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    Les Banlieusards
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    66 critiques spectateurs

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    SFC Par Seen
    SFC Par Seen

    83 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 novembre 2024
    Une pure œuvre des années 80. C'est un film de Joe Dante dont on ne parle pas assez. Ce film c'est en quelque sorte Desperate Housewives avant l'heure car l'histoire est similaire. Une histoire de voisinage, de commérage mais qu'en est-il réellement ? Avec un casting qui représente les années 80 de la meilleure des façons cette œuvre de Joe Dante est un film solide. Plus de trente ans plus tard c'est toujours aussi efficace avec une bonne ambiance. À chaque film Joe Dante frappe fort c'est un grand cinéaste
    Alasky
    Alasky

    358 abonnés 3 453 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 juillet 2024
    Divertissant et dynamique, un film de bonne facture, qui a peut-être, qui sait, inspiré des comédies horrifiques/macabres récentes ? En tous cas bien sympa à visionner, avec le toujours très bon TOM HANKS à l'affiche.
    Puda
    Puda

    1 abonné 150 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 juillet 2024
    Quand on habite dans une banlieue cossue en Amérique du Nord, le début est forcément très très drôle car c'est exactement ça ! Malheureusement le film se révèle partciulièrement lourdingue avec des blagues tellement lourdes que ça en devient agaçant. Tom Hanks (avec la voix française de Fox Mulder) est un peu à côté de la plaque en plus et Carrie Fisher ne sert litérallement à rien. Cette fin censée être drôle est dans la veine du reste, ratée. Dans le même genre, Elvira est beaucop plus drôle.
    Nicothrash
    Nicothrash

    378 abonnés 3 039 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 janvier 2024
    Fort de quelques succès retentissants, Joe Dante nous livre en 1989 une comédie satirique tirant sur l'épouvante plutôt sympathique. Souvenir des années vidéo club Les Banlieusards est amusant et nous réserve quelques moments de suspens malgré un humour assez lourd et des dialogues très ancrés dans leur époque. Tom Hanks y est sympathique sans crever l'écran et le reste du casting n'est pas vilain non plus. Ça ne vole juste pas très haut mais ça reste regardable et puis le final assez explosif est plutôt réussi. Ça sent surtout bon les années 80-90 et ça fait la différence.
    Luuuuuuuuc
    Luuuuuuuuc

    12 abonnés 663 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 octobre 2023
    « Trust me, this is real, this is my neighborhood. »

    Spécialiste des comédies fantastiques dans les années ’80, Joe Dante réalise en 1989 The ’Burbs/Les Banlieusards après deux grands succès du genre, Gremlins (1984) et L’Aventure Intérieure (1987). Au casting, on retrouve un excellent Tom Hanks spécialisé dans les comédies à l’époque, une Carrie Fisher parvenant à faire oublier son personnage de la Princesse Leia, un Henry Gibson familier de l'univers de Joe Dante et de John Landis et un Corey Feldman, déjà présent dans Gremlins mais aussi dans les Goonies (Richard Donner, 1985) et Stand by Me (Rob Reiner, 1986). D’autres interprètes moins connus complètent la distribution, dont, dans un petit rôle, Dick Miller qui a joué dans presque tous les films de Joe Dante.

    Plus que la trame principale du scénario, qui tient en haleine à la façon d’une enquête, c’est l’interaction entre les personnages archétypaux de ce cul-de-sac résidentiel et bourgeois qui porte le film : le héros rationnel et respectueux des lois, le copain un peu enveloppé qui mange tout le temps et débite des âneries, le vieux grincheux patriote qui a épousé une jeune femme aux formes généreuses, le jeune qui écoute fort de la musique et que les adultes font taire… pour un peu on se croirait dans une aventure d’Astérix, coincé dans son village d’irréductibles en huis-clos.

    À travers ces personnages, il y a aussi une féroce critique de la société suburbaine, composée de mâles blancs, middle-class, armés et intrusifs, allergiques à tout ce qui n’est pas la norme (une maison entretenue, un jardin propret), et observant à la dérobée les étrangers à leur monde, au nom bizarre, leur prêtant des intentions néfastes. Détail amusant, lorsque Ray/Tom Hanks semble prendre le parti de sa femme, les propos sexistes lui tombent dessus.

    Là où Joe Dante libère tout son potentiel artistique, c’est dans le savant équilibre entre comique et frisson fantastique qu’il saupoudre de culture populaire, notamment via les films qui passent à la télé ou qui sont évoqués par les protagonistes ou en reprenant les codes visuels des anciens films d’horreur (jeux d’ombre, travelling en gros plan, détails) et sonores (musique à l’orgue, bruits, cris). On pourra d’ailleurs regretter que ce potentiel n’ait jamais pu, à nouveau, être exploité ainsi par la suite.
    mistermyster
    mistermyster

    59 abonnés 1 276 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 octobre 2023
    Il y a plusieurs points positifs à ce film, le premier est son réalisateur, il est dans sa décennie créatrice, il faut voir ce qu'il a déjà mis en scène, donc là, sous ses traits burlesque, le film est une satire de la bonne société américaine et on retrouve la patte et le style des années 80.
    Ensuite il y a Tom Hanks, pas encore la star qu'il va devenir, mais déjà, il nous amuse dans ce rôle de mari qui cherche à s'ennuyer et qui se laisse emporter par la psychose environnante. Il y a les seconds rôles qui, en commençant par Carrie Fisher sont tous excellents, tous border line, avec les clichés un tantinet appuyé, et enfin cette banlieue prête à l'emploi puisque c'est un décor, une attraction du studio Universal.
    C'est une comédie qui se regarde par curiosité, pour les clins d'œil à un certain cinéma, et chose rigolote à noter, Tom Hanks qui regarde une émission à la télévision présenter par Mr Rogers, personnage qu'il interprétera en 2019 soit 30ans après ce The 'Burbs.
    Artriste
    Artriste

    123 abonnés 2 019 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 septembre 2023
    Comédie noire, réalisée par Joe Dante, Les Banlieusards est un véritable régal. L'histoire se déroule dans un quartier pavillonnaire, et nous fait suivre les habitants du coin qui se côtoient tous. Seulement, Ray, l'un d'entre eux, devient peu à peu persuadé que ses nouveaux voisins étrangers, les Klopek, sont de dangereux individus. Il va alors les espionner avec ses acolytes pour savoir ce qui se passe réellement dans cette maison délabrée émettant des sons étranges. Ce scénario nous fait vivre un excellent moment pendant un peu plus d'une heure et demie. On ne s'ennuie pas une seule seconde dans cette intrigue très bien écrite, nous plongeant immédiatement dans le bain dès ses premières secondes en présentant ses personnages et son environnement de façon limpide et efficace. Plus les minutes passent et plus on est curieux de savoir ce qu'il se passe dans cette maison. L'ambiance mélangeant humour et horreur est savamment équilibrée et parfaitement maîtrisée. Le ton caustique est lui extrêmement drôle tout du long grâce aux situations très bien trouvées parvenant constamment à se renouveler malgré l'étroitesse du pâté de maison. Mais cet humour passe également beaucoup par les répliques et les personnages. Des protagonistes savoureux, interprétés par une distribution comportant de jolis noms comme Tom Hanks, Bruce Dern, Carrie Fisher, Rick Ducommun, Corey Feldman, Wendy Schaal, Gale Gordon et Dick Miller. Les étranges voisins sont eux parfaitement joués par Henry Gibson, Brother Theodore et Courtney Gains. Il existe une véritable synergie entre tous ces rôles ou chacun d'eux parvient à trouver sa place. Tous ces individus hauts en couleur entretiennent des relations particulièrement amusantes, notamment à la faveur de dialogues croustillants. L'ensemble est soigneusement réalisé par Joe Dante. Sa mise en scène joue parfaitement avec les codes du genre horrifique, accouchant de scènes créatives fortement marquantes. De plus, le cadre est également mémorable avec cette rue en cul-de-sac animée grâce à ses habitants. Ce visuel impeccable est accompagné par une excellente b.o. signée Jerry Goldsmith. Ses compositions mêlant les sonorités, entre airs légers et notes inquiétantes, sont en totale symbiose avec les images et l'action. Ce problème de voisinage s'achève sur une fin satisfaisante, venant mettre un terme à ce pure moment de divertissement. En conclusion, Les Banlieusards est une œuvre à découvrir absolument tant ce long-métrage est succulent.
    TwentyEight
    TwentyEight

    4 abonnés 141 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 août 2023
    Film très sympathique où l'on suit un petit quartier qui observe des phénomène bizarre chez un voisin , ils se lient tous pour percer le secret , ils y arrivent plus ou moins bien .
    C'est plutôt drôle en vrai car ils sont très maladroit et les acteurs sont plutôt bon .
    On s'amuse bien devant ce film
    Hotinhere
    Hotinhere

    569 abonnés 4 993 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 avril 2023
    Une satire grinçante et loufoque (mais un peu poussive dans sa seconde partie) de la vie d’une banlieue pavillonnaire américaine qui rime avec voyeurisme et paranoïa, portée par un casting impeccable.
    Pascal
    Pascal

    163 abonnés 1 694 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 août 2022
    La ressortie en salle d'une grande partie de la filmographie de Joe Dante, realisateur qui était à ses débuts considéré au même titre que john Carpenter, comme realisateur spécialisé dans l'épouvante et dans le fantastique, permet d'évaluer,le temps ayant fait son œuvre, de la pérennité de son cinéma.

    " les banlieusards " n'a pas connu de succès lors de sa sortie et on ne peut pas dire que c'est completement immérité.

    Le point de départ est intéressant puisqu'il nous propose de jeter un œil sur le comportement d'un groupe d'individus ( ici des voisins d'une banlieue du centre des usa) face à des inconnus.

    Méfiance, rejet, préjugés toute la panoplie des comportements humains sont évoqués dans la première demi-heure, seule partie qui tient la route.

    Desservi par un scénario pas très bien écrit, une fois le principe de départ posé, "les banlieusards " se laisse regarder sans infamie, mais au final c'est un film plutôt raté.

    Certes, il reste Tom Hanks à ses débuts et un casting féminin réussi ( comme toujours chez Dante), mais c'est une déception si l'on se réfère au début des " banlieusards ".

    La fin qui connaît un revirement de dernière minute, très mal amené, laisse le sentiment que les scénaristes ne se sont pas foulé et qu'ils ne savent pas vraiment eux-mêmes ce qu'ils veulent nous dire.

    Après avoir critiqué les à priori négatifs des échanges intersubjectis, ils semblent nous dire qu'il faut prendre en compte sa première impression.

    Véritable auberge espagnole thématique, " les banlieusards ", retiendra l'attention des aficionados de Dante ou de ceux de Tom Hanks.

    Les autres passeront leur chemin sans craindre d'être passé à côté d'une révolution cinématographique.
    Shawn777
    Shawn777

    598 abonnés 3 485 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 mars 2022
    Ce film, réalisé par Joe Dante et sorti en 1989, n'est pas mal du tout ! C'est ici l'histoire d'habitants d'une petite banlieue américaine typique qui s'unissent pour découvrir ce qu'il se trame chez leurs étranges nouveaux voisins. Au-delà de l'aspect "thriller" du film puisque le spectateur se demande, à la manière des personnages, qui sont ces nouveaux voisins tous droits sortis de "La Famille Addams", le film nous offre également une vision très acerbe et sarcastique de la banlieue américaine, surtout dans les années 80 ! Effectivement, si aujourd'hui, la banlieue pavillonnaire américaine garde toujours une image bien marquée, définie, reconnaissable et remplie de clichés, elle l'était encore plus dans les années 80. D’ailleurs, durant cette décennie, bon nombre de films d'horreur se sont employés à détourner les codes de la banlieue pavillonnaire et nous retrouvons donc ici cet aspect moqueur avec tous les clichés qui vont avec. Et à commencer avec le décor, la caméra zoome peu à peu pour progressivement arriver dans un entre-soi dans lequel les personnages sont complètement hermétiques au monde extérieur et sont renfermés sur leurs petits problèmes. Comme par exemple l'état de la pelouse, toujours bien verte et bien taillée, où va aller chier le chien du voisin et bien-sûr, qui sont ces fameux voisins. J'adore ainsi tout le début du film, lorsque les choses se mettent progressivement en place et que les voisins s'observent les uns, les autres. Ce qui est d'ailleurs très bien mis en scène lorsque l'ado du quartier préfère regarder sa rue plutôt que la télé. L'ambiance est donc excellente, on est de plus chez Joe Dante, tous les personnages sont donc soit très caricaturaux, soit super étranges. Et ici, ça ne manque pas ! Entre l'ex-soldat obsédé par les armes et les valeurs américaines, les deux femmes au foyer, le voisin fouineur qui n'arrête pas de bouffer et le personnage principal en pleine crise de la quarantaine, nous sommes servis ! Et puis bien-sûr, nous avons également cette image très caricaturale des voisins étranges vivant dans leur maison délabrée, tout droit sortie d'un film gothique. Mais ce sont des "clichés" qui ne sont ici pas dérangeants car ils participent au contraire à construire l'ambiance du film ! Bon en dehors de ça, la fin est plutôt prévisible mais l'histoire et "l'enquête" restent très sympathique à suivre. Concernant les acteurs, nous retrouvons, entre autres, Tom Hanks, Bruce Dern, Rick Ducommun, Carrie Fisher et Henry Gibson qui jouent très bien. "The 'Burbs" est donc un film qui ne casse pas des briques mais qui reste tout de même très bien imaginé et très bien mis en scène !
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    702 abonnés 3 053 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 décembre 2020
    Ce qu’il y a de formidable dans The ‘Burbs, c’est l’utilisation d’un lieu unique comme réservoir de fiction, la rue pavillonnaire américaine étant en réalité un décor construit en studio qui a servi pour de nombreux films hollywoodiens auxquels Joe Dante, en cinéphile aguerri, rend hommage. Aussi le long métrage est-il encadré par une entrée et une sortie de rue sous la forme d’un travelling, ouvrant et refermant une parenthèse dont la temporalité précise – une semaine qui correspond aux congés posés par Ray Paterson, soit « fils du Père » –, du lundi au dimanche, semble rejouer la Création du monde par Dieu, revue et corrigée en une destruction générale du quartier. Le cinéaste se saisit ainsi du symbole de la classe moyenne américaine, déjà investi par Tim Burton dans son splendide Edward Scissorhands (1990), pour en faire un terreau fantastique dans lequel poussent des récits légendaires que l’on se raconte, le soir tombé, pour s’effrayer ; toutefois, si la banlieue pavillonnaire engendre de la fiction, c’est une fiction qui se conçoit au détriment d’un tiers exclu pour l’occasion, marginalisé tel un bouc émissaire. Nul hasard, par conséquent, si le nom de ces mystérieux voisins est Klopek dont les résonances slaves – comme le reconnaît Mark, le vétéran – changent en allégorie de l’étranger venu envahir l’espace intime et vital de nos banlieusards tranquille. Derrière la loufoquerie de l’ensemble se cache alors un puissant manifeste contre le racisme et la paranoïa, opposant à la fois deux nationalités – l’Amérique et son drapeau fièrement exhibé, l’ailleurs européen – et les cultures qui y sont associées. La partition alerte de Jerry Goldsmith compose pour les banlieusards une série de thèmes parodiant le western, traduction musicale de leur ancrage dans une idéologie et dans des représentations héroïsées du savoir-vivre, qu’il confronte à l’orgue satanique tout droit sorti des films de la Hammer. John Wayne d’un côté, Dracula de l’autre. Joe Dante, en arbitre, alterne une mise en scène maniériste lorsque la caméra s’approche de la demeure des Klopek et un quasi statisme quand nous sommes dans la maison de Ray, comme si l’ennui et la banalité de l’american way of life était un tremplin vers la fantaisie. L’importance accordée aux fenêtres confirme la donne : l’extérieur est une source de fiction qui permet aux personnages de fuir leur quotidien morose et d’agir sur le monde. On regarde par la fenêtre comme on suit Mr. Rogers descendre l’escalier qui sépare la porte d’entrée du salon, dans l’émission fameuse que contemple ici Tom Hanks sans savoir qu’il interprétera Mr. Rogers quelques décennies plus tard (A Beautiful Day in the Neighborhood, Marielle Heller, 2019). On projette par la fenêtre ses angoisses et ses fantasmes, sans prendre conscience que les horreurs que nous soupçonnons chez autrui sont en réalité nôtres. La tranquillité apparente des banlieusards n’est que surface, de la même façon que la demeure silencieuse de Leatherface cache une famille dégénérée. Nourri de références cinématographiques qui jamais n’interfèrent avec la fluidité du récit, The ‘Burbs est une réussite malicieuse et intelligente à redécouvrir sans tarder.
    GyzmoCA
    GyzmoCA

    181 abonnés 1 752 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 mars 2020
    Joe Dante signe une comédie spéciale en réalisant « un huit clos » dans un quartier de banlieue. On reconnait clairement les années 90 avec un Tom Hanks à l’orée de sa carrière. C’est stéréotypé dans le jeu des acteurs ou dans des situations pittoresques. (par exemple la fouille des poubelles)

    Moins original que les Gremlins, moins de scénario que dans l aventure intérieure , les banlieusards est un film moyen dans la carrière du réalisateur .
    Estonius
    Estonius

    3 462 abonnés 5 453 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 novembre 2019
    Cette comédie légère et pétillante de Dante n'est jamais sortie en salle en France, on se demande bien pourquoi puisque le thème des voisins bizarres y est parfaitement illustré avec un Tom Hanks, déjà talentueux, Ces dames plutôt en retrait sont néanmoins charmante (une étonnante Carrie Fisher et une pétillante Wendy Shaal). La distribution est quasiment sans faute sauf en ce qui concerne le jeune Cory Danziger qu'on a d'ailleurs guère revue depuis. On remarquera bien sûr le petit rôle de Dick Miller en éboueur, l'acteur fétiche de Corman ainsi que l'hommage musical à Morricone. Bien que ce ne soit pas un film à message on croit pouvoir penser qu'il s'agit d'un plaidoyer pour le droit à la différence. Hélas, le twist final nous montre tout à fait autre chose, brillant par sa forme comique, mais laissant comme un gout amer car on ne peut s'empécher de penser qu'on est passé à côté de quelque chose
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 15 octobre 2019
    J'ai bien adoré le film, même si un peu prévisible, c'est une histoire qui peut intéresser pas mal de personne, je le conseille. Cependant, je suis assez perplexe sur la fin, je ne m'attendais pas forcément a ca pour finir, peut-être une suite plus tard ? Je reste sur ma faim.
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