Qu'il est étrange de s'appeler Federico : Critique presse
Qu'il est étrange de s'appeler Federico
Note moyenne
3,1
9 titres de presse
Charlie Hebdo
Le Parisien
Positif
Télérama
Le Monde
Première
La Croix
Les Fiches du Cinéma
Critikat.com
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
Avec ses ruptures de ton, ses digressions constantes, ses sauts dans le temps où l'on passe sans prévenir de la rédaction du Marc'Aurelio à la vision de la mère de Mastroianni reprochant à Scola d'enlaidir son fils, le film de Scola constitue l'une des meilleures surprises de ce début d'été.
Le Parisien
par Alain Grasset
(...) la force de la nostalgie et la joie de vivre et d’aimer l’emportent.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Lorenzo Codelli
Un des plus sublimes "essais filmés", un haut-de-forme d'où le magicien Scola tire sans arrêt des feux d'artifice, mêlant librement fiction, croquis, photos, documents d'archives.
Télérama
par Pierre Murat
Cet hommage tendre et paisible se clôt sur une idée splendide (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Franck Nouchi
Vingt ans [après la mort de Federico Fellini], Ettore Scola nous rappelle à quel point cet explorateur du processus créatif fut un maître de l'illusion.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Christophe Narbonne
Le projet est passionnant lorsqu’il évoque les prémices de l’âge d’or du cinéma italien (...). Il est plus ennuyeux et redondant quand il fait intervenir de fausses créatures felliniennes, moins baroques que les originales.
La critique complète est disponible sur le site Première
La Croix
par Arnaud Schwartz
En dépit de ce louable dessein, "Qu’il est étrange de s’appeler Federico" déçoit. D’abord parce qu’Ettore Scola donne l’impression de vouloir tirer la couverture à lui. Ensuite parce que ses choix formels aboutissent à une « popote » un peu informe.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Forcément sympathique par son propos, le film - sans grand entrain et maladroit dans sa volonté de faire fusionner les styles de Scola et de Fellini - n'enthousiasme pas.
Critikat.com
par Julien Marsa
"Qu’il est étrange de s’appeler Federico" ressemble plus au récit des souvenirs d’un grand-père un peu gâteux qu’à une véritable proposition de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Charlie Hebdo
Avec ses ruptures de ton, ses digressions constantes, ses sauts dans le temps où l'on passe sans prévenir de la rédaction du Marc'Aurelio à la vision de la mère de Mastroianni reprochant à Scola d'enlaidir son fils, le film de Scola constitue l'une des meilleures surprises de ce début d'été.
Le Parisien
(...) la force de la nostalgie et la joie de vivre et d’aimer l’emportent.
Positif
Un des plus sublimes "essais filmés", un haut-de-forme d'où le magicien Scola tire sans arrêt des feux d'artifice, mêlant librement fiction, croquis, photos, documents d'archives.
Télérama
Cet hommage tendre et paisible se clôt sur une idée splendide (...).
Le Monde
Vingt ans [après la mort de Federico Fellini], Ettore Scola nous rappelle à quel point cet explorateur du processus créatif fut un maître de l'illusion.
Première
Le projet est passionnant lorsqu’il évoque les prémices de l’âge d’or du cinéma italien (...). Il est plus ennuyeux et redondant quand il fait intervenir de fausses créatures felliniennes, moins baroques que les originales.
La Croix
En dépit de ce louable dessein, "Qu’il est étrange de s’appeler Federico" déçoit. D’abord parce qu’Ettore Scola donne l’impression de vouloir tirer la couverture à lui. Ensuite parce que ses choix formels aboutissent à une « popote » un peu informe.
Les Fiches du Cinéma
Forcément sympathique par son propos, le film - sans grand entrain et maladroit dans sa volonté de faire fusionner les styles de Scola et de Fellini - n'enthousiasme pas.
Critikat.com
"Qu’il est étrange de s’appeler Federico" ressemble plus au récit des souvenirs d’un grand-père un peu gâteux qu’à une véritable proposition de cinéma.