Comme des lions de pierre à l’entrée de la nuit : Critique presse
Comme des lions de pierre à l’entrée de la nuit
Note moyenne
3,2
10 titres de presse
L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
Positif
Critikat.com
Le Monde
Libération
Première
TéléCinéObs
Télérama
Studio Ciné Live
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
L'Humanité
par Emile Breton
Ce dialogue entre hier et aujourd’hui, entre les poèmes des déportés et les aboiements des haut-parleurs, fait le prix de ce film où les images de propagande, comme celles consacrées à la visite d’un officier anglais enchanté par cette expérience de « réarmement moral » sont remises à leur place. Et encore une fois, sans pathos, sans la véhémence du dénonciateur.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Ce documentaire impressionnant, à l'esthétique poignante et au montage à la fois poétique et rigoureux, est soutenu par une bande son remarquable.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Jean A. Gili
Sans insistance, en laissant parler les images et s'entrechoquer les mots, le film d'Olivier Zuchuat parvient à exprimer l'indicible, dans ce lieu de mémoire où l'on assassinait les idéaux d'un peuple.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Critikat.com
par Matthieu Amat
Ce n'est pas en frottant les images et le verbe poétique, mais deux types de discours et de langue que le film fait ses plus belles étincelles.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Isabelle Regnier
La petite île de Makronissos, transformée pour les besoins de la cause droitière en camp de rééducation politique, (abrite) des poètes dont les écrits composent la bande-son de ce beau documentaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Julien Gester
S’informe ainsi ici un cinéma de fouilles, d’archéologie mémorielle, vivifié par les éléments auxquels il apparaît grand ouvert : ensoleillement caniculaire, rafales interrompues du vent du sud, encerclement par la mer.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Isabelle Danel
Le dispositif semble aride mais, à force, quelque chose d'organique se noue entre ces pierres et les mots des suppliciés.
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Images d’archives, films de propagande, photos volées et prises de vue contemporaines reconstituent le quotidien de ces prisons où, pour tromper la surveillance, poètes, artistes et libres-penseurs écrivirent et enfouirent dans le sol de superbes textes de résistance, aujourd’hui retrouvés.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Mathilde Blottière
En confrontant des images actuelles des ruines du camp à des archives d'époque et les écrits des prisonniers écrivains aux consignes de « rééducation » diffusées par les haut-parleurs des gardes-chiourmes, le réalisateur exhume les traces d'une résistance sous les barbelés. Un beau travail de mémoire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Studio Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir le Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
L'Humanité
Ce dialogue entre hier et aujourd’hui, entre les poèmes des déportés et les aboiements des haut-parleurs, fait le prix de ce film où les images de propagande, comme celles consacrées à la visite d’un officier anglais enchanté par cette expérience de « réarmement moral » sont remises à leur place. Et encore une fois, sans pathos, sans la véhémence du dénonciateur.
Les Fiches du Cinéma
Ce documentaire impressionnant, à l'esthétique poignante et au montage à la fois poétique et rigoureux, est soutenu par une bande son remarquable.
Positif
Sans insistance, en laissant parler les images et s'entrechoquer les mots, le film d'Olivier Zuchuat parvient à exprimer l'indicible, dans ce lieu de mémoire où l'on assassinait les idéaux d'un peuple.
Critikat.com
Ce n'est pas en frottant les images et le verbe poétique, mais deux types de discours et de langue que le film fait ses plus belles étincelles.
Le Monde
La petite île de Makronissos, transformée pour les besoins de la cause droitière en camp de rééducation politique, (abrite) des poètes dont les écrits composent la bande-son de ce beau documentaire.
Libération
S’informe ainsi ici un cinéma de fouilles, d’archéologie mémorielle, vivifié par les éléments auxquels il apparaît grand ouvert : ensoleillement caniculaire, rafales interrompues du vent du sud, encerclement par la mer.
Première
Le dispositif semble aride mais, à force, quelque chose d'organique se noue entre ces pierres et les mots des suppliciés.
TéléCinéObs
Images d’archives, films de propagande, photos volées et prises de vue contemporaines reconstituent le quotidien de ces prisons où, pour tromper la surveillance, poètes, artistes et libres-penseurs écrivirent et enfouirent dans le sol de superbes textes de résistance, aujourd’hui retrouvés.
Télérama
En confrontant des images actuelles des ruines du camp à des archives d'époque et les écrits des prisonniers écrivains aux consignes de « rééducation » diffusées par les haut-parleurs des gardes-chiourmes, le réalisateur exhume les traces d'une résistance sous les barbelés. Un beau travail de mémoire.
Studio Ciné Live
Voir le Studio Ciné Live.