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PaulGe G
108 abonnés
607 critiques
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2,5
Publiée le 4 janvier 2016
je ne suis pas banquier ni bercé dans ce monde. bien sur on connait tous la grande faillite des banques de 2008, mais ce n'est pas ce film qui vous la fera comprendre . la mise en scène est lourde et très très bavarde , le montage a l'emporte pièces n'arrange pas l'affaire et puis il y a des personnages et des personnages et du blabla , on ne s'ennuie pas trop mais c'est limite . méfiez vous des bandes annonce, elles trompent le monde comme les banques.
énorme déception que j'ai vécu avec ce film au casting superbe mais j'ai été le voir uniquement pour Brad Pitt dont je suis toute la carrière depuis 1998 mais entre les films de Noël comme STAR WARS et BELLE ET SÉBASTIEN, je me demande qui va aller voir pendant les fêtes BIG SHORT qui n’intéresse absolument pas les français ! conséquence : il y avait 5 personnes dans la salle :!
l'affiche est trompeuse en mettant Brad Pitt alors qu'on ne le voit en tout si on condense tout 10mn à l'écran ! et gros choc pour moi : il n'a pas sa voix française habituelle de Jean-Pierre Michael alors qu'il l'avait bien doublé sur la bande annonce, mais une voix inconnue atroce et trop grave !
pour le reste, les très bonnes critiques disent que même en y connaissant rien en finance et en banque on comprend tout eh bien moi j'ai rien compris du début à la fin !!! 2H10 d'ennui devant l'écran !
Pensum économique sur fond de dissertation cinématographique, cette nouvelle explication sur les déboires financiers de Wall Street est la plus opaque du lot. On pourra toujours revoir avec plaisir « Margin Call » de J.C Chandor, « Wall Street, l’argent ne dort jamais » d’Oliver Stone, ou « Krach » de Fabrice Genestal pour mieux saisir ce qu’a voulu nous expliquer Adam McKay. J’ai compris vaguement que sur des investissements douteux, des traders chargent la barque pour mieux la faire couler. Et comme le réalisateur-scénariste craint de ne pas être très clair, il invite de temps en temps des personnages hors-système (une blonde dans son bain moussant, un grand chef cuisinier…) à fournir des explications plus tangibles. Mais rien n’y fait, à force d’être complexe, l’écriture en devient très opaque. Dommage pour les acteurs, Ryan Gosling, Brad Pitt ou Christian Bale, qui s’en tirent plutôt pas mal, sur une réalisation efficace. Bien insuffisante cependant pour me faire adhérer à ce monde de la finance qui nous ronge. Pour en savoir plus
Une torture ce film. Le seul point positif c'est qu'il dénonce l'indécence de la finance. Pour tout le reste, c'est incompréhensible. Que du blabla qu'on ne comprend pas et par ailleurs quelle histoire stressante ! Qu'est-ce-que je regrette de m'être déplacée pour ça. La bande annonce semblait pas mal pourtant.
Même si le réalisateur tente à trois reprises de rendre compréhensible le milieu et le vocabulaire de ce film/reportage, j'ai vite été engloutie par l'incompréhension des termes employés. Après bien des essais, j'ai lâché et attendu patiemment que la fin arrive. Malgré une bonne interprétation, ce film a glissé sur moi sans que j'en capte l'essence.
J'ai complètement détesté ce film. C'est très confus, chiant, long, ennuyeux. Si on n'y connaît rien au monde de la finance, c'est vraiment très dur à suivre. En plus le film est mal foutu et très désagréable. Sans parler du monde de la finance à ce moment là, très indécent.
CDO, CDS, swaps, ABS, courtage, spéculation, bulle immobilière, subprimes… Ces termes vous semblent incompréhensibles ? Le film d’Adam McKay l’est tout autant. Adapté du best-seller homonyme de Michael Lewis, The Big Short : Inside thé Doomsday Machine tente d’expliquer l’accumulation de la bulle immobilière et des crédits dans les années 2000 ayant conduit à la crise de 2008. Malgré un casting quatre étoiles (Ryan Gosling, Christian Bale, Steve Carell, Brad Pitt), une bonne dose d’humour aux accents cyniques et une certaine volonté de vulgariser l’univers complexe des banques, le film reste bien trop alambiqué pour le spectateur lambda, peu familier de tout ce jargon obscur. Frustrant.
une moitié des 5 étoiles car ce film balance des vérités crues sur le système ferreux dans lequel on vit, le reste des étoiles sera délaissé tout comme le spectateur est délaissé par la complexité des termes et notions utilisées durant tout ce film. impossible à suivre.
Une immersion qui se veut didactique dans le monde de la finance. Presque à la manière d'un reportage. Une mise en scène originale avec des monologues complices destinés aux spectateurs, de façon à les prendre directement à témoin des mécanismes financiers décryptés. Malgré les efforts louables pour expliquer ces mécanismes, ça reste compliqué pour le quidam ordinaire. Lequel ne comprendra donc pas forcément tout, sauf à être déjà un peu initié. Mais tout un chacun devinera au moins que le propos vise à dénoncer des choses qui ne tournent pas rond.
Si le casting annonçait un film orchestré par une bonne brochette d'acteurs, et donc un jeu dynamique ne permettant pas de s'ennuyer, il s'avère que The Big Short est en réalité épouvantablement plat, creux, certainement brillament documenté pour coller au plus proche de la réalité mais lassant au bout de vingt minutes. Comment bien noter un film dont les dialogues sont quasi incomprensibles pour le néophyte dans le domaine de l'économie des bourses ? En effet, là où Margin Call parvenait à, malgré quelques expressions pointues, vulgariser le scénario de la crise économique vue de Wall Street, The Big Short perd littérallement des spectateurs (jusqu'à partir de la salle au cours de la séance !) puisque celui-ci ne tente à aucun moment de nous traduire ce qu'il se passe à l'écran. On voit certes des bons acteurs (la part belle à Bale) mais ce qu'ils disent est incompréhensible; les dialogues comportent tous, sans quasi exceptions, des termes propres à l'économie du marché (en particulier celui de la spéculation immobilière) frustrant de surcroît le spectateur qui ne peut comprendre dans son intégralité le sujet dont il est question ici. Une question persiste : à ceux qui ont apprécié, auriez-vous pu me traduire pendant le film toutes les expressions techniques évoquées par les personnages (et il y en a..) ? La réponse est probablement non, du moins pour ceux et celles qui ne possèdent pas encore leur doctorat d'économie ...
Casting au top, jeu d'acteur au top, montage au top, film dynamique , mais ..... Je n'ai pas tout compris ! Trop de termes , mots et situations empruntés à la finance , pour moi ,film inaccessible aux communs des mortels contrairement à d'autres films traitant du même milieu mais plus compréhensibles que j'ai pu voir auparavant.
Adam McKay spécialiste des comédies graveleuses se voit confier les rênes d'un film aux intentions plus "nobles" et plus traditionaliste. Il est étrange d'avoir pensé qu'il serait l'homme de la situation pour mettre en scène ce qui a abouti à la crise économique de 2008, car même si il a fait des comédies assez plaisantes il a un style pour le moins lourd et qui manque de subtilité. Néanmoins il y avait de quoi être curieux face à ce projet inspiré de faits réels et d'après le livre de Michael Lewis, qui promettait de nous dévoiler les dessous de ce qui a causé la ruine de pas mal de monde tout en réunissant un casting 5 étoiles qui fait diablement rêver. Mais au final, le film est-il à la hauteur de nos espérances ? Le projet était ambitieux, peut être même trop ambitieux pour les épaules de McKay, qui scénaristiquement se perd dans un ensemble de scénettes certes astucieusement rattachées les unes aux autres pour atténuer l'aspect film à sketches, mais qui sont très inégales. Seule l'intrigue autour des personnages de Steve Carrell et Ryan Gosling se montre vraiment intéressante, arrivant à distiller de bonnes touches de comédies et nous présentant le cœur et les rouages de cette crise financière même si le film à tendance à beaucoup trop appuyés certains effets pour nous faire saisir la gravité des événements, McKay n'a jamais fait dans la finesse et la subtilité et ce n'est pas ici qu'il commence. Après cette intrigue possède un certain rythme et arrive à nous accrocher grâce notamment aux personnages plutôt bien travaillé et une dynamique de groupe qui fonctionne à merveille mais tout ceci est contrebalancé par les coupures régulières qui vient s'intéresser aux autres personnages. Celui de Christian Bale est tout d'abord présenté de manière maladroite, même si diablement intéressant et assez passionnant, il est exposé de manière grossière et beaucoup trop appuyés sur ses particularités de caractères, ce qui tend à devenir cliché et agaçant. Surtout que ses scènes viennent vite à être répétitives, le personnage étant globalement passif et perdant intérêt malgré une morale l'entourant assez bien vu. Sinon l'intrigue la plus faible est celle de Brad Pitt qui semble rajouter de manière à offrir à l'acteur son rôle de mentor bienveillant, apportant un couche moralisatrice qui aurait pu être éviter surtout qu'il fait écho de manière bancal avec le fatalisme du personnage de Carrell. Après le problème majeur du film est aussi dans sa manière de répéter ses effets à outrances, étant conscient de son aspect cours de fac sur l'économie, il va décider de faire diversion en faisant expliquer les termes les plus compliqués par des caméos à but humoristique, sauf que cela desserre l'ensemble, car le spectateur s'amuse plus du caméo qu'il ne tente vraiment de comprendre les tenant et aboutissant de ce qui est expliqué. Laissant au final transparaître une fausse complexité, créée par le film qui trop sûr de ses effets perd inutilement le spectateur alors que finalement cette crise est très simple à comprendre tout comme les termes économiques. De plus même si la première fois l'utilisation des caméos se montre amusantes, cela devient lassant au bout de la troisième fois, l'ensemble répétant ses effets à outrances et de manière si peu subtile que ça en est presque insultant pour l'intelligence du spectateur. D'ailleurs la plupart des effets de comédies tombent à plat ici, un comble surtout que c'est la spécialité du cinéaste, même si il faut reconnaître que certains dialogues sont plutôt inspirés. Le casting est sinon à la hauteur de nos attentes, composés d'acteurs prestigieux et de renoms, ils offrent tous une prestation inspiré et impeccable notamment Steve Carrell qui est ici phénoménal. Il arrive à palier sans peine les erreurs d'écritures de son personnage, étant comme celui de Bale trop grossier dans l'exposition de ses traumatismes, et offre une performance remarquable et juste. Christian Bale n'est pas en reste, arrivant à retranscrire à la perfection toute l'étrangeté de son rôle mais on retiendra surtout le talent comique de Ryan Gosling qui fait ici des merveilles. Il dispose d'une énergie communicative et prouve qu'il assure dans la comédie permettant de faire découvrir une autre facette de son jeu et qui devrait faire taire ses détracteurs. Sinon Brad Pitt est égal à lui-même, offrant une bonne performance, ni plus ni moins. La mise en scène d'Adam McKay possède un grand nombre de défauts agaçants. Insipide et maladroite dans ses effets, elle essaye en vain de créer une ambiance anxiogène et fataliste, offrant même des arrêts sur images suivi de cuts incompréhensibles et gênants par leurs absences de justifications et qui laisse plus pensé à des transitions feignantes que de véritables effets de styles. Surtout que ses effets sont utilisés à plusieurs reprises, ce qui montre une véritable absence de renouvellement dans la mise en scène, qui est d'une platitude assez ennuyante. En plus le film est assez mal monté, bien trop didactique et linéaire dans la manière qu'il a de découper ses 3 actes, il manque aussi cruellement de rythme. Jonglant constamment entre ses différentes intrigues, il casse chaque moments intéressants au profit d'un moment plus anecdotique et ennuyeux créant pas mal de longueurs. En conclusion The Big Short est un film relativement moyen. Même si son sujet est intéressant et que l'intrigue centrale est globalement passionnante dans ses rouages, la manière de mettre l'ensemble en scène peine à créer la moindre excitation. On est devant une oeuvre consensuelle et académique qui tient plus du cours de fac ennuyeux qui tente maladroitement d'être fun que de la satire socio-économique qu'elle aurait du être. Malgré tout quelques moments drôles et réussis viennent se glisser ici et là, grâce à des dialogues inspirés et surtout un casting irréprochable qui est pour beaucoup dans l'intérêt que l'on peut porter au film. Adam McKay n'avait clairement pas les épaules pour une telle entreprise et vient inutilement compliquer une crise au final assez simple à comprendre, néanmoins le film arrive à se montrer intéressant globalement, à défaut d'être captivant.
J'ai beaucoup de mal à trouver de l'intérêt à ce film qui n'est ni divertissent ni intéressant (à moins d'être trader peut-être). Une affiche et une bande annonce (même le titre "le casse du siècle") mensongères vu qu'il n'y a absolument aucune action dans ce film et même pas de suspens dans la mesure où ce sont des faits réels et nous savons tous comment cela fini (je spoile : c'est la crise et les pauvres petits américains sont à la rue) Beaucoup de blabla incompréhensible, bien que certains termes sont expliqués par des pop stars je n'ai, en ce qui me concerne, rien retenu, je pense même être incapable de citer une seule réplique de ce film si ce n'est les "f*ck off" à l'américaine qui fusent. Ryan Gosling est affadie dans ce film et Brad Pitt a un rôle inexistant, un personnage totalement transparent, inutile même. De plus même dans les films traitant un sujet grave il y a toujours des pointes d'humour, "The big short" n'a même pas réussi à me soutirer un sourire. Je n'arrive malheureusement pas à trouver un point positif à ce film ...
Film bien réalisé avec une brochette d'acteur au top. Toutefois, ce film n'est pas à la portée de tout le monde, beaucoup de termes techniques, malgré des petites apartés pour donner quelques définitions, cela reste très compliqué quand on ne maîtrise pas ce vocabulaire. Au final, je n'ai pas compris qui gagnait ou perdait.