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Un visiteur
2,5
Publiée le 27 janvier 2016
Les images de mars sont sublimes mais ne justifie en rien d'etre classé chef-d'oeuvre.. Je ne vois pas vraiment en quoi cela ressemble a interstellar.(alien et E.T n'ont rien a voir malgres le fait qu'il y ai une bebete extraterrestre..) A ne voir qu'une seule fois et jme suis ennuyé a la fin..
Seul sur Mars nous met la pression pendant 2h avec comme unique sujet un homme seul sur Mars tout en rendant le sujet didactique et comique. On apprend comment faire pour survivre sur Mars et surtout les règles de la conquête spatiales (territoires conquis, les calculs mathématiques, l'agriculture ...) Ca m'a donné envie de lire de livre.
Le retour fantasque et léger du grand Ridley Scott
Ridley Scott et la SF, c’est une belle et grande histoire. Le patriarche a marqué le genre par des chefs d’œuvres intemporels tels que Alien, le huitième passager ou Blade Runner. Cependant, aussi talentueux soit-il, cela faisait 8 ans et la pépite American Gangster que le britannique n’avait pu retrouver sa grandeur, enchaînant les déceptions critiques (Prometheus) et/ou commerciaux (Cartel). Malgré tout, Scott réussit à proposer un nouveau regard sur la Science-Fiction avec Seul sur Mars et prouve qu’il en a encore sous le capot, malgré ses 77 ans.
Scott nous convie à une véritable épopée interstellaire : l’aventure de Mark Watney, un naufragé spatial laissé pour mort sur une planète rouge sang, à plusieurs centaines de millions de kilomètres de sa terre natale. Par chance, l’homme est botaniste de formation chez la NASA et va tenter de survivre en installant une culture agricole viable dans sa base, tout en tentant de contacter Houston, son dernier espoir de quitter cette planète. Adapté du roman The Martian d’Andy Weir, Seul sur Mars est une vision nouvelle de la science fiction et du genre humain. Digne feel good movie, le long métrage propose un camaïeu d’émotions, du rire aux larmes, du bonheur au désespoir. Imparfait sur son fond, survolant notamment l’ingrédient philosophique, Seul sur Mars réussit néanmoins à glorifier l’Homme dans son génie le plus pur, par un humour enthousiasmant et des effets visuels plus vrais que nature.
Superbe film qui nous plonge dans un univers passionnant. Quand on voit 2h20 pour ce film, on se dit qu'il doit vraiment trainer (comme "Gravity" que j'ai personnellement moins apprécié) mais en fait pas du tout. Certes ce n'est pas un film d'action à proprement parlé, mais alors j'ai été pris dedans du début à la fin et je n'ai pas vu le temps passer.. 4.5/5 pour l'originalité, puisqu'il est difficile d'avoir un aussi bon film dans ce thème là.
Ceux qui pensent aller voir un film débordant de rigueur scientifique ou un drame à se trancher les veines vont être déçus. Seul sur Mars est un divertissement à grande échelle, qui est fait pour en mettre plein les yeux et qui le fait à merveille. Ridley Scott revient sur le devant de la scène avec ce film sur la survie d'un homme à des millions de kilomètres de chez lui. Sa volonté de vivre et son bagage d'astronaute lui permettront de tirer son épingle du jeu en attendant les secours. Véritable Robinson Crusoé de l'espace, Matt Damon est parfait dans son rôle, en passant par toute la gamme des émotions au fil des événements qu'il doit subir. Le film est un régal visuel, car la photographie est absolument extraordinaire, autant les scènes sur Mars que à l'intérieur des vaisseaux. La réalisation, de son côté, est impeccable. J'ai passé un très bon moment devant ce film et je vous le conseille!
Golden Globe de la Meilleure comédie. Un bon divertissement réalisé par Ridley Scott qui adapte ici le roman de science-fiction d'Andy Weir. L'histoire simple d’un équipage en expédition sur Mars qui est obligé de décoller en urgence quand survient une tempête. L’astronaute Mark Watney est laissé pour mort par ses coéquipiers, mais il a survécu. Le film est prenant, avec une bonne énergie et de l'humour. Avec de bons effets spéciaux. Matt Damon (Golden Globe du Meilleur Acteur dans une comédie) livre une bonne prestation dans le rôle de Mark Watney. Et le reste du casting se débrouille bien : Jessica Chastain, Kristen Wiig, Jeff Daniels, Michael Pena, Sean Bean, Kate Mara, Sebastian Stan, Aksel Hennie, Chiwetel Ejiofor et Benedict Wong.
Matt Damon se retrouve accidentellement échoué sur Mars... s'en sortira-t-il ? Sur le thème souvent traité de l'échouage, une variation spatiale plutôt réussie, servie par une bonne réalisation, d'excellents acteurs et un gros suspense, avec pour originalité de n'utiliser aucun méchant... on passera sur le peu de crédibilité du film malgré le réalisme apparent
Autant dire que j'attendais beaucoup ce film, et plus le temps passait, plus l'impatience se faisait sentir. En effet, le space opera étant un style qui m'inspire énormément, notamment quand celui-ci se rapproche du réalisme, un peu comme on a pu le voir dernièrement avec Gravity et bien entendu, le très bon Interstellar (difficilement surpassable). Ridley Scott ne prend finalement aucun mal à trouver sa place dans cette jolie petite collection d’œuvres de grande qualité. Seul sur Mars est donc un film basé sur une histoire de survie adapté d'un livre cherchant à se rapprocher du réalisme (parfois scientifiquement prouvé), et le réalisateur parvient sans problème à rendre ce film extrêmement captivant et même intuitif scientifiquement. On note de plus la performance de Matt Damon, une fois de plus, très remarquable. Seul sur Mars rentre donc sans problème dans mes films de science-fiction préférés.
Ce film, malgré sa longueur (pas loin de 2h20 quand même !) ne contient aucun temps mort et constitue un excellent divertissement. Les décors et l'environnement sont hyper bien recréés et Matt Damon joue vraiment ultra bien. Après, on pourra être un peu agacé par le côté américain de la trame et l'on peut ainsi deviner facilement comment ça va se terminer. Mais bon, ne boudons pas notre plaisir, c'est vraiment sympa à voir !
Après Cuarón et Nolan, c'est au tour de Scott de nous faire voyager dans l'espace, et plus précisément sur la planète Mars dans le cas présent. Seul sur la planète rouge, Matt Damon se confrontera aux multiples problèmes qui lui feront face pour assurer sa survie. Un territoire inconnu où il fait bon à marier les idées de MacGyver à la science d'Einstein. Un très bon voyage prenant et divertissant, et même si gros par moment, le film n'aura pas de mal à nous tenir en haleine face à cette situation où la solitude s'adosse à la survie, le tout servi par un excellent acteur, et une digne mise en scène, à la manière d'un "Seul au monde".
Bonne accroche au debut du film mais plus le temps passe et plus on s’aperçoit que le film dérive et part dans le gros film hollywoodien a la sauce Gravity... Certe Matt Damon est énorme dans ce rôle mais le film en lui même reste plat quoi que pas mal drôle a beaucoup de passage. Ridley Scott perd en saveur et en qualité de faire de ces films des blockbusters ou des chefs d'oeuvre.
Je tiens d'abord à dire, pour être transparent, que j'ai vu ce film dans l'avion... C'est donc un peu dégueulasse de critiquer, parce que voir ce genre de production sur un écran de 3 cm² même si les nouvelles classes éco (je suis pauvre) d'Air France sont sympas (pauvre mais reconnaissant), c'est passer à côté de l'aspect visuel d'un film...Bien, mais un film ne peut être réduit à sa seule dimension visuelle, sauf exception, et faut tenir compte objectivement du reste : alors Seul sur Mars ne donne jamais l'impression de solitude et de silence auxquelles devraient être confrontées Matt Damon. Mais absolument jamais... C'est l'anti-Gravity en somme (ah ah, je suis trop drôle)... Pourquoi ? parce que Ridley Scott a peur du vide et du silence : ça tchatche sans arrêt, on colle de la musique disco et de la musique pompeuse entre deux dialogues, c'est insupportable... Et le montage n'aide pas...l'alternance hystérique des scènes sur Mars / Terre / Vaisseau spatial donne l'impression d'assister à une discussion par Skype et c'est tout. C'est donc un échec artistique majeur : non Matt Damon n'est pas seul ; pourtant, avec un tel sujet et de tels moyens (décors somptueux mais sous-exploités), il y avait de quoi faire des travellings et/ou plans-séquences magnifiques. Et puis il y a d'autres aspects déplaisants : les poncifs inévitables... Le petit génie bordélique qui trouve la solution tout seul (je l'avais trouvée avant lui, c'est pas pour me vanter, et je n'ai même pas fait d'études scientifiques, qui a dit que les facs françaises étaient pourries ? Nan en fait c'est juste parce que je me suis rappelé d'Armageddon, qui utilise un procédé similaire... désolé de casser le mythe, les facs françaises sont réellement pourries) ; Les drapeaux, les embrassades derrière l'écran quand le héros est (spoiler. Suspens insoutenable, le héros s'en sortira-t-il ?) ; les punchlines qui se veulent cool et qui fatiguent de plus en plus tellement les dialoguistes hollywoodiens semblent verser dans la facilité et le recyclage... la séquence de sauvetage totalement risible... Et le plus ironique, mais si j'étais américain j'en aurais un peu honte : le lèche-botte fait aux Chinois... c'est totalement philanthropique et cela n'a évidemment rien à voir avec de quelconques visées en rapport avec le marché du film en salles dans l'Empire du milieu !