Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
Closer
par La Rédaction
Une fable fantastique produite par Tim Burton.
Femme Actuelle
par Valérie Beck
Un grand divertissement familial et rythmé, avec effets spéciaux bluffants.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Avant tout un fabuleux livre d'images, "Alice derrière le miroir" surclasse le modèle de Burton. Merveilleux.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Ecran Fantastique
par Pascal Pinteau
De cette seconde aventure, on retiendra surtout les belles scènes du premier et du troisième acte, la bande originale et efficace de Danny Elfman, la représentation superbe de l'univers du Temps et de son palais mécanique, et l'évolution intéressante de l'héroïne principale (...).
Le Parisien
par Alain Grasset
Sacha Baron Cohen est un formidable méchant dans cette suite du film de Tim Burton.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Public
par Florence Roman
Un magnifique rêve éveillé !
L'Obs
par François Forestier
On est dans une sorte de fête foraine permanente, un plaisir des yeux, mais cette accumulation des effets psychédéliques, soulignés par une musique omniprésente, est un poil fastidieuse.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Adaptant librement le second volet publié par Lewis Caroll, le film de James Bobin prend surtout la suite de celui de Tim Burton, qui le produit. C’est la magie made in Disneyland : bien faite et sans surprise.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un récit qui intrigue par la diversité des thèmes abordés: l’importance de la famille, l’héroïne emblème du féminisme naissant, le temps assassin à la mécanique implacable. Un divertissement enchanteur
Le Monde
par Noémie Luciani
Si l’on adjoint à ce travail sans génie, mais plutôt astucieux, une palette d’effets visuels efficaces et parfois franchement séduisants, force est de constater qu’Alice n’a rien perdu au départ de Burton et que cet opus, mieux écrit et mieux tenu, y a même trouvé une meilleure formule.
Metro
par Marilyne Letertre
Certains personnages secondaires sont sacrifiés (Absolem, La reine blanche...), l’art du non sens cher à Lewis Carroll peu exploité, mais ce grand spectacle surréaliste et le truculent duo formé par Helena Bonham Carter et Sacha Baron Cohen remplissent le contrat de ce divertissement familial.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Première
par Sylvestre Picard
Comparé au précédent "Alice, De l'autre côté du miroir" est en fin de compte plus réussi car il se veut plus léger et plus ludique, en un mot plus divertissant. Beaucoup moins sombre et sérieux, aussi (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
TF1 News
par Yves Grosjean
On peut préférer le second volet au premier. Du spectacle coloré qui donne envie de retrouver son âme d'enfant même s'il faut supporter l'esthétique criarde.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
L'esprit enchanteur et baroque qui faisait le charme de l'"Alice" de Burton a disparu, au profit d'un univers de jeu vidéo, où l'héroïne passe d'un monde à un autre. Pour autant, ce grand-huit réserve quelques belles surprises, dont le personnage du Temps, (...) incarné par un Sacha Baron Cohen impérial.
Voici
par La Rédaction
Une aventure qui s'étire, sauvée par le seul vrai personnage haut en couleurs : la Reine rouge, incarnée par Helena Bonham Carter.
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
Tout n’est qu’écran vert. Et pourtant, la magie opère.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CNews
par La Rédaction
Malgré une animation belle et maîtrisée, l’intrigue de ce film d’aventures reste assez convenue.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Ecran Large
par Simon Riaux
L'épisode précédent signé Tim Burton se suivait sans déplaisir grâce à la maîtrise du réalisateur. Cette suite inutile se contente de recycler des codes esthétiques criards au gré d'un scénario informe, porté par des comédiens en déshérence.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Adaptation très libre de la suite d’Alice au pays des merveilles, cette production Disney, copilotée par Tim Burton, amorce une méditation sur le passage du temps alourdie par les bons sentiments.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaroscope
par Etienne Sorin
Produite par Tim Burton mais réalisée par le débutant James Bobin, cette nouvelle adaptation de Lewis Carroll est à l’image de Depp. En surrégime et au bord de la rupture.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Les Fiches du Cinéma
par Alexis Duval
On prend (presque) les mêmes et on recommence. Ce second volet, aussi disgracieux que le premier, a le mérite de se faire plaidoyer féministe.
Mad Movies
par Cédric Delelée
"Alice de l'autre côté du miroir" est donc indéniablement plus réussi que son aîné, mais le manque d'inspiration de sa mise en scène l'empêche malheureusement de prétendre à être autre chose qu'une suite aussi honorable que peu mémorable.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Ouest France
par Isabelle Motrot
De la délicieuse métaphysique de Lewis Carroll, à la fois légère et grave, plus aucune trace. Parfois on s'en approche, mais la lourdeur des dialogues entraîne toute une subtilité dans les hauts fonds de la pêche au grand public.
Paris Match
par Yannick Vely
Les tableaux se succèdent à un rythme effréné, sans laisser le temps à la magie ou à l'émotion. Toujours parfait en Chapelier fou, Johnny Depp parvient à tirer son épingle du jeu, quand il fait salon de thé pour faire passer le temps au Temps.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Sud Ouest
par Sophie Avon
Par quel sortilège de trop est-on passé de la féerie au kitch et de la mise en appétit à la quasi-indigestion ?
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Libération
par Didier Péron
On n’était pas forcément emballé par le "Alice" de Burton, déjà presque au stade de l’autoparodie fantasque et peinturlurée, mais cette suite signée de l’Anglais James Bobin (réalisateur du film "Les Muppets") est le genre de descendance qu’il vaudrait mieux étrangler dès le berceau.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Eithne O'Neill
Le casting fait ce qu'il peut. Peine perdue. L'entreprise est une course poursuite incessante avec des effets dits spéciaux, en réalité répétitifs, accompagnée du bruit et de la fureur d'une bande sonore assourdissante.
Télérama
par Nicolas Didier
Un cauchemar tout raplapla, en images de synthèse qui brident l'imagination. Un concours de cabotinage, en plus. On se pince...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Closer
Une fable fantastique produite par Tim Burton.
Femme Actuelle
Un grand divertissement familial et rythmé, avec effets spéciaux bluffants.
Franceinfo Culture
Avant tout un fabuleux livre d'images, "Alice derrière le miroir" surclasse le modèle de Burton. Merveilleux.
L'Ecran Fantastique
De cette seconde aventure, on retiendra surtout les belles scènes du premier et du troisième acte, la bande originale et efficace de Danny Elfman, la représentation superbe de l'univers du Temps et de son palais mécanique, et l'évolution intéressante de l'héroïne principale (...).
Le Parisien
Sacha Baron Cohen est un formidable méchant dans cette suite du film de Tim Burton.
Public
Un magnifique rêve éveillé !
L'Obs
On est dans une sorte de fête foraine permanente, un plaisir des yeux, mais cette accumulation des effets psychédéliques, soulignés par une musique omniprésente, est un poil fastidieuse.
Le Dauphiné Libéré
Adaptant librement le second volet publié par Lewis Caroll, le film de James Bobin prend surtout la suite de celui de Tim Burton, qui le produit. C’est la magie made in Disneyland : bien faite et sans surprise.
Le Journal du Dimanche
Un récit qui intrigue par la diversité des thèmes abordés: l’importance de la famille, l’héroïne emblème du féminisme naissant, le temps assassin à la mécanique implacable. Un divertissement enchanteur
Le Monde
Si l’on adjoint à ce travail sans génie, mais plutôt astucieux, une palette d’effets visuels efficaces et parfois franchement séduisants, force est de constater qu’Alice n’a rien perdu au départ de Burton et que cet opus, mieux écrit et mieux tenu, y a même trouvé une meilleure formule.
Metro
Certains personnages secondaires sont sacrifiés (Absolem, La reine blanche...), l’art du non sens cher à Lewis Carroll peu exploité, mais ce grand spectacle surréaliste et le truculent duo formé par Helena Bonham Carter et Sacha Baron Cohen remplissent le contrat de ce divertissement familial.
Première
Comparé au précédent "Alice, De l'autre côté du miroir" est en fin de compte plus réussi car il se veut plus léger et plus ludique, en un mot plus divertissant. Beaucoup moins sombre et sérieux, aussi (...).
TF1 News
On peut préférer le second volet au premier. Du spectacle coloré qui donne envie de retrouver son âme d'enfant même s'il faut supporter l'esthétique criarde.
Télé 7 Jours
L'esprit enchanteur et baroque qui faisait le charme de l'"Alice" de Burton a disparu, au profit d'un univers de jeu vidéo, où l'héroïne passe d'un monde à un autre. Pour autant, ce grand-huit réserve quelques belles surprises, dont le personnage du Temps, (...) incarné par un Sacha Baron Cohen impérial.
Voici
Une aventure qui s'étire, sauvée par le seul vrai personnage haut en couleurs : la Reine rouge, incarnée par Helena Bonham Carter.
aVoir-aLire.com
Tout n’est qu’écran vert. Et pourtant, la magie opère.
CNews
Malgré une animation belle et maîtrisée, l’intrigue de ce film d’aventures reste assez convenue.
Ecran Large
L'épisode précédent signé Tim Burton se suivait sans déplaisir grâce à la maîtrise du réalisateur. Cette suite inutile se contente de recycler des codes esthétiques criards au gré d'un scénario informe, porté par des comédiens en déshérence.
La Croix
Adaptation très libre de la suite d’Alice au pays des merveilles, cette production Disney, copilotée par Tim Burton, amorce une méditation sur le passage du temps alourdie par les bons sentiments.
Le Figaroscope
Produite par Tim Burton mais réalisée par le débutant James Bobin, cette nouvelle adaptation de Lewis Carroll est à l’image de Depp. En surrégime et au bord de la rupture.
Les Fiches du Cinéma
On prend (presque) les mêmes et on recommence. Ce second volet, aussi disgracieux que le premier, a le mérite de se faire plaidoyer féministe.
Mad Movies
"Alice de l'autre côté du miroir" est donc indéniablement plus réussi que son aîné, mais le manque d'inspiration de sa mise en scène l'empêche malheureusement de prétendre à être autre chose qu'une suite aussi honorable que peu mémorable.
Ouest France
De la délicieuse métaphysique de Lewis Carroll, à la fois légère et grave, plus aucune trace. Parfois on s'en approche, mais la lourdeur des dialogues entraîne toute une subtilité dans les hauts fonds de la pêche au grand public.
Paris Match
Les tableaux se succèdent à un rythme effréné, sans laisser le temps à la magie ou à l'émotion. Toujours parfait en Chapelier fou, Johnny Depp parvient à tirer son épingle du jeu, quand il fait salon de thé pour faire passer le temps au Temps.
Sud Ouest
Par quel sortilège de trop est-on passé de la féerie au kitch et de la mise en appétit à la quasi-indigestion ?
Libération
On n’était pas forcément emballé par le "Alice" de Burton, déjà presque au stade de l’autoparodie fantasque et peinturlurée, mais cette suite signée de l’Anglais James Bobin (réalisateur du film "Les Muppets") est le genre de descendance qu’il vaudrait mieux étrangler dès le berceau.
Positif
Le casting fait ce qu'il peut. Peine perdue. L'entreprise est une course poursuite incessante avec des effets dits spéciaux, en réalité répétitifs, accompagnée du bruit et de la fureur d'une bande sonore assourdissante.
Télérama
Un cauchemar tout raplapla, en images de synthèse qui brident l'imagination. Un concours de cabotinage, en plus. On se pince...