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    Joy
    Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "Joy" et de son tournage !

    Biopic en plein Miracle Mop...

    Parmi les producteurs exécutifs du film, on trouve le nom de Joy Mangano. Le prénom se tire aussi la part du lion sur l'affiche et pour cause, puisque Joy est l'adaptation cinématographique de la vie de cette entrepreneuse et inventrice de la serpillère magique (ou Magic Map outre-Atlantique). A l'origine également des cintres anti-dérapants, elle fit une fortune à travers son entreprise et devint même présentatrice du télé-achat qui la fit connaître. Sous l'oeil de David O. Russell, c'est Jennifer Lawrence qui lui prête ses traits.

    ... qui parle de toutes les femmes

    Si l'on observe Joy d'un oeil distrait, on peut considérer le nouveau David O. Russell comme un biopic. Mais pour le réalisateur, le projet est plus personnel et plus riche que ça. En effet, il a écrit le personnage de Jennifer Lawrence en pensant également à sa mère et à son groupe d'amies. Autre influence, celle de Lillian Vernon, business woman de renom à l'origine du premier La Redoute américain. Sa première entreprise fut fondée là où Russell grandit et il s'est souvenu d'une femme à l'énergie véloce.

    Retrouvailles

    Après Happiness Therapy, American Bluff et Serena, Jennifer Lawrence et Bradley Cooper se donnent une fois de plus la réplique dans Joy de David O. Russell, qui les dirige pour la troisième fois d'affilée au même titre que Robert De Niro.

    Le peintre et sa muse

    C'est durant le tournage d'Hunger Games - La Révolte : Partie 2 que Jennifer Lawrence reçut un coup de fil, en pleine nuit, du réalisateur David O. Russell. Celui-ci l'appella pour lui proposer le rôle de l'inventrice du balai à vapeur. Fidèle à ses habitudes, le cinéaste fit évoluer cette idée vers un portrait d'une famille sur 30 ans, Joy passant au cours du film de 10 à 40 ans. Le changement est d'ailleurs au coeur de la méthode employée par O. Russell, qui invente régulièrement de nouvelles scènes sur la vision d'un simple détail, tout en se concertant auprès des acteurs afin de respecter l'esprit du projet. Lawrence a d'ailleurs comparé le personnage à un peintre porteur d'une toile mystérieuse sur laquelle les acteurs tiendraient le rôle de peinture.

    Aller au-delà des conventions

    Pour David O. Russell, Joy est son film le plus ambitieux à date, en terme de narration et d'ampleur cinématographique. Le fait de faire appel à son trio d'acteurs fétiches (Jennifer Lawrence, Bradley Cooper et Robert De Niro) ne doit d'ailleurs rien au hasard. Il put ainsi s'assurer leur confiance et leur proposer des personnages aux caractères inédits. Pour Jennifer Lawrence, Joy ne se termine pas là où on l'attend (sur la réussite d'une entrepreneuse) mais examine plutôt les conséquences qui découlent d'une vie de sacrifices.

    Un défi à hauteur de femme

    Pour ce nouveau projet, David O. Russell fut d'abord attiré par le goût du défi et celui d'une relation commune à renouveler. En l'occurrence, celle qui unit le réalisateur et Jennifer Lawrence, cette dernière ayant évolué dans l'univers du premier, en duo dans Happiness Therapy, et en second rôle dans American Bluff. Ici, elle tient le premier rôle et se voit offrir un portrait féminin sur plusieurs décennies, expérience nouvelle pour l'actrice et pour son réalisateur.

    Joy dans tout son état

    Le tournage se déroula dans l'état du Massachusetts, dans la ville de Haverhill et celle de Boston, de février à avril 2015. Au début de la production, d'importantes chutes de neige obligèrent la production à déplacer pour quelques jours le tournage. Une expérience de laquelle Jennifer Lawrence tira quelques mauvais souvenirs, comme lorsque le sol fut recouvert de plus de deux mètres de particules de glace.

    Joy à l'ère du disco

    David O. Russell accorde une grande importance à la musique au sein de ses films. Pour lui, celle-ci porte l'émotion du récit et fait oublier le temps en enveloppant le spectateur. Un élément qu'il retrouve selon lui chez les Bee Gees. C'est en effet la troisième fois, avec Joy, que le réalisateur utilise une musique du groupe pour ses films : deux acteurs chantaient I Started a Joke dans Fighter, on entendait résonner How Can You Mend a Broken Heart dans American Bluff et To Love Somebody fait vibrer Jennifer Lawrence dans ce nouveau film.

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