Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Lente et sublime, la deuxième partie (...) prépare le spectateur à la déflagration finale, un concert de Black Metal capté Live et dans sa quasi-continuité. Un bloc de cinéma qui tient de la transe tribale et nous renvoie, hagard, errer avec le héros sur le quai du port d'Oslo. Impressionnant.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
(...) une oeuvre réalisée en binôme qui peu à peu nous éloigne des ténèbres de l’incompréhension, et donc d’une certaine ignorance, pour nous faire atteindre une forme de transe, mystique et tribale, qui rend la projection, a posteriori, d’une très grande valeur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Une balade sauvage très soucieuse de son hermétisme magnétique et de la pesanteur de ses temps longs qui nous font éprouver, à plein, tout à la fois la fascination et l’éreintement que charrie cette divagation païenne aux contours et coutures (un peu trop) savamment floutés.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Peu de temps après "Two Years At Sea", voici une seconde possibilité de découvrir le travail de Ben Rivers, réalisateur indispensable à une heure de standardisation extrême, œuvrant pour un cinéma sensible, minimal et beau, paré de mystère, parcouru par un sentiment de solitude cosmique.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Le film, entre documentaire et fiction, prend la forme d’une odyssée élégiaque où se télescopent les échos du Walden (1969), de Jonas Mekas, et la mémoire des rites sataniques filmés par Kenneth Anger. (...) Car du début à la fin de ce triptyque tripant, il n’est pas question d’autre chose que de spiritualité, de transe, et de transcendance.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
On peut trouver l’aspect film-concert un peu ordinaire, et l’introduction dans la communauté parfois aléatoire et anecdotique. Mais la longue et énigmatique partie centrale, un bloc de temps et de réel lumineux, vaut à elle seule le déplacement.
On peut être admiratif de cette beauté froide, mais on reste aux portes des ténèbres promises : l’immersion est visée par des dispositifs faussement abstraits, mais c’est la coquetterie du faux qui est souvent la plus visible.
Paris Match
Lente et sublime, la deuxième partie (...) prépare le spectateur à la déflagration finale, un concert de Black Metal capté Live et dans sa quasi-continuité. Un bloc de cinéma qui tient de la transe tribale et nous renvoie, hagard, errer avec le héros sur le quai du port d'Oslo. Impressionnant.
aVoir-aLire.com
(...) une oeuvre réalisée en binôme qui peu à peu nous éloigne des ténèbres de l’incompréhension, et donc d’une certaine ignorance, pour nous faire atteindre une forme de transe, mystique et tribale, qui rend la projection, a posteriori, d’une très grande valeur.
Libération
Une balade sauvage très soucieuse de son hermétisme magnétique et de la pesanteur de ses temps longs qui nous font éprouver, à plein, tout à la fois la fascination et l’éreintement que charrie cette divagation païenne aux contours et coutures (un peu trop) savamment floutés.
Première
La caméra serpente et quelques indices (suivez les triangles !) donnent l’illusion fascinante d’un voyage défiant le temps et l’espace.
TF1 News
Peu de temps après "Two Years At Sea", voici une seconde possibilité de découvrir le travail de Ben Rivers, réalisateur indispensable à une heure de standardisation extrême, œuvrant pour un cinéma sensible, minimal et beau, paré de mystère, parcouru par un sentiment de solitude cosmique.
Le Monde
Le film, entre documentaire et fiction, prend la forme d’une odyssée élégiaque où se télescopent les échos du Walden (1969), de Jonas Mekas, et la mémoire des rites sataniques filmés par Kenneth Anger. (...) Car du début à la fin de ce triptyque tripant, il n’est pas question d’autre chose que de spiritualité, de transe, et de transcendance.
Les Inrockuptibles
On peut trouver l’aspect film-concert un peu ordinaire, et l’introduction dans la communauté parfois aléatoire et anecdotique. Mais la longue et énigmatique partie centrale, un bloc de temps et de réel lumineux, vaut à elle seule le déplacement.
Cahiers du Cinéma
On peut être admiratif de cette beauté froide, mais on reste aux portes des ténèbres promises : l’immersion est visée par des dispositifs faussement abstraits, mais c’est la coquetterie du faux qui est souvent la plus visible.