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Votre avis sur Rendez-vous à Atlit ?
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Très bon film. Géraldine Nakache joue à la perfection. Un de mes films préféré avec cette pépite d'actrice. Un grand talent.
Un film naturel et lumineux, avec un beau trio d'actrices. C'est frais, c'est beau, c'est sensible et intelligemment mené. La poésie et la nostalgie sont au coeur de ce film attendrissant et dépaysant.
Pour moi l'expérience de Géraldine est la meilleure car c'est une sorte de Beetlejuice qui se passe en Israël moins la comédie mais peut-être avec plus d'émotion. Ça me parle car maintenant que j'ai 60 ans, mes parents sont plus âgés et je me demande ce qui va leur arriver quand la maison familiale sera la mienne. La réalisation est comme d'habitude plutôt moche avec orange/bleu ton. Mais nous avons eu une bonne impression de la campagne israélienne. Comme dans le film de sœurs, généralement les autres frères et sœurs sont plutôt transparents ou irritants mais cette fois ils sont cool, surtout le dernier. Si certaines scènes sont inutiles et ennuyeuses, c'est seulement 87 minutes. Donc Rendez-vous à Atlit est un film petit et rapide pour avoir chaud par temps froid, enfin je pense...
Situons d'abord Atlit qui se trouve à une quinzaine de kilomètres au sud de Haïfa, en Israël! Shirel Amitaï a choisi ce bled aux pieds du mont Carmel parce qu'elle ètait très attachèe à une maison qui se trouvait là bas! Voilà pour la petite anecdote autobiographique [...] "Rendez-vous à Atlit" parle de racines, de famille et du contexte qui y a en Israël! C'est pas rien de partir trois mois raconter cette histoire d'une femme (Gèraldine Nakache) qui cherche à prendre sa place car en tant que femme et rèalisatrice, Shirel Amitaï cherche aussi à la prendre sa place! Et qu'il faut aimer ce long-mètrage pour ce qu'il est : non pas un film sur Israël, mais un film qui s'ègare complètement en Israël! Le problème, c'est que la cinèaste a misè sur l'accumulation des flashbacks et d'apparitions fantastiques ridicules! Côtè actrice, c'est de la lumineuse Yaël Abecassis qu'on se souvient le plus! Judith Chemla est pas mal mais Gèraldine Nakache fiche tout par terre dans le trio des soeurs! On ne croit pas un instant à son personnage où le naturel est sur-jouè! Un manque cruel de conviction chez cette actrice fort mèdiocre! Une jolie maison (très fleurie, très carte postale) , mais rien de plus à ce « rendez-vous » manquè...
Xavi_de_Paris
Très peu convaincu par ce film assez peu original, qui parle mollement et de manière peu crédible des désaccords familiaux sur la revente d'une maison de famille en Israël. On a droit aux mêmes scènes de fusion et de disputes entre sœurs, revirements et atermoiements qui finissent par lasser à la fin. Actrices peu convaincantes et scénario peu passionnant, cela ne pouvait que donner un film moyen. L'ennui est sauvé par quelques scènes télévisées, posant en toile de fond le conflit israélo-palestinien.
Un film poétique , il faut le voir comme cela avec 3 soeurs qui se retrouvent dans la maison familiale, pour la vendre. Les 3 sœurs aux tempéraments si différents se chamaillent le temps des vacances à savoir si cette maison doit être vendue ou non.
La maison a tellement de charme que c'est un personnage à part entière du film où l'on a envie de se reposer, de vivre et d'espérer des jours meilleurs.
Le film aborde également un aspect politique dont l'action est située en 1995 avec la mort de Yitzhak Rabin et l'espoir de paix qu'il avait fait naître.
J'ai beaucoup été charmée par la prestation de judith chelma très au dessus des autres actrices.
La maison a tellement de charme que c'est un personnage à part entière du film où l'on a envie de se reposer, de vivre et d'espérer des jours meilleurs.
Le film aborde également un aspect politique dont l'action est située en 1995 avec la mort de Yitzhak Rabin et l'espoir de paix qu'il avait fait naître.
J'ai beaucoup été charmée par la prestation de judith chelma très au dessus des autres actrices.
Je crois que tout m'a gavé dans ce film, à part les trois actrices et Géraldine Nakache en particulier. Un contexte politique fondamental utilisé comme alibi mais qui n'apporte rien ; un non-travail sur le rythme (on s'assoupit souvent) ; un non-choix sur le style de film (à force d'hésiter entre la comédie et le drame on arrive à un produit mal fini) ; un onirisme/fantastique pour illustrer les rapports parents/enfants d'une lourdeur inimaginable ; des dialogues assez bons mais utilisés de façon trop éparse, au détriment du rythme encore une fois. Les sempiternels règlements de comptes familiaux... Même la photo en extérieur est foirée et terne, alors que le film est tourné dans un pays méditerranéen, faut le faire ! Bref, un ratage.
Cinéphiles 44
Essentiellement porté par Géraldine Nakache, cet essai dramatique teinté de comédie ne sait sur quel pied danser. L’actrice au talent certain essai de rendre au mieux l’histoire crédible, mais la présence des fantômes n’est pas évidente à poser. Lorsque les trois sœurs se retrouvent à Atlit en Israël pour vendre la maison de leurs défunts parents, elle y ressassent leurs souvenirs à travers l’omniprésence de ces derniers assis sur une chaise, bougeant la porte de la grange, ou tentant de faire fonctionner une télévision en criant partout. On comprend alors que la vente n’est que prétexte pour intégrer ces morts trop réels à l’histoire. On ne sait plus trop où se placer, Rendez-vous à Atlit devient alors trop brouillon. Les comédiennes sont bonnes mais Shirel Amitaï s’éparpille en conséquence.
D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
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ce trio de soeurs revenant dans la maison de leur enfance, maison de leurs parents qu'ils essaient de vendre n'est pas très attachant malgré la "présence spirtituelle" des parents décédés qui apparaissent à tout va se mélant de la vie quotidenne à tel point qu'ils on l'air plus réels que ces trois soeurs un peu éthérées; ça sera banal si cela ne se passait pas dans un lieu chargé de sens comme l'est Israël ; plutôt que de sombrer dans la mélancolie sombre, l'auteur a chosi le billet de la comédie, avec un retournement final innatendu et pas très crédible au fond
Ce n'est pas vraiment le genre de film que je regarde habituellement mais à ma grande surprise, j'ai été entrainée dans l'histoire. Certains diront qu'il n'y a pas de scénario et tout ça.
Moi, en tant que Madame Tout Le Monde, j'ai aimé ce film. C'était touchant, frais, ça sentait bon l'été. Au bord des larmes à certains moments, prise d'un fou rire à d'autres, l'émotion était au rendez-vous et c'est ce que j'attends d'un bon film.
Moi, en tant que Madame Tout Le Monde, j'ai aimé ce film. C'était touchant, frais, ça sentait bon l'été. Au bord des larmes à certains moments, prise d'un fou rire à d'autres, l'émotion était au rendez-vous et c'est ce que j'attends d'un bon film.
elriad
si l'alchimie entre les trois sœurs existe, il manque néanmoins un petit quelque chose au long-métrage pour le rendre intéressant, et le spectateur assiste finalement à ces retrouvailles au scénario un peu paresseux et sans surprise avec ennui. la dramaturgie se devine dés la début du film, et l'effet voulu onirique avec l’apparition des parents est finalement pesante. Un film assez décevant malgré le sujet majeur sur la mort Rabin et l'échec du processus de paix...
FaRem
Je ne sais pas si cette histoire est un peu autobiographique, mais ça ne serait pas vraiment étonnant, car ça manque quand même d'enjeu et surtout d'un scénario un peu plus consistant. C'est une chronique familiale assez ennuyeuse qui tourne rapidement en rond et qui s’éparpille dans des idées politiques qui n'apportent rien à l'histoire puis le coup des fantômes pouvait être intéressant seulement ce n'est pas le cas. Il reste juste un très beau cadre lumineux et des actrices plutôt convaincantes, mais ce n'est pas suffisant pour nous éviter de sombrer dans un profond ennui.
Trois sœurs viennent vider la maison de leurs parents qui conserve le souvenir de vacances ensoleillées en Israël. Que conserver ? Vont-elles vendre ? Nous revenons en 1995 : un autre siècle avant l’assassinat d’ Yitzhak Rabin et l’anéantissement d’un processus de paix. La chronique des retrouvailles des trois femmes incarnées par de belles actrices en état de grâce est drôle, sensible, mêlant avec délicatesse une pointe de fantastique à la grande histoire, qui nous accable en regard d’une actualité d’où l’espoir d’alors s’est enfui.
En ce temps là les paroles d’évidence rassemblaient les foules :
« Pour mon propre pays, j’ai aussi besoin que l’autre ait sa juste place »
En ce temps là les paroles d’évidence rassemblaient les foules :
« Pour mon propre pays, j’ai aussi besoin que l’autre ait sa juste place »
Comment de bonnes actrices peuvent-elles se fourvoyer dans un film au scénario indigent ascendant puéril avec des fantômes trop "vivants" qui encombrent l'histoire plus qu'ils ne l'enchantent. Franchement c'est raté sauf si l'on cherche un fauteuil au frais en été pour sommeiller...
il y a de ces petits films que l'on va voir sans trop savoir ce que l'on va trouver bien que j'adore Géraldie. et là, ce fut un petit moment de bonheur que l'on prend au vol sans chercher à comprendre tellement ça fait du bien.
c'est frais, émouvant, touchant. simple. un peu farfelu par moment. les lieux sont empreint d'une douceur qui rempli les coeurs et on se plonge dans notre propre enfance car on a tous quelque part une maison de famille dont on garde des souvenirs impérissables.
ce film, c'est la vie.
c'est frais, émouvant, touchant. simple. un peu farfelu par moment. les lieux sont empreint d'une douceur qui rempli les coeurs et on se plonge dans notre propre enfance car on a tous quelque part une maison de famille dont on garde des souvenirs impérissables.
ce film, c'est la vie.
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