Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Transfuge
par Sidy Sakho
"Tu dors Nicole" est une petite merveille somnambulique (...) Stéphane Lafleur installe calmement mais sûrement une fable désarmante où tout devient pur délice pour l'oeil, les oreilles, le coeur. Une certaine idée du film rêvé.
aVoir-aLire.com
par Marianne Renaud
"Tu dors Nicole" surprend par son atmosphère feutrée, parfois onirique, à l’humour léger, mais toujours servie par une mise en scène riche et soignée.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Carole Milleri
Sur un sujet simple et rebattu, Stéphane Lafleur réussit un film à la fois grave et espiègle, plein de petites inventions visuelles et sonores qui font de l’errance de Nicole un beau voyage sensoriel sur l’absurdité de la vie.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par La Rédaction
En noir et blanc, la chronique loufoque et fantaisiste d'un été raté, par un cinéaste québécois follement original.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
A l’aide d’une somptueuse palette noir et blanc, Stéphane Lafleur dessine les allées et venues de son héroïne banlieusarde avec un authentique sens du détail et de l’absurde.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Clémentine Gallot
Ce troisième long métrage alangui, qui fait suite à "Continental, un film sans fusil" (2007) et "En terrains connus" (2011), atteste en tout cas de la bonne santé du cinéma québécois d’auteur, à mi-chemin des éclats de Xavier Dolan et de la recherche plastique d’un Denis Côté.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Cette chronique tendre d'une jeunesse qui s'ennuie sous le soleil canadien ne manque pas de charme, grâce au bagout des deux jeunes et jolies actrices et à la classe de sa photographie en noir et blanc.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Vincent Thabourey
"Tu dors Nicole" affiche une nonchalence plutôt gracieuse. (...) l'exotisme québecois de cette comédie nous plonge dans un état de bien-être fort plaisant et sa légèreté de ton et de jeu évite la pose "arty". C'est avec une grande bienveillance que nous suivons l'errance estivale de notre chère Nicole.
Première
par Eric Vernay
Attentif à la musique intérieure de ses personnages en quête d’harmonie, le réalisateur joue sur les dissonances plutôt que sur les décibels, livrant une comédie d’apprentissage au charme minimaliste.
La critique complète est disponible sur le site Première
TF1 News
par Romain Le Vern
Au prime abord, cette chronique de l'ennui ado sous un soleil noir peut sembler poseuse. Mais l'illusion est brève : ce climat somnambulique reflète le spleen existentiel de l'héroïne, aux aguets de l'étrangeté et du déraillement, attendant telle une princesse désenchantée qu'on vienne la délivrer de son grand sommeil.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Mathilde Blottière
Loin des répliques pétaradantes des comédies plus calibrées, le piquant du film vient aussi de cet humour placide, à froid. Sans l'affadir, il dédramatise l'amertume des premières désillusions, amoureuses et amicales. Et déniaise le récit d'apprentissage au féminin.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Isabelle Régnier
Le film a sa musicalité propre – une texture déliée, quasi liquide, qui glisse sur les stéréotypes et rebondit au gré de ses caprices
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Studio Ciné Live
par Clément Sautet
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Cahiers du Cinéma
par Laura Tuillier
Un comique anxiogène assez singulier, qui ne va pas pourtant sans quelques excès fantaisistes et formels gênants.
L'Obs
par François Forestier
C'est en noir et blanc, c'est joli, mais tabernak! on s'emm...nuie autant que Nicole.
Transfuge
"Tu dors Nicole" est une petite merveille somnambulique (...) Stéphane Lafleur installe calmement mais sûrement une fable désarmante où tout devient pur délice pour l'oeil, les oreilles, le coeur. Une certaine idée du film rêvé.
aVoir-aLire.com
"Tu dors Nicole" surprend par son atmosphère feutrée, parfois onirique, à l’humour léger, mais toujours servie par une mise en scène riche et soignée.
Critikat.com
Sur un sujet simple et rebattu, Stéphane Lafleur réussit un film à la fois grave et espiègle, plein de petites inventions visuelles et sonores qui font de l’errance de Nicole un beau voyage sensoriel sur l’absurdité de la vie.
La Croix
En noir et blanc, la chronique loufoque et fantaisiste d'un été raté, par un cinéaste québécois follement original.
Les Inrockuptibles
A l’aide d’une somptueuse palette noir et blanc, Stéphane Lafleur dessine les allées et venues de son héroïne banlieusarde avec un authentique sens du détail et de l’absurde.
Libération
Ce troisième long métrage alangui, qui fait suite à "Continental, un film sans fusil" (2007) et "En terrains connus" (2011), atteste en tout cas de la bonne santé du cinéma québécois d’auteur, à mi-chemin des éclats de Xavier Dolan et de la recherche plastique d’un Denis Côté.
Paris Match
Cette chronique tendre d'une jeunesse qui s'ennuie sous le soleil canadien ne manque pas de charme, grâce au bagout des deux jeunes et jolies actrices et à la classe de sa photographie en noir et blanc.
Positif
"Tu dors Nicole" affiche une nonchalence plutôt gracieuse. (...) l'exotisme québecois de cette comédie nous plonge dans un état de bien-être fort plaisant et sa légèreté de ton et de jeu évite la pose "arty". C'est avec une grande bienveillance que nous suivons l'errance estivale de notre chère Nicole.
Première
Attentif à la musique intérieure de ses personnages en quête d’harmonie, le réalisateur joue sur les dissonances plutôt que sur les décibels, livrant une comédie d’apprentissage au charme minimaliste.
TF1 News
Au prime abord, cette chronique de l'ennui ado sous un soleil noir peut sembler poseuse. Mais l'illusion est brève : ce climat somnambulique reflète le spleen existentiel de l'héroïne, aux aguets de l'étrangeté et du déraillement, attendant telle une princesse désenchantée qu'on vienne la délivrer de son grand sommeil.
Télérama
Loin des répliques pétaradantes des comédies plus calibrées, le piquant du film vient aussi de cet humour placide, à froid. Sans l'affadir, il dédramatise l'amertume des premières désillusions, amoureuses et amicales. Et déniaise le récit d'apprentissage au féminin.
Le Monde
Le film a sa musicalité propre – une texture déliée, quasi liquide, qui glisse sur les stéréotypes et rebondit au gré de ses caprices
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Cahiers du Cinéma
Un comique anxiogène assez singulier, qui ne va pas pourtant sans quelques excès fantaisistes et formels gênants.
L'Obs
C'est en noir et blanc, c'est joli, mais tabernak! on s'emm...nuie autant que Nicole.