car l'exercice de la comedie musicale cabaret s'y pretait, mais là je n'ai rien appris sur elvis , son passé, sa manière de composer.. on y perd l'émotion sincère, alors qu'il y avait de quoi faire, dommage.
Principalement axé sur la relation d'Elvis P avec le colonel Parker, le film montre comment celui-ci , en fit une vedette, mais en essayant toujours de le manipuler à outrance.
Le réalisateur se lâche sur les effets de paillettes mais l’extravagance étouffe la vision originelle de l'homme, ses émotions.et son évolution On passe 2h39 à nous détourner du véritable personnage sous un océan de lumière et d’effets du côté de l’exploiteur
Elis avait un talent fou et spoiler: (comme le dit le texte final)
c’était un phénomène musical et culturel toujours actuel.
C’est plutôt sur cet axe qu’on aurait aimé voir se développer le film
Reste les moments de show de la "bête de scène", habitée par l’amour de son public et formidablement servie par l’interprétation tout en nuances d’Austin Butler.
Le réalisateur se lâche sur les effets de paillettes mais l’extravagance étouffe la vision originelle de l'homme, ses émotions.et son évolution On passe 2h39 à nous détourner du véritable personnage sous un océan de lumière et d’effets du côté de l’exploiteur
Elis avait un talent fou et spoiler: (comme le dit le texte final)
c’était un phénomène musical et culturel toujours actuel.
C’est plutôt sur cet axe qu’on aurait aimé voir se développer le film
Reste les moments de show de la "bête de scène", habitée par l’amour de son public et formidablement servie par l’interprétation tout en nuances d’Austin Butler.
Un biopic au style original, au rythme endiablé et à la mise en scène pétillante qui s’intéresse plus aux démêlés d’Elvis avec son agent qu’à sa propre personnalité, et c’est quelque part dommageable... La prestation d’Austin Butler est remarquable tout en gardant une relative sobriété et l’ambiance des années 50 bien traduite, avec la country, les cheveux gominés, le succès qui rend les filles hystériques, et les critiques du rock qui « abaisse le blanc au rang de nègre... » Le film se concentre ensuite sur les magouilles du « colonel », son agent, qui le contraindront aux concerts de Las Vegas.
Pas mal, on apprend des choses sur la vie d'Elvis, la connaissant mal moi-même. "Elvis le pelvis" voilà ce que je retiendrai et certaines musiques entrainantes et l'acteur principal joue bien. Cependant la 1ère moitié est assez cacophonique à cause du montage croisé et fait mal à la tête. L'angle du manager "Colonel" est finalement malaisant du fait de son escroquerie. La 2ème moitié plus triste de fin de règne est mieux.
J'ai aimé mais... Je trouve qu'on a un peu survolé le vrai Elvis. J'aurais voulu en savoir un peu plus sur lui... Et au final on ne connaît rien de plus de ce que l'on sait déjà... Dommage
Le doublage en français de la voix off du Colonel Parker est grotesque : on entend plus,en guise d ’accent américain, une mauvaise imitation d’un accent ....mi-allemand mi- hollandais !! on a même l'impressiond’entendre le chanteur Dave .....
Le film "Elvis" utilise efficacement la lumière pour créer une ambiance évocatrice et captivante. Les jeux de lumière mettent en valeur l'émotion et l'énergie de l'époque. Les décors du film offrent une immersion authentique dans l'univers des années 1950, 1960 et 1970, recréant avec minutie l'esthétique de l'époque. Que ce soit dans les studios d'enregistrement, les salles de concert ou les quartiers de Memphis, les décors ajoutent une profondeur visuelle à l'histoire. Les costumes contribuent à donner vie aux personnages et notamment celui du King et à l'époque dans laquelle le film se déroule. Les vêtements portés par les acteurs reflètent avec précision le style et la mode des années Elvis Presley, ce qui renforce l'authenticité de l'ensemble. Austin Butler offre une performance remarquable dans le rôle d'Elvis Presley. Sa capacité à mettre en œuvre l'esprit et l'énergie du célèbre chanteur est impressionnante, et il mérite certainement sa nomination aux Oscars pour cette interprétation mémorable.
C'est sûrement le meilleur film sur Elvis Presley.
Maîtrisé de bout en bout, le début peut faire peur par sa frénésie et son côté un peu "clip". Mais en découvrant l'esthétique du réalisateur, tout prend son sens au fur et à mesure du film.
A travers la vie très bien conté de la star, je ne peux pas dire si tout est vrai, le réalisateur superpose le visage de l'Amérique à celui du duo d'Elvis et du colonel. Sans parti pris, avec toutes les nuances possible, on découvre le double visage du chanteur, celui d'un enfant blanc pauvre de l'Amérique des supers héros et de l'enfant noir dans toute sa culture spirituelle, social et musicale. L'identité d'une Amérique poussée par une mue qui se propagera dans tout l'occident, par tous les canaux possible. L'identité d'une des étincelles du "Big bang" de la jeunesse d'après-guerre.
Maîtrisé de bout en bout, le début peut faire peur par sa frénésie et son côté un peu "clip". Mais en découvrant l'esthétique du réalisateur, tout prend son sens au fur et à mesure du film.
A travers la vie très bien conté de la star, je ne peux pas dire si tout est vrai, le réalisateur superpose le visage de l'Amérique à celui du duo d'Elvis et du colonel. Sans parti pris, avec toutes les nuances possible, on découvre le double visage du chanteur, celui d'un enfant blanc pauvre de l'Amérique des supers héros et de l'enfant noir dans toute sa culture spirituelle, social et musicale. L'identité d'une Amérique poussée par une mue qui se propagera dans tout l'occident, par tous les canaux possible. L'identité d'une des étincelles du "Big bang" de la jeunesse d'après-guerre.
Baz Luhrmann nous entraîne dans son tourbillon habituel, enchaînant les tableaux de chants survoltés et colorés. Le jeune Austin Butler est convaincant, campant un Elvis sensuel et désenchanté. L'histoire est fidèle à la biographie du King, mais ces successions de séquences survoltées cachent un peu l'émotion qu'on attend d'un biopic.
Je me suis ennuyé et je n'ai pas retrouvé Tom Hanks je pense qu'il a trop était maquillé et j'ai eu du mal à le reconnaître.
Et la voix narratrice était soulante.
Film surcoté.
Et la voix narratrice était soulante.
Film surcoté.
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