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    Ciel d'octobre
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    4,0
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    47 critiques spectateurs

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    chrischambers86
    chrischambers86

    13 699 abonnés 12 420 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 avril 2011
    Grand spècialiste des trucages et des effets spèciaux, Joe Johnston s'inspire avec "October Sky" d'une histoire vraie pour rèaliser une success story, emblèmatique du rêve amèricain! Jake Gyllenhaal est un adolescent très convaincant qui dècide de participer à la conquête de l'espace! Une fusèe par-ci, une fusèe par là, dans une petite ville minière où les habitants scrutent le ciel pour voir passer le Spoutnik mis sur orbite par les Russes! De cette belle histoire tirèe du roman autobiographique de Homer Hickam, èmerge un grand Chris Cooper qui incarne avec brio un père dur et courageux et d'une èmouvante Laura Dern en institutrice! Tout y est beau, sincère, dans cet excellent film servi par des acteurs très justes qui insuffle beaucoup d'espoir aux spectateurs! De plus la reconstitution des annèes 50 est fort bien rèussie...
    caro18
    caro18

    172 abonnés 2 213 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 août 2010
    Le jeune Jake Gyllenhaal se bat pour vivre ses rêves de la même façon que "Billy Elliott" ou "Un parcours de légende".
    Clémentine K.
    Clémentine K.

    191 abonnés 1 429 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 avril 2010
    Très bon film. Très belle histoire. Très bons acteurs.
    Empereur Palpoutine
    Empereur Palpoutine

    95 abonnés 194 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 avril 2014
    Excellente surprise, ce petit film sortit de nul part !
    Biopic sur l'un des premiers ingénieurs de la nasa, il raconte l'histoire d'un jeune, qui avec sa bande de copain tente de construire des fusées. Sur fond de guerre froide avec l'URSS, il va braver l'autorité du paternel, patron de la grande mine qui fait vivre toute la ville.
    Le tout jeune Jake Gyllenhaal fait des merveilles dans son rôle, Chris Cooper et Laura Dern sont aussi bon que lui.
    Une bonne comédie sur un fond de musique des Beatles ou d'Elvis qui se regarde sans fin !
    [C-Veddona]
    [C-Veddona]

    10 abonnés 73 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 janvier 2019
    Très très beau film. Passionnant du début à la fin. Une réalisation authentique accompagnée de prestation de la part des acteurs superbe est sans-faute.
    Hotinhere
    Hotinhere

    548 abonnés 4 956 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 février 2021
    Le conflit entre un mineur et son fils qui, obnubilé par la conquête spatiale, fabrique des fusées artisanales.
    Un récit d'apprentissage très hollywoodien et donc assez convenu et plein de bon sentiments.
    reymi586
    reymi586

    467 abonnés 2 444 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 février 2011
    Un film assez méconnue qui mérite qu'on s'y intéresse! Le sujet est tout à fait original et les acteurs sont très bons!
    fabrice d.
    fabrice d.

    26 abonnés 1 507 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 janvier 2019
    Ce film n'a d'intérêt à mon avis que parce que J. Gyllenhaal y joue et c'est surement un de ses premiers "grands" rôles et parce que cette histoire est inspirée de faits réels. Autrement le film en lui-même est plutôt simpliste, voire ennuyeux et un peu "cucul la praline", notamment vers la fin. Bref c'est une assez belle histoire mais racontée d'assez piètre façon.
    Gabriel B
    Gabriel B

    5 abonnés 359 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 septembre 2012
    Comment un film aussi incroyable peut-il être à ce point méconnu. L'histoire est belle et touchante, les acteurs sont extraordinaires... Un petit bijou du cinéma...
    TotoJp59
    TotoJp59

    48 abonnés 459 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 mars 2013
    Ciel d'Octobre est un OVNI dans la (courte) filmographie de Joe Johnston puisque c'est son seul film qui ne s'inscrit pas dans le fantastique, la science-fiction ou l'aventure. Bien qu'il y est quelques courts moments mollassons, le film est captivant grâce à l'humour, les astuces scénaristiques et l'aspect dramatique poussé avec des personnages travaillés. Cette histoire vraie n'est donc jamais ennuyeuse et est touchante et sincère. J'ai bien aimé la dernière image et les hommages à la fin. Du très bon Joe et peut-être son plus "beau" film !
    Caine78
    Caine78

    6 693 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 octobre 2010
    Certes, cette histoire vraie pourra toujours irriter dans son côté parfois un peu facile et ses bons sentiments presque à toute épreuve. Pourtant, on ne peut en définitive qu'être touché par la sincérité du propos et la mise en scène de Joe Johnston, certes très classique, mais qui laisse la part belle à ses personnages et à un contexte social décrit de manière simple et claire, lui permettant ainsi d'être abordable pour tous. Le film sait également de manière assez habile raconter la petite histoire dans la grande, le film se déroulant au moment du Spoutnik envoyé dans l'espace. Terminons finalement avec une interprétation sensible et plaisante, à l'image de la mise en scène et du film : le déja très convaincant Jake Gyllenhaal, une Laura Dern émouvante et un Chris Cooper égal à lui-même. Voila donc un film certes un peu facile et qui cherche peut-être parfois à user le sentimentalisme un peu trop loin, mais qui n'en demeure pas moins riche en émotions et des plus agréables à voir : la mission est donc accomplie, et de jolie manière qui plus est. Une réussite.
    LB_66
    LB_66

    6 abonnés 161 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 avril 2007
    Ce film est débile et nian nian.
    Un scénario des plus communs, des moments clichés...
    Regardez plutôt Le sercret de Brokeback mountain pour Jake Gyllenhaal et Blue Velvet pour Laura Dern.
    Sans intérêt!
    fral25
    fral25

    9 abonnés 222 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 septembre 2013
    Mais d'où il sort ce film ???

    Il est tout simplement excellent !!!

    Je n'en avais jamais entendu parler,
    je viens de le voir par hasard sur Canal-Sat : un des meilleurs film que j'ai vu depuis bien longtemps...
    Et ça fait du bien !!!

    Dans le style de la narration, il me rappelle les "Stand by me", voire "Les évadés"...
    Bien sûr, ça ne traite pas du tout du même sujet, mais il y a cette même façon captivante de raconter
    les histoires où, qu'on le veuille ou non, Hollywood excelle... A voir !!!
    DAVID MOREAU
    DAVID MOREAU

    130 abonnés 2 230 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 février 2019
    A LA POURSUITE D'OCTOBRE ROUGE. Au charbon fils....un film mineur alors que l'enfant rêve de décollage. Alunissage, les communistes ont encore fait des leurs. Ca sent le roussi sous terre, il faut vite se mettre en orbite. Echec, annulons le compte à rebours. Le simplisme de l'histoire de ce gosse, donne à cette mission un gout de rétrécie, pas vrai chérie?
    Stephenballade
    Stephenballade

    395 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 janvier 2019
    Savez-vous qui est Homer Hickam ? Non ? Moi non plus. Enfin disons plutôt que moi non plus je ne SAVAIS pas. Alors si vous voulez en connaître davantage sur ce nom, eh bien il ne vous reste plus qu’à faire comme moi et vous pencher sur le cas de "Ciel d’octobre". Quoique je vous dirai que ce n’est pas pour le personnage principal que j’ai regardé ce film. Non, c’est plutôt à cause de son titre accrocheur qui rappelle tout de suite la saison aux belles couleurs. Et en voyant le nom Joe Johnston associé au poste de réalisateur, eh bien je n’ai guère hésité. C’est vrai quoi, il avait signé deux succès populaires avec "Chérie, j’ai rétréci les gosses" et "Jumanji". Mais c’est aussi l’occasion de voir Jake Gyllenhaal encore au début de sa carrière, tout jeune qu’il était du haut de ses 18 ans à peine. Sans compter qu’à ses côtés on voit le nom de Chris Cooper et de Laura Dern, ce qui n’est quand même pas rien. Mais vous verrez aussi Chris Owen, le jeune rouquin qui se la pétait grave dans "American pie", sorti en salles tout juste un mois et demi plus tôt. Mais revenons-en à ce Homer Hickam, puisque que c’est de lui qu’il s’agit. Illustre inconnu pour la plupart d’entre nous, il est pourtant une vraie petite célébrité dans son domaine malgré son travail d’ombre. Etonnant parallèle, "Ciel d’octobre" est resté également dans l’ombre et pourtant il est intéressant à plus d’un titre. Principalement parce que ce long métrage montre un exemple typique de rêve américain réussi. Ces rêves américains sont d’autant plus admirables quand ils mettent en scène une ou plusieurs personnes qui sont parties de rien et qui ont ramé contre vents et marées pour y arriver. Direction est prise sur Coalwood, une petite ville minière de Virginie noircie par les volutes de poussière de charbon, cette énergie fossile à combustion lente qui tue à petit feu quand elle ne tue pas net. Vous savez, c’est le genre de ville dont la survie est étroitement liée avec l’activité de la mine, le genre de ville où on est mineur de père en fils, le genre de ville où ses entrailles ressemblent à un monde de taupes par les nombreuses galeries et le fourmillement des gueules noires, le genre de ville où tu n’es plus rien sans la mine. Alors il est évident qu’il y en a toujours au moins un qui aspire à autre chose que d’aller respirer les airs viciés du charbon entre deux éboulements ou coups de grisou. C’est le cas de ce fameux Homer Hickman, lequel emmène dans son sillage Quentin Roy (William Lee Scott), O’Dell (Chad Lindberg) et Quentin (Chris Owen). C’est en voyant le petit point lumineux de Spoutnik (le tout premier satellite lancé) parcourir le ciel étoilé qu’Homer eut la révélation. SA révélation. Il peut remercier la météo de ne pas avoir encombré le ciel ce soir-là, au même titre que le reste de la population, que j’imagine pas seulement américaine, attroupée dehors pour voir l’événement de l’année voire même du siècle (en tout cas à ce moment-là), attroupée pour guetter de longues minutes durant et observer une maigre poignée de secondes une tête d’épingle à la trajectoire rectiligne. Mais il peut remercier aussi d’être né à la bonne époque, simplement parce qu’aujourd’hui son rêve n’aurait pas eu son statut de rêve, à moins d’être foncièrement différent, et aussi parce que la pollution lumineuse actuelle ne lui aurait peut-être pas permis d’observer ce minuscule tronçon de parcours orbital. Eh oui notre monde a bien changé, jusque dans les façons de penser (le fils a le devoir de reprendre le flambeau de ce qui a été construit sur une vie entière ou sur plusieurs générations), et jusque dans les mœurs. Regardez donc ce respect dans les premiers amours, un respect surtout dû à une timidité un peu gauche. Oui, beaucoup de choses ont changé, et pas toujours en bien. Le fait est que les rêves ne prennent tout leur sens qu’à la condition où ils sont réalisés, ou tout du moins quand tout a été fait pour le concrétiser. Il va sans dire que, comme souvent dans ce cas-là, échecs, risées, coups du sort, brimades et désapprouvement familial font partie intégrante de ces rêves fous, fous parce qu’inaccessibles aux yeux de presque tous, au point de rendre ce rêve effectivement inaccessible et de le laisser dans le domaine de l’irréalisable. Et cela en dépit d’une éphémère notoriété suscitée par les journaux toujours avides de sensationnalisme, qu’ils soient locaux ou nationaux. Tout cela est fort bien rendu dans la réalisation de Joe Johnston pour le coup très sobre et réaliste comme s’il voulait rendre hommage au mode de vie de cette ville. Mais ce serait oublier la prestation des acteurs, à commencer par Chris Cooper, formidable de justesse dans la peau d’un père rigide à la fois attaché et partagé entre les valeurs/obligations familiales et l’amour d’un fils. Grâce à la confrontation directe (mais aussi indirecte) entre lui et Jake Gyllenhaal, un face à face latent s’installe. Il est insidieux, toujours présent, mais au moins, il a le mérite de provoquer une scène où on assistera à une remise en place émouvante des choses. Félicitons aussi Natalie Canerday en maman Hickam qui ose braver l’autorité paternelle, comportement encore impensable à l’époque. N’oublions pas que l’histoire débute en octobre 1957 ! Et puis il y a Laura Dern, que j’ai connue plus convaincante, même si c’est par elle que le film trouve son second souffle à travers un discours aux propos d’une importance capitale spoiler: , un discours qui fera voir plus clair l’amour pour les airs après un bref passage sous terre
    . Cependant on ne peut échapper à quelques clichés, somme toute véridiques : la curiosité parfois malsaine de toute une population, mais aussi la solidarité. Cela permet de dresser un contexte social dans lequel rien n’était simple, et de dresser un portrait bienveillant de quelques personnages secondaires. Et ça marche, car certains d’entre eux vont attirer la sympathie du public, comme Bykovsky (Elya Baskin). Après il est certain que le film de Joe Johnston aurait pu marquer davantage les mémoires si plus de puissance avait été apportée à la confrontation entre ce jeune homme et son père, mais après tout ça s’est peut-être passé ainsi puisqu’il s’agit de l’histoire vraie d’Homer Hickam (on aura même des images d’archives durant le générique de fin), le premier volume des trois livres autobiographiques ayant servi de base. Mais est-ce que ça respecte vraiment tout à la lettre ? J’aurai tendance à répondre que oui car de ce film ressort le gentillet, l’honnête, et la véracité du propos. Reconnaissons tout de même à coup sûr la bonne reconstitution de l’époque, que ce soit au niveau des costumes, des véhicules et décors.
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