Mon compte
    Les Feux de la rampe
    Note moyenne
    4,2
    3501 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Les Feux de la rampe ?

    88 critiques spectateurs

    5
    39 critiques
    4
    27 critiques
    3
    10 critiques
    2
    9 critiques
    1
    2 critiques
    0
    1 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    CH1218
    CH1218

    201 abonnés 2 879 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 décembre 2020
    On ne mentionne pas assez souvent « les Feux de la Rampe » lorsque l’on évoque la filmographie de Charlie Chaplin. Et pourtant, c’est l’une de ses oeuvres les plus poignantes, une sorte de testament du personnage de Charlot que l’artiste incarne ici par procuration à travers celui du clown vieillissant Calvero. Bien que l’on puisse lui reprocher certaines longueurs et une mise en scène sans véritable éclat, il nous offre-là une belle histoire mélodramatique pétrie d’émotion - la vraie - étayée par la portée de ces dialogues, une musique magnifique et une petite touche de nostalgie. Le numéro musical en duo avec Buster Keaton, lequel est malheureusement sous exploité, reste aussi magique que les dernières images du film sont sublimes.
    dougray
    dougray

    239 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 janvier 2017
    Après l’accueil mitigé reçu par son pourtant très réussi "Monsieur Verdoux", Charlie Chaplin n’a pas décidé, pour autant, de faire machine arrière en faisant, à nouveau, appel aux services de son personnage star Charlot… bien au contraire ! En effet, avec "Les Feux de la rampe", il contraint le public à faire le deuil définitif du personnage à travers cette histoire de vieux clown sur le retour qui fait furieusement écho à sa propre carrière. Il s’agit, sans doute, du film le plus personnel de Chaplin qui livre, comme jamais, ses états d’âmes, sa nostalgie d’une époque (le cinéma muet) qu’il sait révolue, ses doutes sur sa capacité à faire encore rire et, plus généralement, son point de vue sur le monde du spectacle contemporain, qu’il désapprouve. Il ne fait, d’ailleurs, guère de mystère sur ses intentions en interprétant le rôle de Calvero, clown vieillissant qui connut, autrefois, la gloire avec son costume de vagabond ("tramp comedian" en VO) et ses numéros à base de mime ! Difficile d’être plus explicite de la part d’un artiste dont l’étoile commençait à sérieusement faiblir (l’évolution du cinéma, les affaires de mœurs, les accusations de communisme…) mais qui a toujours voulu partager ses opinions sur grand écran. C’est, d’ailleurs, une des critiques qu’on peut formuler à l’encontre du film qui a une tendance à prendre ce que dit son héros pour argent comptant, sans mise en perspective, sans réelle remise en question et, surtout, sans vraiment prendre en compte l’évolution naturelle des goûts du public. Le personnage de Calvero apparaît, ainsi, un peu trop comme le détenteur d’une vérité (ou d’une sagesse) qui échappent aux autres personnages (trop jeunes ou trop cupides pour comprendre, c’est selon). Il assène, ainsi, son point de vue à coup de longues tirades (un peu trop artificielles par moment) et de scènes où il se garde toujours le meilleur rôle. Cette manie de refuser de partager vraiment l’affiche ou, tout simplement, de passer la main m’a empêché d’être en empathie avec le personnage spoiler: (voir la scène finale de la mort de l’artiste qui confirme le problème d’ego de Chaplin)
    . A ce titre, l’apparition de Buster Keaton, l’autre géant du cinéma muet, qui est resté comme l’une des séquences fortes du film, est traitée de façon à bien montrer la hiérarchie entre les deux acteurs (au moins aux yeux de Chaplin)… ce qui fait perdre beaucoup d’intensité à leurs scènes communes. Il n’en demeure pas moins que la réunion (certes courte) des deux stars du muet, ainsi que le propos du film (aussi orienté soit-il) est une belle démonstration des ravages du temps qui passe pour les idoles d’hier. C’est sans doute pour cela que "Les Feux de la rampe" est resté dans les mémoires des cinéphiles, malgré ses défauts formels. En effet, le ton désabusé du film ne suffit pas à expliquer les carences de la mise en scène, qui se montre des plus inégale dans son rythme et des plus répétitive dans sa structure. "Les Feux de la rampe" cultive une impression constante de déjà-vu en raison de scènes et de dialogues qui se répètent à intervalles réguliers spoiler: (les crises psychosomatiques de la danseuse qui croit perdre l’usage de ses jambes, les rêves du vieux clown, les projets de mariage de l’improbable couple…)
    . Pire, Chaplin étire un grand nombre de séquences au-delà du raisonnable, le point d’orgue restant spoiler: son premier rêve (où il se remémore un numéro d’antan)
    … et qui parait ne jamais finir ! Et, un malheur n’arrivant jamais seul, cette impression de lenteur (pour ne pas dire de langueur) est renforcée par la durée du film, à savoir 137 minutes qu’on sent vraiment passer ! Chaplin prouve, ainsi, que, lorsqu’il se prive de son pouvoir comique, il dénature l’essence de son œuvre, qui doit tout au fragile équilibre entre rire et émotion qu’il a très souvent su trouver. Est-ce son propos qui a condamné le film à être moins efficace que ses prédécesseurs ? Sans doute mais, une fois encore, Chaplin aurait peut-être, dès lors, dû se montrer plus vigilant sur la mise en scène… Heureusement, le casting est une vraie réussite puisque, autour de Chaplin qui, bien qu’il confirme ses difficultés à se défaire des tics de jeu de Charlot, parvient à nous émouvoir dans sa détresse de clown effectuant son dernier tour de piste, on retrouve une Claire Bloom convaincante en danseuse dépressive qui va reprendre goût à la vie, un étonnant Sidney Chaplin (le fils de) en musicien amoureux, Marjorie Bennett en amusante logeuse ou encore l’affable Nigel Bruce en producteur. Autre point positif, la musique du film qui est une vraie réussite, comme toujours chez la star. Il n’en demeure pas moins que "Les Feux de la Rampe" est sans doute le film de Chaplin, devant et derrière la caméra, que j’ai le moins aimé…
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 avril 2016
    Les "feux de la rampe" sont le sommet de Chaplin dans le domaine du cinéma parlant, il y a là la drôlerie et la qualité d'interprétation du "Dictateur" mais encore plus d'émotion et de charme surannée, comme celui des "Lumières de la ville". Inoubliable visuellement et musicalement !!!
    Eselce
    Eselce

    1 397 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 février 2016
    Personnellement, je trouve qu'il n'y a pas grand chose à voir. Les numéros de Chaplin sont vraiment mauvais. Le reste n'est que dialogues entre l'artiste et la danseuse qui se lamentent et se remontent le moral à tour de rôle. Le film est triste et montre la lutte des deux artistes pour vivre de leur talent de danseuse et de comique. Un scénario louable qui malheureusement se montre ennuyeux. Il comprend des longueurs et peu de surprise. Le duo est magnifique mais les acteurs secondaires ne semblent pas dans le coup. Le film ne vaut d'être vu que si vous appréciez Charles Chaplin. Sans sa notoriété, il serait tout simplement mauvais.
    Romain Z
    Romain Z

    13 abonnés 246 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 janvier 2016
    Chaplin à la croisée des chemins pour son dernier film US, harcelé par la flicaille McCarthyste qui le conduira à l'exil.Dialogues à haute densité littéraire ,éloge du Désintéressement et Claire Bloom filmée comme une Madonne.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 4 mars 2016
    Quand Chaplin se met au drame, ça lui réussit très bien. Après Monsieur Verdoux, Les feux de la rampe le confirme. Plus de comique, Chaplin joue ici le rôle sérieux d'un ancien clown has been qui redevient lui-même en aidant une jeune fille qui a tenté de se suicider. Le personnage principal est bien sûr un avatar de Chaplin lui-même, sur le déclin après une carrière qui a fait rire le monde entier, et il est de ce fait grandement attachant, tout comme la jeune fille, Terry, avec qui il noue une relation émouvante. Le film est entrecoupé de passages de spectacle (ballets, numéros comiques) tous très beaux, dont le duo Chaplin/Keaton (malheureusement trop sous-exploité, j'aurais personnellement voulu voir ce duo de génies comiques réuni plus longtemps à l'écran, et surtout j'aurais voulu que Keaton ait un plus grand rôle) est l'apothéose. La fin est également sublime.
    Un beau film de Chaplin, plein de nostalgie et de poésie.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 1 avril 2015
    Film surprenant. Je suis content de l'avoir vu, pour tout ce qui transparaît à l'écran quand on connaît la vie de Charles Chaplin. Toute l'humanité et toute la tristesse d'un grand artiste qui se bat pour exister encore et résister au désespoir.
    Film surprenant, parce que je l'ai souvent trouvé vraiment moyen. Manque de rythme, manque de surprises, manque d'inventivité pour ce fameux duo au sommet. La poésie qui se dégage du duo Chaplin-Keaton est surtout due à la carrière passée des deux monstres sacrés. La scène en elle même seraient probablement jugée très durement par tout le monde si les acteurs étaient inconnus.
    Je reste toujours hébété et ravi devant la précision phénoménale du rythme de chaque geste des Temps Modernes. Où est passé toute la science de Chaplin dans ce film?
    Film surprenant parce qu'il entremêle la fiction et le réel comme rarement au cinéma. C'est comme si il y avait deux projets en un. Une fiction un peu lourde et lente dont on se demande ce qu'elle cherche. Et en parallèle, une fenêtre ouverte dans le temps et l'espace qui nous met en relation directe avec Chaplin, ses doutes, ses espoirs, ses douleurs.
    Un très beau film raté qui vaut la peine d'être vu.
    Samir T
    Samir T

    1 abonné 67 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 janvier 2015
    Ce film est un vrai poème du début à la fin, un hymne à l'espoir, mais aussi une émouvante histoire de lutte et de combat silencieux de tout artiste convaincu de son art et de sa sincérité, ce qui ne le rend que plus généreux et altruiste. La musique, comme le scénario sont d'une richesse rarement égalée; surtout pour la scène finale qui pour moi reste une des plus expressives et des plus symboliques de l'histoire du cinéma, car c'est la vie elle-même qu'elle résume dans quelques images, accompagnées de quelques notes inoubliables.
    NomdeZeus
    NomdeZeus

    90 abonnés 1 044 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 juillet 2014
    Blessé par l'accueil mitigé réservé à Monsieur Verdoux et par l'attitude de plus en plus hostile des Etats-Unis à son égard, Charlie Chaplin décide de faire le point sur sa longue carrière. Le résultat éclate au grand jour avec ce film superbe, véritable chant du cygne aux accents autobiographiques d'un réalisateur en perte de vitesse auprès de son public. L'état d'esprit de Chaplin est perceptible à chaque plan; mélange subtil de tristesse et d'espoir. La scène la plus emblématique du film étant surement celle où un Charlot fatigué monte sur scène accompagné d'une autre star déchue du muet (Buster Keaton himself) pour un ultime tour de piste aussi drôle que pathétique. Le réalisateur en profite pour livrer une belle réflexion sur la vieillesse, le rôle des artistes, le sens de la vie... Les Feux De La Rampe est une œuvre testamentaire, doublée d'un cri d'amour au monde du spectacle qui aurait pu (du?) être le point final d'une brillante carrière. Charlot est mort, vive Chaplin!
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 753 abonnés 12 431 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 avril 2019
    Le monde entier est une scène dont la rue est le plus beau dècor! Bien que son dada soit le cinèma comique, tous les films de Charlie Chaplin ne sont que des histoires d'amour extraordinaires, dont la sensibilitè dèpasse toutes les limites du sentimentalisme lorsqu'il se penche sur des caractères de femmes èmouvantes comme la danseuse Terry dans "Limelight" que joue merveilleusement Claire Bloom, pourtant prête à tout pour faire le bonheur de Charlot en aggravant sans le vouloir sa solitude. "Limelight" peut être considèrè comme la plus pathètique manifestation de la dèmesure de son auteur et sans doute l'un des plus beaux mèlodrames du cinèma! C'est en 1952 que Charlot rèalise son dernier film amèricain avec le lègendaire Buster Keaton dans la distribution! Histoire magnifique et vieux clown (inoubliable Charlot) songeant à ses succès passès, celle d'un acteur comique tombè dans l'alcoolisme qui recueille une jeune danseuse paralysèe après une tentative de suicide; il lui redonne confiance et parvient à lui faire surmonter sa maladie au point qu'elle devient une grande star; au cours d'un gala organisè en son honneur, il accepte de remonter sur les planches et obtient un succès exceptionnel; toutefois, il prend soudain conscience ce qu'il empêche la danseuse d'aimer comme elle le dèsirerait un jeune musicien [...] On ne dèvoilera pas le final qui est trop triste (le temps est un grand auteur, c’est lui qui ècrit les meilleure fins). Chaplin effectue dans "Limelight" une rentrèe bouleversante! Ce film constitue en quelque sorte un condensè de toute l'histoire du cinèma dramatique, dèsormais difficile à dèpasser! A la fois classique et moderne, èmouvante jusqu'aux larmes et pourtant rigoureusement distancièe, simple et complexe comme la pensèe elle-même, cette oeuvre est l'une des plus graves et des plus dèsespèrèes que le cinèma ait su nous proposer! Très belle musique de Chaplin qui fut rècompensèe par un Oscar bien des annèes plus tard, l'une des plus cèlèbres compositions musicales de cet artiste gènial et èternel dans nos coeurs...
    Benjamin A
    Benjamin A

    713 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 mars 2014
    Célèbre pour le numéro de Chaplin et Keaton, "Les Feux de le Rampe" s'avère une très grande réussite. C'est aussi une sorte de testament et un adieux pour le personnage de Charlot, dont les similitudes avec Calvero sont grande. Chaplin nous raconte l'histoire de Calvero, un vieux chanteur de music-hall réfugié dans la boisson et loin de ses succès passés, qui va vouloir redonner gout à la vie à une jeune danseuse qui a perdu l'usage de ses jambes (mais une paralysie de nature psychologique). C'est un très beau film qu'il nous livre, à la fois mélancolique, triste et nostalgique, dont l'écriture est fabuleuse, que ce soit le scénario, les dialogues ou les personnages. On sent une pointe d'autobiographie chez Chaplin, du moins certaines de ses propres expériences, il livre un regard plutôt triste sur la vie, mais à l'image de ses dialogues avec la jeune danseuse c'est aussi une ode à la vie, mais qui n'est pas toujours rose... Il montre aussi la difficulté de vieillir dans les milieux artistiques... et il fait tout ça de manière souvent simple mais humaine et émouvante. Il oscille parfois avec certaines comique, et c'est toujours bien fait, son interprétation est excellente, tout comme les autres rôles. Il nous montre toute l'étendue de son talent avec ce film bouleversant avec des pointes de gaietés. Bien que sorti en 1952, le film reçu un oscar mineur (Chaplin n'a jamais été récompensé par cette compétition, comme d'autre très grand nom du 7ème art), celui de la musique, en 1973, car victime du Maccarthysme, il dut s'exiler en Europe juste avant sa sortie, le film n'est sorti aux États-Unis que vingt ans plus tard (et après on nous parle du pays de la liberté). Une très grande œuvre, simple, humaine et pourtant d'une très grande richesse émotionnelle.
    Marceau G.
    Marceau G.

    389 abonnés 365 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 décembre 2013
    "Les feux de la rampe" est l'un des meilleurs films de Charles Chaplin mais est pourtant un film oublié et sous-estimé... Charles Chaplin est grandiose en Calvero, un magicien, qui, autrefois connaissait un immense succès et qui, en vieillissant, est devenu moins bon et moins drôle (pour les spectateurs en tout cas) et a abandonné son métier et son talent... En rencontrant une jeune ballerine qui a perdu toute joie de vivre et qui tente de mettre fin à ses jours, en la réconciliant avec la vie, Calvero reprend lui-même espoir et... La fin est bouleversante... À voir car c'est un chef d'oeuvre, car c'est l'un des derniers films du maître et pour le (petit) rôle de Buster Keaton...
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 15 mars 2014
    Dans sa médiocrité patente, la lumière jaillit un instant. Belle leçon de cinéma que de montrer que l'humanité prévaut avant tout. Que la technique et les péripéties ne sont qu'artifices face à ce qui est essentiel, le temps, l'amour et la finitude. La formidable métaphore finale ne vient que nous persuader de ce que l'on pressentait depuis peu, quelques minutes avant la fin du film où nous nous disions que finalement si mauvais ce n'était pas, elle nous révèle toute la force d'un auteur, qui s'efface devant son oeuvre, le son de sa voix s'éteignant dans la musique, l'ombre de son corps disparaissant dans la silhouette vibrante. C'est avec une maîtrise impressionnante que Charles Chaplin, n'hésitant pas d'ailleurs à se mettre lui-même dans le film, ne se joue non plus des policiers, ni des personnes trop sérieuses, mais piège ici son spectateur réaffirmant l'éternelle dualité, montrant aussi que l'un des partis peut se méprendre et décevoir l'autre. A nous alors de ne pas nous tromper, Chaplin est encore là.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 28 juillet 2013
    Chaplin profite du film pour se livrer à quelques reflexions philosophiques intéressantes sur la vie d'artiste hélas si le film dégage des émotions la réalisation s'avère assez lourde et démodée.
    Ryce753
    Ryce753

    21 abonnés 431 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 juillet 2013
    Un très beau film du maître Chaplin. L’histoire est assez fantaisiste et on a droit à de belles réflexions philosophiques sur la vie. Le déroulement des situations et les dialogues sont riches, inspirés et bien interprétés de la part des acteurs. Chaplin est toujours très expressif et passe du rire aux larmes pour notre plus grand plaisir. Le thème musical du film est beau et mélancolique, ce qui renforce le côté un peu dramatique du métrage sans oublier la scène de l’accordage du piano entre lui et Buster Keaton qui est juste mythique et vaut vraiment la peine d’être vue, impossible de ne pas rire. Un classique à voir et revoir.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top