Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
MKLS
26 abonnés
28 critiques
Suivre son activité
0,5
Publiée le 18 octobre 2020
film raté ! un casting prestigieux mais une histoire trop loin du chef-d'oeuvre roman d'Agatha Christie. je n'aime pas cette version pas crédible du tout
La plus décevante de toutes les adaptations du livre d'Agatha Christie. Kenneth Branagh essaye maladroitement de donner de la profondeur au personnage d'Hercule Poirot en lui donnant des doutes et des sentiments. En essayant de faire du Sherlock Holmes, il ne réussit qu'à rendre fade et ennuyeux le personnage. Les tentatives de scènes d'action sont également pathétiques. J'ai lu le livre et vu toutes les adaptations du huis clos d'Agatha Christie et chacune des adaptations avait son charme, son lot de suspense et de jeu d'acteur en finesse. (personnellement j'ai une préférence pour la version avec David Suchet dans le rôle d'Hercule Poirot). Ici, aucun suspense, on dirait que tout a été fait pour rendre abordable le film. Trop abordable. Même la petite référence finale au film qui sortira en 2020 est risible. Je connais déjà l'identité du coupable : c'est Kenneth Branagh, coupable d'avoir tué Hercule Poirot !
Poirot à la sauce US, comme déjà fait avec Sherlock Holmes, aucun respect de la subtilité britannique. Tout est exagéré, insupportable ! comme les moustaches du personnage ! Mal filmé, avec des trouvailles dignes d'étudiants peu inspirés d'une école de communication. Train aucunement mis en valeur, décors factices et numérisés, la scène finale avec une référence inattendue à la Cène biblique, complètement inappropriée. Aucun réalisme, personnages en extérieur en plein hivers très peu frileux !!! l'intrigue se déroule sans convictions, Brannagh nullissime en super Poirot qui se permet comble du ridicule des cascades ! Je conseille à tous de se tourner vers l'adaptation de Sydney Lumet en 74 et de l'excellentissime téléfilm de Philip Martin et Stewart Harcourt de 2010 !
Un excellent remède contre l'insomnie. Vous pouvez y aller les yeux fermés, ils le resteront... Je n'ai jamais aussi bien dormi dans une salle de cinéma. Plus sérieusement, le film commence très bien avec une première intrigue résolue rapidement et avec tact. Toujours une pointe d'humour intéressante, mais au fur et à mesure de l'avancement dans le film, les efforts pour stimuler les spectateurs sont de plus en plus rares. C'est bien dommage, surtout pour un film aussi long.......
Le début du film n'existe pas dans le livre d'Agatha Christie. Pendant l'arrêt forcé du train, les passagers ne sortent pas ; il faudrait savoir M. Branagh, il s'agit d'un huis clos que vous cherchez à mettre en scène. A la fin, Poirot est appelé pour résoudre un crime qui a eu lieu sur le Nil ; pas de bol Branagh, il aurait fallu attendre un peu entre les 2 aventures : 3 ans. Mais évidemment, le filon est tentant, alors autant annoncer la suite ... Parce que bien sûr, ce rôle lui plait beaucoup, ça se voit dans le film : on ne voit que Poirot, et donc ... Branagh. Ce dernier n'a pas beaucoup lu Agatha Christie et il n'a certainement pas lu son autobiographie, parce que sinon, il se serait attaché à donner des rôles consistants à ce qui a fait la gloire d'AC : ses meurtriers. Ici, la seule chose remarquable, c'est qu'ils sont célèbres, mais leurs rôles sont d'un ennui. Et que dire de Poirot qui patauge en se posant des questions existentielles, de préférence en gros plan, et qui soudain déchiffre l'enignme. Je passe sur la bagarre du diplomate hystérique au début du film, en mode karatéka du 21ème siècle. Je passe aussi sur la poursuite d'un suspect par ... Poirot, ... Celui-là même qui disait "je m'assois et je fais fonctionner mes petite cellules grises, et c'est comme ça que je découvre la vérité" ... Cellules grises dont il me semble qu'elles ne sont jamais mentionnées par le héros ...Bref, une oeuvre matraquée par un metteur en scène - acteur complètement narcissique. N'est pas Sydney Lumet qui veut ...
Plat et sans saveur, on s’ennuie vite. Un potentiel pourtant bien connu mais qui s’écrase dès la première seconde du film avec une enquête faisant écho à une blague plus que douteuse... ça ne vole pas haut. Déçu et en colère.
Un film de Kenneth Branagh, joué par Kenneth Branagh, interprété par Kenneth et produit par Branagh. Le seul acteur de ce remake étant Mr Branagh...... il a pris quelques libertés par rapport au récit mais surtout on ne voit pas vraiment l'intérêt de ce nouveau film à part de faire jouer d'anciennes gloires sur le retour..... décevant
Un film complètement centré sur Hercule Poirot, on ne découvre absolument pas les autres personnages. Le film est plat, barbant, sans rebondissement ni action. L’accent français de Kenneth Branagh (Poirot) est grossier. Une grosse déception !
Kenneth Branagh est décidément loin d'être un bon réalisateur (Thor, Cendrillon...) Malgré un casting en or, ce film est d'un ennui mortel (sans mauvais jeu de mots). Pourtant, j'étais une des rares à ne pas connaître l'histoire et donc à découvrir le dénouement pour la première fois. Jai trouvé ça plat, chiant et mal joué. Avec des acteurs et un budget pareil, il fallait le faire... Je ne conseille pas du tout.
Une adaptation avec un poirot désastreux, des dialogues plats, une musique endormante, j ai piqué trois fois du nez, retournez voir le film de sydney lumet ça vous coûtera moins cher et vous passerez un meilleur moment.
Dieu, Shakespeare, Branagh. De cette dégradation en trois temps, retenons la constance au sein de la filmographie du petit dernier, à la fois acteur (de théâtre et de cinéma), réalisateur et, dans ses propres productions, homme de connaissance en rivalité directe avec le Créateur. Nous avions Frankenstein défiant l’exclusivité divine de la naissance, voici venir Hercule Poirot. Un train gelé aux passagers tout autant figés dans des rôles qui ne leur vont pas, une intrigue tirée d’une des plus grandes – mais guère des meilleures – romancières policier et ici réduite à un imbroglio de situations convenues où les horribles flashbacks n’ont d’égal que la dilatation du suspense dans une préciosité verbeuse aussi creuse que sotte, une mise en scène chichiteuse dont on retient exclusivement la laideur. Pas de doute, le spectateur a pris place à bord de cet Orient-Express 2017. L’ouverture correspond point par point au nom de ce train : soit une scène de révélation expédiée en plein Jérusalem (on hésite à relever le terme révélation d’une majuscule) qui porte en elle, telle une prolepse, tout ce qui ne va pas dans ce film : un découpage des plans mal fichu, un montage qui tue dans l’œuf la dynamique générale, une musique signée Patrick Doyle dont l’entrain ne convient guère à la mollesse de l’ensemble. Le long-métrage souffre d’un mal qui n’a de cesse de le gangrener : réunir un si grand nombre de stars pour les enfermer dans des prestations individuelles et coupées de toute interaction avec autrui, comme cloîtrées dans les cabines du train. Rien ne communique. On ressent l’envie de Branagh de rejouer à l’identique The Grand Budapest Hotel – ou À Bord du Darjeeling Limited – : même avalanche de célébrités, même structure fermée (un hôtel, un train) qui ouvre néanmoins sur des montagnes, même incertitude de ton. Sauf que Branagh n’est pas Anderson. Et qu’il avance comme un éléphant dans un magasin de porcelaines. Le film serait, à la rigueur, médiocre si le réalisateur-acteur ne revendiquait pas un nombrilisme dégoûtant, doublé d’un rapport à la justice et au sacré on ne peut plus contestable. Car ce qu’affirme et incarne Poirot, c’est la propension d’un esprit supérieur à faire justice soi-même, dans un déni des procédures et des lois qu’il s’efforçait jusqu’alors de respecter. Élu christique, le détective est doué d’omniscience et de clairvoyance, n’a besoin que d’être en paix avec sa conscience, d’avancer blanchi par la neige vers un horizon nouveau. Dès lors, les voyageurs deviennent un faire-valoir, vaste trompe-l’œil destiné non pas à condamner le meurtre, mais à légitimer les jugements d’un messie autoproclamé. Il faut voir la clausule où est reproduite la Cène avec, à la place des apôtres, les suspects ! Investir de la sorte un divertissement grand public, y ajouter des acteurs et des actrices réunis sur l’affiche comme des prostitué(e)s derrière une vitrine, tout cela est honteux, frauduleux, détestable. On ne saurait suffisamment prier pour qu’une suite ne gagne jamais les écrans de cinéma : on y verrait pousser des ailes à notre moustachu, à moins que sa moustache, justement, n’en soit déjà l’incarnation.
jeu d'acteurs exécrable, décors de carton pâte. Johnny depp est insipide, kenneth branagh surjoue, rythme lent, cela fait très longtemps que je n'avais pas vu un si mauvais film!
Cata. de chez cata... Musique violoneuse , dialogues et intrigue ridiculement menée. Rythme balourd et envolées artificielles. Un Poirot trop séduisant pour être Poirot. Bref au secours.
Film décevant par sa réalisation et ses acteurs. Je n'arrive même pas a trouver une chose positive. Je suis très déçue après les réalisations avec Suchet et Finney j’espérais bien mieux...
extrêmement déçu par ce film... je me suis endormie pour la première fois au cinéma.. beaucoup trop long et surtout trop lent... ce film est énormément romancé... il fait partie de mon top 3 des films les plus nul que j ai vu...