Mon compte
    Chemin de croix
    Note moyenne
    3,7
    131 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Chemin de croix ?

    30 critiques spectateurs

    5
    6 critiques
    4
    11 critiques
    3
    6 critiques
    2
    5 critiques
    1
    2 critiques
    0
    0 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 151 abonnés 5 135 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 avril 2022
    C’est à « l’arbre de vie » que je pense en premier.
    Cette autoritarisme dans la famille.
    Mais le sujet de la religion est au cœur du film. Cette abnégation et le renoncement de cette jeune fille. C’est terrible dans son dénouement.
    On ne peut pas en vouloir totalement à la femme qui a raison en certains points. Le miracle et la sainteté
    Mais on peut trouver terrible la justification de sa mort dans la croyance obstinée.
    C’est quand même sa fille qui est dans le cercueil et tout s’éclaire lorsqu’elle pleure.
    Sobre, tragique et émouvant.
    Shephard69
    Shephard69

    334 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 juillet 2019
    Dans un style extrêmement austère et froid qui rappelle beaucoup celui de Mickael Haneke, un drame qui prend la forme d'une transposition moderne du calvaire de Jésus et qui, en toile de fond, livre un portrait dur, sans concessions d'une famille catholique fondamentaliste mais aussi de la puissance de la foi jusqu'à l'absurdité du sacrifice et de la dangerosité de l'extrémisme.quel que soit le courant philosophique ou religieux suivi. Une mise en scène minimaliste aux longs plans fixes qui accentue davantage l'impact du message du film, des acteurs au jeu incroyable à l'image de Lea Van Acken et Franziska Weisz respectivement dans les rôles de Maria, le personnage central, et de sa mère. Malgré un sujet auquel je suis assez extérieur, un long-métrage qui m'a touché de façon intéressante.
    aldelannoy
    aldelannoy

    38 abonnés 343 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 février 2019
    Ce film fait assez propagandiste. Après tout, pourquoi pas ? Eisenstein a fait de sublimes oeuvres dans le genre. Cela dit, Eisenstein faisait au moins l'effort de faire du cinéma et non une espèce de pièce de théâtre fort médiocre. Qu'a-t-on ici ? du Pasolini mal compris, le pire côté de ce qu'a filmé un génie comme Dreyer, et l'influence de ce cinéaste surestimé à mon sens qu'est Haneke. Le parallèle avec Haneke, en bien ou en mal, a été remarqué par de nombreux autres critiques.
    Le résultat est un bavardage insipide tendant à stigmatiser le catholicisme, c'est là tout ce qui ressort de ce film. Ce n'est pas ma religion mais je trouve que cette stigmatisation du catholicisme ne suffit pas à construire une œuvre.
    Le découpage en 14 tableaux est complètement arbitraire, inutile et sans rapport avec les scènes jouées par les acteurs. Ce point a également été relevé par de nombreux critiques. La caméra se contente de s'assoupir dans un coin au point de nier toute dimension cinématographique, c'est très théâtral, dans des plans interminables où rien ne se passe à l'écran où ça cause et ça cause comme dans le pire téléfilm ou comme dans un sitcom du genre Amour, gloire et beauté, en plus intello bien-pensant cependant.
    Le résultat est à mes yeux mauvais. Je ne vois rien à garder de ce gâchis.
    In Ciné Veritas
    In Ciné Veritas

    89 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 août 2017
    Quatorze, ce nombre vaut pour jalon dans Chemin de croix. Ce long métrage de Dietrich Brüggemann fut sélectionné en compétition officielle lors de l’édition 20…14 de la Berlinale. Coscénaristes, le réalisateur et sa sœur Anna Brüggemann, y remportèrent l’Ours d'argent du meilleur scénario. Œuvre de contrition et lent cheminement sacrificiel, Chemin de croix surprend par sa radicalité formelle et son récit implacable. Critique complète sur incineveritasblog.wordpress.com
    ATON2512
    ATON2512

    58 abonnés 1 126 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 février 2017
    Réalisé par l'allemand De Dietrich BRUGGENMANN. Un film étonnant austère au premier abord et assez difficile surtout pour un non croyant. Le premier tableau sur les premiers préceptes sont éclairants. Les autres un peu moins. Pour autant, le film est très maitrisé et la logique extrémiste de la lecture de la foie fait froid dans le dos. Jusque dans le dernier tableau qui pousse le délire sacrificiel jusqu'à son paroxysme. C'est d^r et dérangeant voire complètement incompréhensible pour tout être de raison et rationnel. Une mention très spéciale à la jeune Lea van ACKEN juant Maria. Incarnant à merveille cette illuminée ou manipulée de la foi .
    LeMagduCiné
    LeMagduCiné

    66 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 avril 2016
    Les sacrifiés de la foi

    Le film de l’allemand Dietrich Brüggemann vaut le détour à plus d’un titre. Ours d’argent du scénario à la Berlinale de 2014, le film a cependant une sortie plus que discrète en France, avec seulement 87 salles pour la France entière contre 691 salles pour, au hasard, Gone Girl.

    L’histoire est celle de la jeune Maria Göttler, élevée dans une quasi-secte religieuse, une branche intégriste de l’Eglise catholique, une branche heureusement presque morte, parce que non reconnue par le Vatican, qui veut devenir une sainte, ou plus exactement qui veut donner sa vie en sacrifice pour l’amour de son petit frère présumé autiste, et dans l’espoir d’obtenir ainsi sa guérison.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 726 abonnés 12 426 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 avril 2016
    « Un sacrifice, c'est...faire un sacrifice à Jèsus...en se privant de chocolat ou en dormant à la dure. » Le ton est donnè [...] De Jèsus condamnè à être crucifiè à son corps mis en tombeau, "Chemin de croix" est un film allemand que l'on peut difficilement oubliè car tournè en quatorze plans sèquences! La jeune Lea van Acken est bluffante de naturel! Celle qui ressemble à une danseuse fragile mais infatigable avec son chemisier blanc, celle qui rend grâce à Jèsus pour un beau paysage de campagne (selon Maria, sacrifier une vue magnifique serait de regarder ailleurs), celle qui fait partie d'une paroisse spèciale (la Fraternitè sacerdotale de Sait-Paul) spoiler: mais qui veut chanter dans la chorale d'une paroisse moderne, celle qui ne peut sonder le coeur de sa mère, celle qui « ment » par peur d'être punie et celle qui se laissera mourir à petits feux en creusant son propre chemin de croix...
    Aucune actrice n'aura autant que elle mèritè le paradis! S'il n'y avait qu'une seule bonne raison pour voir ce film religieux de Dietrich Brüggemann, ce serait pour elle...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 juin 2015
    Moi qui ne suis pas croyant, mais alors pas du tout, j'ai pris un véritable coup de poing dans la gueule quand je suis allé le voir tout seul au ciné, où on était 12 en tout et pour tout dans la salle.
    Écoutez, c'est pas racontable tellement c'est puissant. C'est spécial, comme réalisation mais c'est ça qui en fait une réussite : tous les concepts bien conformes du cinéma sont inexistants.
    Je suis ressorti complètement retourné. Si vous aimez le cinoche pas comme les autres, précipitez-vous. Un chef d'oeuvre.
    velocio
    velocio

    1 304 abonnés 3 135 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 février 2017
    C’est un film sur le fanatisme religieux que nous propose le réalisateur allemand Dietrich Brüggemann. Alors que le cinéma actuel a tendance à se diriger chez les musulmans et chez les juifs pour montrer les dégâts causés par les religions lorsqu’elles glissent dans l’intégrisme, c’est dans l’univers des catholiques que nous conduit Chemin de croix. On retrouve une famille père, mère, 4 enfants et une jeune française au pair. Ils font partie de la mouvance catholique qui n’a jamais accepté les conclusions du Concile Vatican II. La famille pratique sa religion au sein de la Fraternité Sacerdotale de Saint-Paul, une communauté catholique intégriste qui réfute toute forme de modernisme : sport pratiqué dans la mixité, musiques rock, pop et même gospel, toutes considérées comme étant sous influence satanique, etc. Dans cette famille, Maria, la fille aînée, 14 ans, aspire à une vie de sainte se terminant par le départ vers le Paradis, auprès de Dieu et de Jésus. Son but : que son « sacrifice » permette la guérison de Johannes, son petit frère qui n’a jamais parlé. Son problème : arriver à se faire aimer par une mère tyrannique et qui voit le mal partout. Son modèle : Bernadette, la jeune fille au pair, catholique sincère mais éloignée des excès maladifs de la mère. Pour réaliser son film, Dietrich Brüggemann, auteur du scénario avec sa sœur Anna (Ours d’Argent du meilleur scénario au Festival de Berlin 2014), a fait un choix a priori hardi mais qui, au final, s’avère particulièrement judicieux : mettre en parallèle le calvaire vécu par Maria avec celui vécu par Jésus entre sa condamnation à mort et sa mise au tombeau. D’où le découpage en 14 tableaux, chaque « station » étant annoncée sous la forme traditionnelle. Avec cette construction, pas de suspense : on sait à peu près comment le film va se terminer, mais qu’importe ! Le premier tableau donne tout de suite le ton : des adolescents préparent leur confirmation avec un jeune prêtre, un plan fixe de près d’un quart d’heure où on entend le bourrage de crane infligé par le prêtre à ses jeunes ouailles et qui montre une Maria qui est la seule à connaître toutes les réponses aux questions sur la religion. Les 14 tableaux font l’objet d’un traitement similaire : des plans fixes, dans lesquels les personnages évoluent, entrent ou sortent du cadre. En tout, 4 mouvements de caméra, 2 au moment de la confirmation, montrant le passage des adolescents à l’âge adulte, un panoramique accompagnant le décès de Maria et un dernier mouvement de caméra à la toute fin du film, objet de nombreux commentaires pas toujours fondés. Ce traitement aride n’empêche pas le film d’être particulièrement passionnant. Une de ses forces est de pas être manichéen : il est certain que son auteur cherche à dénoncer la dérive sectaire de la communauté catholique qu’il nous montre mais il le fait avec tact et, même, parfois, avec un petit (tout petit!) brin d’humour. La dénonciation la plus sévère trouve place dans la scène la plus forte du film, celle de la visite de Maria et de sa mère chez un docteur. La distribution fait appel à quelques comédiens professionnels et à de nombreux « amateurs », dont Lea van Acken, totalement époustouflante dans le rôle de Maria. Franziska Weisz et Lucie Aron sont excellentes dans les rôles de la mère et de Bernadette.
    Loïck G.
    Loïck G.

    336 abonnés 1 670 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 mars 2015
    Plusieurs niveaux de lecture apparaissent dans ce film captivant qui entend dénoncer les principes intégristes d’une église traditionnelle tout en faisant étalage de ses pratiques. Il faut vraiment contrer le discours de la mère, d’une intransigeance totale pour mieux comprendre le cheminement de Maria, une jeune fille qui tout en conservant le dogme familial, tente une voie beaucoup plus personnelle. La confrontation qui suit pèse de tout sa charge émotionnelle sur une mise en scène elle aussi très particulière. L’ensemble se présente par tableaux, à l’image des scènes de la passion du Christ. Que des plans fixes, deux ou trois mouvements de caméra seulement, et ça fonctionne très bien … Le personnage de Maria est joué par une inconnue Lea van Acken. Elle ne devrait pas le rester…

    Avis bonus Une rencontre très éclairante avec le réalisateur
    Pour en savoir plus
    JEANRENE43
    JEANRENE43

    11 abonnés 154 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 janvier 2015
    Un film à voir, plus un film utile qu'un beau film : il y a peu, voire même aucun humour, on est en permanence sur le registre de la gravité. Ce film sorti en octobre 2014 est comme un écho avec les douloureux événements contre l'équipe de Charlie la semaine dernière. La religion mal expliquée peut conduire des jeunes au fanatisme comme dans ce film, le désir de se sacrifier à l'instar du Christ sur la croix pour sauver l'humanité, ici pour sauver le petit frère. On peut s'interroger si un tel intégrisme a encore cours de nos jours dans la religion catholique ? En effet le film montre une histoire contemporaine en Allemagne. En revanche ce film me rappelle des scènes vécues dans mon enfance des années 55-60 heureusement avec une moindre dureté. Un tel film peut aussi nous aider à comprendre comment de jeunes musulmans peuvent être instrumentalisés par des imams et des familles pour le djad contre l'Occident, au sens du film, vu comme satan. Je le conseille donc à tous les hésitants, une bonne façon de poursuivre nos actes pour honorer toutes les victimes des massacres Charlie et se disant "je suis Charlie" en m'informant : comment est-ce possible ? Deux religions un même fanatisme décadent, pour autant ce n'est que la phase réflexion pour conduire les actions....
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 15 janvier 2015
    Le parcours de Maria, adolescente en recherche d'elle même, guidée par des adultes qui jugent que la société actuelle est malsaine, corrompue, pleine de vices sataniques... Une mère autoritaire, culpabilisante, intolérante, elle est terrifiante et poussera Maria à se couper de tout et de tous pour arriver jusqu'à Dieu, sacrifice ultime. 14 Tableaux en 14 plans séquences, mise en scène originale, c'est prenant et flippant les ultra-catholique... un premier film, chapeau !
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 17 novembre 2014
    Un parti pris de mise en scène intéressant mais un discours religieux pesant. Cependant les intentions de la réalisatrice sont ambigus : pas de dénonciation de cet enferment idéologique clairement affirmé mais une ouverture évoquant que finalement les miracles pourraient exister et que les croyances puissent être récompensées !! Globalement film calvaire et vain
    ninilechat
    ninilechat

    71 abonnés 564 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 janvier 2015
    Quel chemin de croix............ pour arriver à voir Chemin de croix, trois petits tours et puis s'en vont, une semaine de sortie, tel est le triste sort des films pas formatés.

    Rien pour plaire: ni son sujet, la religion, le fanatisme religieux, la sainteté. Ca, c'est pas du Dany Boon pour sûr. Ni son format: une succession de quatorze plans fixes.... non, pour le dernier plan, la camera entame un lent travelling, passant de la tombe de la petite Maria au ciel immense des plaines allemandes.

    Bon, ben vous avez manqué quelque chose car il s'agit d'un beau film, prenant, intriguant, dérangeant. Certes, l'avoir enfermé dans le parallèle du chemin de croix d'une toute jeune fille avec quatorze stations du chemin de croix du Christ sent un peu trop son Dogme; ce n'est pas toujours très convaincant. En tous cas, ça a convaincu le jury du Festival de Berlin qui lui a accordé son Ours d'Argent. Et je pense que Haneke a du l'aimer....

    Dietrich Brüggemann a eu envie de raconter le fanatisme catholique parce qu'il l'a vu de très près, avec sa sœur Anna. Merci mon Dieu..... ils s'en sont sortis en bon état. Pas du tout dérangés comme Maria, mais comme des athées tranquilles, même pas vraiment anticléricaux!

    C'est intéressant de parler du fanatisme chrétien, parce qu'on parle beaucoup, et à juste titre, du fanatisme islamique. Comment, alors, passer sous silence que dans plusieurs Etats américains, on n'enseigne par l'évolution, parce que la majorité des électeurs pense que c'est Dieu qui a créé le monde en sept jours avec sa p'tite baguette magique? Le fanatisme est tapi dans toutes es religions comme le ver dans le fruit. Du moins, dans toutes les religions monothéistes. A mon sens, il est plus difficile de virer à l'extrême dans l'animisme, où tout est pluriel. Quand un dieu à mine sinistre vous invite à l'ascétisme, voila que le dieu du vin arrive rigolard, allez, vient te murger mon frère!

    Le chemin de croix, c'est donc celui de Maria, ado de quatorze ans au cœur pur et à l'âme exigeante. La première scène est presque innocente: un jeune prêtre, le père Weber (Florian Stetter), plutôt avenant, prépare une poignée d'enfants à leur confirmation. Tout semble normal..... jusqu'à ce que cela dérape: les enfants doivent se considérer comme des soldats du Christ, prêt à donner leur vie, comme ceux des Christeros! Pour cela il faut se battre constamment contre les tentations, en premier lieu, la musique satanique. Ah, on se doute bien que pour ceux là, la surboum du samedi soir ça n'existe pas..... Maria (la douce Lea van Acken) est la plus attentive, la plus concernée.

    C'est l'ainée d'une famille de quatre enfants dont le dernier, qu'elle adore, a des problèmes. A quatre ans, il ne dit pas un mot. Sans doute souffre t-il d'une forme d'autisme. Pour qu'il devienne un petit garçon comme les autres, Maria est prête à donner sa vie.

    Dans la famille, le père est totalement absent. On ne l'entendra pas dire un seul mot..... La famille est dominée par la mère (Franziska Weisz), une fanatique d'anthologie, un personnage terrifiant, une obsédée du péché. Satan est rentré dans l'Eglise avec Vatican II; les catholiques vaticanistes sont à rejeter, tout aussi bien que les protestants. La tentation rode partout. Garçons et filles doivent s'éviter, car les pensées lubriques peuvent vite arriver.

    Maria s'est fait un ami, un catholique de l'autre troisième qu'elle croise en bibliothèque, qui l'invite à rejoindre sa chorale. Mais dans cette chorale, à côté des chorals de Bach, on travaille aussi des gospels (voire de la soul!!) qui appartiennent manifestement aux musiques sataniques..... Maria croit tout ce que dit sa mère, tout ce que dit le père Weber, elle vit dans la hantise du péché, elle doit absolument fuir ce gentil garçon qui la détourne de sa recherche obsessionnelle de sainteté. Tout cela est d'une vérité et d'un réalisme absolus. On n'a jamais décrit avec tant de justesse et de finesse le cheminement de certains ados épris d'idéal.
    Un film intelligentissime qui mériterait qu'on s'y arrête.
    pgioan
    pgioan

    30 abonnés 133 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 novembre 2014
    Bien décu ... Le premier plan séquence est assez super, mais ensuite... Le parallèle entre les stations du chemin de croix du Christ et le chemin de la jeune adolescente est trop artificiel : ce n'est qu'un truc, une idée de départ à laquelle il s'accroche . Dommage . Le cinéma artificiel est toujours mauvais...
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top