Vu le 17/04/2022. Les Animaux fantastiques : Les crimes de Grindelwald est la suite des Animaux fantastiques (2016) et constitue le deuxième spin-off de Harry Potter. Ce long métrage de David Yates est également le dixième film de la franchise du monde des sorciers née de la plume de J. K. Rowling. Je n'avais pas forcément craqué pour le premier, je reste sur ma faim pour le deuxième opus, où j'ai eu du mal à entrer dans le film, du mal à comprendre ce qui se passait, j'ai du lire le résumé sur Wikipédia pour y comprendre quelque chose. Le casting est top, ça c’est un bon point du film : Eddie Redmayne (Norbert Dragonneau), Katherine Waterston (Tina Goldstein), Dan Fogler (Jacob Kowalski), Alison Sudol (Queenie Goldstein), Ezra Miller (Croyance (Credence) Bellebosse), Johnny Depp (Gellert Grindelwald), Zoë Kravitz (Leta Lestrange), Jude Law (Albus Dumbledore). Il est de bon ton d'avoir repris els memes acteurs que le 1er opus de 2016 pour assurer une continuité. Mais pourquoi diable avoir appelé le personnage joué par Ezra Miller "Croyance", ça fait féminin comme prénom, c’est franchement débile, bravo Miss Rawling! Pour le reste, les effets spéciaux sont toujours aussi formidables (quand ils sont aspirés par le seau près de la falaise par ex), le scénario tient la route quand on arrive à rentrer dedans et on obtient pas mal de choses sur les futurs épisodes de Harry Potter, c’est un peu comme un préquelle de HP en fait. Après il faut connaitre l'univers de JKR car y'a tellement de personnages et de noms, qu'on s'y perd,impossible de regarder cet opus sans avoir vu le 1. Un petit bémol pour le personnage de Dragonneau, je le trouve plat et mou, j'ai envie de lui mettre des claques pour le faire se bouger un peu. La dernière scène au cimetière du Père Lachaise vaut le coup d'oeil. Un bon divertissement dans l'univers de Potter et des moldus (pardon des Non-Maj') avec des effets spéciaux qui valent le coup (Nagini qui se transforme en serpent...)
Un cran moins bon que le fabuleux premier volet, cette suite offre un scénario plus décousu, que ce soit au niveau des intrigues familiales, diverses et pas vraiment utiles, qu'au niveau des changements incessants de lieux. Le troisième connaîtra d'ailleurs les mêmes défauts en plus navrant.
Les interprétations semblent devenir routinières et si quelques intéressants personnages nouveaux apparaissent (Leta Lestrange, Nagini), les autres sont ternes et n'apportent rien à l'histoire, à l'exemple de Nicolas Flamel, clin d'oeil inutile à la saga Harry Potter. C'est d'ailleurs bien là le principal défaut de ce film, bien plus encore du suivant, une accumulation de références à la saga de départ, jusqu'à l'écoeurement dans le troisième. On pourrait penser que ça sert juste à voiler une absence d'originalité scénaristique. A ce niveau, on pourra s'interroger sur l'intérêt des deux grandes scènes finales, certes magistrales mais sans grand rapport avec le reste : le discours manipulateur de Grindelwald et le combat dans le cimetière. Pour en finir avec les comparaisons, le premier opus demeure sans conteste le plus original des trois parce qu'il évite ce genre de biais.
Les costumes et les décors ont terni eux aussi tout comme la magie féérique qu'apportent ceux qui sont censés être les principaux protagonistes : les animaux.
Restons de bon compte malgré tout, si ce deuxième épisode est un peu décevant, le grand spectacle reste au rendez-vous grâce aux effets spéciaux. De ce côté, le film est réussi.
Ah, enfin une proposition à la hauteur, ce deuxième film est un vrai plaisir pour les yeux selon-moi. J’ai vraiment tout apprécié à propos de celui-ci et je trouve que c’est le plus réussi au niveau des émotions. Même si j’ai quand même un peu été déçu par la direction que prend Queenie Goldstein, qui est en soit compréhensible, c’est un très très bon film, qui donne vraiment enfin l’impression que l’on a des vrais enjeux et des vrais éléments en main.
Une suite au premier film incroyable. On y trouve des jeux d'acteurs géniaux, de très bons effets spéciaux et une histoire palpitante avec de nombreux retournements de situations. Le fantastique et encore bien présent et l'ambiance qui s'assombrit se ressent très bien.
L'histoire est un peu confuse, mais l'univers toujours aussi prenant. Le feeling années 30 fonctionne très bien et c'est un plaisir de se promener dans Paris. Les effets visuels sont très bons, les décors aussi, et les artistes ont toujours autant d'imagination pour créer des créatures intéressantes.
Le film donne très envie d'en savoir plus, et je regrette que la version longue soit pratiquement impossible à obtenir (même en l'ayant acheté je ne peux pas la voir... c'est dire).
Petite déception personnelle sur le sound design de certains passages, que ce soit la musique ou les effets, ça manque un peu de punch et le côté épique est en retrait. D'ailleurs, d'une façon générale toutes les scènes d'actions vont très vite, sont un peu confuse et même les personnages ne savent pas comment réagir (la scène à la fin est assez étrange de ce côté là).
Un bon film qui certes aurait pu être encore meilleur, mais qui réussi à continuer l'univers et à amener une suite.
Un seul mot me vient à l'esprit après la vision de ce film : déception. Autant le premier était réussi, autant celui ci...
Tout d'abord le film est bourré d'intrigues secondaires qui soit sont inutiles soit trainent en longueur. Ensuite il y a tromperie sur la marchandise . On nous parle dans le titre des crimes de Grindelwald, mais celui ci n'a qu'un rôle secondaire, le film devrait plutôt à la recherche de l'identité de Clarence , cela annoncerait plus la couleur. Enfin c'est bien de se baser sur l'univers Harry POTTER mais encore faut il le respecter , il va falloir m'expliquer comment le professeur mcgonagal peut enseigner dans ce film en 1927 et étant née en 1935 selon les Harry POTTER. Le sortilège d'amnésie ne rend plus amnésique si l'on a de bons souvenirs. Que l'on veuille faire revenir Jacob , je n'ai rien contre, mais on peut trouver un autre moyen de le faire revenir sans lui rendre la mémoire après un sortilège d'amnésie. Plus le film avance, plus on a l'impression de jr rowling détruit l'univers qu'elle a crée en modifiant tout. Il ne faudrait pas oublier la mise en scène calamiteuse à mon sens avec la scène de l'évasion de Grindelwald totalement ratée.
Le premier opus de cette nouvelle saga donnait le ton. Ce sera à la fois épique et intime. Et ce premier volet, je l’ai trouvé bon et alléchant. Voici donc la suite, toujours mise en scène par Yates, fonctionnaire de service.
Nous sommes peu après la fin du volet précédent. Le sorcier cryptonazi Grindelwald s’échappe de prison et tente de réunir des partisans pour mener à bien son projet de guerre. Notre héros, Norbert, est chargé par Dumbledore d’arrêter le sorcier. Bref, tout ce monde-là se retrouve à Paris.
Nous sommes tout à fait dans la continuité du premier volet, tant dans l’ambiance que dans l’intention, l’émerveillement en moins. L’intrigue fonctionne très bien et à l’échelle du monde (la partie Grindelwald), elle fonctionne mieux que dans le premier. A l’échelle des personnages, on épaissit le mystère mais c’est parfois de manière assez factice. On peine à comprendre l’intérêt de tous ces flash-backs, pas inintéressants du reste, pour l’intrigue générale. Comme si on épaississait la sauce pour donner une contenance au film. Reste que ça marche bien. A l’interprétation, c’est toujours aussi bon. Law en Dumbledore se montre convaincant mais surtout, Redmayne et Depp portent le film de bout en bout. Pour sûr, on pourra trouver un peu balourde la référence au nazisme et surtout, c’est cousu de fils blancs mais ceci mis à part, point de faute de goût dans cet ensemble homogène et cohérent.
En bref, un bon moment pour qui aime l’univers et l’installation dans la durée d’une « franchise » (comme ils disent) prometteuse si on accepte ce ciné-série. La suite ? On en reparlera.
LES ANIMAUX FANTASTIQUES 2 (2018): Les aventures de Norbert Dragonneau continuent dans l'entre deux guerres. Cette fois-ci, ce monde fantastique se déplace et nous propulse en Angleterre ainsi qu'en France. Paris, 1920/1930, ses vielles ruelles, ses bâtiments anciens, les premières voitures… des décors aux allures de vieilles cartes postales. Un univers qui s'ouvrira sur d'autres ministères de la magie, celui des anglais et des français. Le méchant, Grindelwald, dans cet épisode sera beaucoup plus présent, beaucoup plus développé et magnifiquement interprété par l'acteur Johnny Deep. Un film qui mettra l'accent sur la liberté d'aimer avec l'emblématique professeur Dumbledore, une jeunesse incarnée par un respectueux Jude Law. Norbert Dragonneau vit encore dans son propre monde, à la limite bêta, c'est bien dommage. Un grand plaisir de revoir certains personnages mais d'en découvrir d'autres. Plus sombre "Les Animaux Fantastiques 2" s'illustrera par des aspects gothiques, mais aussi par un montage extrêmement dynamique, la magie sera présente dans toutes les scènes. Une réalisation qui ne manquera jamais de souffle grâce à la baguette magique du réalisateur David Yates.
Je trouve que ce film était magnifique, tant par la qualité du jeu des acteurs que par le scénario. Gellert Grindelwald fait de l'intrigue quelque chose de très intéressant, impossible d'anticiper la suite comme on réussit à le faire dans les feuilletons ! Bien sûr, impossible de mettre 10/10 après avoir vu le N°3 ! Film très réussi à l'image du précédent et SURTOUT du suivant !
Les Animaux Fantastiques : Les Crimes de Grindelwald est la suite directe du 1er volet des Animaux Fantastiques à nouveau réalisée par David Yates. Dans cette suite, une ambiance beaucoup plus sombre est à noter, en partie du à l'arrivée de Grindelwald, magnifiquement interprété par Johnny Depp. Les autres acteurs sont toujours très bon, l'histoire est intéressante, en revanche le scénario écrit par J.K. Rowling pose quelques problèmes. Dans sa construction, il passe son temps à construire des évènements pour ensuite les déconstruire très rapidement ce qui est un peu lassant sur la longueur du film. En outre, il est dommage que Norbert Dragonneau soit un personnage "accessoire" qui semble parachuté dans l'intrigue plutôt que le personnage central, moteur des évènements. Ce deuxième volet est un peu moins efficace que son prédécesseur mais reste agréable à suivre.
Franchement je n’ai rien compris, je n’arrive pas à savoir où veut aller ce film, je ne lance pas perche hein ah ah ce film n’a ni queue ni tête rien pigé ! Il reste cependant beau à regarder…
très bonne suite de ce premier film, ce second film est encore meilleure grâce au talent de Johnny Depp qui rend le personnage de Grindelwald vraiment attachant et intéressant