Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
À l’occasion de la mort d’une juive, qui s’était convertie à l’islam et avait épousé un Arabe, une jeune journaliste se rend dans une enclave un peu à l’écart de Tel-Aviv. Les rencontres qu’elle y fait, filmées de façon virtuose en un seul plan séquence, ouvrent la voie d’une vie en commun possible.
Le Monde
par Franck Nouchi
S'il s'agissait de médecine, on parlerait d'antidote.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Danel
En un unique plan-séquence, Amos Gitai saisit une humanité contrastée, pétrie de contradictions mais concrétisant son désir de paix.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Politiquement, émotionnellement, l’histoire de cette femme est évidemment bouleversante. Gitaï ajoute une nouvelle pierre à l’édifice cinématographique cohérent qu’il construit de film en film – en bon architecte et fils d’architecte qu’il est – où la possibilité d’une paix ou d’une vie pacifiée entre les Juifs et les Arabes demeure le grand leitmotiv.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Alexandra Schwartzbrod
Une jolie histoire arabo-juive en un plan-séquence.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Ce nouveau long métrage d’Amos Gitaï est construit en un seul plan séquence de 81 minutes : une performance technique. Mais avant tout, un regard de paix sur un monde qui se détruit dans la guerre.
TéléCinéObs
par Marie-Elisabeth Rouchy
Tourné en plan-séquence, "Ana-Arabia", performance formelle et plaidoyer pour la paix au Proche-Orient, exercice de style et poème, est un film rare.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Pierre Murat
Le réalisateur n'idéalise pas le passé : il en montre, au contraire, les peines et les douleurs. Mais il rend un hommage vibrant aux femmes qui, au nom de sentiments qui leur servaient d'idéal, et au-delà des rebuffades et des haines, croyaient à une entente possible.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Benoît Smith
Si "Ana Arabia" ne constitue pas une nouvelle et renversante proposition sur son sujet, il témoigne d’une ténacité difficile à dénigrer.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Critikat.com
par Benoît Smith
Si "Ana Arabia" ne constitue pas une nouvelle et renversante proposition sur son sujet, il témoigne d’une ténacité difficile à dénigrer.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Une rêverie infiniment triste et troublante.
Positif
par Vincent Thabourey
La performance est notoire et offre au film une élégance de mise en scène propre à mettre en exergue de jolis moments de poésie. Dommage que l'interprétation de Yuval Scharf, qui surjoue la journaliste candide et cabotine, gâte un peu l'exercice de style.
Première
par Isabelle Danel
L'intention cinématographique est saisissante, comme pour dire que tout est possible avec la volonté, la force du collectif.
La Croix
par Arnaud Schwartz
L’intention est louable, la forme audacieuse et exigeante pour l’équipe du film (…) mais Amos Gitaï échoue à donner véritablement corps à cette entreprise filmique.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
À l’occasion de la mort d’une juive, qui s’était convertie à l’islam et avait épousé un Arabe, une jeune journaliste se rend dans une enclave un peu à l’écart de Tel-Aviv. Les rencontres qu’elle y fait, filmées de façon virtuose en un seul plan séquence, ouvrent la voie d’une vie en commun possible.
Le Monde
S'il s'agissait de médecine, on parlerait d'antidote.
Les Fiches du Cinéma
En un unique plan-séquence, Amos Gitai saisit une humanité contrastée, pétrie de contradictions mais concrétisant son désir de paix.
Les Inrockuptibles
Politiquement, émotionnellement, l’histoire de cette femme est évidemment bouleversante. Gitaï ajoute une nouvelle pierre à l’édifice cinématographique cohérent qu’il construit de film en film – en bon architecte et fils d’architecte qu’il est – où la possibilité d’une paix ou d’une vie pacifiée entre les Juifs et les Arabes demeure le grand leitmotiv.
Libération
Une jolie histoire arabo-juive en un plan-séquence.
Ouest France
Ce nouveau long métrage d’Amos Gitaï est construit en un seul plan séquence de 81 minutes : une performance technique. Mais avant tout, un regard de paix sur un monde qui se détruit dans la guerre.
TéléCinéObs
Tourné en plan-séquence, "Ana-Arabia", performance formelle et plaidoyer pour la paix au Proche-Orient, exercice de style et poème, est un film rare.
Télérama
Le réalisateur n'idéalise pas le passé : il en montre, au contraire, les peines et les douleurs. Mais il rend un hommage vibrant aux femmes qui, au nom de sentiments qui leur servaient d'idéal, et au-delà des rebuffades et des haines, croyaient à une entente possible.
Critikat.com
Si "Ana Arabia" ne constitue pas une nouvelle et renversante proposition sur son sujet, il témoigne d’une ténacité difficile à dénigrer.
Critikat.com
Si "Ana Arabia" ne constitue pas une nouvelle et renversante proposition sur son sujet, il témoigne d’une ténacité difficile à dénigrer.
Le Journal du Dimanche
Une rêverie infiniment triste et troublante.
Positif
La performance est notoire et offre au film une élégance de mise en scène propre à mettre en exergue de jolis moments de poésie. Dommage que l'interprétation de Yuval Scharf, qui surjoue la journaliste candide et cabotine, gâte un peu l'exercice de style.
Première
L'intention cinématographique est saisissante, comme pour dire que tout est possible avec la volonté, la force du collectif.
La Croix
L’intention est louable, la forme audacieuse et exigeante pour l’équipe du film (…) mais Amos Gitaï échoue à donner véritablement corps à cette entreprise filmique.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.