Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Stéphane du Mesnildot
En sautant d’un point à l’autre du globe avec une facilité confondante, ce sont les petites productions de Gabriel Abrantes qui s’avèrent insolemment les plus synchrones de notre monde mondialisé.
Chronic'art.com
par Louis Blanchot
Le cinéma d’Abrantes s’emploie à échafauder aux quatre coins du globe des petites bulles fictives qui s’apparentent autant à des entreprises de détournement qu’à de sidérantes machines à récit.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
par Jean Roy
Changeant d'époque et de civilisation à chaque tentative, le jeune Gabriel Abrantes s'inscrit parmi les poètes de l'audace, à l'image d'un Apichatpong Weerasethakul.
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Trois courts métrages inventifs, tendres et parfois très drôles de Gabriel Abrantes, pleins de vitalité et de poésie. Un véritable plaisir.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
En trois films courts, Gabriel Abrantes montre donc qu’il ose tout, sait tout faire, maîtrise tous les genres, tous les styles, avec une totale liberté de ton : fiction élégiaque et documentée à la Miguel Gomes, rêverie orientaliste en costumes, farce géopolitique désopilante, le tout Rohmer’s style, c’est-à-dire avec une économie de moyens dont il tire le meilleur parti possible.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Julien Gester
Trois courts métrages suturés ensemble, qui nous sont présentés comme trois contes, mais sans doute faudrait-il dire plutôt trois farces, tant les récits pop et conceptuels se nourrissent d’une absurdité, d’une drôlerie carnassières pour décrire les stratégies individuelles qui président aux destinées collectives dans un espace psychogéographique postcolonial et mondialisé.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Eric Vernay
La frontière entre sublime (immeubles désossés en Angola) et trivial (scatophilie) s’estompe dans un grand télescopage de références pop, de saillies satiricoburlesques et de mythes anciens revisités avec une liberté de ton souvent jubilatoire.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site de Studio Ciné Live.
Le Monde
par Isabelle Regnier
Gabriel Abrantes est l'auteur d'une oeuvre hybride et débridée (...). Trois d'entre eux sortent aujourd'hui en salles, dans lesquels la circulation du désir entre les corps, la représentation frontale et ludique de la sexualité sont le support d'une critique du colonialisme (...). Belle idée, que ne travaille pas suffisamment la mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Critikat.com
par Raphaëlle Pireyre
Le beau duo Scob/Dosch parvient par moments à faire entrevoir les effets de raccourci entre crudité et naïveté, profondeur et superficialité, auxquels le film aimerait accéder sans y parvenir.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Cahiers du Cinéma
En sautant d’un point à l’autre du globe avec une facilité confondante, ce sont les petites productions de Gabriel Abrantes qui s’avèrent insolemment les plus synchrones de notre monde mondialisé.
Chronic'art.com
Le cinéma d’Abrantes s’emploie à échafauder aux quatre coins du globe des petites bulles fictives qui s’apparentent autant à des entreprises de détournement qu’à de sidérantes machines à récit.
L'Humanité
Changeant d'époque et de civilisation à chaque tentative, le jeune Gabriel Abrantes s'inscrit parmi les poètes de l'audace, à l'image d'un Apichatpong Weerasethakul.
Les Fiches du Cinéma
Trois courts métrages inventifs, tendres et parfois très drôles de Gabriel Abrantes, pleins de vitalité et de poésie. Un véritable plaisir.
Les Inrockuptibles
En trois films courts, Gabriel Abrantes montre donc qu’il ose tout, sait tout faire, maîtrise tous les genres, tous les styles, avec une totale liberté de ton : fiction élégiaque et documentée à la Miguel Gomes, rêverie orientaliste en costumes, farce géopolitique désopilante, le tout Rohmer’s style, c’est-à-dire avec une économie de moyens dont il tire le meilleur parti possible.
Libération
Trois courts métrages suturés ensemble, qui nous sont présentés comme trois contes, mais sans doute faudrait-il dire plutôt trois farces, tant les récits pop et conceptuels se nourrissent d’une absurdité, d’une drôlerie carnassières pour décrire les stratégies individuelles qui président aux destinées collectives dans un espace psychogéographique postcolonial et mondialisé.
Première
La frontière entre sublime (immeubles désossés en Angola) et trivial (scatophilie) s’estompe dans un grand télescopage de références pop, de saillies satiricoburlesques et de mythes anciens revisités avec une liberté de ton souvent jubilatoire.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Le Monde
Gabriel Abrantes est l'auteur d'une oeuvre hybride et débridée (...). Trois d'entre eux sortent aujourd'hui en salles, dans lesquels la circulation du désir entre les corps, la représentation frontale et ludique de la sexualité sont le support d'une critique du colonialisme (...). Belle idée, que ne travaille pas suffisamment la mise en scène.
Critikat.com
Le beau duo Scob/Dosch parvient par moments à faire entrevoir les effets de raccourci entre crudité et naïveté, profondeur et superficialité, auxquels le film aimerait accéder sans y parvenir.