The Big Short : le Casse du siècle : Critique presse
The Big Short : le Casse du siècle
Note moyenne
3,5
24 titres de presse
Libération
20 Minutes
Cahiers du Cinéma
Franceinfo Culture
GQ
L'Express
Le Dauphiné Libéré
Metro
Première
Studio Ciné Live
TF1 News
Télé 7 Jours
VSD
Voici
aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
L'Humanité
Le Parisien
Positif
Critikat.com
Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
Ouest France
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Libération
par Clément Ghys
Habitué des comédies, l’Américain Adam McKay signe son premier film sérieux en décrivant la façon dont certains ont su tirer profit de la crise des subprimes qui a frappé Wall Street. Fascinant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
par Caroline Vié
Dans "The Big Short - Le Casse du siècle", Adam McKay revient sur la crise des subprimes qu’il parvient à rendre lumineuse grâce à ce film vachard et brillamment interprété.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Le film l’emporte par une double vertu : appeler les choses par leur nom, et faire partager au spectateur un sentiment d’incrédulité et d’accablement qui se prolonge par un rire salvateur – car tout cela est tellement fou et scandaleux qu’on peut aussi en rire.
Franceinfo Culture
par Boris Courret
Un film de banquiers aux faux airs de docu-fiction. Le résultat est tout à la fois infiniment réaliste et savoureusement déjantée.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
GQ
par Toma Clarac
Ça faisait longtemps qu'on avait pas vu une comédie américaine aussi mordante.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Express
par Eric Libiot
Gonflé, ambitieux et mordant.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une vision frontale, d’un oeil cynique et d’un humour froid, sur la crise qui a ébranlé le système.
Metro
par Marilyne Letertre
Documentée et intelligente, cette comédie dramatique, tirée d’une histoire vraie, a aussi l’art d’utiliser l’humour absurde pour faire passer les termes obscurs des banquiers.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Première
par Vanina Arrighi de Casanova
Provocateur, pédago et, surtout, animé d’une furieuse volonté d’indigner, The Big Short permet de comprendre cette foutue crise des subprimes et pourquoi chacun de nous en pâtit encore. On en ressort avec une violente envie de tout faire sauter.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Un vrai pari de la part de McKay, à saluer dans un Hollywood où les films pour "adultes" sont plus que jamais des espèces menacées.
TF1 News
par Romain Le Vern
On salue l'engagement de tous les comédiens, très heureux de s'aventurer loin du confort, de performer des contre-emplois et d'avoir des choses intelligentes à dire sur la crise des subprimes.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
La mise en scène, sous forte influence du clip vidéo, séduit par son originalité folle. Comme ces hilarants intermèdes de vulgarisation économique dits par des protagonistes s'adressant directement au spectateur (...) Soit un film drôle et brillant pour un réquisitoire sans appel contre les dérives du capitalisme sauvage.
VSD
par Olivier Bousquet
Tiré d'une histoire vraie, The big short vogue habilement sur une affaire complexe en diable. La bonne surprise de cette fin d’année sans nul doute.
Voici
par La rédaction
Adapté du livre de Michael Lewis, le film est un tourbillon survolté, à la manière du "Loup de Wall Street", un drame absolu sur fond de cynisme... et de comédie !
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Joli tour d’équilibriste que The Big Short : le Casse du siècle, loin des paillettes et de l’hagiographie que son titre et son casting laissaient craindre. Drôle, corrosif et intelligent.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Un (sur)prenant thriller.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Humanité
par Vincent Ostria
Certes, même si dans plusieurs interludes loufoques, des starlettes célèbres (comme la poupine Selena Gomez) expliquent posément certains mécanismes financiers, les cancres en économie ne saisiront pas forcément tous les méandres de ce casse boursier. Mais peu importe puisque la farce agit tout en stigmatisant l’ignominie des spéculateurs.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Parisien
par Hubert Lizé
"The Big Short" est construit comme un thriller nerveux et brillant, à la manière d'un "Ocean's Eleven". Il se veut aussi une dénonciation du système de corruption généralisé qui a conduit à ce cataclysme. (...) Le problème, c'est que le spectateur a parfois du mal à suivre.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Philippe Rouyer
Adam McKay (...) n'a pas gagné en finesse (...). Mais cela fait partie du jeu de massacre dans cette sorte de version grotesque d'"Ocean's Eleven" où les vedettes font sauter la banque.
Critikat.com
par Soleil Håkansson
Au-delà – et c’est peut-être ce qui gène le plus – en venons-nous à penser que ce film, schizophrène, achève de voir tout ou partie de ses procédés entrer en parfaite connivence avec la vulgarité du monde qu’il entend dénoncer.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Bavard et statique, ce récit ne parvient cependant pas à tenir en haleine comme "Margin Call" (2012), de J.C. Chandor, ou "99 Homes" (2014), de Ramin Bahrani, qui traitaient du même sujet. Reste une interprétation impeccable, Steve Carell en tête.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Le film, au contraire, s'engouffre aveuglément dans une héroïsation mal fagotée de ses personnages, érigés en Cassandre par un scénario qui voit étrangement en eux des révoltés du capitalisme, alors qu'ils n'ont pas du tout quitté la grande kermesse du profit (...).
Ouest France
par Pierre Fornerod
Difficile de s'y repérer dans cet univers complexe. Malgré le casting.
Télérama
par Frédéric Strauss
Cette histoire véridique, issue du livre-enquête Le Casse du siècle, de Michael Lewis, balance entre farce et désastre sombre. Venu de la comédie loufoque (Ricky Bobby, Roi du circuit), le réalisateur ne renonce pas à divertir, mais il veut, en même temps, nous éclairer.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
Habitué des comédies, l’Américain Adam McKay signe son premier film sérieux en décrivant la façon dont certains ont su tirer profit de la crise des subprimes qui a frappé Wall Street. Fascinant.
20 Minutes
Dans "The Big Short - Le Casse du siècle", Adam McKay revient sur la crise des subprimes qu’il parvient à rendre lumineuse grâce à ce film vachard et brillamment interprété.
Cahiers du Cinéma
Le film l’emporte par une double vertu : appeler les choses par leur nom, et faire partager au spectateur un sentiment d’incrédulité et d’accablement qui se prolonge par un rire salvateur – car tout cela est tellement fou et scandaleux qu’on peut aussi en rire.
Franceinfo Culture
Un film de banquiers aux faux airs de docu-fiction. Le résultat est tout à la fois infiniment réaliste et savoureusement déjantée.
GQ
Ça faisait longtemps qu'on avait pas vu une comédie américaine aussi mordante.
L'Express
Gonflé, ambitieux et mordant.
Le Dauphiné Libéré
Une vision frontale, d’un oeil cynique et d’un humour froid, sur la crise qui a ébranlé le système.
Metro
Documentée et intelligente, cette comédie dramatique, tirée d’une histoire vraie, a aussi l’art d’utiliser l’humour absurde pour faire passer les termes obscurs des banquiers.
Première
Provocateur, pédago et, surtout, animé d’une furieuse volonté d’indigner, The Big Short permet de comprendre cette foutue crise des subprimes et pourquoi chacun de nous en pâtit encore. On en ressort avec une violente envie de tout faire sauter.
Studio Ciné Live
Un vrai pari de la part de McKay, à saluer dans un Hollywood où les films pour "adultes" sont plus que jamais des espèces menacées.
TF1 News
On salue l'engagement de tous les comédiens, très heureux de s'aventurer loin du confort, de performer des contre-emplois et d'avoir des choses intelligentes à dire sur la crise des subprimes.
Télé 7 Jours
La mise en scène, sous forte influence du clip vidéo, séduit par son originalité folle. Comme ces hilarants intermèdes de vulgarisation économique dits par des protagonistes s'adressant directement au spectateur (...) Soit un film drôle et brillant pour un réquisitoire sans appel contre les dérives du capitalisme sauvage.
VSD
Tiré d'une histoire vraie, The big short vogue habilement sur une affaire complexe en diable. La bonne surprise de cette fin d’année sans nul doute.
Voici
Adapté du livre de Michael Lewis, le film est un tourbillon survolté, à la manière du "Loup de Wall Street", un drame absolu sur fond de cynisme... et de comédie !
aVoir-aLire.com
Joli tour d’équilibriste que The Big Short : le Casse du siècle, loin des paillettes et de l’hagiographie que son titre et son casting laissaient craindre. Drôle, corrosif et intelligent.
CinemaTeaser
Un (sur)prenant thriller.
L'Humanité
Certes, même si dans plusieurs interludes loufoques, des starlettes célèbres (comme la poupine Selena Gomez) expliquent posément certains mécanismes financiers, les cancres en économie ne saisiront pas forcément tous les méandres de ce casse boursier. Mais peu importe puisque la farce agit tout en stigmatisant l’ignominie des spéculateurs.
Le Parisien
"The Big Short" est construit comme un thriller nerveux et brillant, à la manière d'un "Ocean's Eleven". Il se veut aussi une dénonciation du système de corruption généralisé qui a conduit à ce cataclysme. (...) Le problème, c'est que le spectateur a parfois du mal à suivre.
Positif
Adam McKay (...) n'a pas gagné en finesse (...). Mais cela fait partie du jeu de massacre dans cette sorte de version grotesque d'"Ocean's Eleven" où les vedettes font sauter la banque.
Critikat.com
Au-delà – et c’est peut-être ce qui gène le plus – en venons-nous à penser que ce film, schizophrène, achève de voir tout ou partie de ses procédés entrer en parfaite connivence avec la vulgarité du monde qu’il entend dénoncer.
Le Journal du Dimanche
Bavard et statique, ce récit ne parvient cependant pas à tenir en haleine comme "Margin Call" (2012), de J.C. Chandor, ou "99 Homes" (2014), de Ramin Bahrani, qui traitaient du même sujet. Reste une interprétation impeccable, Steve Carell en tête.
Les Inrockuptibles
Le film, au contraire, s'engouffre aveuglément dans une héroïsation mal fagotée de ses personnages, érigés en Cassandre par un scénario qui voit étrangement en eux des révoltés du capitalisme, alors qu'ils n'ont pas du tout quitté la grande kermesse du profit (...).
Ouest France
Difficile de s'y repérer dans cet univers complexe. Malgré le casting.
Télérama
Cette histoire véridique, issue du livre-enquête Le Casse du siècle, de Michael Lewis, balance entre farce et désastre sombre. Venu de la comédie loufoque (Ricky Bobby, Roi du circuit), le réalisateur ne renonce pas à divertir, mais il veut, en même temps, nous éclairer.