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Régis L.
9 abonnés
163 critiques
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4,0
Publiée le 28 octobre 2015
Joseph Gordon-Levitt est convaincant et surprenant dans la peau d'un funambule. Charlotte Lebon interprète très bien sa petite amie chanteuse. Ben Kingsley tient le rôle du mentor Papa Rudy. Une performance spectaculaire , incroyable, vertigineuse. Il faut vivre ses rêves et les réaliser.
Le film est très agréable à suivre. Malgré un démarrage assez difficile, la suite est vraiment de très bonne facture. Joseph Gordon et oûïtes est très intéressant dans son rôle principal. Charlotte Le Bon est toujours aussi mignonne et intéressante. Ce n'est pas le meilleur biopic mais il est quand même de qualité et agréable à suivre.
Un très bon moment passé à voir ce film sublime. L'effet 3 D est vraiment top, nous avons de bonnes sensations de vertige. Robert Zemekicks nous surprendra toujours.
Un vrai plaisir , une image en 3D qui nous entraîne dans cette histoire tout simplement extraordinaire. Merci de nous avoir permis de la vivre plus de 40 ans après. Interprétation très bonne .
Très bon film à l'esthétisme réussi, mis en valeur par la 3D. Mais par delà l'image, l'histoire est intéressante et la mentalité de Philippe arrogante mais attachante donne une profondeur au film. Les scènes d'action tirant parfois trop sur les films d'espionnage coupe un peu l'atmosphère rêveuse du film, mais c'est le seul défaut que j'ai noté. À voir.
Hommage au World Trade Center avec ce The Walk dont l’histoire aurait mérité bien meilleure adaptation que cette réalisation de Robert Zemeckis. ♥♥♥
Biopic du funambule français Philippe Petit, célèbre pour avoir joint en 1974 les deux tours du World Trade Center sur un fil, suspendu au-dessus du vide.
Retour pour le devant de la scène pour le réalisateur à succès Robert Zemeckis (papa des Retours vers le futur, Forrest Gump et autres Seul au monde). Avec The Walk, il compose un film de studio très américain et qui passe proche du film assez quelconque, malgré la présence assez judicieuse de la 3D dans les scènes de hauteur. Explications :
Le problème avec The Walk vient essentiellement de sa 3D qui confère à la première partie du film un côté « carton patte ». La scène la plus frappante étant celle de l’étang où Robert Zemeckis travaille tellement sa scène d’effets spéciaux qu’elle en devient assez risible (on est loin de Jean-Pierre Jeunet même si le cœur y est). Et que dire des scènes de Paris visiblement tournées à Montréal ? Ou de l’accent faussement français de Joseph Gordon-Levitt (son vocabulaire anglophone est quasi-parfait quand son français est plutôt approximatif) ? A moins que ce soit le peu de dialogues en langue de Molière pour une troupe de francophone ?
Détails, direz-vous ? Et bien ces petits détails de langue viennent toutefois gâcher un petit peu plus le plaisir pour un francophone qui se voit en outre assené tout au long du film « il faut parler en anglais puisque nous allons à New York ». Logique ?
Plutôt que ces aspects visuels (mauvais photoshop pour la narration de Gordon-Lewitt sur la statue de la liberté), le réalisateur américain aurait nettement gagné à travailler ses personnages surtout les secondaires à qui il peine à donner de la substance (triste pour Charlotte Lebon qui est québécoise et Clément Sibony qui est français) Car à force de multiplier les aspects « film de studio », Robert Zemeckis crée entre son spectateur et l’écran comme un certain hermétisme vis-à-vis de ses personnages. Sommes-nous dans une attraction Disneyland ou dans un film rendant hommage à l’exploit d’un funambule ?
Car qu’il pleuve, qu’il vente ou qu’il neige, peu se soucieront du sort de Philippe Petit… Son histoire au demeurant assez simple aurait parfois nécessite un traitement plus humain…
Qu’importe, la seconde partie retrouve un peu de vigueur et de bonne émotion même si les pirouettes en hauteur finissent par se faire longues.
La question demeurant : « Qui aurait pu faire mieux ? »
Il convient d’avouer que, dans ce type de film, et devant l’absence de réponse, on se dit que The Walk n’est finalement pas si mal…comme un film mixé entre drame et film à effets spéciaux…Ampoulé entre rêve et réalité (la seconde partie étant le rêve justifiant (enfin) la 3D, vous l’aurez compris
Gordon Levitt, superbe prestation! Joli duo avec notre Charlotte Lebon! Kingsley en mentor toujours au top et des seconds rôles décalés. Zemeckis nous sort une réalisation du tonnerre, on ressent le vide presque comme si nous y étions!
Film pas banal. Biopic de Philippe Petit, funambule qui a traversé les tours du World Trade Center dans les 70's. Uniquement tourné en 3D. Impressionnante la 3D. Et je ne suis pas client d'habitude. La technique se fait oublier et on se fait surprendre par les effets. Un régal. Le film dure 2 bonnes heures, et j'avoue avoir passé la dernière heure les mains moites... :
Je n'y serais sûrement pas allé le voir pour le sujet, mais je ne regrette pas. Loin de là. À voir.
Un bon moment ciné! C'était garanti avec Zemeckis aux commandes! J'étais malgré tout curieux de voir comment le fameux metteur en scène allait se débrouiller pr m intéresser pendant 2heures avec un tel sujet, j'appréhendais des longueurs. Perso, un p'tit 1/4h de moins aurait pt être donner encore plus d'intensité mais malgré cela, le film passe comme une lettre à la poste grâce au scénario biensûr qui reprend l histoire de cet exploit dès sa naissance dans l'esprit de ce p'tit français un peu rêveur idéalement interprété par un Gordon Levitt super attachant. Le funambule va raconter directement son histoire et grâce à son enthousiasme et sa bonne humeur communicative, les spectateurs seront sous le charme probablement autant que je ne l'ai été! Sa façon de parler des tours est vraiment émouvante, je ne pensais pas être aussi ému de les revoir mais surtout de les voir avec un oeil nouveau comme Zemeckis voulait nous les montrer c.a.d. Pas seulement comme un simple immeuble froid et sans âme ni comme le symbole de la domination américaine sur le reste du monde. De ce côté, Zemeckis avait pour moi, déjà réussi son pari. Mais grâce à la 3d il a enfoncé le clou comme on dit! Pour une fois, j ai vraiment trouvé qu'elle apportait quelque chose au film: Une profondeur renversante! C'est le film qui aura le mieux utilisé cette technologie ( seul "l' odyssée de pi" tient la comparaison selon moi). Une vraie bonne surprise vu la difficulté de mettre une telle une histoire en scène! Un super film qui devrait plaire à tous petits et grands. Ça fait du bien de voir un film sans violence, sans cris, larmes explosions courses poursuites... Un film juste "beau"! Comme quoi les américains savent faire autre chose que du blockbuster à la M.Bay! Alors merci à Zemeckis pour ce beau moment d'émotion toute simple.
Vous allez me dire : "Mais pourquoi es-tu encore allé voir un biopic?". Et vous auriez raison. J'avoue que j'étais curieux de voir ce film pour les fameuses promesses de la 3D qui nous donnerait le vertige. Alors pour ça, je n'ai pas été déçu. Effectivement, on a le vertige. La réalisation de Zemeckis est très aérienne et arrive facilement à nous donner la sensation de vide. Et malgré que l'on soit bien installé dans son siège on serre les fesses. Ensuite, le film essaie de se démarquer des traditionnels biopics. Adapté d'une autobiographie, Philippe Petit apparait à plusieurs reprises pour nous raconter son histoire, du haut du flambeau de la Statue de la Liberté et c'est peut-être ça qui est un peu dérangeant. Cette continuelle voix-off qui nous empêche de nous approprier le film. Dès qu'on remet le pied sur terre, la réalisation n'a plus d'intérêt et devient basique. Certaines scènes sont même grotesques. De plus, la volonté de tourner le film en anglais pour une histoire française en essayant de trouver des subterfuges pour nous faire gober qu'il faut à tout prix parler en anglais, deviennent lassants et peu crédibles à la longue. Joseph Gordon-Levitt en fait parfois un peu trop dans son jeu mais c'est peut-être le personnage qui veut ça. Nous pouvons le féliciter pour son français quasi parfait et ce petit accent frenchie qu'il garde tout au long du film ainsi que pour sa crédibilité en tant que funambule car il a effectué toutes les scènes sans doublure. Charlotte Le Bon est assez fade. Un film sur un exploit qui fait encore parler de lui et qui ne restera pas dans les meilleurs films du réalisateur ou du comédien.
Robert Zemeckis, réalisateur entre autre de "Retour vers le futur, Forest Gump, Seul au mon monde, Le Pôle express, Real steel..." fonde son dernier film "The walk - Rêver plus haut", uniquement sur l'exploit, la vie d'un français : un exploit, certes impressionnant, ce qui vaut une fin assez vertigineuse, mais il est obligé de magnifier le reste en passant par une narration visuelle et contée par le comédien Joseph Gordon-Levitt [500 jours ensemble, Inception, Premium rush, The dark knight rises...], lui-même principal sujet du biopic : original mais pénible. Pourtant talentueux, ce dernier surjoue, ne semble pas taillé pour le rôle. Pour le reste du casting (Ben Kingsley, Charlotte Le Bon, Clément Sibony), il n'est peut-être pas le meilleur non plus. Au final, ce récit lineaire à l'esprit saltimbanque est plutôt décevant...
Mais des travers matière à débat qui amenuisent la qualité de l'exploit cinématographique, notamment dans le rendu visuel tout-numérique, The Walkest un spectacle à sensations fortes, qui parvient à toucher du doigt l’effet recherché par sa démarche fondatrice, celui d’immerger complètement le spectateur au cœur même de l’aventure, des ressentis, comme s’il glissait lui-même ses pieds dans ces fines chaussures pour évoluer sur ce fil branlant à des centaines de mètres de haut. Et parce que l’effet d’immersion fonctionne, c’est tout ce The Walk qui se met à fonctionner dans son sillage, parce que le but est atteint, parce que les émotions sont là, parce que l’on vit pleinement l’effort, entre angoisse, rires et regard captivé. Immersif et intense.
Pourquoi devez-vous courir voir THE WALK**** au cinéma? 1. C'est tout simplement le meilleur film de Zemeckis depuis… Retour vers le futur et Roger Rabbit! Sa réalisation est exemplaire et bluffante, avec une économie de moyens si rare à Hollywood et bien plus efficace qu'un déluge d'effets spéciaux, lourds et contre-productifs. 2. L'histoire folle du funambule français Philippe Petit qui veut relier les Twin Towers de NYC perché sur un fil à plus de 400m au-dessus du vide est mise en scène à la façon d'un film de braquage, donc avec énormément de suspense et de tension, en plus de touches d'humour et de nostalgie. 3. La 3D est ici une valeur ajoutée (ce qui est rare, avouons-le), les scènes de funambulisme vous feront véritablement flipper! Une expérience forte et véritable de cinéma! 4. Joseph Gordon-Levitt est remarquable dans le rôle principal (en français, svp, car il est depuis longtemps francophile) à la fois physique et théâtral, deux qualités qu'il exhibe avec subtilité et brio. 5. L'exploit de Petit est si original et vertigineux qu'il ne peut laisser personne de marbre (il fut déjà relaté dans un documentaire primé aux oscars et aux BAFTA en 2009). Vous vivrez donc des sensations fortes mais aussi une aventure humaine magnifique. Ici, le dépassement de soi n'est pas un argument commercial mais donne lieu à un partage et à une réflexion.