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    Quand je ne dors pas
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    Jimy Gogo
    Jimy Gogo

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 septembre 2022
    Une errance au charme intemporel avec un comédien très attachant. Drôle et mélancolique. Un chocolat chaud.
    ThaïStyle
    ThaïStyle

    13 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 février 2023
    Un film émouvant !

    Avec un acteur vraiment touchant, et très juste, qu’on suis dans ses galères Parisiennes, le temps d’une nuit.
    De très jolies plans, en noir et blanc.
    Un bon scénario, et aucune scène en trop!

    J’ai passé un très bon moment devant cette petite pépite que je recommande aux amateurs du 7eme art.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 185 abonnés 5 188 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 février 2021
    Quand je ne dors pas, je rêve. C'est la part cachée de ces jeunes. Ce secret qu'ils ne confient qu'au cœur de la nuit à une oreille qui semblait attentive.
    Parfois drôle et semé de petites rencontres plus ou moins sympa. Une sorte d'héritier de "Versailles RG"
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 octobre 2015
    L’errance nocturne d’un « loser magnifique » dont on ressort transporté.
    Antoine veut aller voir la mer. Mais le prochain train Paris-Deauville ne part que demain matin et le billet coûte plus que ce qu’il possède. Il a donc une nuit pour gagner de quoi réaliser son rêve.

    S’inspirant de « L’attrape-coeurs » de J.D. SALINGER mais également de sa rencontre avec son acteur principal Aurélien GABRIELLI, Tommy WEBER dresse le portrait d’un rêveur, touchant de tendresse et de naïveté. Si l’influence des « 400 coups » de François Truffaut -le noir et blanc, le prénom Antoine, l’envie d’aller voir la mer…- est difficilement contestable, elle serait involontaire selon le réalisateur qui a pu s’appuyer sur Mohamed KERRICHE, coscénariste, auteur des chansons du film mais également interprète du rôle du dealer. Certes, leur nuit parisienne n’est pas exempte d’embrouilles et de dangers mais elle est surtout pleine d’humour et de poésie. Le regard que pose Antoine sur ses rencontres, sa façon d’aller là où le vent le mène et ses efforts pour tenter de gagner quelques dizaines d’euros, sans jamais tomber dans la facilité que serait le vol, nous attache à ce personnage et, quand le soleil se lève, que sa quête prend fin, on n’a qu’une envie, c’est de hurler avec lui et de le prendre dans nos bras. Jamais une nuit sans sommeil ne nous aura autant enchanté et « Quand je ne dors pas », le spectateur, lui, rêve.

    Si Tommy WEBER est un cinéaste talentueux -et pourvu d’une famille bien connue des cinéphiles-, comment expliquer que ses films ne bénéficient pas de sorties nationales et d’un écho à la hauteur de leurs qualités? En effet, sa première oeuvre « Callao » fut publiée directement sur Internet, où elle est encore visible aujourd’hui, et ce n’est qu’à la chance et à la ténacité du distributeur que « Quand je ne dors pas » doit sa présence dans les salles obscures. On ne saurait que trop espérer que cette injustice prenne fin et que le troisième film de ce réalisateur prometteur soit accessible au plus grand nombre.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 octobre 2015
    C'est un film pleins d'émotions. J'ai beaucoup ri. Le personnage pricipal avec son côté pathétique en était attachant. Une fin émouvante. Le réalisateur est humble et sympathique. Je lui souhaite une longue et belle route dans ce milieu. J'espère qu'il reviendra a Chilly-Mazarin pour nous présenter ses nouvelles oeuvres. Je promets de ne plus mettre le flash.😉
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 octobre 2015
    Gros, énorme, colossal coup de cœur pour ce film vu au dernier Festival International du Premier film d'Annonay en février dernier et qui hélas, n'est pas encore sorti dans mon Caméo. S'il passe près de chez vous j'espère que vous le défendrez comme moi.

    Quand je ne dors pas provoque le genre d'émotion que je recherche dans chaque festival et dans chaque film, et que je ne trouve pas toujours. Je l'attends, je la laisse venir à moi et paf ça arrive, parfois. Elle me cueille quand je m'y attends le moins.

    On sort de la salle avec un sourire sur le cœur, les larmes au bord des paupières mais que l'on retient, comme le héros, ou plutôt l'anti-héros, le NON-héros de ce beau et grand petit film qui souffre avec panache et auto-dérision.

    Ce drôle de film est un film drôle aussi, triste et beau, marrant comme tout et mélancolique, comme la vie. Et on a envie de le prendre dans ses bras et de l'emmener haut.

    Tout comme l'acteur principal, un tout jeune homme de vingt et quelques années, le charme incarné, mélange d'Antoine Doinel et d'Al Pacino. Même s'il serait dommage et ridicule de le limiter à cette évocation de ses illustres aînés car il n'y a aucun mimétisme chez lui. Il a sa personnalité propre et forte avec son air de ne pas y toucher. Sa façon d'avoir l'air de constamment s'excuser de déranger qui le rend encore plus irrésistible. C'est ce qu'on appelle une présence, immédiate, évidente. La caméra est folle de lui et nous, devant l'écran on est subjugué par ce petit bonhomme qui s'impose par un charisme ébouriffant.

    Tommy Wéber (oui, le fils de...) se défend d'avoir volontairement rendu un hommage à la nouvelle vague en général avec son magnifique noir et blanc qui rend Paris si beau la nuit, et à François Truffaut et Les 400 coups en particulier. Et pourtant son héros s'appelle Antoine et l'un des derniers plans l'emmène vers la mer ! Si l'hommage existe, il est involontaire et inconscient. Peu importe d'ailleurs. Ce qui a motivé le réalisateur c'est la relecture de L'Attrape cœurs. Il a voulu raconter l'errance d'un jeune homme une nuit dans Paris, à la manière du Holden de J.D. Sallinger. La référence n'est pas moins forte même si elle m'a paru moins évidente.

    Epaulé par Mohamed Kerriche (également acteur dans le film et compositeur des chansons du film, de magnifiques textes sur la douceur et la dureté de la vie), le scénario a été écrit en quelques semaines et le tournage s'est effectué dans la foulée, sans budget... Et le manque d'argent ne se voit pas. L'image est belle, les acteurs sont tous magnifiquement dirigés (en plus des deux cités, la magnifique Hortense Gélinet rayonnante de douceur et de bienveillance) et on sent la belle énergie, l'implication de tous et de chacun qui ont permis au projet d'aboutir.

    Et si vous ne tombez pas en amour illico, vous êtes irrécupérables !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 octobre 2015
    Avec humour et dans un noir et blanc brumeux et somptueux, on passe une nuit étoilée d'une énergie communicative et tendre. A voir !!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 octobre 2015
    Film singulier plein de poésie et de charme à aller voir d'urgence!

    Tommy Weber dans "Quand je ne dors pas" nous plonge dans les songeries d’une nuit parisienne dont le rythme de totale soumission au hasard nous rappelle le Somewhere et le Lost in translation de Sofia Coppola, ces deux évocations du vide des heures aux faux airs de Nouvelle Vague et de Mépris de Godard.

    Le noir et blanc confère à cette fresque nocturne l’esthétique de ces moments où rôdent des riens, où la nuit se mêle à l’ennui, nous laissant dans l’état de douce mélancolie que procurent les chansons de Léonard Cohen et les fados d’Amalia Rodriguès....

    Critique complète sur Les Pipelettes de belle ville :
    cylon86
    cylon86

    2 544 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 octobre 2015
    Antoine, un jeune homme de 22 ans, veut partir au bord de la mer. Seulement il n'a pas d'argent pour acheter le billet. Il se met en tête de rassembler, le temps d'une nuit, la somme nécessaire. Il ne veut, en aucun cas, rater le train de 7h45 gare Saint-Lazare. "Quand je ne dors pas" se présente sans équivoque comme une immersion intimiste au sein de la vie, mais plus spécifiquement encore, de la nuit atypique d'un jeune homme aussi persuasif qu'il n'est déboussolé. En effet, Aurélien Gabrielli, interprète d'Antoine, sait nous prendre aux tripes dès les premières minutes du film pour nous maintenir éveillés à ses côtés. L'ensemble de la construction esthétique de ce projet est d'ailleurs là pour le soutenir, s'apparentant presque en un personnage en elle même. Nous saurons de fait nous laisser surprendre par un long métrage entièrement tourné en noir et blanc, exacerbant la nuit mais aussi la personnalité complexe du protagoniste[...]

    La suite de la critique sur
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 octobre 2015
    Très bon moment. Film plein de poésie. Des dialogues savoureux qui distillent au compte-goutte un certain humour rafraîchissant. Très bien joué. A voir.
    Bulles de Culture
    Bulles de Culture

    139 abonnés 634 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 octobre 2015
    Après avoir déjà réalisé deux films en auto-production, le réalisateur Tommy Weber nous offre avec ce "Quand je ne dors pas" un film romantique et touchant.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 octobre 2015
    Un condensé d'humanité, de poésie et d'audace.
    Bref, un grand film à décidément aller voir !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 octobre 2015
    Un voyage urbain dans la nuit parisienne, une quête, un personnage romanesque et tellement touchant...
    Un film profondément beau dans les images et les musiques qui ne laisse pas le spectateur indifférent.
    A voir
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 1 octobre 2015
    Antoine, la vingtaine désœuvrée, s’est mis en tête d’aller voir la mer. Où ? Peu importe. Comme on le comprend dans une séquence d’ouverture savoureuse, le jeune homme n’est pas du genre à s’embarrasser de détails ou de conventions. S’il veut aller voir la mer, il prend le premier train qui l’y amène, et s’il rencontre une fille qui lui plaît, il la suit à n’importe quel prix.

    Bravache et maladroit, indécis mais volontaire, le personnage principal de Quand je ne dors pas, film réjouissant de Tommy Weber, apparaît ainsi comme un être perpétuellement en mouvement qu’aucune déconvenue ne semble pouvoir arrêter. Interprété par le formidable Aurélien Gabrielli, il est le principal atout charme du film, auquel il transmet son énergie et sa liberté effrontée. A l’image de ce personnage principal singulier, Quand je ne dors pas va en effet là où ses envies le portent, dans un plaisir pur de cinéma et de fantaisie.

    Le film s’offre ainsi un noir et blanc classieux qui plonge le récit dans une atmosphère atemporelle de polar ou de comédie romantique tragique. Il n’en est pourtant rien, puisque Quand je ne dors pas se nourrit de ses propres références, oniriques et musicales, qui multiplient les pastilles décalées et parfois osées comme autant de parenthèses joyeuses. On suit donc Antoine dans sa déambulation nocturne parsemée de rencontres tour à tour étonnantes, poétiques ou tout simplement cocasses qui forment en creux son portrait ténu et subtil. On pense souvent au très beau film allemand Oh boy de Jan Ole Gerster qui, en 2013, suivait également un jeune homme désœuvré dans un Berlin nocturne plein de surprises.

    Comme une réponse française, Quand je ne dors pas capte lui aussi la réalité d’une époque et d’une génération, mais sans jamais lorgner du côté du film manifeste ou didactique. Gommant presque toute contextualisation (qui est réellement Antoine ? Que fait-il de sa vie ? Quelles sont ses aspirations ?), Tommy Weber se concentre sur cette nuit, et sur le voyage qu’entreprend son héros à la recherche des autres, et forcément de lui-même. Mi-romantiques, mi-fantastiques, ses mini-aventures l’obligent finalement à se dévoiler dans une dernière scène touchante et troublante filmée en très gros plan qui fait écho au plan d’ouverture. On comprend que c’est pour lui le début d’autre chose : une nouvelle journée à emplir d’émotions, de couleurs et de fantaisie.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 1 octobre 2015
    Pour son deuxième film, Tommy Weber réussit un pari audacieux : des dialogues d’antan mais délicieux et un art maitrisé du noir et blanc. Un poèmé à mi chemin entre La Haine version solo et Taxi Driver version crise d’ado!
    Maud Antigna
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