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    Sing Street
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    172 critiques spectateurs

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    Freakin  Geek
    Freakin Geek

    247 abonnés 883 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 octobre 2016
    Avec ce troisième film musical, John Carney fera encore vibrer la corde sensible de tous les spectateurs qui se sont rêvés un jour les membres d’un groupe. Sing Street est une belle occasion de revivre l’ambiance des années 80 avec ses musiques cultes dont s’est grandement inspiré le réalisateur pour écrire les chansons originales du film particulièrement réussies. Une des meilleures bande-originales de l’année. La réussite du film repose aussi sur sa petite bande d’acteurs très attachante qu’on espère revoir très vite dans d’autres rôles. [lire la critique complète sur le site]
    Dkc
    Dkc

    24 abonnés 133 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 octobre 2016
    la chronique musicale adolescente : drôle, nostalgique ( pour les 50 ans ), touchante, sensible, dansante et dublinoise se transforme tranquillement en une espèce de sitcom rempli de poncifs : dommage, quel dommage ; plutôt voir ou revoir " killing bono "...
    toxicbo!
    toxicbo!

    18 abonnés 320 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 novembre 2016
    Promettez-moi d'y aller : vous verrez le film le plus sympathique de l'année!
    Ce film musical (le meilleur depuis longtemps) se déroule l'année de ma naissance, à Dublin. Né pour être bon, forcément!
    Plus sérieusement, ce film assistant aux premiers pas d'un groupe de rock, décrypte les premiers grands émois de l'adolescence, avec une fraicheur débordante et un ton décomplexé et surtout très drôle. Ça rie fort dans la salle!
    John Carney ("Once", "New York Melody") confirme ses talents de réalisateur du genre, où il s'épanouit plutôt bien. Telle une fable désenchanté, qui trouve sa lumière au bout du chemin, on aime profondément l'énergie qu'elle ballade le long de son récit, habillée d'une musique originale tubesque et de standards des années 80, rendant un hommage nostalgique à une époque révolue et emblématique, où des groupes comme Duran Duran ou The Cure pliaient d'admiration la jeunesse.
    Ce film est une parenthèse enchantée, dont vous ne devriez surtout pas vous priver. It's 80´s time!
    leoline
    leoline

    30 abonnés 93 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 octobre 2016
    Je n ai rien trouvé de tous les qualificatifs que j ai lus partout de la presse aux internautes... trop de louanges. Disons que ce film est une ode a l optimisme dans une Irlande totalement ringarde tant sur le plan sociétal que pauvre sur le plan social... Il fallait avoir de l énergie de la vision pour se sortir d'un tel marasme. Ce film est donc un peu trop long mais donne envie de progresser d évoluer de se faire pousser des ailes pour atteindre une sorte de quête de l absolu a savoir émigrer...en Angleterre .. faire de la musique au demeurant très réussie et s assurer l amour impossible... C'est caricatural mais pas a l extrême, c est bien filmé mais sans génie, c est plaisant sans émotion en ce qui me concerne. Le tout fait quand même un bon film... Pourquoi ? parce qu'il y a du volontarisme de bout en bout... et rien que cela ...vaut le déplacement.
    Jorik V
    Jorik V

    1 269 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 octobre 2016
    John Carney trace son petit sillon sans prétention dans le cinéma international et frappe visiblement régulièrement le cœur des festivals (et des festivaliers) tout autant que celui de la critique. Le succès public est moindre, la faute à un rayonnement marketing discret et des castings pas toujours vendeurs, mais il devient une valeur sure dans ce que l’on pourrait appeler la comédie musicale à l’irlandaise après « Once » et « New York Melody ». Pourtant on peut ne pas être client de ce genre de productions et les deux derniers films cités peuvent être également source d’un grand ennui même si on aime les comédies musicales ou les feel-good movie. C’est pourquoi « Sing Street » est, à notre sens, le meilleur film du metteur en scène tout en restant moyen.

    Toutes les intentions sont bonnes et la bonne humeur qui parcourt le long-métrage est effectivement contagieuse et c’est ce qui rend « Sing Street » agréable et dur à critiquer négativement. Mais quand on n’est pas adepte de ce type de musique (les productions originales chantées par le groupe ne sont pas forcément fédératrices et ne feront pas trémousser tout le monde) et que l’on a déjà vu mieux (« Billy Elliott » par exemple et tout simplement) on peut se permettre de tiquer. De plus, les seconds rôles ne sont pas creusés et seules deux relations interpellent pas leur justesse : celle entre le jeune héros et son grand frère et celle avec la fille dont il est amoureux. Des rapports juste, bien joués et émouvants. Et puis il faut avouer que l’intrigue comme ce que l’on voit dans le film n’a rien de révolutionnaire, loin de là.

    Mais c’est vrai que c’est joyeux, parfois drôle et que dans l’ensemble on passe un moment qui est loin d’être désagréable. L’époque est parfaitement retranscrite et on s’amuse de voir répliques, costumes ou décors en adéquation avec ces années 80, toujours très cinématographiques et promptes à enclencher l’effet madeleine de Proust. Les scènes dans le lycée permettent d’aérer un peu le récit pour qui n’accroche pas au côté musical et la petite bande constituée est attachante bien qu’on aurait aimé qu’elle soit davantage développée. Le film bénéficie d’un capital sympathie certain mais c’est à réserver aux amateurs car cela n’a rien d’extraordinaire.
    Isabelle E.C.
    Isabelle E.C.

    52 abonnés 297 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 octobre 2016
    Réjouissant, plein d'énergie et de musique, d'amour et d'amitié, de recherche artistique et de fraternité ce film fait du bien, la bande son est excellente.
    Les années 80 à Dublin, un jeune homme de 15 ans tombe amoureux, crée un groupe dont le style est indéterminé et évolutif (pop rock, new wave), réalise ses rêves sous l'œil bienveillant de son grand frère, se fait des amis. On entrevoit la montée de La crise et l'évolution des mœurs en Irlande (divorce interdit, Eglise en charge de l'éducation).
    Les héros sont très mignons, bourrés de charme et de détermination.
    Pauline_R
    Pauline_R

    176 abonnés 398 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 octobre 2016
    Un film réjouissant dont je ne savais quoi attendre tant j'avais adoré Once et peu goûté au mièvre New York Melody du même John Carney. On est certes devant un film qui pourrait s'apparenter à un simple teen movie mais la Bande Originale, l'humour et l'ambiance années 80 lui donnent un charme fou et l'envie folle aux spectateurs de se lever pour danser sur leur siège (enfin ce fut mon cas...). Et derrière cet aspect feel good et pop, le film est aussi un prétexte pour évoquer la situation sociale compliquée à Dublin à cette époque avec en toile de fond le "rêve londonien". Une vraie belle surprise.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 28 octobre 2016
    Film super agréable, gros coup de cœur pour la période mini Robert...toute ma jeunesse en moins de deux heures! Quel retour en arrière.
    Domnique T
    Domnique T

    65 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 octobre 2016
    Comme le cinéma britannique sait bien fabriquer les peintures sociales ! Mais ce n'est pas du Ken Loach ! La dépression économique des années 80 en Irlande sert magnifiquement de toile de fond a ce superbe "feel-good" movie. Parce que si l'espoir de s'extraire de ce marasme économique et spirituel sert de ressort à tout les protagonistes, l'angle de vue d'un adolescent apprenti musicien donne a cette description la légèreté, l'utopie, l'impertinence et la grandiloquence de cet âge. Qui ne c'est pas identifié aux "guitar héroes" de nos vinyles poussés à fond sur nos improbables pick-up ? C'est le ressort émotionnel de cette totale réussite où la musique sert de vecteur à une description subtile des premiers émois colorés sur un fond social grisâtre. Le spectateur se laisse aller à une douce euphorie délicieusement régressive.
    poet75
    poet75

    270 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 octobre 2016
    Il m'arrive, de temps à autre, comme à tout cinéphile, d'être déçu par un film que pourtant j'avais attendu avec délectation (à cause d'une critique alléchante ou d'un sujet suscitant mon intérêt). A contrario, fort heureusement, il m'arrive aussi, comme à tout cinéphile également, d'être enchanté par un film dont je n'espérais pas grand chose. Ce fut le cas à propos de « Sing Street » : le sujet (une bande d'adolescents irlandais du milieu des années 80 se défoulant en faisant de la musique) ne m'attirait guère. Mais, le film bénéficiant de critiques élogieuses, je me suis résolu à aller le voir et je n'ai eu qu'à m'en féliciter. Tout m'a séduit, tout m'a non seulement convaincu mais enthousiasmé.
    Ce film plein d'énergie enchante littéralement mais également passionne parce qu'on devine que le réalisateur y a mis beaucoup de lui-même, beaucoup de sa propre histoire. Même dans ses quelques excès, il garde un ton de vérité, une approche qui semble marquée du sceau du vécu. Le personnage principal du film se prénomme Conor et c'est un lycéen de 15 ans que ses parents, à cause de difficultés financières, retirent d'un établissement privé pour l'inscrire à l'école publique. Le choc est rude. A la fois du fait des autres élèves pour le moins turbulents et du fait du directeur, un prêtre aux méthodes rigides, voire brutales (n'oublions pas que nous sommes à Dublin dans les années 80, c'est-à-dire à mille lieues de la laïcité à la française!).
    Le malheureux Conor semble voué aux pires épreuves, d'autant plus que, chez lui, ça ne va pas fort : ses parents ne cessent de se quereller sans cependant pouvoir divorcer (le divorce étant interdit en Irlande à cette époque-là!). Mais l'adolescent n'est pas du genre à baisser les bras : il parvient à se lier à quelques élèves de sa nouvelle école et, surtout, il aperçoit, non loin de l'établissement, une jeune fille un peu plus âgée que lui et d'une ravissante beauté. Elle se prénomme Raphina. Le garçon l'aborde aussitôt et cherche à l'impressionner en lui disant qu'il fait partie d'un groupe de musique et qu'il cherche une partenaire féminine pour un clip vidéo qu'il veut tourner. Rien de tout cela n'est vrai, mais Raphina le prend au mot et Conor, s'il veut ne pas perdre la face, se trouve obligé de rendre effectif ce qui n'était que vantardise.
    Qu'à cela ne tienne ! Conor se met aussitôt à la recherche de musiciens en herbe et ne tarde pas à composer ses premières chansons. Avec ses copains, avec Raphina qui entre dans le jeu, le film se pare d'un ton festif tout en préservant quelque chose de mélancolique. Quand on lui demande quel genre de musique il veut faire, Conor répond en affirmant qu'il est futuriste. Mais la vérité, c'est que toutes ses chansons (ou presque) sont écrites pour Raphina. La jeune fille n'est pas dupe, bien sûr, et demande à Conor de lui composer quelque chose de plus joyeux que ce qu'il a fait jusque là. C'est alors que Conor imagine un style qu'il définit par deux termes antinomiques : gai-triste. La musique est joyeuse, dynamique, mais les paroles restent mélancoliques. D'autant plus que Conor croit aimer Raphina sans espoir de retour : elle a déjà un petit ami, plus âgé qu'elle, et qui lui a promis de l'emmener à Londres...
    Cette antinomie (gai-triste) n'imprègne pas seulement les chansons que compose Conor mais le film tout entier. D'un côté, il déborde d'énergie et de vitalité, de l'autre, il entrouvre des fenêtres sur de dures réalités sociales (tous les personnages vivent dans la précarité) et sur des êtres en situation d'échec. L'un des personnages les plus touchants du film est le frère aîné de Conor : il lui sert, en quelque sorte de mentor, voyant son cadet réussir là où lui-même pense avoir échoué. Il ne semble pourtant pas y avoir d'amertume ni d'envie chez ce frère aîné, mais juste la joie d'aider Conor à trouver une issue pour échapper à la fatalité de la médiocrité.
    Ce personnage du frère aîné ainsi que quelques autres (tous admirablement interprétés) rendent ce film réellement passionnant et émouvant. Et, bien sûr, il faut compter avec la qualité de la bande son : impossible de ne pas se trémousser sur son siège quand Conor et ses musiciens y vont de leurs chansons ! 8/10
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 27 octobre 2016
    Au-delà du "feel good movie" et de la bande son impeccable, d'excellents acteurs, une plongée dans l'Irlande des années 80 et une peinture sensible d'une relation entre deux frères.
    Je recommande vivement !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 27 octobre 2016
    En 1985, l’Irlande faisait encore figure de bon élève de la classe européenne. Ça n’empêchait pas la casse sociale de s’inviter déjà dans les familles. Comme celle de Conor, à Dublin, frappée par le chômage… et l’interdiction de divorcer des parents contraints de cohabiter avec leurs trois enfants. Ils seront mêmes obligés de retirer leur cadet, de l’école publique pour le mettre dans le privé moins onéreux ! C’est dans ce contexte dépressif que le réalisateur a situé son nouveau film musical.
    Pour échapper à la morosité ambiante et aux bizutages des autres lycéens, Cornor va faire de la musique sa thérapie. Patiemment il constitue son groupe de rock/pop qui s’appellera Sing Street et s’inspirera des idoles de l’époque (U2, Duran Duran, Gary Clark, The Cure…) Parallèlement, il part à conquête de la belle Raphina qui deviendra sa première groupie. Avec un rêve commun, partir à la conquête de l’eldorado Londonien qui exerce une vraie fascination.
    Entre la touchante bluette, la dislocation du tissus familial et l’incursion dans la scène rock des années quatre-vingt, John Carney parvient à marier réalisme et romantisme. Avec un casting de comédiens amateurs, un sentiment d’improvisation accentué par un tournage caméra à l’épaule, on devine la modestie des moyens. Ils ont au moins le mérite de favoriser la spontanéité des acteurs. Cela donne un bon petit film. Un brin convenu parfois, mais plein d’humour et aussi galvanisant que la bande son.
    traversay1
    traversay1

    3 570 abonnés 4 860 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 octobre 2016
    C'est l'histoire d'un adolescent qui veut conquérir la plus belle fille du coin en lui assurant qu'il chante dans un groupe de rock. Et puis ? Et puis, c'est tout, car avec un mélange de romantisme, de musique et d'humour, John Carney (Once) livre un petit film qui est grand, sincère, tendre et avec un coeur gros comme ça. Ne pas croire : l'argument de Sing Street a beau sembler simpliste, voire déjà vu, il est encadré par une toile de fond signifiante et pas franchement gaie dans le Dublin en crise des années 80 : la pauvreté et le chômage auxquels s'ajoutent pour le héros faillite conjugale de ses parents et formation à la rude dans son école. Le conte social a du sens, les adultes sont embourbés dans leur existence et les plus jeunes, du moins certains, vivent la leur comme une aventure où les rêves sont faits pour être exaucés. Tout cela est d'une sincérité absolue et plaisamment naïve et surtout sous-tendu par une énergie électrisante où une cargaison de tubes des années 80 (Cure, Spandau Ballet, Jam) se mêle à une B.O juvénile et contagieuse, du genre à taper des pieds dans son fauteuil. Quant à l'interprétation, elle est juste parfaite avec en particulier des seconds rôles joliment écrits (le frère et la petite amie du personnage principal). Feel-Good ou Teen-Movie, qu'importe, il y a dans Sing Street une fraîcheur de vivre (comme on disait dans une certaine publicité), une invitation à ne pas laisser tomber et à peindre en rose les murs gris de son environnement. Une pinte de bonheur que ce film là, à ne pas négliger par les temps qui courent, et à déguster sans modération.
    Sylvain P
    Sylvain P

    336 abonnés 1 356 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 octobre 2016
    Pour un film musical, c'est un film musical ! La formation de ce groupe d'ados dont la motivation première est de séduire une jeune fille et l'incarnation des années 80 sont très réalistes. Une belle énergie et des moments musicaux de choix sont la cerise sur le gâteau. A conseiller !
    Anne M.
    Anne M.

    72 abonnés 641 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 octobre 2016
    J'ai un faible (et c'est peu dire) pour l'Irlande, aussi bien pour le côté nature -sublime- que pour le côté humain, musical et artistique -prolifiques pour un si petit pays-, et historique -une histoire souvent déchirante et produisant des grands hommes. Cette sympathie a été déterminante pour le nombre d'étoiles de ma critique, mais pas seulement.

    Dans les années 80/85, un lycéen pris dans le chaos familial, dans une Irlande économiquement fragile, change d'école et retourne dans le public -assez chaotique aussi- pour des raisons financières. Il va monter un groupe de musique rock avec d'autres élèves pour conquérir le coeur d'une jeune femme dont il est éperdument amoureux. Jusque là, rien de plus banal comme histoire. On se croirait dans un énième teen-movie musical.

    Mais c'est sans compter :

    Une BO excellente, avec des tubes des années 80 plus de nouvelles compositions de Gary Clark vraiment à découvrir. Ma préférée : celle sur le mannequin.
    Des couleurs, une façon de filmer qui rappelle les films des années 80 et quelques clins d'oeil : un véritable bain de jouvence, sans nostalgie, pour celles et ceux qui étaient jeunes à l'époque et une histoire qui donne confiance en la vie pour les spectateurs "post- eighties".
    En arrière-plan une critique pince-sans-rire pleine de la société irlandaise.
    De jeunes acteurs épatants, dont les différents looks de rockeurs sont très réussis
    Les dialogues : du franc parler, de l'insolence, de l'humour avec de savoureux accents irlandais.
    Surtout une énergie folle, une grande bouffée d'oxygène, comme je le disais un appel à la confiance en l'avenir, malgré la grisaille de la vie,

    En quelque sorte la quintessence de ce qu'on ressent lors d'un voyage en Irlande.
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