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Votre avis sur Adaline ?
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Une pure merveille qui allie amour et science à travers l'incroyable histoire d'Adaline incarnée à la perfection par la belle Blake Lively !
Adaline est un film que j'aurai aimé voir sortir au cinéma pas en "e-cinema". Lorsqu'on voit des films tels que Pyramide sort au cinéma...ça fait peur. Adaline a un excellent casting que ce soit les premiers rôles ou les seconds rôles. Une histoire excellente que je conseille de voir. Blake Lively nous montre son talent.
Un conseil foncez-y !
Un conseil foncez-y !
Blake Lively est remarquable, le scénario nous embarque dés le début et jusqu'au dernier moment du film, la réalisation est excellente et joue avec nos sentiments, les dialogues sont intelligents, et en plus on ne tombe pas dans la romance bateau des comédies romantiques modernes !
D'ailleurs on a l'impression de regarder une fiction/réalité oú tout le long du film on nous parle de science alors que l'ensemble repose sur la destinée.
Ce film est à voir et à revoir ! Excellente soirée au cinéma pour ma part !
D'ailleurs on a l'impression de regarder une fiction/réalité oú tout le long du film on nous parle de science alors que l'ensemble repose sur la destinée.
Ce film est à voir et à revoir ! Excellente soirée au cinéma pour ma part !
Un film excellent ! On rentre facilement dans la vie d'Adaline, et la beauté de Blake Lively est saisissante. On est complètement coupé de la réalité : pas de portable, ni de vie à 100 à l'heure…On prend le temps autour d'un bon thé accompagné d'un livre. La bonne époque où l'amour était une véritable rencontre, même s'il fallait attendre des années pour tomber sur le bon. L'effet de lumières teintées, donne un air d'ancien temps, ce qui va parfaitement bien à Blake, qui est évidemment,intemporelle.
Probablement le meilleur film de cette actrice.
Allez y !!
Probablement le meilleur film de cette actrice.
Allez y !!
RedArrow
Quelques fois, on se dit que la jeunesse éternelle, ça pourrait être bien sympa.
Mais n'allez surtout pas raconter ça à Adaline Bowman qui, du haut de ses 107 ans, est restée morphologiquement figée à sa vingt-cinquième année et a traversé le vingtième siècle (et ce début de vingt-et-unième) en vivant dans l'ombre pour ne pas attirer les regards sur son lourd secret.
Obligée de changer d'identité tous les dix ans, ne pouvant rencontrer sa fille que sporadiquement (ben oui, allez expliquer que votre mère pourrait jouer dans un épisode de "Gossip Girl" alors que vous, vous avez la tête d'Ellen Burstyn en 2015, pas facile comme situation), ce don/malédiction a été une vraie galère pour la pauvre Adaline.
Et puis, comme elle a le physique de Blake Lively, elle a logiquement bouleversé le cœur de pas mal d'hommes au cours de ses longues années d'existence, allant même jusqu'à s'interdire d'aimer à nouveau pour ne plus souffrir.
Enfin, ça, c'était jusqu'à sa rencontre avec le beau Ellis, un jeune mécène tellement riche qu'il en a oublié d'apprendre à se raser.
"Adaline" est un conte simple au propos extrêmement naïf qui aurait pu très vite sombrer dans une guimauve écoeurante s'il n'était pas aussi bien traité avec finesse et intelligence par le prisme d'un romantisme plutôt subtil et d'une bonne dose d'humanité lorsqu'il s'agit de décrire les états d'âme de ses personnages.
C'est aussi l'occasion pour Blake Lively de crever l'écran dans un rôle en or, la comédienne livre une prestation parfaite, capable de dégager une sorte de maturité désespérée assez bluffante derrière son apparence de jeune fille. Et, en passant, même Harrison Ford nous rappelle à quel point il est bon comédien dans le rôle émotionnellement très fort du père d'Ellis, ce n'est pas lui faire injure de dire qu'on ne l'avait pas vu à un tel niveau depuis bien longtemps.
Peut-être parce qu'il part dans des directions un peu trop attendues, "Adaline" ne laissera sans doute pas un souvenir aussi immortel que son héroïne mais, peu importe, cette plongée dans la vie sentimentale tumultueuse de ce passionnant personnage valait vraiment le détour.
Mais n'allez surtout pas raconter ça à Adaline Bowman qui, du haut de ses 107 ans, est restée morphologiquement figée à sa vingt-cinquième année et a traversé le vingtième siècle (et ce début de vingt-et-unième) en vivant dans l'ombre pour ne pas attirer les regards sur son lourd secret.
Obligée de changer d'identité tous les dix ans, ne pouvant rencontrer sa fille que sporadiquement (ben oui, allez expliquer que votre mère pourrait jouer dans un épisode de "Gossip Girl" alors que vous, vous avez la tête d'Ellen Burstyn en 2015, pas facile comme situation), ce don/malédiction a été une vraie galère pour la pauvre Adaline.
Et puis, comme elle a le physique de Blake Lively, elle a logiquement bouleversé le cœur de pas mal d'hommes au cours de ses longues années d'existence, allant même jusqu'à s'interdire d'aimer à nouveau pour ne plus souffrir.
Enfin, ça, c'était jusqu'à sa rencontre avec le beau Ellis, un jeune mécène tellement riche qu'il en a oublié d'apprendre à se raser.
"Adaline" est un conte simple au propos extrêmement naïf qui aurait pu très vite sombrer dans une guimauve écoeurante s'il n'était pas aussi bien traité avec finesse et intelligence par le prisme d'un romantisme plutôt subtil et d'une bonne dose d'humanité lorsqu'il s'agit de décrire les états d'âme de ses personnages.
C'est aussi l'occasion pour Blake Lively de crever l'écran dans un rôle en or, la comédienne livre une prestation parfaite, capable de dégager une sorte de maturité désespérée assez bluffante derrière son apparence de jeune fille. Et, en passant, même Harrison Ford nous rappelle à quel point il est bon comédien dans le rôle émotionnellement très fort du père d'Ellis, ce n'est pas lui faire injure de dire qu'on ne l'avait pas vu à un tel niveau depuis bien longtemps.
Peut-être parce qu'il part dans des directions un peu trop attendues, "Adaline" ne laissera sans doute pas un souvenir aussi immortel que son héroïne mais, peu importe, cette plongée dans la vie sentimentale tumultueuse de ce passionnant personnage valait vraiment le détour.
Juste au générique de fin on a envie de dire: " WAW"
Un film sublime qui fait réfléchir. Beaucoup de films se sont essaye sur le sujet mais j'ai rarement vu un film aussi prenant et aussi réaliste.
Blake lively que je trouve pour ma part benêt joué merveilleusement bien, beaucoup de pudeur tout en transmettant au spectateur l'ampleur du dilemme. Par contre, michiel huizman, que dire. Je l'avais déjà aperçu dans GOT ( aperçu est le mot pour le nombre de ses apparitions) mais il confirme qu'il ne suffit pas ou plus d'avoir un visage et un corps qui rentrent dans les canons de beauté pour etre charismatique. Demandez à Jamie forban, il vous le confirmera. Le metier d'acteur s'apprend.
Un film sublime qui fait réfléchir. Beaucoup de films se sont essaye sur le sujet mais j'ai rarement vu un film aussi prenant et aussi réaliste.
Blake lively que je trouve pour ma part benêt joué merveilleusement bien, beaucoup de pudeur tout en transmettant au spectateur l'ampleur du dilemme. Par contre, michiel huizman, que dire. Je l'avais déjà aperçu dans GOT ( aperçu est le mot pour le nombre de ses apparitions) mais il confirme qu'il ne suffit pas ou plus d'avoir un visage et un corps qui rentrent dans les canons de beauté pour etre charismatique. Demandez à Jamie forban, il vous le confirmera. Le metier d'acteur s'apprend.
Des images superbes, une musique qui nous relie sans cesse à Adaline et ses questions... Mais par dessus tout Adaline, éternelle Adaline... Blake Lively réussit selon moi une performance incroyable. Nous l'aurions suivi jusqu'au bout à travers toutes les époques. Son sourire, son envie, sa mélancolie, ses certitudes ancrées dans sa fragilité, bouleversant. Ce film mélange de romantisme et de science-fiction, me rappelle ''Quelque part dans le temps'' de Jeannot Szwarc. Vous voulez une belle histoire, des sentiments, des paillettes pleins les yeux ? Détendez vous, laissez vous aller, et envolez vous avec Adaline....
D'une ingéniosité surprenante, Adaline nous transporte dans une histoire d'amour ou drame et secret y sont réunis. Une spécialité rare, composé d'un scénario romantique, d'un casting doublé d'effort, d'une mise en scène impeccable et d'effets spéciaux époustouflants, Adaline est un chef d'œuvre ! Un plaisir concret a voir, une fin vertigineuse, un film réussi ! 5/5 *****
"Blake Lively" est excellente, tous comme "Harrison Ford". Histoire fantastique mêlant romance et drame émouvant, sous fond de parole scientifique. Un film magique, avec une histoire d'amour qui évite la niaiserie habituelle de certains films.
Le synopsis est beaucoup plus original que le scénario. Le thème de l'immortalité, bien que pas banal, a déjà été revisité un certain nombre de fois depuis Le Portrait de Dorian Gray. Et il est souvent accompagné de la même bonne vieille morale : une vie éternelle est une vie solitaire. Adaline ne déroge pas à la règle. Bien sûr, réaliser un film sur des thématiques non inédites ne donne pas forcément un mauvais résultat. Cependant l'écriture d'Adaline suit les schémas classiques de toutes les comédies romantiques. A part le petit "rebondissement" permis par l'age de l'héroïne
spoiler:
(on se rend compte qu'elle avait été l'amante du père de l'homme qu'elle fréquente)
, rien ne détonne. De plus les éléments symboliques spoiler: (la comète qui porte son nom, le cheveux blanc un an après)
, bien qu'intéressants, manquent de subtilité et sont vraiment parachutés.
Ce que j'ai particulièrement apprécié, c'est la relation mère/fille qui s'inverse progressivement. Je trouve que Lee Toland Krieger aurait dû plus appuyé sur cette relation qui semble très forte et singulière plutôt que de nous sortir une banale histoire d'amour.
Etant fan du travail des Wachowski sur Cloud Atlas et Sense8, j'aurais apprécié une réalisation plus dynamique et hétéroclite mélangeant les époques et les différentes vies d'Adaline en créant des ponts entre elles plutôt qu'une histoire linéaire et très prévisible avec des flash-back par-ci par-là. En résumé, le scénario n'a pas assez exploité son synopsis.
, rien ne détonne. De plus les éléments symboliques spoiler: (la comète qui porte son nom, le cheveux blanc un an après)
, bien qu'intéressants, manquent de subtilité et sont vraiment parachutés.
Ce que j'ai particulièrement apprécié, c'est la relation mère/fille qui s'inverse progressivement. Je trouve que Lee Toland Krieger aurait dû plus appuyé sur cette relation qui semble très forte et singulière plutôt que de nous sortir une banale histoire d'amour.
Etant fan du travail des Wachowski sur Cloud Atlas et Sense8, j'aurais apprécié une réalisation plus dynamique et hétéroclite mélangeant les époques et les différentes vies d'Adaline en créant des ponts entre elles plutôt qu'une histoire linéaire et très prévisible avec des flash-back par-ci par-là. En résumé, le scénario n'a pas assez exploité son synopsis.
Conte fantastique original mêlant l'éphémère et la vie éternelle. Une histoire touchante et remarquablement mise en scène de bout en bout. Blake Lively est sublime.
Adaline n'est pas le film du siècle même si son histoire est tout de même originale (un peu tiré par les cheveux à certains moments). Blake Lively, toujours aussi jolie soit dit en passant , est plutôt convaincante dans son rôle, ce qui m'a drôlement étonné.
Plat, prévisible, scolaire, totalement cliché... Un peu de magie aurait fait passer le côté académique et mille fois revisité de ce mélo, mais il reste bien terre à terre et ne nous offre rien de ce qu'on peut attendre de ce genre de film.
Histoire romantico-fantastique aussi grosse qu'une maison qui peut sans dommage disparaître de la circulation, comme tant d'autres films DTV du même genre! Lee Toland Krieger nous conte une histoire incroyablement romanesque sur fond de surnaturel, de discours pseudo-scientifique et de voix-off irritante! il manque à la mise en scène la dimension que lui auraient apportèe Robert Zemeckis ou Steven Spielberg! Difficile en effet d'aller plus loin dans l'histoire d'amour bon marchè où seule la jeunesse ètincelante de Blake Lively crève l'ècran, ne traduisant que furtivement la vraie souffrance d'Adaline! Les plans à la grue sur la baie de San Francisco sont à la fête et les grands èvènements du siècle dernier aussi! Mais ça ne rachète pas, si l'on ose dire, le pathos de cette histoire de temps, ni son exagèration! Allez 1* pour le personnage èmouvant d'Harrison Ford qui se fait battre pour la première fois au Trivial Pursuit par plus fort que lui! Un Benjamin Button fèminine sur fond de merveilleux et de tragique! L'ènormitè des èvènements et des sentiments en plus, hèlas...
Suite à un accident de voiture, la belle Adaline ne vieillit plus. Obligée de changer d'identité régulièrement, elle refuse de se dévoiler aux hommes jusqu'au jour où elle rencontre Ellis. Sorte d'"étrange histoire de Benjamin Button" avec la poésie et la subtilité en moins, "Adaline" n'est finalement qu'une romance sans saveur alourdie par une voix-off ayant la fâcheuse tendance de prendre le spectateur pour un abruti. Blake Lively aura beau user de ses charmes, c'est avant tout Harrison Ford que l'on retiendra, l'acteur se montrant tout à fait touchant à travers quelques scènes. Se voulant original sans l'être, voilà un énième film niais qui laissera tout à fait indifférent.
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