Jamais je n'aurai cru tomber sur le charme comique, voleur et, non pas instinctif, mais dynamique de ces petites bêtes nettement moins "pelucheuse" que précédemment. Un royaume exotique, tropical et donc forestier, entre Inde et Mexique, là ou ils vénérés tel des divinités. La chine et le Japon vénèrent leur animaux à 4 pattes, L'Inde vénèrent ceux se déplaçant un coup sur les 4, l'autre sur 2 seulement. Un récit encore un peu plus court, ce qui devrait incessamment sous peu amener Disney nature à produire des courts-métrages.
Blagues à part, une aventure d'évolution, des famille, fraternité et de survie, de chasse et d'apprentissages mais surtout, de découvertes extérieur avec cette hallucinante scène, aussi comique que délirante et si bien mise en musique, de nos potes volant en rentrant en mode "Open bar" dans les maisons humaines Ecoles, domiciles, marchés et restos, tout y passe et rien à payer, sont trop fort mais sur un méga recul, quel foutoir, ce genre de pays à beau compter le milliard d'âmes, ils sont même pas capable de fermer, isoler voir sécurisé leur bâtiments. Sans parler des câbles électriques pendant à l'air libre par paquets de 20 à 2 mètres du sol, au risque de s'en prendre un en pleine face. Un merdier organiser ou plutôt, carrément mortel. 1h15/20 d'aventure dynamique avec les patriarches, conquêtes et conflits, le point fort "révolutionnaire" du film est l'utilisation de titres "pop" pour accompagner 2 séquences dont l'une, romantique
. Un vrai "tournant" technique. Un des derniers films du label avant l'arrivée imminente d'une certaine plateforme et donc, des derniers noms. Hâte.