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    Sarah préfère la course
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    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 561 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 25 novembre 2020
    Sarah Lepage est une coureuse sérieuse et compétitive mais elle n'aime pas grand-chose d'autre. Elle s'efforce d'entrer à l'université McGill et de vivre à Montréal. Sa mère abandonne son rêve par manque d'argent. Son ami Antoine Breton un collègue de travail lui parle des subventions gouvernementales pour les couples mariés et lui propose un mariage de convenance. Elle finit par accepter mais diverses complications de la vie continuent de l'envahir. Le plus grand atout de la jeune fille est peut-être ses grands yeux bruns. Elle ne donne pas beaucoup de marge de manœuvre a son jeu d'actrice bien que son personnage ait une gamme émotionnelle étroite. Son comportement n'est qu'un haussement d'épaules. Le film est un peu lent avec quelques scènes de rien. Même lorsque le personnage est confronté à des champs de mines émotionnels elle n'en fait pas grand chose. Elle est presque sur le point mais ce serait plus convaincant si elle l'était vraiment car il ne s'agit pas seulement d'être subtil. Sarah préfère la course est un film vraiment plat...
    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    288 abonnés 3 115 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 février 2023
    Ouh malheur ! Qu'est ce que c'est que ce film ? C'est pas dur il ne se passe rien... mais rien du tout ! Juste une ado qui court et qui tire la tronche ! Le résumé est vite fait vous me direz ! Un petit conseil, courez vous aussi & passez votre chemin !
    zhurricane
    zhurricane

    82 abonnés 1 336 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 septembre 2018
    Qu'est ce que je retiens de ce film, rien, enfin pas exactement, la première minute est un pur chef d’œuvre, on se sent voler à travers la course. Je retiens aussi la bo très belle. Mais le reste j'ai juste envie de faire un procès à la réalisatrice, pour avoir pondue quelque chose d'aussi vain, creux, où il ne se passe rien, et où son personnage principal est chiant comme la pluie. A fuir de toute urgence.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 octobre 2016
    Sarah préfère la course
    Sarah, une jeune athlète, est amoureuse de la couse. Après les études du lycée et les exercices, elle insiste de poursuivre son intérêt et veux être reçue par un fameux club de la province, Montréal qui est loin de sa banlieue natale malgré les oppositions de sa mère. Avec les soutiens et des encouragements de son père, elle prend la route d’aventure. En même temps en compagnie d’un garçon qui a volonté de payer le loyer élevé, elle s’inscrit dans le nouveau club et commence à s’entraîner. Dans la route qui conduit au rêve, le garçon chante et donne une proposition avec laquelle ils pourront toucher à une bourse, ce qui peut améliorer leur condition de vivre. Dans la voiture, c’est la première fois qu’on découvert qu’il est d’humour. Pour payer les dépenses destinées à l’exercice, ils se marient sans les parents dans la mairie. L’image est grise, l’ambiance est froide, ça signifie que notre héroÏne est un peu tellement sérieuse qu’elle ne boit que dans une soirée sans conversation ou danse. le metteur en scène nous fait prendre attention à sa vie privée plutôt que son exercice, son intention est de montrer le processus difficile de s’en tenir à la course. Comme le titre qui nous a donné l’impression, Sarah veut courir. Pour courir, elle abandonne et oblige sa famille, son amour, son corps maladif. la dernière scène où Sarah court malgré la maladie, c’est impressionnant et remarquable, on ne sait pas la fin qui pourrait finir par la mort de Sarah, mais le directeur ne nous dit que un doctrine, c’est de conquérir la vie et de poursuivre le rêve. Mais une question me trouble et occupe de ma pensée, pourquoi elle aime la course ? Je remarque aussi qu’elle n’a point de passion pour les autres choses. Je pense qu’il y a une spécifique relation entre sa vie et sa famille, ses proches, d’après ce film, n’est pas chaleureux et un peu froid, ils ont peur d’exprimer leur sentiment devant cette fille. L’extrait où elle quitte sa maison, le comportement peut parfaitement expliquer cette raison. La famille influençant la vie éternellement est la clé de notre bonheur ou malheur.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 363 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 septembre 2016
    Ce premier film canadien, appose la passion du sport dans un minimalisme et un ton très clair. Sarah préfère la course, est peut-être même trop clair, car rien ne dépasse, tout est contrôlé. La jeune Sophie Desmarais ne laisse que trop rarement exprimer ses émotions. D’un autre côté, toute cette retenue a quelque chose de très touchant. On prend goût à suivre la chronique de cette gamine qui rate beaucoup de choses dans sa vie mais qui sait ce qu’elle veut. Le titre prendra d’ailleurs tout son sens à la fin, lorsqu’il arrive en lettres capitales après que Sarah la main au cœur, décide de se surpasser plus que tout, même de sa santé, pour vivre au mieux sa passion, la course. Sarah préfère la course est un petit film sans prétention qui n’a que pour but que raconter une passion au travers d’une mise en scène fluide mais trop propre.
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    Hastur64
    Hastur64

    224 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 avril 2015
    Chloé Robichaud, jeune réalisatrice québécoise, après quelques courts-métrages, présente ici son premier long-métrage : “Sarah préfère la course”. Or, comme le titre l’indique, Sarah ne vit que pour la course, je dirais même, ne semble vivante que quand elle court ! Parce que pour le reste le personnage ne semble pas très intéressé (voire intéressant) : pas ou peu d’amis, pas de loisir, pas grand-chose à raconter, pas de liaison amoureuse (elle ne semble d’ailleurs pas très intéressée par le sexe, voire ne pas savoir vraiment si elle préfère les hommes ou les femmes), bref on a affaire à une monomaniaque du demi-fond sans grande personnalité. Du coup avec un personnage aussi terne l’histoire n’est pas non plus très emballante. Les quelques péripéties qui jalonnent le parcourt de la jeune fille pour intégrer et payer l'université où elle veut continuer à pratiquer son sport sont peu enthousiasmantes et n’arrivent pas à donner un peu de nerf à un film languissant et ennuyeux. Seul le personnage d’Antoine amoureux malheureux et fan de karaoké, semble un petit peu vivant dans cette ronde de personnages bien insipides. Je suis d’habitude plutôt bienveillant avec les jeunes réalisateurs qui présentent leur première oeuvre, mais là pour le coup j’avoue m’être tellement ennuyé devant ce drame morne que je ne me sens pas la force de recommander.
    missfanfan
    missfanfan

    89 abonnés 849 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 mai 2014
    J'avais vu le film qui faisait la fermeture du cinéma Québécois à Paris ( dont je suis une grande fan ) , mais hélas pour moi je n'ai pas accroché du tout à aucun moment je n'ai réussi à rentrer dans le film même Sophie Desmarais jeune actrice très prometteuse ne m'émeut pas du tout bref une déception pour moi avec ce film soporifique et ennuyeux
    ffred
    ffred

    1 702 abonnés 4 019 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 mai 2014
    Ce n'est pas que j'attendais quelque chose de ce film mais j'en sors très déçu. Sarah préfère la course est le premier film de Chloé Robichaud jeune cinéaste québécoise. On voit bien que tout cela est fait avec beaucoup de bonne volonté. Nous offrir un film discret, contemplatif voir...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 mai 2014
    Malgré ce que le titre pourrait laisser croire, Sarah préfère la course n'est pas un film sur le sport, mais plutôt sur une jeune fille, froide et insaisissable, en quête d'identité et qui court par obsession. La beauté du film réside dans ses plans épurés et dans la manière très sensible qu'a Chloé Robichaud de filmer son actrice, la magnifique Sophie Desmarais. Ce minimalisme lui permet à certain moments d'atteindre un état de grâce, comme dans la scène du karaoké, véritable explosion de sentiments. Ce film est également remarquable par son refus des poncifs, de réponses aux questions. Sarah est probablement lesbienne mais reste mystérieuse jusqu'au bout.
    tixou0
    tixou0

    700 abonnés 1 999 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 mai 2014
    Sarah, une jeune fille habitant la banlieue de Québec, 20 ans, décroche une place pour le club d'athlétisme universitaire de la prestigieuse université McGill, à Montréal. Grâce à Antoine, un voisin également étudiant, elle peut partir pour la capitale économique de la province - il lui propose en effet d'être sa colocataire. Mais le jeune homme, qui ambitionne plus de leurs relations, lui parle mariage (de convenance), ce qui permettra au couple d'obtenir une bourse. Sarah accepte, car cela lui évite d'avoir à chercher un travail (elle n'a guère de temps libre, entre études et entraînement). Chloé Robichaud, la réalisatrice de ce premier "long", est à peine plus âgée que son héroïne, quand elle le scénarise et met en scène - 24 ans (en 2012). Il a été projeté à Cannes l'année dernière, en sélection officielle, dans la section "Un certain Regard".
    La "course" pour Sarah (le demi-fond) est le début, le milieu et la fin de sa vie, à l'instant T où la caméra en saisit des instants. Des soucis de santé, la mise à l'écart de toute relation sentimentale spoiler: (c'est une lesbienne non assumée),
    l'éloignement géographique d'avec sa mère..... tout cela est secondaire : "Sarah préfère la course". L'adrénaline, plus encore que l'espoir d'une récompense, remplit son existence. Sarah est discrète, voire mutique. Au résultat, on voit très peu d'elle, on sait très peu d'elle... Le film tourne quasiment tout de suite à l'exercice de style pour sa cinéaste (on dirait un film de fin d'études, un travail académique - aux échos autobiographiques probables) : suggérer... (mais quoi au juste ?), et à l'ennui (poli) chez le spectateur - sortant ponctuellement de son apathie lors des (rares) dialogues, bien obligé de prêter l'oreille (le son est mauvais), pour décrypter le parler québécois (seuls les passages en anglais étant directement compréhensibles). Un unique moment de grâce, dans un océan de monotonie, pour monomanie : la chanson de Zoey, pendant le karaoké.
    traversay1
    traversay1

    3 575 abonnés 4 862 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 mai 2014
    Chloé Robichaud a un an de moins de Xavier Dolan (26). Et elle n'en est qu'à son premier long-métrage quand son compatriote vient de boucler son quatrième. Des points communs, outre leur précocité et leur nationalité ? Non, pas vraiment, leur cinéma est plutôt aux antipodes l'un de l'autre. Au moins sur la forme. Le titre du film de Chloé Robichaud est clair : Sarah préfère la course. Mais à quoi d'autre ? A la vie ? Aux sentiments ? Pas si simple et la réalisatrice ne nous facilite pas la tâche en adoptant un style minimaliste, d'une pudeur extrême, lourd en non-dits, dans des silences pesants. Le film doit beaucoup au regard d'animal apeuré de Sophie Desmarais (Les amours imaginaires, Curling, Le démantèlement). Pas entièrement suffisant pour rendre le film passionnant jusqu'au bout de la course mais néanmoins intrigant comme un mystère qui ne se dénoue pas et laisse place à l'imaginaire.
    BeatJunky
    BeatJunky

    150 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 10 mai 2014
    Chiant.... c'était chiant, je me suis ennuyé du début à la fin! pas de rythme, un scénario pas aboutit et une interprétation plus que moyenne m'ont donné envie de dormir. Il y a avait pourtant matière à faire un film profond tellement le sujet était vaste, difficile à traiter aussi c'est sûr mais l'impression générale de ce film est de n'avoir jamais réussi à rentrer dans le sujet.... Rien n'est développé clairement: addiction au Sport et ses raisons, la psychologie justement, la sexualité etc....
    Un beau loupé.
    mem94mem
    mem94mem

    116 abonnés 575 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 mai 2014
    Ce film a beaucoup de qualité, mais le scenario nous rappelle le titre du film, toutes les cinq minutes. De plus ce film est à réserver à la gente féminine, tellement le personnage de Sarah fait echo à une adolescence "période mal dans sa peau" uniquement côté féminin. Sarah est insupportable et rend le film assez ennuyeux. Je n'aime pas le jeu de Sophie Desmarais, que je trouve mal dirigée ici, à l'opposé de J.S. Courchesne et Geneviève Bolvin, nettement plus convaincant. Je pense que malgré toute la préparation du film, Chloë Robichon s'est trop impliquée dans ce film autobiographique et a manqué de recul. C'est un beau portrait de femme, mais un portrait ennuyeux. Je me suis déplacé voir le film à cause de sa sélection à Cannes, bien d'autres films auraient mérité sa place.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 9 mai 2014
    Sarah court. Et elle adore ça. Elle n’aime que ça, et ça ne lui pose aucun problème. Le film raconte en effet l’émancipation classique d’une jeune adulte (partir de chez ses parents, expérimenter la colocation, se façonner sa propre histoire sexuelle, …) au ressenti singulier : elle reste imperméable à tout. Tout, sauf la course. Le seul hic, c’est que ça pose problème aux autres. Ces autres qui attendent beaucoup d’elle, alors qu’elle, elle veut simplement courir. Plus qu’une histoire adolescente ou qu’un long-métrage à la gloire du sport, Sarah préfère la course fait partie de ces œuvres qui, sans la mépriser, dénoncent la dictature de la norme.

    Certes, le film est monomaniaque, jusque dans son titre. A trop vouloir illustrer son propos principal, Chloré Robichaud oublie de creuser les marges du scénario. La réalisation très épurée, à basse intensité, laisse échapper des moments d’ennui. Mais c’est illustré avec tant de sensibilité que c’en est bluffant.

    Les scènes de course sont admirablement filmées, comme des courbes d’oubli total, loin des clichés de la compétition hargneuse. La comparaison de ces moments de grâce avec le reste de la vie de Sarah, transpercée de désintérêt pour elle, et d’un malaise certain pour ses interlocuteurs, en devient évidente. Alors pourquoi vouloir faire autre chose quand on n’aime que la course ? Sur la mécanique du personnage central, implacable mais purgée de tout sentiment, L’étranger de Camus n’est pas bien loin.
    César D.
    César D.

    36 abonnés 616 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 mai 2014
    pas super emballant, le tout étant quand même un brin ennuyeux et habillé d'une image bien laide, mais très bien interprété et finalement un beau portrait d'une jeune québécoise mue par la passion de la course. le thème de l'homosexualité est très timidement abordé, on se demande bien pourquoi, mais la mise en parallèle de ses problèmes cardiaques avec ses problèmes de coeur est bien trouvé. l'amour, ou plutôt l'attirance qu'elle éprouve pour une autre jeune fille fait dérailler son coeur, c'est mimi.
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