Derniers Avis : The Walk – Rêver Plus Haut - Page 21

ce film est génial est spectaculaire l'histoire est génial les décors sont fabuleux les acteurs sont grandiose les effets 3D sont bien

The Walk, nouvelle œuvre de Robert Zemeckis est attendue, par tout cinéphile, avec impatience pour la simple raison que le réalisateur de Forrest Gump ou encore Retour vers le futur, a rarement trouvé l'occasion, dans sa carrière, de nous décevoir. Mais alors, devant ce biopic plutôt atypique, à propos d'un homme qui aime marcher sur un fil, nous pouvons nous demander ce que l'auteur va bien pouvoir nous raconter pendant plus de 2h ! La réponse est là : une mise en scène 3D admirable qui ne se contente plus de sortir de l'écran mais crée une incroyable profondeur, des scènes de vertige à vous faire trembler sur vos sièges et un vibrant hommage aux Tours Jumelles, voilà les points forts de cette improbable histoire, si typique du cinéaste. Quelques faiblesses sont, cependant, à déplorer bien qu'elles n'enlèvent rien au talent d'un homme qui comprend mieux que quiconque, la spatialisation de ses univers.

Tirée d'une histoire vraie, The Walk nous raconte donc le parcours d'un jeune français funambule, dans les années 70, dont le plus grand rêve est de traverser les emblématiques Tours jumelles. Acte évidemment interdit par la loi, il devra mettre en œuvre un plan risqué, sans se soucier des conséquences, afin de réaliser ce rêve. Comme tout projet à la Zemeckis, on ne doute pas un instant de l'engagement de l'auteur et le travail que lui a coûté la réalisation d'une telle œuvre.

Projet réfléchi pendant 9 ans, c'est vers Philipe Petit qu'il s'était tourné en premier lieu pour jouer son propre rôle avant de le faire, finalement endosser par le talentueux Joseph Gordon-Levitt : une sage décision si l'on en croit la politique américaine de financement d'un film qui se fonde, avant tout, sur les têtes d'affiche. C'est, donc, pour cette raison, et en dépit du malaise que suscite le très mauvais jeu de langue française d'un acteur censé incarner la nationalité, que l'on accepte de fermer les yeux et les oreilles : le premier public visé, outre-atlantique, n'en sera d'ailleurs jamais dérangé et, c'est un petit prix à payer, pour avoir le droit d'assister à la spectaculaire expérience en relief qui n'aurait jamais été possible sans un Joseph Gordon-Levitt.

Ce que l'on aime chez un cinéaste, tel que Robert Zemeckis, c'est sa vision à la fois optimiste et caustique du monde qu'il traite et, cela, sans jamais avoir peur d'être ridicule et de sombrer dans le premier degré complaisant et édulcoré. Et cette émotion positive parvient à saisir le spectateur, non seulement grâce à une partition d'Alan silvestri pudique et délicate, comme toujours, mais, aussi, par une mise en 3 dimensions d'un espace à la fois complexe et épuré. Ainsi, la mise en image de cette Odyssée sur un câble parvient à nous faire ressentir la profondeur psychologique d'un personnage abimé par son rêve optimiste, à la limite de l'auto-destruction : et, à l'instar des plus grands, Robert Zemeckis nous livre, ici, une belle leçon de cinéma !

Finalement, les trente dernières minutes du film nous font totalement oublier les, possibles, faux-pas d'une préparation qui, cependant, était nécessaire. The Walk commence comme un conte à la vision parisienne candide et merveilleuse, se déroule comme un braquage, dont l'utilisation décalée du cliché nous fait sourire, et finit en apothéose, en un poignant hommage à l'Amérique et son symbole.

The Walk, un biopic sur le funambule Philippe Petit dont le rêve était de relier par un fil les deux tours du World Trade Center est porté par de bons acteurs et surtout de magnifiques plans.
Le film commence lentement, continue lentement et finie merveilleusement! Malgré quelques faces caméra qui apportent les ressentis du funambule tout le long de sa vie ainsi que la voix off (vf assez ridicule) le film manque de rythme, heureusement Ben Kingsley apporte un peu d'émotion. Un manque de rythme qui s'arrête pendant la traversée finale, un final grandiose où on retient son souffle comme si on y était: une excellente scène!
The walk n'est pas qu'un simple film sur Philippe Petit mais aussi un "hommage" aux deux tours jumelles filmées sous toutes les coutures et par tous les temps.

Très bien filmé de manière originale et prenant, ce biopic est bien réussi avec une histoire très rythmée. Joseph Gordon-Levitt est excellent dans ce rôle qui rend un vibrant hommage à Philippe Petit et au World Trade Center. Dommage que le passage entre les 2 tours ne soit pas plus spectaculaire et plus scénarisé, beaucoup de préparation pour finalement une traversée rapide qui rend l'exploit moins important et moins spectaculaire.

Ce film fut l'une de mes plus belles surprises de l'année 2015..
On est émerveillés par ce spectacle bluffant et impressionnant en 3D qui nous laisse sans voix. On regarde avec passion ce chef d'oeuvre qui retrace le parcours hors-du-commun d'un funambule français tentant de traverser les deux tours du World Trade Center sur un fil tendu au-dessus du vide..
Pour écrire ce film, Robert Zemeckis s'est inspiré, avec Christopher Browne, du livre autobiographique " To reach the clouds" de Philippe Petit pour nous concocter un scénario complet, lyrique et palpitant de ce funambule superbement interprété par Joseph Gordon-Levitt..
Grâce à cet acteur, d'une justesse inégalable, on s'identifie très vite à ce funambule qui essaie par tous les moyens de concrétiser son rêve américain avec l'aide de ses "complices", ce que le film tente de mettre en avant. Les seconds rôles y sont très convaincants, notamment James Badge Dale, Steve Valentine ou encore Samuel Benedict (très drôle). A cela s'ajoutent également Ben Kingsley, excellent comme toujours et une géniale Charlotte le Bon..
Très bien filmé, ce film nous démontre tout le génie de Robert Zemeckis. Il a su, à travers ce bijou, nous emporter tout au long du film pour offrir au public un final grandiose, impressionnant et extraordinaire, ponctué par la musique splendide d'Alan Silvestri. Le spectateur retrouve des sensations jamais-vues au cinéma, en raison de la virtuosité de Robert Zemeckis, qui reste l'un de mes réalisateurs préférés...

"The Walk - Rêver Plus Haut" est ma déception de cette fin d'année. Ou plutôt ma déception de cette année tout court... Je suis horriblement déçu. À force de l'attendre, j'avais peut-être justement placé trop d'espoir sur ce film que j'en suis ressorti terriblement déçu.
On me l'avait tellement vendu ce film, avec sa 3D géniale, ses acteurs superbes, la traversée qui donne des frissons, qui fait trembler les jambes... J'en passe et des meilleurs.
Mais même le mot déception ne suffit pas pour décrire à quel point j'étais enragé que le film soit si moyen.

Dès la première image du film j'ai eu envie de quitter la salle. J'ai du voir environ cent trente films depuis le début de l'année (en comptant les re visionnages), mais là, chose rare du coup, j'ai tout de suite voulu m'en aller. Il faut se l'avouer, le plus grand intérêt à voir ce film, c'est de voir la traversée entre les deux tours et de savoir si, oui ou non, Philippe arrive à faire cette traversée ou s'il perd l'équilibre et meurt.
On pouvait le savoir à l'avance en recherchant sur Internet si sa traversée était concluante ou non, mais sinon il n'y aurait plus aucun intérêt à voir le film.

Et dès la première image, on nous montre ce qui se passe à la toute fin. Non mais sérieusement ??? Je pleurais intérieurement tellement j'étais dégouté. Je ne suis pas parti car quelqu'un devait venir me chercher après la séance, mais si j'aurais vraiment pu partir, je serais très certainement parti.
Philippe Petit, avec son grand sourire, spoiler: nous accueille
sur la Statue de la Liberté et spoiler: nous présente
son histoire... Rien que d'y repenser je suis malheureux. Comment un réalisateur étant qualifié comme si talentueux a-t-il pu faire ça ? Pourquoi ? Quelle est la raison de faire ça ? À part gâcher le plaisir de découvrir le film et faire fuir le spectateur avant d'avoir pu dire ouf, je ne vois pas...
Sans oublier la désagréable voix off qui souligne pendant quelques passages la moindre chose, rires en particulier...

Continuons sur la fin du film puisque j'ai commencé à en parler. J'ai là aussi été très déçu. La première traversée était spectaculaire, j'étais vraiment stressé de voir s'il allait réussir à faire le premier pas ou s'il renoncerait ; même si, comme dis ci-dessus, c'était déjà annoncé d'avance, mais j'étais vraiment rentré dans l'histoire et j'avais oublié tout ce qui se passait autour de moi.
La première traversée est grandiose et je souligne la qualité de la 3D qui est vraiment utile mais, malheureusement, que pour ce passage là. J'y reviendrais plus bas. Après qu'il ait terminé, spoiler: son cœur lui dit de repartir
. Alors j'étais surpris par cette décision mais sur le coup je me suis dis pourquoi pas ; je me suis dis encore une et après c'est fini car sinon ça n'a plus aucun intérêt...
Et là je vois spoiler: qu'il enchaîne les allées-retours
: un, deux, trois, quatre ! Je pleurais encore intérieurement. Toute la finesse qui s'était accumulée au fil du film s'était envolée. S'en est devenu carrément ridicule à la fin ! Un allée-retour ok, c'était pas prévu mais c'est un rebondissement bienvenu en fait, mais là, c'était vraiment dénué de sens.

Ensuite, parlons de la 3D qui est un point qui m'énerve aussi. Lors du dernier quart-d'heure, elle prend tout son sens ; mais quinze minutes sur deux heures, c'est vraiment très peu. Même si elle ne concerne que si peu du film ça ne me dérange pas. Mais justement, elle détériore la qualité de l'image pendant tout le début jusqu'au final.
Je regarde le maximum de films en 3D car j'adore ce format et même si le film est converti en post-production, j'aime beaucoup le relief que ça donne. Mais là c'est la première fois que je déconseille une 3D car, hormis le dernier quart d'heure, la 3D est inutile et la plupart du temps l'image est floue. Je ne pense pas que ce soit mes lunettes qui étaient rayées car je venais de les acheter et aux dernières nouvelles je n'ai pas de problèmes de vue.
Quelques exemples, lorsqu'il y avait des plans aériens sur la ville, les bâtiments se dédoublaient ou encore, lorsque la caméra filmait le ciel, des petites taches noires étaient visibles dans les nuages.

Les acteurs sont en général très bons, en tête : Joseph Gordon-Levitt qui est excellent mais sa voix Française, notamment lorsqu'il crie, n'est pas vraiment crédible, ensuite Charlotte Le Bon qui est géniale, ce petit brin de femme est vraiment exceptionnelle qui sait faire vivre son rôle, et le reste de la troupe qui est bon mais on ne les vois pas longtemps, il y a là aussi un manque d'approfondissement des personnages. Notons aussi la performance très décevante de Ben Kingsley qui est lui aussi un personnage secondaire, qui plus est agaçant. Son rôle est relativement important car c'est lui l'élément déclencheur du pourquoi du comment, mais on ne le voit pas assez.

Ça me fait vraiment mal d'écrire toutes ses choses négatives car j'avais vraiment envie d'adorer ce nouveau film qui semblait très audacieux, mais en fait il n'en ait rien : tout est tracé jusqu'à la fin, il n'y a aucune surprise ni rien, seul le dernier quart d'heure vaut le coup donc : la préparation de la traversée, exceptionnelle face au reste, avec des acteurs très convaincants, optimistes, et le premier allée-retour. Ce quart-d'heure était parfait.
Dans la globalité, je suis plus que déçu car la bande annonce révélait une véritable aventure, alors que là tout passait sans que je savoure vraiment ses instants car beaucoup de choses clichés comme l'arrivée des flics en haut des tours qui demandent au funambule de venir vers lui et qui ne manquent à aucun moment l'occasion de le déstabiliser pour qu'il tombe. Ils étaient obligés de le menotter, de le plaquer au sol et de faire les beaux ? Non mais franchement c'était vraiment nul de faire ça, il n'y a pas d'autre mot.
En conclusion, comme je l'ai déjà dis, le mot n'a pas encore été inventé pour exprimer ma déception. Le film se laisse voir mais c'est sans plus.

Ma note : 4,5/10 !

Une Pure Merveille. Aprés les incontournables Forrest Gump et Seul au Monde,le cinéaste révolutionnaire Robert Zemeckis est de retour en force avec ce Long Métrage Merveilleux et Extraordinaire qui est inspirée d'une histoire vraie. Pour Commencer la Mise en Scene est tout simplement Prodigieuse avec au passage une remarquable reconstitution des deux tours du World Trade Center qui sont visuellement Bluffants de réalisme a l'écran en étant accompagné d'une jolie BO signée Alain Silvestri qui sert magnifiquement le long métrage. Ensuite le Scénario est Passionnant jusqu'au bout en prenant amplement le temps de nous montrer étape par étape les événements qui mène jusqu'a son dénouement extraordinaire et trés attendu,ajouter a tout ceci l'idée ingénieuse d'apporter un coté film de Braquage qui apporte un plus au film tout en n'oubliant néanmoins pas de nous rire ou encore de nous voyager lors de l'époustouflante traversée finale qui est ahurissante tout en étant assez Sensationelle dont l'effet de la 3D est saisissante.Pour Finir le Casting est Fabuleux grâce aux performances sans faille des acteurs tels que l'excellent Joseph Gordon Levitt qui est épatant dans la peau du funambule Philippe Petit qui est un personnage trés attachant et qui se retrouve épaule par une poignée de Seconds Roles en béton comme Charlotte LeBon,Ben Kingsley,Clément Sibony et James Badge Dale qui apporte une interprétation sans faute a leurs roles respectives. En Conclusion, The Walk Rever Plus Haut est une remarquable Biographie a la fois Poétique,Éblouissant,Vertigineux et Brillant qui a le mérite de faire partie comme l'un des plus beaux Films de 2015 et qui est un véritable tour de force Cinématographique comme on aimerait voir plus souvent qui mérite d'être vu absolument en IMAX 3D.

Narrer tel un conte, de par sa splendeur, de par la justesse des dialogues, la finition ainsi que la beauté des plans, " The Walk - Rêver Plus Haut s'inscrit comme un film de qualité, un film subtil et très agréable.
On suit avec passion le parcours du funambule Philippe Petit, parfaitement incarné par Joseph Gordon - Lewitt, essayant d'atteindre son rêve : Traverser, grâce à un simple cable, les tours jumelles, le World Trade Center.
Un pari osé, qui pourrait se qualifier de suicidaire, que l'on découvrira, avec le plus grand frisson, le plus grand spectacle et le plus grand suspens. En plus d'être vertigineux et époustouflant, les plans de ce film sont somptueux et les techniques excellentes. La mise en scène est correcte, mais les personnages manquent de profondeur. L'ambiance est prenante, les musiques également, de plus on sent une certaine tension chez le spectateur.

Du pur Zemeckis comme on l'aime avec de superbes interprètes, donc "une" Charlotte Le Bon plus belle que jamais. A voir en 3D.

Disons-le, le thème ne me bottait pas tant que ça et mon flaire avait vu juste. Je m'attendais quand même à quelque chose de beaucoup plus sobre, mais The walk est parti dans un Paris utopiste, dans une réalisation avec de grosses longueurs et ne peut se dépêtrer de ses acteurs francophones sans génie. Seul Joseph Gordon s'envole, Seul Joseph Gordon-Levitt (j'avoue elle était facile celle-la) mais je dois avouer que son maquillage me gâche un peu son talent. C'est le deuxième film avec Looper où on cherche à le massacrer. Je ne comprendrais jamais. Je suis bien content de ne pas l'avoir vu au cinéma.

The Walk réalisé par un des plus grands cinéastes Mr Robert Zemeckis. Le film raconte donc l'histoire de Philippe Petit funambule et son idée de tirer un câble entré les deux tours du world trade center. Ce film est certainement dans LE top 3 des films qui te font sentir mal a l'aise. C'est vraiment pas mal c'est bien fait la musique passe bien le film prend un peu son temps quand même mais bon. Les acteurs sont excellents. C'est vraiment tout ce que j'ai a dire sur le film bizarrement mais juste ce film est génial mais vous allez l'oublier ce qui est vraiment dommage...

The Walk - Rêver Plus Haut marque un excellent retour du réalisateur de la trilogie Retour vers le futur.
Robert Zemeckis nous montre toute son inventivité avec ce Biopic. La mise en scène donc est magnifique, les transitions sont fluides et les plans impressionnants... Le long-métrage est de plus doté d'un casting très juste avec Joseph Gordon Lewitt en tête d'affiche. On pourrait énumérer toutes les autres qualités du film tels que les effets visuels, ou même la 3D utilisée presque à la perfection, tout est parfaitement géré. The Walk, Biopic centré sur le funambule Philipe Petit, est certainement le meilleur long-métrage de cette année 2015.

Après trois ans d’absence, Robert Zemeckis fait son grand retour en cette fin d’octobre 2015, et signe, avec son « The Walk – Rêver plus haut », l’un de ses meilleurs films depuis « Seul au monde ». Si la quasi-intégralité des longs-métrages de Zemeckis n’ont pas étaient à la hauteur de « Forrest Gump » ou de « Retour vers le futur » depuis 2000, année de sortie de « Seul au monde », ce biopic centré sur le célèbre funambule français Philippe Petit surpasse les espérances et assure près de 2h de spectacle grandiose à couper le souffle, où la 3D trouve enfin sa place, et permet une immersion totale entre vertige et éblouissement. Dans sa mise en scène, Zemeckis offre une reconstitution efficace et fidèle des années 70, époque de l’action du film, et soigne son travail jusqu’à l’apparition du générique. Le plus épatant reste sans aucun doute la reconstitution numérique des deux tours du World Trade Center de New-York, bluffante, impressionnante, réaliste. Philippe Petit est incarné par l’excellent Joseph Gordon-Levitt, épaulé par un Ben Kingsley brillant et amusant, mais l’exceptionnelle prestation de ce film qui ne s’oublie pas à la sortie du cinéma est évidemment celle de Charlotte Le Bon, absolument remarquable et éblouissante. « The Walk » assure un spectacle sensationnel, où la scène la plus attendue du film ne se fait finalement pas attendre, et tout cela grâce à une mise en scène, un casting, et un scénario efficacement ficelés. Reste plus qu’à profiter d’une traversée vertigineuse sensationnelle et ahurissante d’une vingtaine de minutes, offrant au passage des plans larges magnifiques de New-York, tout en instaurant à la fois un suspense monstre mais aussi un silence captivant, mais masqué par quelques touches de piano malheureusement. La scène reste tout de même saisissante et à couper la souffle tant les effets spéciaux sont d’une réussite incomparable et plus vrais que nature. Porté par un humour propre à Zemeckis et un suspense torride, « The Walk » marque le retour réussit du célèbre réalisateur, qui livre un film spectaculaire, saisissant et surtout très crédible.

Nouveau Zemeckis me laissant quelque peu sur ma faim.
Second des 3 blockbusters attendus, j'espérais ne pas avoir la même désillusion que pour Everest et des la première image, je fus rassuré: on retrouvait le ton humoristique cher a Zemeckis a l'occasion d'une intro attendu pour quiconque connaît le récit (mon cas), mais pouvant ôter un certain suspens a tous ceux dont le nom de Philippe Petit était inconnu. Et cet aspect risque de dérouter quelque peu la seconde catégorie.
Mais il faut rendre a Bob ce qui lui appartient: Zemeckis nous offre de par ses reconstitutions des 70's ainsi que ses prises de vues, une impeccable retranscrip-tion artistique et visuelle du pari fou (ou exploit pour d'autres) tenté par le français: traverser sur un câble a plus de 100 mètres de hauteur, l'espace séparant les twins.
Les twins constituent l'un des thèmes forts du film: Zemeckis rend une sorte d'hommage aux tours jumelles en mélangeant quelques images d'archive et en reconstituant assez bien leur intérieur (pour les avoir visitées en 1989, je sais de quoi je parle) et par une dernière séquence très belle les rendant éternelles.
Joseph Gordon Lewitt est impeccable avec les faciès sans doute très proches de Petit.
S'il y avait une réserve, ce serait peut-être un manque émotionnel et d'empathie a pouvoir vibrer et trembler pour Petit, aspect quelque peu gâché par l'intro.
Se laisse malgré tout voir...

Un très beau film avec des images renversantes, qui nous font froid dans le dos à certains moments. Une belle histoire, très bien réalisée. Un très bon rendu final.