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Votre avis sur Cruella ?
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Voilà un Disney dont je n'attendais rien mais qui m'a ravi et ce pour de multiples raisons.
Tout d'abord, les deux Emma sont fabuleuses, rivalisant de méchanceté et ce pour notre plus grand plaisir. D'ailleurs, tout le casting assure. Ensuite, le scénario est malin, mêlant habilement humour, légèreté, arnaques et vengeance. De plus, le côté dark-punk, l'extravagance, une certaine folie, associés à une bande son de haute volée, m'a carrément plu. Enfin la mise en scène est impeccable, et la direction artistique ainsi que les costumes nous en mettent plein les rétines...
Subtil mélange de comédie et de noirceur, à mi-chemin entre "Le diable s'habille en Prada" et "Joker" dans une certaine mesure, un film qui ne s'adresse pas au plus jeune public, mais qui vous offrira un spectacle assez intense ! Cruellement hâte de voir que donnera sa suite...
Tout d'abord, les deux Emma sont fabuleuses, rivalisant de méchanceté et ce pour notre plus grand plaisir. D'ailleurs, tout le casting assure. Ensuite, le scénario est malin, mêlant habilement humour, légèreté, arnaques et vengeance. De plus, le côté dark-punk, l'extravagance, une certaine folie, associés à une bande son de haute volée, m'a carrément plu. Enfin la mise en scène est impeccable, et la direction artistique ainsi que les costumes nous en mettent plein les rétines...
Subtil mélange de comédie et de noirceur, à mi-chemin entre "Le diable s'habille en Prada" et "Joker" dans une certaine mesure, un film qui ne s'adresse pas au plus jeune public, mais qui vous offrira un spectacle assez intense ! Cruellement hâte de voir que donnera sa suite...
Caine78
D'abord peu excité par le projet lorsque j'ai appris son existence, les critiques positives et quelques visuels m'ont amené à un « pourquoi pas... ». Et je ne regrette vraiment pas, bien qu'un peu frustré tant cela aurait pu être encore mieux. Il faut dire : quand on vous lance avec le génial
spoiler:
« Bloody Well Right » du nom moins génial groupe Supertramp
, ça met dans de bonnes dispositions. D'ailleurs, de ne pas avoir voulu suivre absolument le jeunisme ambiant pour placer l'intrigue dans les 70's est une excellente idée, et que dire de la bande-originale qui va avec : spoiler: The Doors, The Zombies, Nina Simone, Ike et Tina Turner, Queen, The Clash
... un régal.
Autre bonne inspiration des studios Disney : avoir choisi Craig Gillespie derrière la caméra, celui-ci se montrant inspiré pour offrir un univers visuel chatoyant, pimpant, correspondant parfaitement à cette période suivant tout juste le « Swinging London ». Voix-off pertinente, intrigue bien posée, un certain mystère, personnages bien définis : ces « origines » de l'une des méchantes les plus emblématiques de Mickey font belle impression.
Seulement, c'est justement là que le bat blesse : cela reste un film Disney. Pour tout vous dire, j'en ai oublié que Cruella était censée être méchante ! Alors OK, qu'elle ne soit pas née méchante, qu'on la mette face à des événements douloureux pour justifier cette transformation, pourquoi pas. Mais justement, elle ne devient JAMAIS méchante ici. Roublarde, vaguement manipulatrice, et encore, toujours pour de bonnes raisons, voire carrément sauver sa peau. Plus grand rapport, donc, avec le personnage découvert dans « Les 101 dalmatiens » puis popularisé par Glenn Close 35 ans plus tard, si ce n'est le look et une propension aux coups d'éclat, offrant quelques moments très réussis (les costumes sont fabuleux).
Il y a, également, une très nette baisse de régime dans la deuxième partie, où l'on sent qu'on a tout donné précédemment et que pour avancer dans l'intrigue, ça patine sévère, les deux compères de notre « méchante » ne marquant pas non plus les esprits (et que dire de Mark Strong dans un troisième rôle sans grande envergure). Heureusement, l'œuvre peut compter sur Emma Thompson dans un registre qu'elle maîtrise sur le bout des doigts : le mépris mondain. Et comme c'est pour être au service d'une méchante particulièrement classe et savoureuse, cela offre une belle opposition avec l'autre Emma, l'actrice de « La La Land » se glissant aisément dans ce rôle de gentil... pardon, garce la mettant constamment en valeur.
Enfin, sans atteindre la ferveur de la première heure, la dernière ligne droite retrouve du mordant pour offrir un final rythmé, sans grande surprise mais bien mené, rappelant (sans doute volontairement) le style des grands films noirs hollywoodien. De la frustration, donc, surtout au vu du potentiel. Mais aussi une vraie satisfaction d'avoir vu une production cédant peu à la mode du moment, professionnelle jusqu'au bout des ongles (voire un peu plus) et respectueuse de (tout) son public : si, en prime, elle permet à la nouvelle génération d'apprendre que la musique (et laquelle!) existait avant leur rap (souvent) immonde, j'en serais ravi.
, ça met dans de bonnes dispositions. D'ailleurs, de ne pas avoir voulu suivre absolument le jeunisme ambiant pour placer l'intrigue dans les 70's est une excellente idée, et que dire de la bande-originale qui va avec : spoiler: The Doors, The Zombies, Nina Simone, Ike et Tina Turner, Queen, The Clash
... un régal.
Autre bonne inspiration des studios Disney : avoir choisi Craig Gillespie derrière la caméra, celui-ci se montrant inspiré pour offrir un univers visuel chatoyant, pimpant, correspondant parfaitement à cette période suivant tout juste le « Swinging London ». Voix-off pertinente, intrigue bien posée, un certain mystère, personnages bien définis : ces « origines » de l'une des méchantes les plus emblématiques de Mickey font belle impression.
Seulement, c'est justement là que le bat blesse : cela reste un film Disney. Pour tout vous dire, j'en ai oublié que Cruella était censée être méchante ! Alors OK, qu'elle ne soit pas née méchante, qu'on la mette face à des événements douloureux pour justifier cette transformation, pourquoi pas. Mais justement, elle ne devient JAMAIS méchante ici. Roublarde, vaguement manipulatrice, et encore, toujours pour de bonnes raisons, voire carrément sauver sa peau. Plus grand rapport, donc, avec le personnage découvert dans « Les 101 dalmatiens » puis popularisé par Glenn Close 35 ans plus tard, si ce n'est le look et une propension aux coups d'éclat, offrant quelques moments très réussis (les costumes sont fabuleux).
Il y a, également, une très nette baisse de régime dans la deuxième partie, où l'on sent qu'on a tout donné précédemment et que pour avancer dans l'intrigue, ça patine sévère, les deux compères de notre « méchante » ne marquant pas non plus les esprits (et que dire de Mark Strong dans un troisième rôle sans grande envergure). Heureusement, l'œuvre peut compter sur Emma Thompson dans un registre qu'elle maîtrise sur le bout des doigts : le mépris mondain. Et comme c'est pour être au service d'une méchante particulièrement classe et savoureuse, cela offre une belle opposition avec l'autre Emma, l'actrice de « La La Land » se glissant aisément dans ce rôle de gentil... pardon, garce la mettant constamment en valeur.
Enfin, sans atteindre la ferveur de la première heure, la dernière ligne droite retrouve du mordant pour offrir un final rythmé, sans grande surprise mais bien mené, rappelant (sans doute volontairement) le style des grands films noirs hollywoodien. De la frustration, donc, surtout au vu du potentiel. Mais aussi une vraie satisfaction d'avoir vu une production cédant peu à la mode du moment, professionnelle jusqu'au bout des ongles (voire un peu plus) et respectueuse de (tout) son public : si, en prime, elle permet à la nouvelle génération d'apprendre que la musique (et laquelle!) existait avant leur rap (souvent) immonde, j'en serais ravi.
Un moment de pur bonheur pour un dimanche soir. Une histoire originale, des costumes époustouflants, sans parler de la musique qui nous rend le moment encore plus plaisant. Les plans et images sont très beaux et dynamiques, c'est un plaisir à regarder du début à la fin.
Ce film est plutôt une sorte de "Le diable s'habille en Prada" version 2021. En tout cas il est bien, l'histoire est bonne, peut être juste que Cruella n'est pas assez cruelle.
Cruella
Le film se déroule dans le Londres des années 1970 et suit une jeune femme nommée Cruella qui fait son chemin dans le monde de la mode. Réalisé avec un goût élégant, il y a des séquences entières dédiées à ses costumes, qui sont étonnantes. À d'autres moments de l'histoire, ils mettent l'accent sur leur conception de production soignée et leurs changements de personnage entièrement représentés avec leurs cheveux et leur maquillage raffinés. Le souci du détail est irréprochable et le film sait l'utiliser à son avantage.
Cruella est un film d'un grand impact dû à plusieurs éléments merveilleusement amalgamés ; la bande originale qui comprend des Rolling Stones, The Clash, une excellente direction artistique et une histoire d'une grande puissance dramatique.
Le film se déroule dans le Londres des années 1970 et suit une jeune femme nommée Cruella qui fait son chemin dans le monde de la mode. Réalisé avec un goût élégant, il y a des séquences entières dédiées à ses costumes, qui sont étonnantes. À d'autres moments de l'histoire, ils mettent l'accent sur leur conception de production soignée et leurs changements de personnage entièrement représentés avec leurs cheveux et leur maquillage raffinés. Le souci du détail est irréprochable et le film sait l'utiliser à son avantage.
Cruella est un film d'un grand impact dû à plusieurs éléments merveilleusement amalgamés ; la bande originale qui comprend des Rolling Stones, The Clash, une excellente direction artistique et une histoire d'une grande puissance dramatique.
Vinz1
Une histoire originale, une bande-son magique, des costumes prodigieux et deux actrices au sommet de leur art, font de ce film narrant le passé de la célèbre Cruella de l’univers des 101 dalmatiens, un spectacle hautement jubilatoire et haut en couleurs à visionner en famille !
Wow, juste WOW !
Clairement magnifique, rien à redire sur ce film.
Ok cette critique n'est pas très constructive mais je conseille simplement d'aller voir ce film que l'on soit fan de l'univers ou non, je suis certain que vous saurez apprécier cette œuvre.
Clairement magnifique, rien à redire sur ce film.
Ok cette critique n'est pas très constructive mais je conseille simplement d'aller voir ce film que l'on soit fan de l'univers ou non, je suis certain que vous saurez apprécier cette œuvre.
Les 2 premiers tiers du film sont très divertissants, le duel entre Cruella et la Baronne regorge d'idées, la direction artistique est magnifique, le thème de la duplicité est intéressant. Malheureusement, le film se conclut sur des rebondissements artificiels et alambiqués et une fin en suspension, annonçant une suite.
Paul Walter Hauser, l'acteur sublime de "Moi, Tonya" et de "l'affaire Richard Rosswell" est cantonné à un rôle de goinfre rigolo.
Paul Walter Hauser, l'acteur sublime de "Moi, Tonya" et de "l'affaire Richard Rosswell" est cantonné à un rôle de goinfre rigolo.
Une catastrophe... Je ne m'attendais à rien et j'ai quand même été déçue. Le début me plaisait bien (à part la 3d des chiens bien sûr) mais une fois qu'Estella est devenue l'employée de la baronne ça a commencé à devenir trop prévisible et j'ai commencé à m'ennuyer de plus en plus. L'intrigue ne démarre jamais vraiment en fait, c'est mou même dans l'action. Je n'aime pas faire des critiques aussi négatives mais quand on gâche des personnages des Disney de mon enfance je ne peux pas rester sans rien dire. Après Maléfique qui n'a de maléfique plus que le nom, Cruella qui subit le même sort. Sans parler de cette manie de remplacer les personnages roux (ici Anita) par des noirs, c'est n'importe quoi, j'ai mis un temps avant de tilter que c'était ce personnage. Horace et Jasper...hum ils deviennent un peu bébêtes que vers la fin et encore c'est uniquement dans le côté clownesque sinon ils restent intelligents et gentils alors qu'ils sont censés être des brutes sans la moindre pitié pour les chiens. Je sais que c'est un disney et que les scénarios sont simplistes et les fins prévisibles mais faites un effort dans la mise en place du scénario quand même par pitié! Là il n'y a que les chansons et les robes qui sont bien dans ce film, c'est limite "le diable s'habille en prada" en moins bien.
Je dis tout ça après avoir revisionné les 101 dalmatiens après cette chose et c'en est que plus dérangeant. Je crois bien que les disney ne retrouveront plus leur mentalité d'origine, déjà que les beaux dessins ont été remplacé par de la 3d sans âme avec les filles qui ont toutes le même visage; ils se font bouffer par les wokes et autres mouvements qui s'amusent à gâcher tous les domaines artistiques....
Je dis tout ça après avoir revisionné les 101 dalmatiens après cette chose et c'en est que plus dérangeant. Je crois bien que les disney ne retrouveront plus leur mentalité d'origine, déjà que les beaux dessins ont été remplacé par de la 3d sans âme avec les filles qui ont toutes le même visage; ils se font bouffer par les wokes et autres mouvements qui s'amusent à gâcher tous les domaines artistiques....
Très content de voir ce film Cruella sortir, car ça faisait bien trop longtemps que Disney ne se risquait plus à tenter de nouvelles choses, et on voit que quand ils y mettent du coeur (et surtout des moyens), on obtient un très bon film.
En effet, j'ai beaucoup apprécié ce film sur les origines de la méchante des 101 Dalmatiens. On se retrouve à Londres durant les années 70, au tout début du mouvement punk, une thématique importante de l'oeuvre. Cruella incarne parfaitement la jeune arrogante, limite anarchiste. Ce film c'est l'arrivée de cette idėologie punk dans la mode, et on a clairement cette opposition entre Cruella, qui incarne l'avenir, et La Baronne qui incarne le passé. Le gros point positif du film c'est (sans surprise) Emma Stone, qui m'épate de plus en plus d'année en année. Elle tient ce double rôle entre Estella, la petite fille sans problème, juste là pour donner le meilleur d'elle-même et rendre fier spoiler: sa mère décédée
, et Cruella, l'anarchiste prête à faire régner sa loi et son monde aux autres. Il y a du très bon travail au niveau de la colorimétrie, beaucoup de noir, de blanc et de gris jusqu'à l'arrivée de Cruella qui amène une grosse touche de rouge, qui peut-être interprété de plusieurs façons. J'ia beaucoup aimé le twist final et de manière général, tous les plans et manigances organisés par Cruella et ses amis pour faire tomber la Baronne. Et enfin, la soundtrack est composée de pas mal de musiques populaires, toujours sympathique.
C'est un film qui a quand même quelques défauts, et un qui est vraiment énorme, c'est sa durée! Le film dure 2h14 (générique compris), il y a beaucoup de ventre mou qui aurait pu être retiré sans altérer la qualité scénaristique du film, on aurait pu retirer 15-20 minutes facile. Autre chose qui m'a titillé, c'est La Baronne qui ne se rend pas compte que Estella est Cruella, alors qu'elle laisse 37 000 indices derrière elle (Emma Thompson est tout de même super forte). Enfin, il y a des personnages qui ne servent à rien dans l'histoire, je pense notamment à Artie (John McCrea) et à Maya (Kirby Howell-Baptiste).
Je suis très content que ce film est pu voir le jour parce que c'était pas gagné. Disney prend enfin des risques et sort autre chose qu'un remake live action, très souvent flingués comme Mulan, Le Roi Lion ou Aladdin. Seul celui sur Dumbo est bon. Ce film fait plaisir et apporte un vent de fraicheur dans le paysage de Disney.
En effet, j'ai beaucoup apprécié ce film sur les origines de la méchante des 101 Dalmatiens. On se retrouve à Londres durant les années 70, au tout début du mouvement punk, une thématique importante de l'oeuvre. Cruella incarne parfaitement la jeune arrogante, limite anarchiste. Ce film c'est l'arrivée de cette idėologie punk dans la mode, et on a clairement cette opposition entre Cruella, qui incarne l'avenir, et La Baronne qui incarne le passé. Le gros point positif du film c'est (sans surprise) Emma Stone, qui m'épate de plus en plus d'année en année. Elle tient ce double rôle entre Estella, la petite fille sans problème, juste là pour donner le meilleur d'elle-même et rendre fier spoiler: sa mère décédée
, et Cruella, l'anarchiste prête à faire régner sa loi et son monde aux autres. Il y a du très bon travail au niveau de la colorimétrie, beaucoup de noir, de blanc et de gris jusqu'à l'arrivée de Cruella qui amène une grosse touche de rouge, qui peut-être interprété de plusieurs façons. J'ia beaucoup aimé le twist final et de manière général, tous les plans et manigances organisés par Cruella et ses amis pour faire tomber la Baronne. Et enfin, la soundtrack est composée de pas mal de musiques populaires, toujours sympathique.
C'est un film qui a quand même quelques défauts, et un qui est vraiment énorme, c'est sa durée! Le film dure 2h14 (générique compris), il y a beaucoup de ventre mou qui aurait pu être retiré sans altérer la qualité scénaristique du film, on aurait pu retirer 15-20 minutes facile. Autre chose qui m'a titillé, c'est La Baronne qui ne se rend pas compte que Estella est Cruella, alors qu'elle laisse 37 000 indices derrière elle (Emma Thompson est tout de même super forte). Enfin, il y a des personnages qui ne servent à rien dans l'histoire, je pense notamment à Artie (John McCrea) et à Maya (Kirby Howell-Baptiste).
Je suis très content que ce film est pu voir le jour parce que c'était pas gagné. Disney prend enfin des risques et sort autre chose qu'un remake live action, très souvent flingués comme Mulan, Le Roi Lion ou Aladdin. Seul celui sur Dumbo est bon. Ce film fait plaisir et apporte un vent de fraicheur dans le paysage de Disney.
Drôle, émouvant, effrayant et passionnant. Décors incroyables et costumes à couper le souffle. Cruella nous transporte. Cruella est une pure réussite.
A l’image de la double couleur des cheveux d’Estella/Cruella : noir pour le fond, lumineux pour la forme. Malgré une poignée de minutes de trop et une évidente similitude avec « le Diable s’habille en Prada », le scénario est très bon et la mise en scène de Graig Gillepsie est du même ressort. Les décors et les costumes - plus encore, sont magnifiques et la B.O. envoie du lourd, le tout savoureusement orienté punk-rock. Un prequel réjouissant et détonnant de tout premier ordre où les deux Emma sont vraiment formidables. Thompson est détestable à souhait dans le rôle La Baronne alors que flanquée de deux comparses à deux pattes et de deux autres à quatre pattes apportant une bonne dose d’humour à un film déjà très décontracté, Stone s’est parfaitement fondue dans le corps irrespectueux et revanchard de son personnage. J’ai adoré.
J'ai tous simplement ADORÉ le film. Génial de bout en bout. Emma Stone et Emma Thompson sont justes époustouflantes.
Une merveille.
Que dire de cette fabuleuse épopée dans le monde d'un Disney enfin à la hauteur de mes attentes ?!
Les images sont sublimes, les musiques sont superbes, les décors sont à couper le souffle. L'histoire est d'une justesse incroyable ... une Emma stone merveilleuse dans ce rôle et Emma thompson brillante ...
À voir et revoir sans hésitation
Que dire de cette fabuleuse épopée dans le monde d'un Disney enfin à la hauteur de mes attentes ?!
Les images sont sublimes, les musiques sont superbes, les décors sont à couper le souffle. L'histoire est d'une justesse incroyable ... une Emma stone merveilleuse dans ce rôle et Emma thompson brillante ...
À voir et revoir sans hésitation
Juste waw! Pourquoi ai-je attendu si longtemps pour le voir ? Emma Stone est bluffante dans son rôle, le décor et les costumes sont dingues et j'ai particulièrement aimé l'histoire de Cruella qui nous en dit plus sur ce personnage mystérieux! Tout comme Maléfique, je trouve ça toujours intéressant de les rendre en fait "gentille" et d'en découvrir plus sur leur parcours de vie. J'ai particulièrement apprécié les petits rappels des 101 Dalmatiens comme la fin qui nous rappellent que c'est un Disney avant tout!
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