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    Youth
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    325 critiques spectateurs

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    octopus_fr2002
    octopus_fr2002

    79 abonnés 159 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 septembre 2015
    Après la grande Belleza, quelle déception. Je ne répète pas tout ce que dit Christianblog dont je partage intégralement la critique, mais comme la plupart du temps aujourd'hui les réalisateurs ont écarté, hélas, de leur panoplie une grande paire de ciseaux. Beauté inoubliable des vues, excellence des acteurs, mais film foutraque qui veut trop en dire et qui est trop touffu, confus. Dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 septembre 2015
    2 heures de cinéma de cette qualité cela ne se refuse pas, encore une fois ce sont les meilleurs critiques des spectateurs que j'approuve. je me contenterai d'ajouter que ce film fait réfléchir au temps qui passe jeunes ou vieux le verront avec leur propre regard et ce ne sera pas le même bien sûr.
    vincentasc
    vincentasc

    34 abonnés 148 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 septembre 2015
    Pensum interminable. Clip pour maison de retraite pour vieux riches en Suisse. Philosophie de bazar sur la vie la mort l'amour et j'en passe. Même le grand Michael Caine se noie tandis qu'Harvey Keitel s'en sort avec les honneurs Grace à sobriété de son jeu. Et on tombe dans le ridicule avec la participation de Jane Fonda. Et ce n'est pas la mise en scène un rien redondante et prétentieuse qui ne viendra sauver cette œuvre hautement appréciée par l'intelligentsia culturelle.
    Laurent I.
    Laurent I.

    16 abonnés 145 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 septembre 2015
    . Réalisation raffinée pour ce huis clos dans une station luxueuse suisse de balnéothérapie où grands compositeurs, réalisateurs, acteurs ou sportifs passent leur retraite. Visuellement très esthétisant, le film nous conte les tourments de ces ex célébrités entre nostalgie de leur passé glorieux, volonté de délivrer une dernière oeuvre, méandres des amours, et tout simplement l'amitié. Globalement très agréable, excepté une ou deux scènes surréalistes. Un peu long tout de même (1h58)
    Pauline_R
    Pauline_R

    179 abonnés 398 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 septembre 2015
    Contre toute attente et malgré certaines critiques parisiennes, j'ai adoré ce film. Alors, il y a certes quelques excentricités dont Paolo Sorrentino a le secret (et aurait pu se passer) et quelques longueurs, mais le film n'en reste pas moins un vrai tour de force : les dialogues sont finement écrits, bien vus, c'est souvent drôle, avec pas mal d'autodérision, et surtout très émouvant. Et que dire des acteurs : Michael Caine est fabuleux (un prix d'interprétation à Cannes n'aurait pas été volé), Harvey Keitel touchant, sans oublier Rachel Weisz et l'inimittable Paul Dano.
    Michel C.
    Michel C.

    278 abonnés 1 474 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 septembre 2015
    Film très sympathique... mais j'avoue un peu lent... Certes il a pour lui un Casting florissant Michael Caine, Harvey Keitel, Rachel Weisz ou Jane Fonda entre autres, des paysages magnifiques (si la Suisse c'et beau !!) en plus tourné en partie à Flims (non je dit bien pas Films mais Flims) et Davos. Une ambiance d'hôtel bourgeois, beaucoup d'espace. Les deux acteurs principaux dans les 80... chacun bien sur !! Le scénario est alambiqué .. et les retours au passé sont nébuleux.. mais beaucoup d'humour et de tendresse même. J'ai préféré les 3 dernières minutes et pendant le début du générique, la symbiose de la musique des instruments à corde et la soprano Sumi Jo simplement magnifique. Un grand moment !! **
    Anne M.
    Anne M.

    75 abonnés 643 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 septembre 2015
    Wiesen, dans les Grisons en Suisse, un hôtel de luxe au pied des Alpes. Des hôtes de prestige viennent passer leurs vacances dans ce lieu ancré dans une magnifique nature. Chef d’orchestre à la retraite, footballeur sur le retour (Maradona ?), metteur en scène octogénaire encore en activité, acteur californien, miss univers, princes arabes et autres célébrités.

    J’ai trouvé le film très plaisant à regarder, on a l’impression d’être un des hôtes de ce lieu luxueux, avec soins, sauna et excursions dans la journée, repas gastronomiques et soirées un peu kitsch.

    Des drames s’y nouent et se dénouent avec des réflexions sur divers sujets. La retraite, la créativité et l’âge, le rapport parents enfants …

    Une fin moins légère que l’ensemble du film.
    felix-cobb
    felix-cobb

    18 abonnés 54 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 septembre 2015
    Youth repose sur des élans brisés, sur une vieille frustration de l'âge, sur des scènes à moitié justifiées, à moitié remplies, à moitié déroulées, ce qui donne l'impression que Sorrentino a voulu faire du film le contenu même du film. De fait, on reste constamment sur notre faim, on demeure insatisfait. Mais d'un autre côté, c'est aussi le propos de l'oeuvre : en valorisant explicitement ses propres imperfections, telles que les scènes interrompues par un brusque changement rythmique et musical, les interprétations de Michael Caine et Harvey Keitel dans la retenue, ou encore le titre du film apparaissant "trop tard", seulement une dizaine de minutes après le début, et à l'inverse, le générique de fin, arrivé "trop tôt"(superposant la scène finale qui aurait fait bien plus d'effet en solitaire, etc), Youth fait du spectateur l'objet de son expérience ; l'oeil du spectateur, cet '' obscur objet du désir ''...
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 11 septembre 2015
    Après le petit bijou que fut "La Grande Bellezza", Paolo Sorrentino se perd dans un "Youth inabouti". Certes, des instants d’art réveillent l’œil et ravissent des émotions : voilà la force du film, qui lui évite l’échec. Mais les scènes se collent péniblement bout à bout, sans élan vital. À trop chercher l’exploit, pointe l’ennui. Trop facile et basé sur des acquis.
    WutheringHeights
    WutheringHeights

    112 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 septembre 2015
    Certains dialogues font mouche mais pour la plupart du temps, le spectateur s'ennuie ferme devant ce spectacle un peu prétention et fatigant par sa musique omniprésente (de Paloma Faith à Florence the Machine). Une grande déception.

    LA SUITE :
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 11 septembre 2015
    Vu au festival de cannes, Youth est une sorte de remake américain de la Grande Bellaza, le précédent film de Paolo Sorrentino . Fred et Mick connaissent la même évolution que les personnages de Jeff et Romano, le meilleur ami de Jeff. On retrouve ici aussi une critique en filigrane du récit, cette fois-ci sur la célébrité éphémère . Il y a un peu moins de magie que dans la grande, mais c'est le lieu et la profession des personnages qui veut cela. Mais pour autant, on assiste encore à un vrai plaisir de cinéma . La mise en scène est encore une fois maitrisée, sublime et inventive ( je pense notamment à l'ouverture du film) . Les acteurs sont tous très bon, avec en tète de gondole un Michael Caine parfait. Un scénario bien linéaire et qui assume pleinement le côté choral . Bref, Sorrentino nous offre encore un bon moment de cinéma, n'en déplaise à ses détracteurs qui crieront ( encore et injustement) à l'imposture .
    traversay1
    traversay1

    3 638 abonnés 4 875 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 septembre 2015
    Pour certains, le cinéma de Paolo Sorrentino ne serait qu'entreprise baroque niaise et boursouflée. Laissons-les dire, ils ont leurs raisons : le réalisateur napolitain, depuis Il divo, n'a jamais fait dans la nuance et c'est justement sa grandiloquence et son style pompeux qui le démarquent de ses contemporains trop souvent frileux ou énigmatiques (voir un certain thaïlandais porté aux nues). Youth est un opéra qui tient autant de Thomas Mann que de Fellini (le film est aussi dédié au grand Francesco Rosi) dans une atmosphère d'hôtel/clinique suisse très particulière. Autant fragmenté que La grande bellezza, Youth est plus lisible dans ses deux thématiques principales : la vieillesse et les affres de la création. Certes, le film peut s'avérer inégal, voire faire du surplace parfois mais au détour d'une scène, la virtuosité de Sorrentino s'exprime illico, presto et allegro. Et puis, quelle direction d'acteurs : Harvey Keitel et Michael Caine sont grands, Rachel Weisz, Paul Dano, un sosie de Maradona et Jane Fonda (formidable), ne sont pas en reste. Et les vaches suisses sont parfaites. Alors Youth, un film qui sent le vieux ? Non, ce sont la plupart des autres films qui en ont l'air.
    rogerwaters
    rogerwaters

    146 abonnés 1 089 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 septembre 2015
    Quel film étrange que ce Youth dont on peine à saisir le véritable intérêt. Indéniablement Sorrentino sait mieux que quiconque se servir d’une caméra afin de créer une ambiance ouatée, comme en apesanteur. C’est le point très positif d’une œuvre qui est évidemment une grande réussite sur le plan formel. Est-on pour autant transportés par ce que nous raconte Sorrentino ? Si l’on peut a priori aimer sa vision misanthrope de l’humanité, le cinéaste semble constamment en porte à faux puisqu’il nous clame que l’existence ne sert à rien, mais il en chante en même temps les joies simples. Une contradiction qui met le spectateur mal à l’aise, d’autant que les personnages ne sont guère attachants. Assez rapidement, on se moque de ce qui peut bien arriver à ces artistes nombrilistes. D’ailleurs, cet ego surdimensionné se retrouve aussi dans la réalisation, très clinquante et qui cherche à clamer son génie à chaque plan. C’est finalement ce manque total de modestie qui parasite sans cesse le film et brise toute empathie, aussi bien envers les personnages que le discours sur la vie. On a finalement l’impression d’avoir vu un film objectivement réussi, mais qui ne nous a rien apporté du tout, sauf lors de quelques séquences éparses.
    Brigitte D.
    Brigitte D.

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 septembre 2015
    Désolée, je n'ai pas du tout aimé ce film....je le trouve d'une lenteur desesperante, le scenario est bien maigre, quelques bons traits d'humour, mais sans suivi dans le deroulement....prises de vue parfois trés "etirées" sans en comprendre les raisons...non, pour ma part, ilne mérite pas ses "etoiles"....
    ninilechat
    ninilechat

    74 abonnés 564 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 septembre 2015
    S'il y a une sorte de génie commun de l'image qui court à travers le cinéma espagnol, que dire du cinéma italien -très en retrait actuellement mais qui avec Paolo Sorrentino vit toujours comme au temps des plus grands: Fellini, Risi, Scola.....

    Il n'est pas si vieux que cela, Sorrentino, comment fait il parler si bien du temps qui passe et du temps qui reste? Déjà, ce thème était au cœur du génialissime Grande Bellezza.... Dans Youth, il brode avec un art inouï autour des façons d'affronter -ou plutôt de refuser d'affronter- le temps qui passe: arrêt sur image -l'avenir n'existe pas ou fuite en avant -le passé n'existe pas...

    Fred (Michael Caine) et Mick (Harvey Keitel) sont des amis de soixante ans; il y a soixante ans, ils ont été amoureux de la même fille; et soixante ans plus tard, ils se posent toujours la question de savoir si l'autre a couché avec elle -ou pas.... Leurs enfants se sont même mariés, sauf qu'au moment où le film débute, le fils de Mick vient de lâcher d'une façon parfaitement inélégante Léna, la fille de Fred (la belle Rachel Weisz) au profit d'un boudin. Ca perturbe leur amitié? Pas tant que ça. Ils ont eu des femmes, des enfants, mais ils n'ont jamais été ni bon mari ni bon père parce que comme tous les créateurs, les grands artistes, leur vie était entièrement tournée vers leur profession, leur art, leur création. Des vieux égoïstes? Oui.

    En tous cas, Michael comme Harvey n'ont rien perdu avec l'âge de leur pouvoir de séduction. Si l'un d'eux veut m'épouser, je suis là!

    Fred et Mick se retrouvent dans un luxueux hôtel de remise en forme comme seule la Suisse sait en produire. Fred a été un grand chef d'orchestre, un compositeur reconnu et il ne fait plus rien. Il se paye même le luxe de rembarrer la Reine d'Angleterre qui souhaite l'anoblir au cours d'un concert où il dirigerait ses œuvres pour elle. A toute question il a une réponse toute faite: ma fille dit que je suis apathique. Que dire de plus.... Mais vous, spectateurs, vous comprendrez à la fin du film qu'il cache un secret -et probablement un lourd remords.

    Au contraire, Mick est un réalisateur débordant d'énergie, et il a réuni autour de lui toute son équipe de scénaristes pour peaufiner sa prochaine œuvre qui sera son film-testament... Et la question de savoir si l'âge n'a pas émoussé son potentiel créatif, il se garde bien de se la poser.

    Et voilà, c'est un patchwork de petites touches, de petits moments souvent cocasses au milieu de la pittoresque faune de l'hôtel: l'ancien footballeur vedette devenu monstrueusement obèse; le couple très chic qui se fait la tronche et n'échange jamais un mot (mais nous réservera peut être des surprise, qui sait?); la petite masseuse qui sourit tout le temps malgré son appareil dentaire et danse dans sa chambre devant des cassettes de chorégraphie; le professeur d'escalade attaché à l'hôtel qui, au vu de la clientèle, ne doit pas avoir énormément de travail; le moine bouddhique qui lévite? ou pas? sans oublier le passage d'une Miss Univers extrêmement nichonnante qui transforme les deux vieux amis en loups de Tex Avery.... Et Jimmy! Jimmy, acteur venu s'isoler pour répéter, s'imprégner d'une future composition (quand vous verrez de qui il s'agit vous comprendrez qu'il fallait une sacré imprégnation....), jeune californien désespéré de ne devoir sa célébrité qu'à un rôle de robot dans un blockbuster alors qu'il a joué des rôles intellos dans des films indépendants, c'est Paul Dano, qu'on retrouve toujours avec plaisir et dont on s'émerveille qu'il puisse faire une telle carrière avec un physique... difficile. Quand il atteindra le cinquantaine et que le problème d'être mignon ou pas ne se posera plus, gageons qu'il sera un acteur que tout le monde s'arrachera!

    Notons, le bref passage de Jane Fonda -en star chérie de Mick-, choucroute blonde et prothèses mammaires -littéralement monstrueuse, totalement fellinienne, sans doute ce que la pauvre Jayne Mansfied serait devenue une fois septuagénaire si elle avait vécu...

    Moments cocasses, moments surréalistes, moments émouvants et grands moments de cinéma tout court -comme lorsque Fred dirige, en pleine nature, un concerto pour sonnailles au milieu d'un beau troupeau de Brunes des Alpes.... là, oui: c'est du Fellini! Le maître n'aurait pas trouvé mieux!

    Alors, quand on se dit que ce grand film, ce film génial, personnel, profond est reparti de Cannes bredouille quand la palme est allée à cette daube poussive et indigeste de Dheepan, on se dit: zut! Est ce que le cinéma, le vrai cinéma, le cinéma plaisir est mort? Est ce que pour faire l'intéressant il faut tirer les grosse ficelles du mélo social? On ne comprend pas. Que les frères Coen aient cautionné ça: on ne comprend pas.

    Vive le cinéma, vive Sorrentino, et courez y, courez y, courez y!!!
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