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Publiée le 7 décembre 2014 ( par Michel Crotti )
Pas fan des chevaliers..d'habitude ça passe, mais là c'est un peu trop.... et franchement ? ..pas grand chose... Quelques scènes drôles bien sur mais accent de Noelle Perna (Mado) ici Bernadette...ras le bol... l'accent de la marchande de poisson pas frais... ça va. Donc pour le reste pas grand chose... La salle comme moi s'est ennuyée.... Passez votre chemin !!**
Pas fan des chevaliers..d'habitude ça passe, mais là c'est un peu trop.... et franchement ? ..pas grand chose... Quelques scènes drôles bien sur mais accent de Noelle Perna (Mado) ici Bernadette...ras le bol... l'accent de la marchande de poisson pas frais... ça va. Donc pour le reste pas grand chose... La salle comme moi s'est ennuyée.... Passez votre chemin !!**
Je n’avais vu qu’une seule fois les Chevaliers du Fiel mais je n’arrive pas à me souvenir où.... ça prouve que ça ne devait pas être inoubliable... Ici c’est pareil, ce film ne passera pas à la postérité. Mais je suis quand même troublée : qui a pu vouloir financer une telle daube... C’est vulgaire, moche, insignifiant, navrant et inutile... Les dialogues sont comme les acteurs : lourds. Le seul petit sourire que j’ai esquissé vient du gag du four à 8 100 euros, mais hélas le soufflé retombe bien vite... Pour une comédie, n’est pas Gérard Oury ou Francis Weber qui veut.... Une catastrophe et j’espère une exception dans le cinéma français. Moins que une demie étoile.
ferdinand75
Un film qui m'a plutôt agréablement surpris moi, pour qui les Chevaliers du ciel ne sont pas trop ma tasse de thé. De bonnes répliques, un certain sarcasme , que l'on en retrouve pas dans les sketchs, ici plus satiriques , voir politiquement incorrect . Un humour parfois grinçant et plus décalé : i.e. comparaison entre Jean Ferrat et Léo Férré , qu'il ne faut surtout pas mélanger; ( on comprend pour qui leur cœur balance) les acteurs sont plutôt bons , tout en dedans ,Se laisse voir..
C'est une comédie dramatique dans le drame et qu'elle ne fait pas rire.
Les sketchs s'enchaînent sans aucun lien les dialogues sont insipides le film est très lent.
Un humour populaire voire vulgaire.
Le spectateur attend toujours que le film démarre malheureusement c'est une cruelle déception jusqu'à la fin un peu comme ce four high tech qui tombe en panne pendant plusieurs heures pendant que l'on attend le gigot.
L'adaptation des sketch des Chevaliers du Fiel au cinéma est catastrophique.
Les sketchs s'enchaînent sans aucun lien les dialogues sont insipides le film est très lent.
Un humour populaire voire vulgaire.
Le spectateur attend toujours que le film démarre malheureusement c'est une cruelle déception jusqu'à la fin un peu comme ce four high tech qui tombe en panne pendant plusieurs heures pendant que l'on attend le gigot.
L'adaptation des sketch des Chevaliers du Fiel au cinéma est catastrophique.
Vraiment nul l histoire et longue mal construite on s ennuie vraiment les acteurs devraient reste au théâtre
"Repas de famille" , une petite comédie réalisée en 2014 par Pierre-Henry Salfati, (qui avait réalisé, en 1989, le film "Tolérance"). Nous retrouvons le duo des "chevaliers du fiel" avec Eric Carrière et Francis Ginibre.
Une petite comédie sociale et familiale assez poussive qui se regarde d'un œil distrait et qui peine à convaincre le spectateur.
Une petite comédie sociale et familiale assez poussive qui se regarde d'un œil distrait et qui peine à convaincre le spectateur.
Ce repas de famille s'effondre sous le poids de ses clichés. Le professeur de gauche et le beau-frère aisé, un homme d'extrême droite qui va à l'église tous les dimanches mais ne se soucie pas de son voisin, les épouses, l'intellectuel boudeur névrotique, la femme au foyer dont le mari s'amuse toujours, le vicaire aidant la fille avec son latin faussement accusé d'avoir tenté de la séduire, et les deux flics qui s’inspirent des chefs-d'œuvre de la série des Gendarmes de De Funès. Ce film sans espoir présente des comiques de stand-up Les Chevaliers Du Fiel, mais seule Noëlle Perna en tant que femme au foyer désespérée joue bien son rôle. Tout ce qui concerne à la fois les hommes les autres femmes est sans valeur. C'est comme si vers la fin les écrivains avaient l'impression que leur histoire était lourde et essayaient désespérément d'y mettre un peu d'humour noir mais c'est trop peu trop tard et de mauvais goût en plus...
l'humour dans ce film est invislble , le scénario avait l'air interessant , mais alors là .... une fois le film commencé je n'avais qu'une hate , que cela se termine .... c'est lourd , c'est incohérent , pauvre cinéma français .
Les Chevaliers du Fiel et le cinéma, une histoire de désamour. Autant ils sont brillants pour écrire et surtout faire vivre un texte sur une scène de spectacle, autant la même chose devant la caméra est bien plus difficile. L'histoire est faible, l'intrigue ridicule et les personnages insipides. Tout est invraisemblable dans l'histoire du début jusqu'à la fin. Ce long métrage est une grosse déception.
Je dois être totalement imperméable à l'humour des chevaliers du fiel. Passé complètement à côté de ce film dont le pitch promettait de belles situations comiques, j'en suis arrivé à me demander si j'aurais envie d'écrire une critique. Les gags s'enchaînent sans intérêt (mais qu'est-ce que ce four connecté et buggé vient faire dans cette histoire ?!). Les acteurs semblent être en vacance. Le scénario manque d'intérêt. Les paysages s'en tirent bien. A éviter.
Peu de choses à sauver dans ce film à part la jeune Ludivine Manca, qui, dans le rôle sans surprise de l'ado un peu rebelle, parvient à tirer son épingle du jeu : elle joue juste, n'en fait pas des tonnes, ce qui n'était pas évident dans un contexte de comédie où la finesse est restée au placard. Malheureusement pour elle, 5 ans après ce tournage, sa carrière n'a toujours pas décollé.
Audrey L
Le personnage le plus drôle du film...c'est le four. On pourrait même dire que le film a fait un four (restons dans le niveau maternelle des blagues du film). Si vous aimez un tant soit peu le sketch des Chevaliers du Fiel, vous aurez le bon goût de fuir cette catastrophe sans scénario, très mal jouée, et dont la plupart des rebondissements sortent de nulle part avec leurs gros sabots juste pour rajouter quelques gags (plats, ou du grand n'importe quoi, à vous de choisir) : les gens du voyage, le curé, le carrossier, les chansons à la guitare... On en peut vite plus de ces rajouts intempestifs qui montrent les limites du scénario toutes les deux minutes, et seuls quelques dialogues sont drôles, mais la plupart sont à se frapper le front des énormités entendues (le chien Jean-Luc, le pétard qui circule à table...). Au final, on se souvient vaguement d'avoir rigolé légèrement face au four high-tech (on reconnait quelques-uns de nos appareils électroménagers) et d'une suite indigeste en tout point. Ce film fait l'effet de marcher en chaussettes dans une flaque d'eau froide : horripilant.
Les comiques ayant tenté après la scène leur chance au cinéma sont légion. Les comiques essuyant un échec cuisant au cinéma sont également légion. J'ai donc accueilli avec des pincettes le premier film des Chevaliers du Fiel et j'ai bien fait. Leur spectacle, Repas de famille, en 2001 était peut-être drôle et j'admets qu'ils me font rire dans certains sketchs de cinq minutes chez Drucker. Mais un film d'une heure et demi, ce n'est pas la même chose et ils se prennent les pieds dans le tapis et chutent les quatre fers en l'air. Si leur complicité n'est pas à remettre en compte, qui dit repas de famille dit logiquement règlement de compte dans l'air. De l'action, des engueulades, des bons mots, de la méchanceté. Parce que tout le monde connaît les repas de famille le dimanche midi ou pendant les fêtes de fin d'année. Ça nous parle et on sait que les dérapages sont susceptibles d'arriver au fur et à mesure. Ce repas de famille ressemble au gigot pas cuit du film censé être le gag récurrent pour faire rire. Absolument aucune vanne ne fait mouche. Aucun jeu de mot. Aucun rythme. L’encéphalogramme reste désespérément plat du début à la fin. On se contrefiche totalement des histoires de fesse de ce garagiste candidat aux prochaines élections municipales. On se contrefiche des déboires conjugaux de ce prof de géographie soumis à sa femme. On se contrefiche de la période rebelle de cette adolescente obnubilée par sa grand-mère qu'il faut aller chercher à la maison de retraite. Pourquoi faire en plus ? Il n'y a rien à manger. Et pas énormément de sujets de conversation non plus. Tout tourne autour de la Droite et de la Gauche. Comme si chaque action, chaque geste, chaque parole avaient une signification politique qu'il fallait systématiquement souligner à haute voix. Le patron est forcément de droite d'autant qu'il exploite ses salariés et qu'il ne les paie pas le dimanche. Le prof est forcément de gauche. D'une part, parce qu'il est prof et d'autre part parce qu'il fredonne sans arrêt du Léo Ferré et du Jean Ferrat. Ça devient très vite lourd et tu ne pas faire tout un film entier sur ce concept.
Un humour potache, de bas etage dans ce film ne nous laissera qu'une impression amer d'avoir perdu du temps. L'histoire n'est pas plaisante, et le scenario est faible !
Ti Nou
Les caricatures proposées par les chevaliers du fiel sont souvent extrêmement pénibles. Étalées sur une heure et demi, ça devient un calvaire. Aucune des blagues proposées, pour la plupart déjà entendues mille fois, ne dépasse le niveau de celles d’un pote bourré en fin de soirée. Quant aux notions de récit, d’enjeux, de mise en scène... les deux humoristes n’ont jamais du en entendre parler. De l’anti-cinéma.
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