Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Emma Martin
"Two hundred thousand dirty" souligne tant la débrouillardise de ses instigateurs que l’efficacité de l’humour à l’américaine. Un morceau de choix.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
Les tribulations de vendeurs de matelas cupides y sont montrées de façon mordante à souhait.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Si l'on suit sans ennui les aventures de ces pieds nickelés lorgnant du côté des Coen, ce premier film manque d'une vraie originalité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Bruno Icher
Pourtant, à force de s’acharner dans la peinture de ce néant social, Anderson réussit à déclencher, dans quelques scènes si grotesques qu’elles en deviennent drôles, une curieuse et inattendue empathie pour cette résurrection dépressive des Stooges.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Hendy Bicaise
Entre son parfum rétro, un budget ric-rac et un casting risqué (...), l'inquiétude est de mise. Puis l'intrigue s'emballe et les rebondissements se succèdent.
Télérama
par Guillemette Odicino
Ultra indépendante et très référencée, avec quelques jolis rebondissements, cette drôle de "fable pourrie", comme dit l'un des « héros », finit par charmer par son indolence et son humour absurde.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Mariane Fernandez
Sans inventivité, Two Hundred Thousand Dirty ne fait que montrer l’élève appliqué qu’il est. Et si on passait à autre chose ?
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le début d'une aventure lamentable qui évoquerait le style des frères Coen si le film, un premier long-métrage visiblement fabriqué au lance-pierres, ne confondait distanciation et désinvolture.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Le cinéma a offert tant de beaux portraits de losers magnifiques, celui-là n'en fait pas partie.
aVoir-aLire.com
"Two hundred thousand dirty" souligne tant la débrouillardise de ses instigateurs que l’efficacité de l’humour à l’américaine. Un morceau de choix.
20 Minutes
Les tribulations de vendeurs de matelas cupides y sont montrées de façon mordante à souhait.
Les Fiches du Cinéma
Si l'on suit sans ennui les aventures de ces pieds nickelés lorgnant du côté des Coen, ce premier film manque d'une vraie originalité.
Libération
Pourtant, à force de s’acharner dans la peinture de ce néant social, Anderson réussit à déclencher, dans quelques scènes si grotesques qu’elles en deviennent drôles, une curieuse et inattendue empathie pour cette résurrection dépressive des Stooges.
Première
Entre son parfum rétro, un budget ric-rac et un casting risqué (...), l'inquiétude est de mise. Puis l'intrigue s'emballe et les rebondissements se succèdent.
Télérama
Ultra indépendante et très référencée, avec quelques jolis rebondissements, cette drôle de "fable pourrie", comme dit l'un des « héros », finit par charmer par son indolence et son humour absurde.
Critikat.com
Sans inventivité, Two Hundred Thousand Dirty ne fait que montrer l’élève appliqué qu’il est. Et si on passait à autre chose ?
Le Monde
Le début d'une aventure lamentable qui évoquerait le style des frères Coen si le film, un premier long-métrage visiblement fabriqué au lance-pierres, ne confondait distanciation et désinvolture.
Studio Ciné Live
Le cinéma a offert tant de beaux portraits de losers magnifiques, celui-là n'en fait pas partie.