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    La Planète des Singes - Suprématie
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    983 critiques spectateurs

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    El Chupacabron
    El Chupacabron

    30 abonnés 88 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 août 2017
    Vous avez le Pass cinéma? allez le voir ( à vos risques et périls quand même)...
    Vous allez payer votre place, motivé par une bande annonce alléchante? Gardez votre argent pour autre chose.
    Vous ne me croyez pas? on en reparlera après le visionnage.
    Vendu comme un film d'action ce film est une arnaque: 10 minutes prometteuses au début puis...plus rien (si, si). Des situations ininteressantes, aucun enjeu dramatique ni planétaire ( suprématie?), des dialogues niais au possible ( Le Colonel et Cesar surtout), le Golum poilu a fait rire la salle 3 fois ( faut ratisser large, ma bonn' dame), scénario inepte( seul mérite: boucler la boucle avec Cornélius et les humains qui deviennent muets et goliots). des longueuuuuuuuuuuuuuuuuurs et un épisode "prison break simiesque" gentillet.
    Les effets spéciaux sont excellents mais on avait déja pû s'en émerveiller dans les deux précédents opus. Rien de nouveau, donc, sous le soleil des primates.
    Déception MO-NU-MEN-TALE.
    Note d'humeur 2/20. Passez votre chemin. Vraiment.
    Victor G.
    Victor G.

    3 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 décembre 2022
    Ce film est un vrai navet. Bourré de faux raccords que je ne pourrais citer 1 par 1 car vous ne pourriez lire cette critique jusqu'au bout ( fille qui pleure pour un gorille rencontré la veille et pas pour son père, doudoune dans un désert bref....). cela nous sort complètement du film alors que c'est déjà très dur d'y rentrer.
    Tient parlons des acteurs. ils sont d'une nullités incroyables (sans mauvaise fois je nai que très rarement vu ca). La petite fille ne sert strictement à rien , le méchant ....... et bien que dire de plus, et le mec avec son arbalète......mec.....une arbalète.....à la guerre....... ???
    Bon passons ensuite sur la longueur du film, 2 h c'est trop long. On s'ennuye tout le long à pars durant les 10 premières minutes, attention à ta gauche ton pote s'endort.
    Pour finir, j'ai un message pour toutes les personnes qui on mis 5etoiles sur cette quiche : j'espère qu'on vous a payé cash parsqu'il manquait clairement de budget pour la ''scene de guerre finale''. Merci à vous.
    (pétard, première critique sur allocine... ça détend. je vous jure le film est minable, il y a beaucoup de chose mieux à voir)
    LeMagduCiné
    LeMagduCiné

    67 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 décembre 2018
    Saluer la qualité intrinsèque d’un reboot de nos jours est devenu rare dû au nombre et à la standardisation de ces derniers, réduits à l’état de simples divertissements liftés en effets spéciaux appréciés du plus grand nombre. Pourtant, certains arrivent à se démarquer et à toucher à la fois le cœur des critiques et du public. C’est le cas de La Planète des Singes. Trilogie démarrée en fanfare avec Les origines, volet caractérisé par des personnages forts et un attachement émotionnel puissant vis-à-vis de César, L’Affrontement en 2014, réalisé par Matt Reeves, a su approfondir les traits de caractère (et le dilemme moral) du leader simien à travers un scénario intelligent et une mise en scène dantesque. Le retour du réalisateur à la barre de ce troisième volet, sobrement intitulé Suprématie (inutile d’affirmer qu’on préfère le titre original, War of the Planet of the Apes) avait de quoi susciter de grandes attentes. Et ces dernières seront largement comblées. Car La Planète des Singes : Suprématie, en plus d’être un blockbuster d’une rare profondeur, est également la plus belle des conclusions que l’on pouvait imaginer à la franchise.

    Ape-pocalypse Now!

    A s’y attendre, ce volet est tout d’abord marqué par une très bonne écriture. Et s’il y a bien une chose que l’on ne peut reprocher à Mark Bomback et Matt Reeves, qui a également participé à l’écriture du film, c’est bien leur talent de conteur, déroulant une intrigue qui s’éloigne des pièges de la prévisibilité. A l’instar du deuxième volet, où finalement l’élément déclencheur n’était pas entraîné par les humains comme on aurait pu le croire, mais par la haine d’un primate, le scénario de Suprématie entraîne le spectateur là où il n’y s’attend pas. Par exemple, pour des scènes clés définissant les objectifs des personnages principaux, une carence émotionnelle peut être perceptible, due au fait que ces scènes sont rapidement mises sous silence, la continuité du récit étant privilégiée. Au contraire, au lieu de s’attarder sur des scènes attendues à l’aide d’effets pathos où la mièvrerie l’emporterait sur l’originalité, les scénaristes nous apporteront par la suite des scènes très fortes émotionnellement parlant, qui sont pour ainsi dire la marque de fabrique de cette saga prequel. Les exemples sont nombreux, que ce soit la prise de conscience de César de son rôle de chef ainsi que de sa légitimité démontrée par les siens, l’empathie et l’attachement de Nova (formidable Amiah Miller !) aux singes, ou tout simplement la scène finale, toutes alimentées par la partition, subtile de discrétion, de Michael Giacchino.

    De même, on pourrait s’interroger sur le rôle a priori ultra manichéen de Woody Harrelson, antagoniste principal de cet opus. Interprétant un colonel obnubilé par la sauvegarde de son espèce à n’importe quel prix, à la tête d’une armée aux soldats à l’attitude basique, voire régressive, ne dégageant plus une once d’humanité, il semble ne constituer qu’un adversaire propre à n’importe quel autre blockbuster. Or, par le biais d’une scène de confrontation verbale entre César et ledit colonel, très certainement une des scènes les plus réussies du film, le personnage nous apparaît plus riche qu’il n’y paraît, nous amenant à le comprendre. Non pas à justifier ses actes, encore moins à s’identifier à lui. Juste à le comprendre. Ce qui, dans un souci de réalisme, est clairement à saluer. Et libre à Reeves d’illustrer cet adage hitchcockien : « Plus réussi est le méchant, plus réussi sera le film ».

    Et nous ne disons pas cela face aux multiples références que dégage ce personnage. Car parallèlement à la critique ouvertement antimilitariste, l’ombre d’Apocalypse Now plane sur tout le deuxième acte de la Planète des Singes : Suprématie. Par les similitudes tant physiques et psychologiques d’Harrelson avec Brando (bien que nous sommes loin du jusqu’au-boutisme de Coppola), mais aussi par la création d’une société à part, contraignant ceux qu’elle juge comme d’une race inférieure à l’esclavage. Une société renfermée sur elle-même, sur ce qu’elle a de plus déshumanisé, alors qu’elle lutte paradoxalement pour la sauvegarde de l’humanité. Le film ne s’arrêtera cependant pas là: en centralisant son contexte dans les codes de films de genre, le long métrage évoquera à la fois Le Pont de la Rivière Kwaï, La Grande Evasion ou encore les Douze Salopards. Si certains pourront parler d’un canevas narratif très classique, voire d’effets de déjà-vu, il s’agirait plutôt d’une réappropriation des références de certains chefs d’œuvre du 7e art, adaptées au contexte de la science-fiction.

    Ensemble, singes forts !

    Audacieux, La Planète des Singes : Suprématie l’est également dans le traitement de sa narration. Poursuivant le schéma instauré par L’Affrontement qui refuse ainsi tout aspect grand public, le film peut alterner longues plages de silence et scènes sous-titrées illustrant le quotidien et les conversations simiesques. Loin de tout bruit, fureur et esbroufe visuelle et sonore plutôt propices à ce genre de divertissement, le style volontairement épuré de la mise en scène n’entraîne cependant pas de longueurs ou de coupures rythmiques. Au contraire, elle s’autorise quelques embardées bienvenues qui n’étaient pas présentes dans les précédents volets. En tête du rayon nouveautés, nous retrouverons Méchant Singe (Steve Zahn), sidekick comique éminemment sympathique, discret, s’imposant quand il le faut et très loin d’être une attraction à blagues pour bambins ou adolescents en manque de rires gras. Les scènes d’action ne sont également pas en reste. Les deux plus marquantes sont une confrontation entre singes et soldats en début de long métrage, épopée guerrière brutale et aux plans larges inscrits dans la durée, ainsi que le combat final, caractérisé par un souffle poétique, voire lyrique. Et gage aux magiciens des studios Weta Digital de déployer une véritable maestria technique remplie d’effets spéciaux qui décollent réellement la rétine.

    Car il était pour ainsi dire impossible d’évoquer La Planète des Singes Suprématie sans ses prodigieux effets visuels. Déjà époustouflants dans les deux précédents volets, la motion capture semble ici dépasser ses limites et livre un résultat proche de la perfection. Ayant désormais la possibilité de filmer plusieurs centaines de singes numériques sur un même plan grâce à ce procédé, parfois même au gré des éléments naturels (tempêtes de neige, pluie, feu…), c’est davantage lors de plans rapprochés et serrés que le résultat impressionne. Jamais les singes ne nous ont semblés aussi réels, aussi humains. Chaque détail, de leur pelage à l’iris de leurs yeux, en passant par leurs mouvements et expressions faciales, font que l’illusion fonctionne à plein régime. Et participe notamment à une caractérisation plus poussée de César. De quasi tous les plans, la dimension que lui offre Andy Serkis, au-delà de l’évolution conséquente au fil des opus, n’en fait pas qu’un simple héros. Mais une véritable icône.

    Épique et émouvant, s’autorisant quelques pauses récréatives et un sous texte diablement habile sur les travers de la société et la condition humaine, La Planète des Singes : Suprématie est ainsi bien plus qu’un blockbuster. Il représente la conclusion en forme de chant de cygne d’une trilogie intelligente et bien pensée, renvoyant à tout un mythe de la science-fiction des années 70.

    https://www.lemagducine.fr/cinema/critiques-films/la-planete-des-singes-suprematie-un-film-de-matt-reeves-critique-106311/
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 août 2017
    Un film comme j'ai jamais connus au cinéma ! !!!! J'ai trop aimé l'histoire entre action sentimentale et très réaliste un seul mots foncé le voir de toute urgence
    fbuiduyminh
    fbuiduyminh

    3 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 août 2017
    Prenez le scénario de La Grande Évasion. Remplacez Steve McQueen par un singe. Ajoutez un soupçon de Moïse et d'Apocalyse Now et vous obtenez le nanar de l'été. Et c'est long, c'est long! Quitte à voir des chimpanzés, regardez plutôt Une Saison au Zoo sur France 4!
    doubitchou100478
    doubitchou100478

    4 abonnés 27 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 août 2017
    Un final long, très long... Plus de 2h00 d'une non-intrigue bateau avec personnages ultra stéréotypés et action prévisible. Je suis étonné de l'indulgence de la presse avec un blockbuster aussi terne, au scénario si pauvre.
    lolo64480
    lolo64480

    5 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 août 2017
    Une très bonne conclusion pour cette trilogie avec contrairement à certains blockbuster une vraie histoire avec des enjeux, des émotions et des moments de suspens. La qualité d'image est très belle, cependant je trouve que la 3D n'apporte rien.
    Point négatif qui m'a à un moment fait sortir du film c'est le fait spoiler: que nova, la petite fille du film, pleure pour la mort d'un singe qu'elle ne connait pas depuis longtemps (quelques heures) mais qu'elle ne pleure pas à la mort de la personne avec qui elle vivait (son père?)


    Malgré ce point négatif ce film vaut vraiment le coup d'être vu
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 3 août 2017
    comment le film peut avoir 4 étoiles sérieusement ?!! la première heure on a 4 singes qui marche au moment on mon croient que l'action va démarer... Non toujours pas. au fibal une fin de film qui vous donnes le sentiment d'avoir perdu 2h de votre soirée et 10€.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 2 septembre 2017
    Ça faisait très longtemps que je n'avais pas eu envie de sortir d'une salle de cinéma. Tout est dans la bande annonce. Le reste du film est long, très long... les scènes d'action inexistantes en dehors de l'extrait qui promettait bien plus que ce film plat. En dehors des effets spéciaux, le film ne vaut pas grand chose.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 11 septembre 2017
    Je comprends pas comment l'on peu aimé ce film. A part les singes qui sont criant de vérité. Ce film est naze de tout en bout.
    spoiler: Je m'explique. La rivalité avec césar et le colonel est mal foutu. Cette rivalité ne tiens qu'au faite que le colonel tue la femme let le fils de césar. Vous me direz c'est suffisant. Hors, on sait PAS pourquoi le colonel en veut aux singes. L'explication donnée à César vers les 3/4 du film est pas compréhensible... L'histoire du colonel est bref, pas intéressante du tout, banal et lancer comme ça... Pour rien.... Ensuite, la rivalité entre les 2 camps humains. ???????? C'est quoi ça sérieusement. Déjà, l'histoire du colonel et de sa faction est à chier, en plus, cette base, avec la construction d'un mur en BOIS (oui oui en BOIS !!!! par les singes) mais WTF? C'est quoi cette assaut à la fin !! ? On dirait une armée de barbare qui gueule en chargeant l'ennemi... avec 5 hélicos et 3 chars. Mais que c'est mal foutu mon dieu. C'est la seule scène réel d'action et elle est ratée. Du coup l'histoire se résume à une rivalité bidon, avec des factions qui s'entretue et les singes au milieu d'eux utilisé en esclavage. La pire étant la fin... La mort de César, mais.... J'avais envie de rire, c'est presque aussi risible que la mort de Cotillard dans Batman.


    Bref, un film avec un rythme lent et mal foutu, peu de scène marquante, la fin risible, les morts de certains personnages à mourir de rire. Suprématie porte mal son nom... On aurait pu aller tellement loin pour finir la trilogie, comprendre réellement pourquoi les singes vont prendre la pas sur l'humanité. La raison donné par la film est nul. voilà tout.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 4 août 2017
    Les meilleurs des "planète des singes", quel beauté ce film. Ce film est tellement bien fait, niveau graphisme parfait, interprétation parfaite, comportement et imitation des singes parfaites. Ce film est parfait quoi
    Maxiime71
    Maxiime71

    2 abonnés 60 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 août 2017
    Excellente conclusion de cette trilogie. De belles images et actions, super beau, bon scénario. Si vous avez adoré les deux premiers comme moi vous ne serez pas déçu :-)
    J'ai même versé ma larmichette à la fin.
    Feroz
    Feroz

    2 abonnés 28 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 août 2017
    Suprématie du nouvel ordre simiesque
    J’avais qualifié « l’embrasement » de plus mauvais film vu en 2017 et je savais que j’allais avoir droit à cette suite (et Dieu merci fin …) vu que ma femme avait aimé le précédent et qu’elle m’accompagne bien volontiers voir des films que j’adore et elle moins.
    Et j’étais prêt à aimer … pourquoi pas vu que j’avais lu des critiques hyper positives.
    Eh bien non pas de rédemption pour cette suite qui n’a pour moi de suprématie que celle du ratage.
    Disons que je ne me suis en aucun cas senti concerné par ce que j’ai vu, ni surprise ni émotion dans ces aventures autant grotesques que simiesques. Et l’indifférence que j’ai ressentie s’est traduite par un profond ennui. Sauf que j’ai bien vu vers quoi ce film veut insidieusement et donc d’une façon malhonnête nous emmener. Et cet nième volonté de nous culpabiliser pour des crimes que d’autres ont commis, mais pas nous, est bien pour moi une entreprise malfaisante. Donc impossible de couvrir « ça » de louanges.
    Rainfall_Shadow
    Rainfall_Shadow

    40 abonnés 393 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 août 2017
    épique, chargé d'émotions tout en étant sans pitié, ce nouvel opus de la planète des singes nous révèle le pire de l' être humain.
    Michel
    Michel

    45 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 juillet 2017
    Le meilleur opus de la saga lancé en 2011 !
    Matt Reeves à réussi de rendre cette saga la meilleure!

    en clair j'ai rien à redire le film ma vraiment plus même si il est vraiment triste !

    par contre je comprend pourquoi il est PG13 :o beaucoup de violence .....
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