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Aubin Vassards
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0,5
Publiée le 28 juillet 2022
Le film était sans queue ni tête, je viens de perdre 1h30 de ma vie avec ma copine, je ne comprend pas comment la femme se spoiler: procure le doudou, ni pourquoi tout le monde reviens sauf le mari, aucun moment d'horreur, juste une histoire tirée par les cheveux sans intérêt pour le cinéma, je vous le déconseille sauf si vous avez du temps à perdre, ps j'ai quand même bien rigoler en me moquant du film et spoiler: du mot cancer (prononcé canquère).
Porté par un concept passionnant Ne t'endors pas ne pousse pas son imagerie assez loin. Les idées de mise en scène sont trop linéaires, et les matérialisations trop standards. De meme l'intrigue est cousue de fil blanc et relativement prévisible dans son dénouement. Pour autant, l'esthétique agréable, et le rythme lent, presque en apesanteur, demeurent relativement attractifs.
Un long métrage intéressant, qui concocte un bon cocktail de peur, d'étrange et de magie. Même si l'histoire est, au fond, d'une grande simplicité, on ne sait jamais vraiment où l'on met les pieds, et comment les choses vont tourner. Cette atmosphère, incertaine et étrange, maintien le spectateur dans son film, et finit par un twist final à la fois beau et renversant. Seul bémol, j'aurais préféré un peu plus de noirceur, mais ça reste personnel.
Bonsoir, très beau film, très sensible qui mélange le deuil et la vie, la continuité..la maladie et la mort qui sont vu par les yeux d'un enfant et ses conséquences. Il y a plein d'espoir et de merveilleux dans ce film mais aussi de l’incompréhension , de la tristesse et de la peine.... et de la colère ( tout cela dans les yeux de l'enfant ) c'est un film, je vous le magnifique , je vous le recommande, il ne fait pas très peur ( bien qu'a des moments la tension monte) il y a du merveilleux et c'est joliment raconté.... passez un merveilleux moment avec JACOB TREMBLAY ( magnifique, c'est la 2eme fois que je le vois Room) il est magique ce gosse, tout en poésie et sensibilité. c'est aussi un film intelligent, dans une certaine retenue très appréciable, rien n'est grossier et voyeur ...J'ai passé un merveilleux moment, ça faisait très longtemps.... prenez soin de vous karine
À l'heure où aucun de ses films n'a jamais connu l'honneur d'une sortie dans les salles françaises, Mike Flanagan est un réalisateur/ scénariste qui s'impose pourtant de plus en plus dans le paysage du cinéma d'épouvante US. "Absentia", "Oculus" ("The Mirror" en VF) ou "Hush", le cinéaste revisite les différentes catégories du genre avec une indéniable efficacité et toujours ce souci de traiter ses personnages en profondeur pour mieux les placer au coeur des enjeux de ses films. Bonne nouvelle, ce "Before I Wake" à la distribution chaotique (il date tout de même de 2013 !) s'inscrit parfaitement dans la continuité de sa filmographie en partant d'une idée fantastique que l'on pourrait croire usée jusqu'à la corde mais que Flanagan utilise brillamment pour mettre en avant nos failles humaines.
Encore endeuillé par la mort de leur enfant, un couple adopte un étrange petit garçon dont les précédentes familles d'accueil font le bonheur des imprimeurs d'avis de disparition. Quelques temps après, d'étranges phénomènes se produisent chez la nouvelle famille recomposée...
Et on n'en dira pas plus si ce n'est que "Before I Wake" est loin d'être une banale histoire de fantômes comme on en voit à la dizaine ces dernières années. Le film se rapproche plutôt d'un conte horrifique (on pourrait penser à une production de Guillermo Del Toro comme point de comparaison dans son imagerie) où le merveilleux et l'épouvante se chevauchent pour mieux souligner des thématiques humaines plus tragiques. Prenant et habile jusque dans ses derniers instants, le récit place en son centre la reconstruction après un deuil avec la palette d'émotions contradictoires que cela peut impliquer et que la psyché torturée d'un enfant va faire s'entrechoquer de manière positive dans un premier temps pour créer ensuite un certain malaise (le "retour", les agissements de la mère pour le provoquer). Un casting étonnant composé de "revenants" participe aussi beaucoup à la réussite du projet : Thomas Jane que l'on n'avait pas vu aussi bon depuis un moment, Kate Bosworth en pleine mutation chirurgicale (aïe, ces lèvres qui prennent l'allure d'un embout d'aspirateur) mais parfaite dans un personnage pas si facile à appréhender ou encore Annabeth Gish qui, clin d'oeil amusant, avait été confrontée à un cas similaire dans un épisode d'"X-Files". Et puis, il y a la révélation Jacob Tremblay (qui explosera quelques années plus tard avec "Room"), terriblement attachant dans le rôle de ce mystérieux petit garçon.
Émouvant et flippant, "Before I Wake" est une nouvelle réussite de Mike Flanagan. Tout n'y est pas encore parfait (la réalisation pourrait encore gagner en ampleur et une certaine créature aurait pu être plus malsaine dans son apparence, même si elle est parfaitement logique au vu de sa nature) mais cette capacité constante à toujours traiter un récit au travers de ses personnages forts nous donne envie d'en voir encore plus de la part de ce réalisateur très prometteur. On en attendrait presque son "Ouija 2" avec une certaine impatience, c'est dire les qualités du bonhomme...
Before i wake est un petit film d'horreur efficace avec une pointe de fantastique (qui donne lieu à de jolies scènes).rien de gore, ni d'effrayant mais l'histoire et la manière dont les thèmes abordés sont traités sont orignales sans êtres révolutionnaires.Si vous aimez les films tels que Mama, Mister Babadook, etc, celui-ci devrait vous plaire.
Voilà enfin un film d'horreur qui utilise les standards actuels du cinéma d'épouvante de façon convaincante et qui nous présente dans le même temps une histoire particulièrement originale : celle d'un jeune enfant adopté dont les rêves prennent vie lorsqu'il dort. Mike Flanagan a vraiment beaucoup de talent. Après avoir apprécié "Oculus : The Mirror" et "Hush", je me sentais dans l'obligation de voir "Before I Wake" (qui est au passage un film Netflix). Et c'est toujours avec autant de plaisir que ce réalisateur de moins de 40 ans nous emmène dans une horreur sincère et sans exagérations. Les réactions des personnages ne sont pas grotesques, elles sont même tout à fait légitimes (surtout pour la mère qui souhaite à tout prix revoir son fils). La BO à base de voix oniriques faite par Danny Elfman correspond tout à fait au thème abordé et transparaît parfaitement le caractère mystérieux de l'intrigue. Cela dit, les "screamers" sont trop nombreux et trop identiques, c'est souvent le même code qui est utilisé et c'est dommage. C'est pourquoi à mon goût, ce film a une très bonne histoire mais ne révolutionnera pas non plus le cinéma d'horreur de par sa forme.
Un film très malin qui change totalement du genre . Un vrai mélange porté par de très bon comédiens et un scénario qui monte en suspens. La mort est présentée de façon à tenter de dédramatiser ce qui n empeche pas de belles émotions. Rare dans ce genre .
Hélant rêves et réalité, le réalisateur parvient à rendre poétique cette histoire fantastique. L'actrice est un peu trop lisse mais les émotions passent. Les cauchemars restent plutôt sage au fond.
Ce film sorti en 2016, réalisé par Mike Flanagan et sorti tout récemment en France sur Netflix est bon. C'est le deuxième film de Flanagan que je vois, après l'excellent "Hush" (également disponible sur Netflix) qui m'avais très agréablement surpris et je me rend compte que ce réalisateur a vraiment du potentiel et c'est réellement dommage que ses films ne soient pas plus connus du grand public. On suit donc ici l'histoire de Cody, un petit garçon dont les rêves prennent vie mais également les cauchemars, ce qui pose donc problème au nouveau couple venant d'adopter le garçon. L'idée de base est donc plutôt bonne et surtout le scénario aurait pu tomber très vite dans la facilité mais au contraire, il développe l'histoire avec une sorte de poésie et notamment avec les papillons qui sont d'ailleurs des scènes très jolies. Même s'il y a donc de la poésie, l'angoisse est également bien présente et le film nous offre de bons jump scares bien réalisés mais sans tomber dans l'excès. La fin du film n'est pas exceptionnelle mais elle est plutôt bien faite et ne tombe pas dans le banal, on y retrouve d'ailleurs spoiler: la poésie du début du film avec les papillons et un côté touchant lorsque l'on apprend l’étymologie du "Canker Man" . Du côté des acteurs, nous avons principalement Kate Bosworth, Thomas Jane et le jeune Jacob Tremblay et ils jouent tous très bien. Ajouté à cela la très bonne B.O de Danny Elfman et le morceau "Welcome Home" de Radical Face, "Before I Wake" est un bon film qui devrait être plus connu.
Sympathique film d'horreur Netflix, Before I Wake tantôt beau tantôt ridicule, les périodes de rêve sont à la limite de l'enchantement alors que les périodes de cauchemar sont plus risibles qu'autre chose, et je ne suis pas la personne la plus résistante face aux films d'horreur, loin de la, les acteurs jouent bien et on sent leur détresse, quelques moments vraiment marquants, qui Fait que ce petit film mérite d'être regardé. 11/20
Film fantastique plus que d'horreur même si quelques scènes peuvent faire sursauter. La fin est émouvante et triste. Mais elle est plutôt bien ficelée pour ne pas tomber dans le plan plan.