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    Des Apaches
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    19 critiques spectateurs

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    Eric C.
    Eric C.

    246 abonnés 2 273 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 septembre 2016
    Film sans doute très autobiographique qui parle au réalisateur mais qui laisse de côté le spectateur alors que le but d'un film doit aussi de permettre cette rencontre. C'est assez lent, ennuyeux, confus dans l'histoire familiale et le seul intérêt est le côté documentaire de la société kabyle à Belleville pour quelqu'un qui le decouvre et qui n'est pas impliqué car ce film renferme semble t-il beaucoup de clichés par ce que j'ai pu en lire. Une déception et de k'ennui pour aller jusqu'au bout.
    Hastur64
    Hastur64

    229 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 juin 2016
    C'est vraiment par le plus total hasard que je suis tombé sur ce film dont je n'avais jamais entendu parler. Seconde réalisation de son auteur, à la fois scénariste, réalisateur donc et interprète principal, le film nous fait suivre Samir qui, après avoir enterré sa mère, qui l'a élevé seule, reprend fortuitement contact avec son père, Kabyle et possesseur de commerces dans le Paris populaire. La famille et la transmission des traditions sont au cœur de ce film, même si le héros en est lui-même ignorant et que son parcours l'entraîne à se sortir du chemin tout tracé de cette transmission culturelle. Sans être inintéressant le film peine quand même à enthousiasmer. Si la confrontation entre Samir et son père (et la culture qu'il traîne avec lui) est intéressante. On a peine à être intéressé par l'histoire parallèle de cette mère (Laetitia Casta) et de son fils qui symboliquement représentent une évocation de l'enfance de Samir. Pendant un moment on ne sait pas si on a affaire à deux histoires ou à un flashback dans le passé du héros ; apparemment une volonté du réalisateur. Le film n'a finalement présenté d'intérêt à mes yeux que sur les petites choses que l'on apprend sur la société Kabyle traditionnelle et qui nous rappelle qu'Algérien n'est pas forcément synonyme d'Arabe. Un long-métrage qui se laisse regarder, mais qui n'offre pas non plus une histoire passionnante, la faute peut-être à un héros un peu passif et inexpressif. À voir à l'occasion.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 24 avril 2016
    Intéressant mais pas captivant. Le casting est pourtant top tout comme le scénario. A voir... ou pas.
    FaRem
    FaRem

    8 792 abonnés 9 636 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 28 mars 2016
    Un casting sympathique qui ne parvient pas à sauver ce film confus et profondément ennuyeux. Le point de départ de l'histoire pouvait être intéressant seulement, je ne sais pas si c'est mal monté ou si c'est le scénario qui est inexistant, mais l'ensemble est vraiment brouillon et assez désagréable à suivre. En plus de cela, c'est mou et ça manque de dynamisme. Il n'y a pas grand-chose à dire de plus, il n'y a rien à sauver, je n'ai pas du tout aimé.
    labellejardinière
    labellejardinière

    89 abonnés 274 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 mars 2016
    "Apache" : tribu amérindienne, dont le membre peut-être le plus connu fut Geronimo (mort en 1909).
    "Apache" : voyou de la Belle-Epoque, sévissant du côté de Belleville (en bandes à codes, notamment vestimentaires). Laquelle de ces définitions ce "Des Apaches" de Nassim Amaouche illustre-t-il ? Comme il s'agit d'un ex (?) délinquant, amateur de "beuh" (maison), la deuxième ? Mais "Samir" est solitaire, et discret... Alors, la première ?.... Mais il s'agit d'un Kabyle (de mère française), découvrant des habitudes ancestrales conservées par sa communauté dans l'Hexagone (illustrées en matière patrimoniale spoiler: - son père, qu'il découvre, la trentaine bien entamée, doit vendre murs et fonds d'un bar, et entend respecter à cette occasion la coutume
    )... On supposera donc que c'est plutôt Amaouche qui clame une nouvelle fois (après "Adieu Gary") son goût pour l'historiographie nord-américaine. Pour un film à sujet bien éloigné. Et fort peu passionnant....
    tixou0
    tixou0

    709 abonnés 2 002 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 27 mars 2016
    "Adieu Gary" (2008) promettait plus (style, à défaut d'histoire) que ce "Des Apaches" ne tient, en 2014. On ne retiendra en positif que l'aspect ethnographique (d'ailleurs lancé explicitement en prologue, 5 minutes durant) - sur les us et coutumes kabyles, spoiler: valant du village de montagne algérien, au milieu "embourgeoisé" d'immigrés enrichis dans la limonade à Paris : communautarisme et patriarcat (pré-islamiques), faisant plus penser aux "familles" siciliennes à parrains qu'aux Amérindiens ! Le titre, inapproprié (quel rapport entre ces derniers et l'immigration maghrébine en Europe, spécialement en France ?....) devenant plutôt (mais, on l'imagine bien, totalement à rebours des intentions d'Amaouche !) un écho à ces "tribus" sévissant dans l'Est parisien au début du 20e siècle, à l'appellation homonyme.
    Le contexte poético-familial, mêlant le passé (Samir est né d'une Française catholique, sur l'enterrement de laquelle s'ouvre vraiment le film) et le présent (Laetitia Casta est la seule présence féminine évoquée par le héros - Amaouche se mettant en scène) est lui alambiqué, et tombe à plat. Pour moi, c'est à nouveau une seule étoile pour NA....
    Olivier Barlet
    Olivier Barlet

    299 abonnés 396 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 janvier 2016
    (...) Un film d'une profondeur et d'une puissance qui se font rares aujourd'hui.
    (...) Ce n'est plus seulement un personnage que campe Nassim Amaouche mais aussi un vertige, un entre-deux, une échappée où la notion de place disparaît au profit d'un non-lieux, d'un positionnement où l'on sent bien que l'important n'est plus de trouver sa place mais de bien vivre sans place déterminée. En s'affranchissant du déterminisme communautaire, Samir bouscule les frontières pour s'individuer, tracer son chemin, être un "Apache". (...)
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 388 abonnés 4 208 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 septembre 2015
    Découvrir Laetitia Casta au cinéma est toujours une expérience rare. La beauté de l’actrice s’admire à chaque seconde. Sa peau éternelle donne un sentiment de candeur, mais sa gestuelle apporte toujours plus de maturité. Pourtant, en 2015 la belle n’a pas choisie le meilleur film pour être admirée. Des Apaches restera l’un des films les plus laborieux de l’année. Si nous aurions presque pu saluer ce mélange trompeur de séquences, on fatigue face la double casquette de Nassim Amaouche. Il est certain que son film aurait plus d’entrain si il avait été joué par un autre que lui. Pourtant l’atmosphère Des Apaches était singulières et l’ouverture du film intéressante. Des Apaches échoue cependant dans un brouillon indélicat.
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    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 17 août 2015
    Entre film initiatique et documentaire sur la communauté kabyle parisienne Nassim Amaouche nous emmène dans un univers étrange ou la relation "père-fils" ne cesse d’être abordée.
    La caméra effectue un va-et-vient entre Samir un trentenaire désabusé et un petit garçon un brin œdipien. Tout deux ont l'air perdus à la recherche de leur vie, chacun souffre de l'absence de leur père. Ce parallélisme marche très bien : on garde de l’intérêt pour les personnages tout en se demandant qui est qui, et où est le réel ? C'est Samir qui semble trouver ce qui le sauvera de ses errances : L'amour. L'amour qui apparaît sous les traits magnifiques de Laetitia Casta qui réunira les deux destinées

    Dans Des Apaches le romantisme danse maladroitement avec l’anthropologie, c’est complexe et court tout en revendiquant une certaine ambiguïté.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 août 2015
    Un petit bijou, tous les ignares ne faisant même pas travailleur leurs méninges ne vont pour sûr rien comprendre, mais ce film dépend de nous, spectateurs, et de notre compréhension qui va nous plonger dans cette univers kabyle et ses relations père-fils touchantes. Particulièrement bien construit, nous comprenons à la fin que les scènes dites "de lenteur" étaient indispensables à la compréhension du personnage et finalement, du film. J'ai adoré.
    ferdinand
    ferdinand

    14 abonnés 452 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 août 2015
    Film superbe d'un bout à l'autre. Son titre, qui fait référence à la grand mère kabyle est malheureusement mal choisi. Les allers retours entre l'enfance et la trentaine du héros sont assez extraordinaires, très proustiens, la description du milieu kabyle de Paris est fascinante. ll faut espérer que ce film personnel très émouvant trouve son public, il le mérite!
    cylon86
    cylon86

    2 548 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 juillet 2015
    Avec "Des Apaches", Nassim Amaouche réalise un film assez personnel, abordant la confrontation des traditions, des cultures et des générations par le biais de cette histoire dans laquelle Samir se retrouve entraîné par un père qu'il n'a jamais connu dans une affaire de tradition kabyle. La solitude, la contrainte des choix, voilà des thèmes qui nous parlent mais qui sont ici terriblement mal exploités, empêtrés dans des maladresses scénaristiques d'autant plus lourdingues qu'Amaouche essaye désespérément d'insuffler de la poésie à son histoire. Si lui-même s'en sort bien en tant qu'acteur, c'est surtout l'excellent André Dussolier qui ressort du lot avec un rôle qu'il parvient très bien à faire exister en quelques regards et quelques paroles. La pauvre Laetitita Casta ne pourra pas en dire autant, enfermée dans un rôle bien fade, comme beaucoup des personnages du film qui peinent à convaincre.
    Laurent C.
    Laurent C.

    260 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 juillet 2015
    Le film "Des Apaches" sent l'autofiction. Nous voilà plongés dans un univers sociologique, sans doute très proche de celui de l'auteur, particulier et secret, celui des kabyles. D'ailleurs, l'œuvre démarre sur une introduction pour le coup très anthropologique, qui présente, d'une voix monotone, à la manière d'un reportage, les us et coutumes d'un village en Algérie, organisé en communauté a priori démocratique. Cette introduction, très étonnante, est essentielle pour comprendre l'histoire toute entière. Samir, un jeune-homme parisien, vient de perdre sa mère qui l'a élevé seule. Il est rattrapé par son père qui souhaite l'associer, en tant qu'aîné, à une tractation immobilière qui doit d'abord se régler en communauté, avant de trouver une issue officielle. Le propos est intéressant, certes. Pour autant, derrière cette histoire d'omerta et de communautarisme, Nassim Amaouche, le réalisateur, engage une sorte de déclinaison très lente de sa propre enfance, fondue au présent de la narration. Sa mère, Jeanne (interprétée par Laëtitia Casta, juste très belle), est aussi l'amante rencontrée dans un hôpital. Le petit Samir est aussi le compagnon de tristesse du jeune-homme, le soir dans son appartement. On voyage dans l'univers feutré des commerçants kabyles au cœur de Paris. André Dussollier interprète une sorte d'entremetteur au milieu de ces gens sans qu'on parvienne vraiment à comprendre pourquoi les tenanciers de bars lui donnent autant de place dans leurs affaires, qui, si l'on en croit l'introduction, engagent la communauté et l'honneur villageois. Il y a du Proust là-dedans sinon que le monde que le réalisateur décrit n'est pas celui des salons mais des kabyles à Paris. Le film est souvent long, trop long, et s'il y a de l'idée, le concept général n'est pas assez convaincant. L'histoire d'amour file devant les yeux et échappe à l'attention du spectateur, tant la narration s'embourbe dans une série d'invraisemblances narratives et complaisantes.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 26 juillet 2015
    Une perte total de son temps d'existence sur terre à allez voir cet espèce d'inutilités cinématographique.
    ça essais de commencé sur les bases révélatrice d'un fonctionnement organisé d'une communauté, en l'occurrence les Kabyles, en filmant un membre qui débarque en France pour récolter des fonds engranger par le commerce dont on saura jamais exactement, licite ou pas.. Puis ça s'endort complet sur des personnages sans explication ou utilités dans le sujet de base.. Ils nous perdent en rêveries mêlant sans but les personnages à un point de plus saisir si c'est des flash backs ou... Rien. aucun sens à un point que c'est inexplicable comme s'est mauvais !
    mem94mem
    mem94mem

    119 abonnés 577 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 juillet 2015
    Le film me paraît beaucoup trop autobiographique et malmène le scénario au profit d'une réalité sûrement très personnelle. Le film en pâtit. la partie presque documentaire sur la vie des communautés kabyles à Paris est intéressante. En revanche l'histoire familiale de Samir est confuse et laisse à interprétation, ce qui est un comble pour un film si personnel. Ces/ses errements plantent le spectateur sur le côté.
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